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Lieu d’échange et de partage entre les entreprises partenaires et les start-up qui y sont accueillies, ce concept novateur porté depuis un an par la Banque Verte à Dijon rencontre le succès. Non seulement la synergie avec les acteurs locaux du développement économique est probante ; mais en outre, l’accompagnement de ces jeunes sociétés, au nombre d’une douzaine à ce jour, se révèle positif et pertinent dans le cadre de leur stratégie de développement…

DIJON (Côte d’Or) : C’est un lieu peu ordinaire dont on célèbre la première année d’existence. On y parle d’innovation, de technologie, de marchés, de business. On y évoque en toute quiétude ses projets en espérant recevoir la bénédiction de partenaires, attentifs aux moindres faits et gestes de ses résidents.

Le « Village by CA » a soufflé sa première bougie. Manifestement, le concept s’inscrit déjà parmi les initiatives réussies de ses concepteurs. Celles et ceux qui suivent avec beaucoup d’intérêt le milieu si hétéroclite de l’économie entrepreneuriale au sein du Crédit agricole Champagne-Bourgogne.

Mais, l’établissement bancaire qui optimise sa politique d’ancrage territorial par le biais de ce concept, n’est pas le seul interlocuteur de poids derrière ce principe de mutualisation et de partage des savoirs, bénéfique aux start-up. VITAGORA et la FOOD TECH y sont associés en qualité de partenaires historiques majeurs. A l’instar de structures qui ont petit à petit agrandi ce « Village » aux bonnes volontés : BPI, STCE, VECT’OEUR, ENGIE, TIPPAGRAL, FIDAL, GUIU, APRR, Invest PME, EDF ou la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Or.

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Les start-up de l’alimentation et de la santé ciblées en 2019…

Bref, la fine fleur des incontournables de l’économie régionale y est mobilisée. A l’écoute de petites entités qui sont prêtes à en découdre, à force d’abnégation et de volonté, parmi les sphères complexes du business.

Dans un laps de temps très court, quelques mois à peine, le « Village by CA » a accueilli plus de 300 personnes, a capté l’intérêt d’une quinzaine de partenaires, a organisé une vingtaine de conférences. Même la configuration initiale du site s’est transformée. Les locaux occupent désormais plus de cent dix mètres carrés d’espace ergonomique et fonctionnel grâce à l’extension du site, en plein cœur du centre-ville de la capitale bourguignonne.

FUEL-IT et APOTIKA auront été les premières structures à essuyer les plâtres dès février 2018. D’autres les rejoindront avec le même enthousiasme un peu plus tard.

En décembre, un troisième appel à candidatures auprès de start-up a été lancé. Les jeunes sociétés issues des secteurs de l’alimentation et de la santé seront ciblées en priorité. In fine, le « Village by CA » accueillera plus d’une quinzaine de start-up régionales.


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Faible mobilisation parmi les membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, à l’occasion de cette conférence qui se voulait très instructive eu égard à son contenu. A croire que la plupart des entrepreneurs maîtrisent parfaitement le nouveau texte législatif. Ce qui, en vérité, ne doit pas être le cas au vu de la complexité de ces dispositifs fiscaux, largement commentés par les experts du cabinet FIDAL…

AUXERRE : Coutumiers de ces conférences informatives régulières, les adhérents de la CPME de l’Yonne ne se sont malheureusement pas rués à l’amphithéâtre de la Fédération départementale du bâtiment qui accueillait mardi soir cette manifestation.

Dommage, car le trio d’avocats, présent sur la scène, eut tôt fait d’éclairer les lanternes même les plus éteintes de celles et ceux qui assistaient à cet exercice de vulgarisation fiscale. Que l’on soit particulier ou entrepreneur, les impôts demeurent l’affaire de tous !

A l’invitation du président Olivier TRICON, les adhérents de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne eurent droit à un exposé fourni et complet de ce texte de loi aux multiples arborescences.

Partenaire stratégique des entreprises et des institutions, Harold FORESTIER, avocat au barreau d’Auxerre et directeur du bureau du cabinet FIDAL présenta les notions introductives de cet échange. Il se focalisa sur une explication succincte du rôle de cette entité, considéré comme le plus important cabinet d’avocats d’affaires français indépendants.

Il est vrai que FIDAL s’appuie sur le professionnalisme de 1 400 spécialistes juridiques en France. Le cabinet étend son influence dans près de 150 pays. En 2017, le groupe pesait 341,3 millions d’euros de chiffre d’affaires.

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Des explications détaillées et étayées d’exemples concrets…

Accompagné de sa consœur Aline BOTTE, avocate collaboratrice responsable du département en droit fiscal et de Delphine LAURIN, responsable de la mission droit social et droit de la paie, Me FORESTIER a pu dérouler ce long exposé parmi les méandres de la fiscalité française.

Impôts sur le revenu, contrôle fiscal, présentation de la loi de confiance et celle protégeant contre la fraude, loi de mesure d’urgence économique…rien ne manqua à ce panel explicatif riche en exemples concrets.

Les trois juristes énumèrent ensuite les nombreux dispositifs reconductibles en cette nouvelle année 2019 (loi CENSI BOUVARD, loi PINEL…), avant de s’attarder manifestement sur la réduction d’impôts consentie en cas de soutien aux entreprises ou encore le prélèvement à la source, un sujet qui aura fait longtemps débat en France ces dernières semaines.

La CPME de l’Yonne renouvellera l’exercice le 18 février à Sens à l’attention de ses adhérents qui résident dans la partie septentrionale du département.

 

 


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L’intelligence artificielle (IA) dont beaucoup d’exégètes de la sphère économique aiment se faire l’écho par voie de presse passionne le cénacle politique dont le député Les Républicains de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. Ce thème aux enjeux sociétaux importants faisait l’objet d’une de ses questions au gouvernement, adressée mi-janvier au ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Notamment sur son application dans le domaine de l’Education nationale. Profitant de la venue à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne de l’un de nos plus brillants économistes, Elie COHEN, l’homme politique icaunais a pris soin d’interroger directement l’érudit sur sa vision personnelle d’une thématique qui pourrait révolutionner à brève échéance bien des aspects fonctionnels de notre monde…    

AUXERRE : Même si les propos de l’économiste lors de sa conférence donnée devant un parterre de chefs d’entreprise ne se cantonnaient pas à l’approche globale de l’intelligence artificielle, il ne pouvait occulter un tel sujet au moment des échanges avec l’auditoire.

Brossant jusque-là, et avec beaucoup de réalisme le panorama d’une situation conjoncturelle plus que délicate pour notre planète, Elie COHEN aborda l’un de ses thèmes de prédilection actuels. Grâce à une perche interrogative que devait lui tendre une de ses « connaissances » en la personne du député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE.

Assis au premier rang et très attentif au moindre mot prononcé par l’interlocuteur durant son long exposé, l’élu de la seconde circonscription fut prompt à poser l’une des questions initiales de cet échange de belle facture. L’intelligence artificielle s’invitant ainsi dans cette conférence où jusqu’alors Elie COHEN avait effectué une vaste circonvolution analytique de notre monde en déliquescence à grand renfort d’arguments empruntés à la géopolitique, aux milieux de la finance et à la macro économie.

Il est vrai que ce sujet de l’intelligence artificielle n’avait rien de décalé dans le débat du jour. Il ponctue l’actualité, parfois à grands coups de manchettes explicatives au détour de la presse spécialisée.

Sériant son intervention, le député de l’Yonne souhaitait en savoir davantage sur l’impact et l’évolution de cette intelligence dite technologique sur la société française et son système économique. Une question précise qui nécessita une réponse qui devait l’être tout autant de la part du conférencier.

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La France accuse du retard sur la Sillicon Valley et la Chine…

Derrière le contexte de la technologie pure, l’intelligence artificielle et son application de plus en plus prégnante parmi notre société induisent nécessairement des interrogations sociétales, voire politiques que tout un chacun est en passe de se poser. Des choix de vie et d’orientation que souhaitent approfondir les décideurs des pouvoirs publics.  

Se référant à une étude récente publiée par l’organisme américain d’analyses sociologiques Mc KINSEY, Elie COHEN n’a pas fait de fioritures pour donner ses éléments de réponse à la question du parlementaire.

La France ne figure pas parmi les cinq pays au monde ayant bien pris en compte les réels enjeux et conséquences de l’intelligence artificielle sur son mode sociétal. Ni même sur les implications économiques.

« C’est un vrai problème que nous observons aujourd’hui, continua-t-il, nous avons sous-investie massivement dans ce secteur et n’avons pas pris pleinement conscience de ses véritables intérêts… ».

Pourtant, Elie COHEN admet que des tas de projets ont vu le jour ici ou là à travers l’Hexagone. Que des « tas de gens s’agitent avec véhémence autour de ces concepts ». Oui, mais voilà : la France ne possède pas la clairvoyance ni le dynamisme de la Sillicon Valley américaine. Ni le système applicatif de grandes firmes chinoises, elles-mêmes soutenues par leur gouvernement, pour obtenir de facto la pleine maîtrise de ce sujet.

« Ne nous y trompons pas, clame l’orateur, les Chinois ont pour objectif d’être les leaders en la matière dans un avenir très proche. Nous autres, Français et Européens, ne sommes pas de la bonne taille pour être à la hauteur des vrais enjeux de demain au niveau de ces technologies. Nous ne convergeons pas vers une vision globale et pratique de leur usage… ».

Il n’est pas certain, au terme de cet échange inattendu entre l’économiste et le politique, que les réponses de l’orateur aient pleinement rassuré ce dernier. Toutefois, et Elie COHEN de le rappeler avec une note d’optimisme, il est vraisemblable, que l’intelligence artificielle aura un impact indéniable sur certains secteurs de l’activité économique, à commencer par celui de la santé. Demain, et grâce à l’utilisation de ces auxiliaires technologiques novateurs, des interactions apparaîtront entre les praticiens et les aides obtenues grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Sans qu’il y ait un recul de l’emploi. Bien au contraire…

 

 


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L’Union des démocrates et des indépendants (UDI) de l’Yonne sera aux côtés de Crescent MARAULT, candidat des Républicains et du centre, dans la longue campagne des municipales qui se profile à Auxerre. La formation du centre droit a fait savoir par le biais d’un communiqué officiel de ses responsables son intention de tout mettre en œuvre pour faciliter l’accession au pouvoir du protégé de Guillaume LARRIVE…  

AUXERRE : Treize mois nous séparent des prochaines échéances municipales dans l’Yonne. Un délai temporel qui n’empêche pas les états-majors des formations de droite, du centre droit et du centre de peaufiner avec enthousiasme et sérieux leur stratégie en vue de la conquête de nouvelles villes. A l’instar du chef-lieu du département, Auxerre où le fauteuil d’édile est déjà très convoité.

Si le maire actuel de la préfecture de l’Yonne, Guy FEREZ, ne s’est manifestement pas encore prononcé de manière officielle sur ses velléités à se succéder à lui-même ; a contrario, l’un des challengers qui tient déjà la corde médiatique avant que ne débute ce futur combat des chefs se nomme Crescent MARAULT, considéré comme l’homme providentiel des Républicains.

Elu de Saint-Georges-sur-Baulche, l’entrepreneur-candidat vient de recevoir le soutien officiel de l’UDI de l’Yonne dans cette course d’endurance de longue haleine.

Un soutien qui s’est manifesté par la diffusion d’un communiqué de presse, ce lundi 04 février en fin de matinée. Le document émane de Dominique VERIEN, sénatrice de l’Yonne et présidente de l’UDI de notre territoire. Son paraphe est accompagné de celui du président de la section des jeunes de l’Union des démocrates et des indépendants, Kevin LEGENDRE-BONIFACE.

« En tant que maire, Crescent MARAULT a su fédérer les habitants de Saint-Georges-sur-Baulche et dynamiser sa commune, précisent les deux signataires du communiqué, tout en restant un entrepreneur reconnu par ses pairs, il sera demain le maire dont la capitale de l’Yonne a grandement besoin… ».

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UDI et Républicains main dans la main dans l’Yonne…

Quelques jours après la venue de Jean-Christophe LAGARDE, chef de file de l’UDI dans l’Yonne, l’entente reste donc très cordiale entre Les Républicains et le parti démocrate. D’ailleurs, le leader national avait rappelé à cette occasion que localement, « l’UDI travaillait en étroite osmose avec le député de la première circonscription de l’Yonne et secrétaire national délégué des Républicains, Guillaume LARRIVE ».

Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour en voir les applications concrètes sur la configuration des futures municipales à Auxerre…

 


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 Il y a maintenant vingt ans, la société NISSAN allait droit vers la faillite. Un fleuron de l’industrie automobile japonaise prenait le chemin du cimetière des éléphants. Le Japon, comme l’Allemagne, après avoir été dévasté par la guerre, caracolait de nouveau à la tête des nations industrielles dans le monde. La France, elle, continuait son petit bonhomme de chemin, avec une industrie à sa place où depuis des siècles, nous enregistrions de belles réussites…

TRIBUNE : Disposant de belles PME actives, de quelques grands groupes industriels et de régions industrieuses, la France, face aux pays anglo-saxons, l’Allemagne d’abord puis le Japon, n’a jamais fait vraiment le poids. Depuis toujours, le déficit du commerce extérieur demeure un problème lancinant pour nos dirigeants politiques.

La régie Renault, symbole du « Colberto-étato-techno » culturel français, tenait pourtant sa place sur le marché français de l’automobile. Mais, ce système ne brillait guère à l’étranger. Aussi, peut-on être admiratif pour son patron de l’époque, Louis SCHWEITZER, d’avoir osé ce formidable défi : tenter de faire sauver Nissan par la marque aux losanges.

Exactement vingt ans plus tard, l’alliance « Renault-Nissan-Mitsubishi » est devenue le premier constructeur mondial d’automobiles. C’est le pari de Louis SCHWEITZER et l’œuvre de Carlos GHOSN. Le choix de ce dernier est également à mettre à l’actif de Louis SCHWEITZER. Fermez le ban !

Donc, en l’espace de deux décennies ans, un franco-libano-brésilien a su créer le premier groupe automobile du monde à partir d’une entreprise au bord du dépôt de bilan, d’une régie qui ne jouait pas vraiment dans la cour des grands en lui enjoignant un troisième groupe automobile japonais. Petit rappel en quelques chiffres : en 2018, Nissan a produit 5,81 millions de véhicules, Renault en a sorti 3,76 millions de ses usines et Mitsubishi à peine 1,03 million.

Ce n’est pas rien. Mais une évidence saute aux yeux. Dans cet ensemble, les Japonais produisent 6,84 millions de véhicules et les Français 3,76 millions de modèles. Vous avez tout compris...

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Les Japonais veulent bouger les lignes sans ménagements pour leurs partenaires…

Et le champion de tout cela a été arrêté à sa descente d’avion à Tokyo pour malversations financières personnelles. On ne sait pas exactement ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Et ce qu’on lui reproche véritablement…

En revanche, personne de sérieux ne peut croire que les dirigeants de Nissan pouvaient ignorer cela depuis des années. Le Japon, comme chacun sait, est une société encore féodale. Les liens entre les grandes entreprises, les hauts fonctionnaires, et la classe politique forment un réseau inextricable.

Aussi, cette affaire relève du drame shakespearien tel Macbeth. Les Japonais veulent reprendre le pouvoir et tout bousculer sur leur passage. Contrairement à toutes les déclarations sur la pérennité de l’Alliance, le drame shakespearien ne fait que commencer.

Les Japonais veulent changer les choses sans ménagements pour leurs partenaires français. Avec tous les risques que cela comporte…

Quelques chiffres mettent en évidence que cette alliance était devenue au fil des ans déséquilibrée.

Renault détient 43,4 % de Nissan tandis que Nissan ne détient que 15 % de Renault. De plus, l’État français, profitant d’une loi de circonstance, dite loi Morhange, bénéficie de droits de vote double chez Renault. Nissan est donc le deuxième actionnaire de Renault après l’État français.

En contrepartie de cette situation, pour le moins bancale, Renault s’est engagé à ne jamais s’opposer à la direction de Nissan au sein du conseil d’administration de Nissan.

Certes Carlos GHOSN a été frappé par la malédiction grecque : « Zeus rend fou ceux qu’il veut perdre… ». Il a donc trop tiré sur la ficelle des avantages personnels. Mais la question n’est pas là. Quels que soient ses torts sur le plan fiscal et celui de l’éthique. Non, la vraie question reste la vision réelle de l’Alliance qu’ont les Japonais.

Prenons notre place dans ce théâtre shakespearien de l’automobile et voyons la suite de cette pièce en plusieurs actes qui ne fait que commencer, contrairement à tout ce qu’on nous raconte.  Comme le disait le maître de la littérature britannique, ce sera « very exciting » à suivre !

Emmanuel RACINE     

                                                                                                                                                                 


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