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L’acte en serait presque anodin par sa simplicité. Acheter une fleur pour l’offrir ensuite à l’être aimé. Ou à soi-même, après tout, puisque l’on est en droit d’être un peu narcissique si l’on veut se faire plaisir au nom d’une noble cause. Celle qu’a choisi de soutenir le centre LECLERC d’Auxerre en faveur de la Ligue contre le Cancer, en cette période d’octobre rose…

AUXERRE : Les pétales d’un rose vif attirent automatiquement le regard. Visibles de loin, les fleurs coupées se présentent sous la forme d’harmonieux bouquets. De grandes tiges qui se terminent par cette éclosion de couleurs chatoyantes.

Il n’y a plus qu’à saisir l’un de ces végétaux et le tour est joué. Vendue 2,50 euros à l’unité, la rose fera nécessairement une heureuse. Mais pas que ! Puisque la somme de 50 centimes sera reversée au profit de la Ligue départementale contre le Cancer, au bénéfice de la recherche. Notamment celle qui est destinée à poursuivre les progrès déjà réalisés dans la lutte contre les cancers du sein.

Placés à différents endroits stratégiques, dans la galerie marchande, ces bouquets de roses (plus de 500 fleurs coupées reçues ce vendredi matin) ne doivent laisser personne indifférent en cette période marquée par la campagne nationale, Octobre Rose.

Le docteur Serge TCHERAKIAN, président de la Ligue 89, assistait en fin de matinée à la mise en place de l’opération qui a pris son essor au rayon « fleuriste » animée par Julie. Il a été reçu par le directeur du commerce auxerrois, Jérôme CHAUFOURNAIS, qui rappela son attachement à ces manifestations altruistes et citoyennes accueillies avec constante régularité chez LECLERC.

Une première initiative fleurie qui vient agrémenter ce que propose déjà la structure commerciale en faveur de l’association. En mars dernier s’était déroulée en ces murs la 18ème édition de l’opération « Tous unis contre le cancer ». Une animation déclinée localement à l’instar de ce qui se passait au sein du réseau des 486 magasins et 494 drives partout en France.

Les dons collectés lors de ces animations permettent de financer une grande partie du programme « Enfants, adolescents, jeunes adultes et cancer » menée par la Ligue.

Depuis une décennie, entre LECLERC Auxerre et la Ligue 89, l’hymen est au beau fixe, côté partenariat. Avec la mise en place de ce nouveau concept solidaire, c’est une évidence : ce n’est pas demain que cela va cesser…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est dans les salons feutrés de la mairie de Joigny que la délégation icaunaise de la Société des Membres de la Légion d’Honneur a fêté les cent ans de l’institution sous l’égide du président de la section départementale, Baudouin DELFORGE. Une cérémonie qui s’est déroulée en présence de nombreux invités parmi lesquels le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD et le maire de la ville Nicolas SORET.

JOIGNY : La SMLH est souvent présentée comme le bras armé de l’Ordre de la Légion d’honneur. Née au lendemain de la Première guerre mondiale, en septembre 1921 sous le nom de « Société de la Légion d’honneur », elle s’était alors donnée pour vocation, de lutter contre le dénuement qui frappait nombre de ses membres, décorés de cet ordre pour leur courage au front.

Parmi lesquels, comme l’a rappelé Baudouin DELFORGE dans son discours d’introduction, beaucoup de « gens issus de milieu modeste, du monde de la terre, en 1914, la France était un pays de paysans ». Un dénuement qui n’était pas seulement matériel mais s’accompagnait le plus souvent d’un isolement total. Et c’est pour y remédier que fut créée par le général DUBAIL, alors Grand Chancelier, cette société d’entraide qui en 2012, fut rebaptisée de son nom actuel. 

 

 

Ses missions au fil des années se sont élargies et la SMLH, outre de concourir au prestige de l’ordre national de la Légion d’honneur, tant sur le sol national qu’à l’étranger, s’efforce de promouvoir au sein de la société les valeurs incarnées par cette distinction suprême, notamment par des actions éducatives auprès des jeunes générations. Tout en poursuivant bien sûr sa mission première de mener des actions de solidarité et d’entraide entre ses membres, mais aussi auprès de plus jeunes, afin de les aider à tracer le chemin de vie qu’ils se sont choisis. D’où cette requête du maire de Joigny, Nicolas SORET : « il y a dans notre ville des jeunes qui s’engagent et je serais heureux qu’un certain nombre d’entre vous accepte de venir parrainer ces jeunes Joviniennes et Joviniens pour qui l’horizon n’est pas forcément très éclairci, qui passent parfois entre les mailles des filets de protection sociale et d’accompagnement de la puissance publique. Des marraines et des parrains qui accepteraient de les prendre sous leur aile et leur dire que l’engagement, c’est aussi ce qui fait parfois la noblesse d’une vie ».

Un défi que le président DELFORGE a bien sûr relevé positivement, dans la droite ligne des valeurs et de la devise de la SMLH : « Honneur-Patrie-Solidarité ». Une devise partagée par les 150 personnes réunies ce dimanche à Joigny.

 

 

En savoir plus

Née le 19 mai 1802 de la volonté de Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, la Légion d’honneur vise à récompenser depuis lors, les militaires comme les civils ayant rendu des « services éminents » à la Nation.

On estime qu’environ 1 million de personnes ont été ainsi récompensées depuis sa création. Elle compte aujourd’hui 92 000 membres, sachant qu’un maximum de 2 800 personnes peut être distingué chaque année, dont 1 500 à titre civil et 1 300 à titre militaire.

Les chevaliers représentent un peu plus de 80 % des membres, les officiers 16 % et les commandeurs, 3 %. La promotion dans la hiérarchie s’exerçant par la preuve de nouveaux mérites. C’est aujourd’hui la plus haute distinction française et l’une des plus connues de par le monde.

 

Dominique BERNERD

 

 


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Il aime relever les défis l’entrepreneur de l’Yonne, adhérent de la CPME. Non seulement, il participe à l’élection consulaire de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat pour faire gagner la liste dont il est le chef de file (« Fiers d’être artisans ») au soir du verdict le 19 octobre. Mais, en outre, il aimerait bien déloger le président Emmanuel POYEN de son piédestal régional. Un challenge en passe de réussir ?

 

AUXERRE: Qui d’Emmanuel POYEN, actuel président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat ou de son challenger Baptiste CLERIN, à la tête de la liste « Fiers d’être artisans », remportera le scrutin de ces élections consulaires édition 2021 ? Des élections qui soient en dit en passant ne passionnent pas les foules et ne devraient pas mobilisées outre mesure beaucoup de professionnels dans le sérail territorial.

Un peu à l’image depuis plusieurs années de ce qui se déroule lors des autres échéances plus politiques. Ce qui ternit un peu plus à chaque rendez-vous électoral le principe de la démocratie, socle pourtant indélébile de notre patrie et de nos libertés.

Dans le meilleur des cas, selon quelques prévisions optimistes, le taux de mobilisation des professionnels de l’artisanat pourrait s’élever à 12 %. Au lieu de 14 %, chiffre observé il y a cinq ans lors du dernier scrutin. Pourtant, dit l’adage, le secteur artisanal représente la première entreprise de France du fait de son nombre exponentiel de sociétés, d’entrepreneurs et de salariés ! Etrange paradoxe que celui-ci en vérité.

 

Les prérogatives de la Chambre des Métiers ont fondu comme neige au soleil…

 

Cela ne perturbe nullement Baptiste CLERIN. Ce dernier a multiplié les rencontres auprès des représentants de la filière au fil des semaines. D’autant que le garçon, membre de la CPME de l’Yonne, se présente sur deux tableaux : le départemental et surtout le régional.

La profession de foi de l’intéressé est simple : il désire rendre ses lettres de noblesse et son rôle de soutien aux artisans à l’institution consulaire.

« Depuis quelques années, la plupart des artisans de France ne font que verser des taxes à l’organe qui les représente. Ils attendent bien davantage de leur chambre consulaire en matière de retour sur investissement… ».

Le ton est donné, sans fioritures aucunes. Déshabillées par l’Etat, à l’identique de la CCI, les Chambres des Métiers et leurs prérogatives régaliennes ont donc fondu comme neige au soleil au fil des ans. Notamment l’exclusivité de la rédaction des contrats d’apprentissage. Un coup dur, énorme, pour les chambres, synonyme de retrait d’une partie de leur financement.

 

 

Autre désillusion pour le candidat CLERIN : la représentativité qui est mal assurée par la chambre consulaire auprès de ses adhérents.

« Combien de ces acteurs de l’économie au plus près du terrain ont eu de contacts depuis ces douze derniers mois avec leur chambre ? Que font celles et ceux qui sont sensés nous représenter (eux-mêmes des artisans) et qui ne le font pas ?! Sincèrement, ceux qui répondront par l’affirmative positive doivent se compter sur les doigts des deux mains ! ».

Boom, la banderille est décochée. Pas tendre le chef d’entreprise avec ses opposants qui gèrent depuis cinq ans la vénérable institution.

 

 

Etre représenté auprès des EPCI dans les territoires…

 

Puis d’ajouter, récemment, lors d’un meeting de campagne (cela existe aussi dans le milieu professionnel), « la liste « Fiers d'être artisans » n'a pas été constituée par des gros syndicats ou par des gens animés d'intérêts particuliers, mais uniquement par des artisans du terrain qui ont envie de faire changer les choses. D’ailleurs, plus de la moitié des gens qui composent cette liste ne sont pas inscrits dans un syndicat… ».

En filigrane, cela suppose que bon nombre d’artisans ne se sentent pas ou peu représentés aujourd’hui et ne figurent dans aucun des pléthoriques syndicats qui existent.

Quant à l’hypothétique rapprochement avec les autres chambres consulaires, il n’en est pas question dans la bouche de Baptiste CLERIN.

« C’est à nous de prendre les rênes de notre destinée et de devenir la Maison des Artisans, au service de ces entrepreneurs…».

A contrario, le double candidat souhaite que la Chambre des Métiers soit représentée auprès des EPCI qui possèdent désormais la seule compétence économique sur leurs territoires.

« Si on ne va pas voir les élus en charge de l'économie des territoires, il n'y a pas de raison qu’ils financent les projets de la Chambre pour des actions en faveur de l'artisanat ! ».

Des arguments qui pourraient peut-être porter le candidat de la liste où figurent des poids lourds tels que la FFB, le CNPA ou la FEP au firmament du succès au soir de la connaissance du verdict, le 19 octobre prochain ? Ou pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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L’innovation sur l’Auxerrois, c’est possible ! Tel un mathématicien soucieux d’en démontrer la preuve devant un parterre d’élèves studieux, le maire-président s’est longuement exprimé lors de l’évènement inaugural de la station hydrogène. Pédagogue, utilisant à bon escient l’humour et faisant part de son émotion quant à la solennité de l’instant, du concept et de ses enjeux, Crescent MARAULT ne jure plus que par une seule expression : écosystème !     

 

AUXERRE : Avec ou sans micro, instrument dont il n’aime guère faire usage lors de ses prises de parole, le résultat est identique ! L’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois s’est donc exprimé haut et clair face à une copieuse assistance de VIP et autres personnalités en ce jour inaugural de la station hydrogène. Ce fameux complexe technologique qui représente l’un des maillons essentiels du nouvel écosystème en phase de développement in situ.

Certains diront qu’il est avare en communication. Lui, affichant toujours un large sourire, rétorquera qu’il ne parle seulement et seulement s’il a des choses à dire ! Et là, visiblement, la verve de l’élu était intarissable sur le sujet du jour. Avec en toile de fond, un unique mot à retenir : écosystème !

En voilà devenu un ardent défenseur. Presqu’un ambassadeur vertueux qui n’hésitera pas à rencontrer certains de ses collègues maires pour leur proposer ses services en matière d’accompagnement. Un message non codé à l’attention du socialiste François REBSAMEN, le premier des élus de la capitale régionale !

Surtout que désormais, en accueillant près de la pépinière d’entreprises de la CCI ce complexe futuriste et unique dans l’Hexagone, Auxerre brille de mille feux grâce à cette énergie renouvelable ! Et l’énorme potentiel qui en découle avec justement cet écosystème aux ramifications hybrides.

 

 

 

De la transition énergétique à la transition industrielle il n’y a qu’un pas !

 

Pédagogue, persuasif, ne négligeant pas l’humour en faisant souvent référence à l’intervention élyséenne la veille où Emmanuel MACRON dévoila le plan énergétique France 2030 qui fait la part belle précisément à l’hydrogène verte (« On a calé notre évènement sur l’agenda présidentiel ! »), Crescent MARAULT avoua même la part d’émotion qui l’habitait en l’instant présent, empreint quelques minutes auparavant de solennité lors de la découpe du ruban tricolore.

Puis, endossant de nouveau la vêture d’un docte professeur, le maire précisa : « S’il le faut, je peux tout vous expliquer sur le mode opératoire de cet écosystème qui prend naissance aujourd’hui… ». Précisant l’instant d’après qu’il avait été lui aussi très bien briefé par l’un des spécialistes de la question.

Plus sérieusement, Crescent MARAULT qui remercia tous les acteurs institutionnels et partenaires économiques engagés dans ce projet d’avenir, l’un de ceux qui intègre le Projet de Territoire 2031 (« Nous faisons mieux que le Président de la République s’amusa-t-il en gagnant d’une année de plus sur notre vision !), se doit désormais de tenir qu’un seul cap vis-à-vis de ce concept révolutionnaire à bien des égards : convaincre !

« Il faut y croire, martela-t-il à maintes reprises, ça va marcher ! Nous ne devons plus être fatalistes dès que l’on parle de l’Auxerrois et de ses capacités de réussite à l’avenir... ».

 

 

Pourtant, de son propre aveu, le pari est osé. Parce qu’il est expérimental. Parce qu’il est surtout très novateur.

« C’est un pari sur l’avenir que nous avons choisi de porter là, poursuivra l’élu de l’Yonne, un pari qui risque de s’avérer payant très rapidement… ».

Même s’il y a nécessairement un surcoût à l’allumage des feux ! Mais, selon le maire-président, l’effet de massification devrait faire le reste. Les retours sur investissements devraient très vite porter leurs fruits.

« Pour n’importe quelle collectivité, la mobilité représente un coût. Souvent élevé, ajoute l’orateur durant son intervention, mais, dans ce cadre-là, nous allons générer des recettes ; parce que nous n’avons pas tout misé sur la mobilité verte mais sur un écosystème… ».

Nous y revoilà ! Le fameux écosystème n’est jamais très éloigné de son raisonnement. Grâce à lui devrait ruisseler (selon l’expression chère au locataire de l’Elysée – décidément !), de sérieuses retombées économiques qui seront bénéfiques sur l’Auxerrois, cela va de soi, mais également sur la totalité du territoire de Bourgogne Franche-Comté. Que l’on habite Chalon-sur-Saône, Nevers, Besançon ou Belfort, là où l’hydrogène et ses évolutions n’ont pas dit leurs derniers mots !

« Nous sommes en avance sur tant d’autres territoires, rappela Crescent MARAULT, il ne s’agit plus de vivre la transition énergétique mais de nous plonger vers la transition industrielle ! ».

 

 

Des innovations ? Ce n’est que le début !

 

Remerciant au passage l’ensemble des élus car, devait-il le remémorer, « ce projet est avant tout une œuvre collective », le président de l’Auxerrois évoqua l’intérêt général et l’osmose qui auront régné avec la Région, pourtant d’une orientation politique bien différente.

Un petit clin d’œil fut adressé aux agents de l’agglomération, mobilisés depuis de longues années sur la finalité de ce dossier. Des agents ayant parfois à subir le côté disruptif dans la manière de travailler !

Quant à la suite, Crescent MARAULT s’y attardera. « Vous savez, l’Auxerrois est une terre d’innovation et d’expérimentation, et ce n’est que le début ! ».

Ainsi, dans l’absolu, l’accompagnement de cette transition se fera via un incubateur, installé au Pôle environnemental. Le concept aidera les start-up et initiera de la recherche et développement autour des questions énergétiques. Après coup, cet incubateur se muera telle une chrysalide en un technopôle permettant l’accueil de formations supérieures afin de répondre aux ressources humaines nécessaires dans le cadre du déploiement du projet.

« Je souhaite que nous soyons proactifs. Il nous faut donc réfléchir désormais sur les formations à mettre en place pour avoir des compétences et avoir un coup d’avance… ».

Enfin, pour clore ce long exposé didactique, le maire évoqua un autre usage de cette énergie avec l’éclosion de l’hydrogène stationnaire. Destiné à alimenter des bâtiments.

« On est dorénavant en capacité à conceptualiser des bâtiments à énergie positive. Ce qui était autrefois très complexe à réaliser sera simplifié avec plus de souplesse avec l’hydrogène stationnaire. Cela va répondre aux cahiers des charges des collectivités qui ont pour obligation de mener des politiques publiques sur l’efficacité énergétique… ».

Rendant ainsi autonomes en énergie les édifices auxerrois ! Et, sans omettre le potentiel d’emplois allant de pair…

 

Thierry BRET

 

 


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Pour sa 23ème année, le festival « Contes Givrés » propose sur quarante communes de Bourgogne près d’une cinquantaine de spectacles généralement gratuits. Ces « contes » sont tantôt traditionnels, parfois venus de très loin, tantôt de création récente, laissant la part belle à l’imaginaire et la parole à un(e) artiste quelquefois accompagné d’un musicien.

 

JOIGNY : Aussi le programme est-il extrêmement varié, depuis l’épopée mandingue de Soundiata, l’enfant-buffle, qui remonte au XIIIème siècle, jusqu’aux fantastiques « hommes-carton » de Marien TILLET, et à la question posée par les Volubiles : être deux dans un couple, oui mais lequel ?

Au collège Marie-Noël de Joigny, le passage du festival s’est traduit par la résidence du conteur Innocent YAPI, venu animer un atelier de prise de parole en public auprès d’une classe de troisième.

Durant une semaine, les élèves ont pu bénéficier de trois heures par jour de travail sur la voix, la tenue sur scène, l’improvisation, dans une ambiance empreinte de respect et de bonne humeur.

Leur jeune professeur de français, Valentine UGO le reconnaît : ce travail a établi entre les élèves un excellent esprit de groupe. Il n’y a jamais eu de moqueries et la classe en est sortie soudée, prête à vivre une année scolaire enrichissante.

 

 

Il s’agissait en outre d’une section football qui ne connaissait les contes qu’à travers le programme de 6ème où l’on met souvent l’accent sur des récits pourvus d’une morale ou d’une leçon.

Le répertoire d’Innocent YAPI, originaire de Côte d’Ivoire, leur a permis de découvrir la tradition orale de l’Afrique de l’ouest où le lièvre Botton joue le rôle du personnage rusé, équivalent au renard de nos fables.

L’enseignante a complété cette découverte par l’étude d’un livre de Laurent GAUDE, « La mort du roi Tsongor », prix Goncourt des lycéens en 2002 et par la préparation d’une exposition en partenariat avec l’association « Joigny Baobab ». Cette action proposée par la Bibliothèque départementale de prêt a été entièrement financée par le Département de l’Yonne.

 

Claire CIUPA

 

 

 


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