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Un mince sourire arbore son visage fatigué. Le regard mouillé de larmes, ses pensées vagabondent très loin d’ici. Là-bas, vers l’Est, à plus de deux mille kilomètres de la France où se joue une terrible tragédie. Un drame barbare et odieux d’un autre siècle provoqué par un envahisseur cynique. Elle n’ose regarder ses voisins, pour ne pas trop leur montrer ce chagrin si lourd qui lui vrille l’esprit. Mais, elle a foi en la victoire de son peuple. Et remercie sans cesse cette Europe qui vient en aide à celles et à ceux que l’on nomme désormais les réfugiés ukrainiens…

 

AVALLON : Dans son for intérieur, elle le pressentait depuis longtemps. Huit années de conflit larvé dans le Donbass ne pouvaient que déclencher tôt ou tard une vaste offensive de la part de la Russie, puissant voisin de l’Ukraine aux dents acérées comme du métal. L’Histoire lui a donné raison depuis le 24 février. Engendrant détresse et désolation, bombardements et fureur, une peur viscérale qui se mue en terreur. L’impensable réalité.

La fuite façon exil. Ou bien rester sur ce sol, berceau de la mère Russie, maculé du sang de l’innocence qui coule à flot sous le poids des armes de destruction massive employée sans discernement par l’Armée Rouge. Se battre, aussi. Avec des mots. Des témoignages qui attestent que ce qui se noue là-bas au moment où se rédigent ces lignes est d’une rare intensité. D’une violence sans retenue. Peut-on déjà lâcher le terme de « génocide » ?

 

Un premier contingent de dix-sept personnes dont des seniors et des enfants…

 

« Oui, confirme Oléna GONTECHAROVA, faisant face à l’ensemble de la presse qui ne manque pas une miette de ses déclarations révélées à brûle pourpoint.

Les échos en provenance du terrain sont mauvais. La situation empire, plongeant dans l’effroi l’oratrice qui peine à se concentrer sur sa prise de parole. On l’a comprend. La conférence de presse, concoctée à la permanence du député de la circonscription André VILLIERS, semblerait presque futile en ces instants de guerre apocalyptique. Mais, il faut bien témoigner et rétablir toute la vérité.

D’autant que les premières personnes en quête d’un refuge salvateur arrivent dans l’Avallonnais. Cinq d’entre elles ont posé le pied sur le sol de l’Yonne. En provenance d’Allemagne et de Roumanie. In fine, ce petit contingent n’excédera pas dix-sept personnes. Des membres de la famille d’Oléna. Mais, aussi de ses amis.

Détournant les yeux pour mieux s’imprégner des notifications qui tombent en cascade sur son smartphone (elle suit l’actualité en mode continuel), celle qui fait converger tous les centres d’intérêt résume en un mot ce que vivent ses sœurs et frères d’Ukraine en pareil instant : la catastrophe.

« Les Russes bombardent sans arrêt, alors que la population se terre dans des abris de fortune dans les maisons. Ils ont même écrasé des écoles maternelles sous leurs bombes… ».

Les visages sont graves. Inhabituels lorsque l’on côtoie deux des personnalités politiques présentes, recueillies pour mieux entendre chaque mot de souffrance et de dégoût prononcé par l’interlocutrice, André VILLIERS et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD. Leur bonne humeur a disparu. Laissant la place à une inquiétude sourde qui envahit l’espace, trop exigu pour accueillir autant de personnes qui se pressent autour de la ressortissante à moitié ukrainienne et à moitié…russe, livrant ses messages, presque prophétiques !

 

 

Alors, Mme GONTECHAROVA, parleriez-vous de génocide provoqué par les Russes pour qualifier l’atrocité de ces combats ? « Oui ! », anone-t-elle d’une voix tremblante chargée d’émotion. Ajoutant tout de go que les Russes mobilisent à tour de bras les jeunes conscrits, à peine sortis de l’adolescence, pour les envoyer à la guerre.     

« Comment en 2022 peut-on faire ce genre de choses, se désole-t-elle en secouant la tête, je ne sais pas comment ce conflit va se terminer…et surtout quand ? ».

Un ange passe, laissant dans son sillage tenace ce silence qui prête à l’interrogation qui n’a rien de contemplative.

 

 

« Chez nous, on se chauffe aux granulés de bois, pas avec le gaz de POUTINE ! »

 

Puis, le discours change. Plus pratico-pratique car il va falloir gérer la réception de ces dix-sept personnes. Ces exilés qui se sont enfuis de leur terre nourricière, en abandonnant tout ce qu’ils possédaient derrière eux. Maisons. Travail. Famille et amis. Parfois, leurs animaux de compagnie.  

Oléna a beau posséder trois demeures sur l’Avallonais, il va lui falloir un sérieux soutien de la part de notre communauté pour conserver, avec son époux, la tête hors de l’eau et ne pas se noyer dans le fatras de la logistique élémentaire.

« J’ai beaucoup d’amis français, esquisse-t-elle avec un zeste timide de sourire, je ne suis pas toute seule à gérer cette situation… ».

Certes, la nourriture et les vêtements seront autant de postes comptables plus abordables à anticiper. Mais quid des charges inhérentes au foyer qui va additionner 17 personnes supplémentaires à son actif ? On pense immédiatement à l’eau, à l’électricité, au chauffage.

« Vous savez, plaisante-t-elle, l’un des rares moments où Oléna fera disparaître de son visage cette tristesse indélébile, chez nous, on se chauffe avec des granulés de bois, pas avec le gaz de POUTINE ! ».

Puis, le sérieux reprend le dessus. Sa mère, âgée de 75 ans, pleure de toutes ses larmes, toute la journée.

« Des gens âgés vont arriver ici, souligne Oléna, ils sont déracinés. Certains arriveront avec leurs chiens. C’est tout ce qu’il leur reste ! ».

Les sanglots sont ravalés au fond d’une gorge endolorie d’avoir trop crié. De nouveau, la persistance du silence dans la petite pièce s’installe.

Sur le plan matériel, et pour l’aider à accomplir son noble projet, celui d’un altruisme à répercuter vers le plus grand nombre, Oléna a besoin d’oreillers, de couettes, de couvertures, de linge de maison, de nourriture pour sustenter ces bouches qui ont faim. Elle profite de la présence des deux élus pour réclamer aide et assistance. « J’aurai besoin de vous pour les papiers administratifs, explique-t-elle, peut-être aurions-nous dû inviter à cette conférence de presse la sous-préfète qui réside à côté ? ».

Point de Cécile RACKETTE, en effet, à cet instant de la conversation. Mais, on connaît le sens du devoir et de l’implication de la représentante de l’Etat pour apporter son concours à la résolution de ces équations administratives à multiples inconnues.

Avant de conclure ses propos, Mme GONTECHAROVA remercia chaleureusement André VILLIERS, porte d’entrée sur l’Avallonnais à ce possible accueil de dix-sept ukrainiens fuyant leur pays.

« Je vais pouvoir dire à tout le monde que c’est un député de l’Assemblée Nationale française qui m’a reçu et m’a écouté dans sa permanence. Un lieu ouvert à tout le monde où il y a des personnes qui prennent le temps de vous écouter. Je n’avais encore jamais vu cela auparavant ! ».

Un brin d’espoir dans un océan de turpitudes qui fera chaud au cœur de l’assistance. Muette, mais sans doute heureuse, de voir se sécher les dernières larmes des yeux d'Oléna...

 

Thierry BRET

 

 

 


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« Chers amis de France Inter, et allez..., ce matin encore ce 20 février 2022, c'est le tour d’une députée LREM qui parle de son expérience de jeune parlementaire. Quelle « audace », cette interview d'une jeune députée LREM ! Bien entendu, j’aurais pu en rester là, être en colère ou pas, et ne rien vous dire... parce que certains d'entre vous (pas tous j’espère) allez prendre la remarque d’un quidam quelconque (comme moi qui signe ce papier) en vous disant : encore un criticailleur de journalistes, un criticailleur des rues et/ou des ronds-points (pour rester poli). 

 

BILLET : Que se passe-t-il... à/sur France Inter ?  Pourquoi si peu d'indépendance ? Où est le pluralisme qui respecte les auditeurs ?  Elle est où l'égalité du temps de parole en ce temps d’élection ?

Cousues de fil blanc, ces interviews, sur un ton feutré, comme celle de ce matin, 20 février 2022 : elles sont insupportables ! D’autant qu’elles n’apportent rien de rien, sinon de faire un peu de pub (copinage peut-être ?) à une avocate qui va retrouver (peut-être) la vie civile et son cabinet d’avocate, si j’ai bien entendu car, avec mon amie-amour,  je buvais mon café tout en regardant le ciel nuageux.

Les bras ne m'en tombent pas (cette expression est redevenue trop à la mode), bien au contraire, mes bras montent au ciel et je me dis en écoutant cette interview si pauvre, si petite !

Ô mon dieu, qu’est devenu France Inter ?

Encore un journaliste (en l’occurrence une) qui ne respecte pas ce si beau métier.  À « l'Huma », journal d’opinion, on peut comprendre qu'on privilégie des interviews de communistes mais sur France Inter ? Radio de tous (?) les Français, qu’ils soient noirs, blancs, jaunes, rouges...de toutes confessions...

 

Des médias qui n’ont pas les mains libres et sont inféodés aux politiques…

 

Bref, vous ne devez pas sortir souvent des studios et vos masques vous couvrent les oreilles, semble-t-il, sinon vous entendriez bon nombre d’auditeurs qui s’indignent de ces grosses ficelles et de ce genre d'interviews...

Bref, vous avez beau dire et répéter, presque chaque matin, « France Inter est la radio la plus écoutée de France », beaucoup d’auditeurs ne sont pas dupes et moins polis que moi.

Chers amis de France Inter, ce n'est pas une colère, c’est un constat !

Et loin de moi de critiquer tous les journalistes (de France Inter ou d’ailleurs...) mais vous devriez vous battre pour plus de pluralisme car même si vous vous en défendez, vous n’êtes pas libres et certains ne sont que les porte-paroles de l’AFP (ou d’agences équivalentes) et trop souvent les porte-paroles de LREM et du chef de l’Élysée. 

Ai-je eu raison de passer du temps pour vous dire cela ?

Malheureusement, je sais que comme vous le faites lors des émissions de 8h20 où vous claironnez « appelez-nous » même deux minutes avant l’interview alors que depuis 30 à 40 minutes, les auditeurs retenus pour l’antenne ont été choisis et que vous n’en passerez qu’un ou deux après avoir dit et répété aussi «ce matin il y a de très nombreux appels, appelez-nous vite, joignez le standard au 01 45 24 70 00 ». Là aussi la ficelle est grosse !

Par souci de non anonymat, je signe de mon nom Gérard Gaillard, auditeur régulier de France Inter.

 

Gérard GAILLARD

 


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Théâtre de l’opération : le marché couvert de Sens. Construction architecturale emblématique et admirée de tous. Un symbole de la ville la plus septentrionale de l’Yonne, choisie à son époque par les premiers Capétiens. C’est ici que France 2 invitera ce vendredi 11 février le Premier ministre Jean CASTEX à réagir à chaud aux questions des Français sur le pouvoir d’achat. Le chef du gouvernement sera soumis aux interrogations de notre confrère Julian BUGIER…

 

SENS : Invité exceptionnel pour l’édition du journal télévisé de 13 heures, ce vendredi 11 février sur l’une des antennes de France Télévisions. Le Premier ministre Jean CASTEX se livrera à un exercice inhabituel en répondant directement aux questions des Français (en l’occurrence du Sénonais) sur l’une des préoccupations sociétales du moment : le pouvoir d’achat.

Proposé par France 2, ce rendez-vous audiovisuel sera retransmis dans les conditions du direct depuis le marché couvert de Sens, totalement investi par les équipes techniques et la réalisation du JT.

Accueilli par le présentateur de ce rendez-vous suivi par bon nombre de Français, Julian BUGIER, le chef du gouvernement abordera le sujet après avoir écouté et entendu une demi-douzaine d’Icaunais, présents sur le plateau.

Les équipes de France Télévisions ont pris soin de contacter en amont le service de communication de la Ville. L’idée de base étant de délocaliser en province le journal télévisé afin d’y accueillir le Premier ministre à moins de trois mois de l’élection présidentielle.

 

 

 

Rappelons que Sens, située à quelques encablures de Paris, accueille régulièrement des équipes de tournages cinématographiques.

« Ce sera un bel éclairage pour notre ville, a confié Philippe BLANCHOZ, responsable de la communication, très satisfait de l’accueil de cette grande première audio dans sa ville.

On ne sait pas en revanche si Jean CASTEX aura le temps de saluer les autorités locales lors de ce déplacement sans doute très minuté. On pense notamment à Marie-Louise FORT, présidente du Grand Sénonais et édile de Sens.

D’autant que peu de temps auparavant, le président du Sénat Gérard LARCHER et le président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent WAUQUIEZ participeront à une table ronde à Paron sur le devenir de la santé !

Sens, plaque tournante de la vie politique hexagonale : c’est une certitude !

 

Thierry BRET

 

 


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Depuis mardi soir, celles et ceux des internautes qui suivent les actualités quotidiennes de la conseillère municipale d’opposition auxerroise sur sa page Facebook ont pu constater l’impossibilité de s’y connecter. Point de problèmes techniques, en vérité. Mais juste la volonté de la jeune femme de suspendre momentanément son fil de communication jusqu’à l’issue de son jugement…

 

AUXERRE : « Je veux préserver ma famille jusqu’à ce que justice soit faite ! ». Alors que les élus de l’opposition du Conseil municipal d’Auxerre lui avaient demandé il y a quelques jours de prendre ses distances avec ses activités d’élue jusqu’au rendu de la décision de justice (comme ils l’avaient fait précédemment avec Crescent MARAULT en mars 2021), Farah ZIANI vient de couper net le fil d’Ariane la reliant avec les réseaux sociaux sur lesquels elle apparaît régulièrement.

La jeune femme s’en est expliquée tardivement mardi soir en contactant la rédaction de notre média.

« Il n’aura échappé à personne que Facebook est devenu un support de communication où certains s’expriment sans retenue, au point de pouvoir nuire à la réalité des faits, au point de toucher avec gravité ma famille. Je continue à proclamer mon innocence des faits qui me sont reprochés. Je continue à demander de bénéficier de la présomption d’innocence… ».

 

 

Le silence radio sur les réseaux sociaux pour préserver sa famille…

 

Poursuivie pour des faits d’abus de confiance dans le cadre d’une transaction immobilière survenue en octobre 2020, qu’elle conteste (la conseillère municipale d’opposition d’Auxerre exerce la profession d’agente immobilière), Farah ZIANI devrait se présenter devant la justice le 10 mars prochain au tribunal d’Auxerre.

D’ici là, l’élue prépare sa défense avec son avocat. En gardant le silence, comme elle l’a confirmé lors de cet échange.

« Par voie de conséquence, je préfère désormais garder le silence sur les réseaux sociaux pour me consacrer à ma défense et pour protéger mes enfants et ma famille, explique-t-elle, je me déconnecte donc de Facebook jusqu’à l’issue du jugement… ».

Farah ZIANI n’en oublie pas de remercier celles et ceux de ses ami(e)s qui la soutiennent. Une parenthèse qu’elle veut placer sous le prisme de la sagesse et de la sérénité.

 

Thierry BRET

 


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A ses moments perdus, quand il lui reste encore un peu de temps libre ce qui est plutôt rare vu la noirceur de son agenda griffonné de rendez-vous professionnels, le patron du groupe 123 Immobilier aime s’épancher sur les ondes de nos confrères de France Bleu Auxerre où il apporte son regard d’expert sur le milieu de l’immobilier auxerrois. Toujours utile avant le printemps, synonyme de transactions !

 

AUXERRE : Boulimique du boulot (il gère la destinée de quatre agences immobilières implantées dans le département de l’Yonne), investi dans de multiples réseaux dédiés au business dont la Jeune Chambre Economique où il prépare avec ses camarades du club d’Auxerre une année 2022 riche et éclectique, Baptiste CHAPUIS trouve encore un peu de temps pour s’épancher sur les ondes radiophoniques !

Le patron du groupe 123 Immobilier (des entités commerciales implantées à Auxerre – au nombre de deux-, à Appoigny et à Migennes) est régulièrement consulté en qualité de spécialiste dans la fameuse série d’émissions, « les Experts ». Option immobilière, il va de soi car le sémillant jeune homme connaît tous les rouages de la filière comme le fond de sa poche.

 

 

Alors, entre conseils sur le locatif, les actes d’achat ou investissements à réaliser dans la pierre avant la période printanière, voire les trucs et astuces pour trouver la belle affaire à juste prix : Baptise CHAPUIS est intarissable sur le sujet. Passionnant pour les auditeurs de la station auxerroise à l’écoute au bout de leur transistor…

Thierry BRET

 


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