Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ce n’est pas une surprise : l’été reste la période idéale et propice aux passations de pouvoirs et à la prise de nouvelles responsabilités, au sein des clubs service. Ainsi, il incombe désormais au jeune Pierre-Nicolas JOLIOT, membre du club Auxerre Phoenix, d’endosser la vêture de président de zone à l’occasion de cette nouvelle saison qui démarre.

 

AUXERRE : L’exercice se décline aux quatre coins de l’Hexagone à pareille époque. Parmi les 25 000 bénévoles qui, au sein des 1 200 clubs, s’engagent à mener des opérations d’intérêt général au service de l’humanisme et de la solidarité. On appelle cela des passations de pouvoirs entre deux exécutifs qui reprennent les rênes de la structure associative.

Dans le cas présent, ce n’est pas un changement de gouvernance à la tête d’un club. Mais, d’une zone. Celle-ci correspond à un secteur géographique qui permet de découper dans chaque district régional des périmètres précis permettant à une dizaine de clubs – parfois, c’est moins – de travailler ensemble et dans la même direction. Au profit d’une noble et juste cause. Partant du postulat qu’il existe quinze districts régionaux, composant le district national 103 – l’Hexagone, en quelque sorte – on imagine aisément que ces zones internes aux régions se sont multipliées comme des petits pains au fil des années, facilitant la construction de l’édifice Lions qui récolte tout de même la bagatelle de 20 millions d’euros chaque année, via ses nombreuses actions sociales réalisées sur le terrain !

 

 

Sensibiliser et recruter de nouveaux membres

 

On en dénombre annuellement près de 5 000 de ces animations altruistes et généreuses dont les fonds sont intégralement reversés aux causes de grande et plus petite envergure.

Dans sa zone, Pierre-Nicolas JOLIOT – on le connaît pour être à la manœuvre avec sers camarades de club derrière le succès de « la Soupe des Chefs », l’évènementiel de la Foire Saint-Martin à Auxerre, entre autres…- aura pour objectif de sensibiliser les clubs à poursuivre leurs actions solidaires, à recruter de nouveaux membres investis de cette mission sociétale du partage et de l’humilité, à jouer le rôle de partenaire de la cité et à être en adéquation avec les besoins de la jeunesse en étant à son écoute. Bref, les valeurs incarnées par le mouvement, le « lionisme », qui a pris racine en Europe, et en France en particulier, dès 1948. Un rôle qui va comme un gant à ce juriste, expert dans des biens des domaines…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Question sémantique, il a de l’imagination à revendre, le service communication de l’Agglomération de l’Auxerrois ! Après les appellations « AuxR_Parc » et « AuxR_Green », apparues ces derniers mois dans le landerneau, c’est au tour de la petite dernière de ces « marques » locales, « AuxR_Eau », de s’illustrer de la plus belle des manières lors de la signature du nouveau contrat de délégation de service public (DSP) d’eau potable et d’assainissement du territoire entre l’intercommunalité et SUEZ.

 

AUXERRE: Que d’eau, que d’eau ! Il était judicieux de faire ainsi référence à ce liquide si précieux, facilitateur de vie, en pleine période de canicule et sous la chaleur étouffante qui accueillait les signataires de la nouvelle DSP, validée entre l’Agglomération de l’Auxerrois et l’opérateur, SUEZ. Il fallait posséder de bonnes ressources oratoires pour pouvoir ainsi s’exprimer sans transpirer dans une pièce à température ambiante – c’est-à-dire très chaude ! – sur un tel sujet, donnant soif ! D’ailleurs, les signataires de cet accord pérenne sur la durée disposaient devant eux de récipients bien garnis à ras bord de ce fameux liquide, vedette incontestable de la journée, afin de se désaltérer entre deux prises de parole à la tribune !

 

Priorité au schéma directeur de l’assainissement à long terme

 

De l’eau, cela coule de course, il en aura été abondamment fait mention durant cette longue présentation où les élus de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois en charge du dossier, Pascal BARBERET (assainissement) et Michaël TATON (eau potable), ouvrirent le bal des explicatifs. Chacun à sa manière évoquera les tenants et aboutissants de ce dossier. Plutôt ambitieux, côté chiffres.

« Dans sa volonté de construire un schéma directeur de l’assainissement à long terme, au cours de ces cinq prochaines années, c’est 1,4 million d’euros qui sera investi pour des travaux de remise à niveau ainsi qu’une surveillance accrue du réseau par SUEZ, précisa le vice-président Pascal BARBERET, en charge de l’assainissement.    

Objectif in fine de ces chantiers : la modernisation des réseaux – de la pure logique quand on connaît les pertes importantes imputables à des fuites de ce salvateur liquide dont nous avons grand besoin -, la réduction de la consommation de la part de l’ensemble des utilisateurs raccordés au réseau, et surtout de l’optimisation de la qualité du produit. « C’est un beau challenge qui débute, conclura enthousiaste Pascal BARBERET.

 

 

De nouveaux compteurs plus précis sur la consommation réelle

 

Plus technique dans ses propos, Michaël TATON, vice-président de l’intercommunalité en charge de l’eau potable, aborda ensuite le renouvellement du réseau et le nécessaire remplacement de 150 kilomètres de conduite sur les 740 kms que compte le réseau communautaire, avec un objectif de rendement de 85 % dès 2031 contre 75 % à l’heure actuelle.

« Cela devrait nous permettre d’économiser 14 millions de mètres cubes d’eau sur la durée du contrat, soit l’équivalent de trois ans de consommation du territoire ! ».

D’ailleurs, tous les ans, la CA de l’Auxerrois procède au renouvellement de 1 % de son réseau de distribution d’eau, soit près du double de la moyenne nationale. Un investissement annuel de 4 millions d’euros de  travaux, c’est-à-dire 80 millions d’euros à injecter au cours des deux décennies à venir.

 

 

 

Puis, Michaël TATON mit l’index sur l’installation d’une nouvelle génération de compteurs permettant de suivre en temps réel la consommation. Nom de code de l’appareil : la « télé-relève » !

« Les consommateurs bénéficieront d’une facture au plus juste de la réalité, ajouta l’élu, en accédant à une gamme de nouveaux services, notamment l’alerte en cas de fuite… ».

Quant au prix, s’il est évalué à 0,68 centimes d’euro au m3, il engendre une hausse de 6 euros par mois pour les familles. Pas sûr que cela satisfasse vraiment les plus démunis de ces foyers qui peinent à niveler vers le haut leur pouvoir d’achat. Réponse de Pascal BARBERET à ce propos : « un fonds de solidarité pour les usagers ayant du mal à régler leurs factures va se mettre en place, il s’élèvera à 20 000 euros par an… ». Sera-ce tout de même suffisant compte tenu de la conjoncture ?

 

 

Un plan d’investissement global de 140 millions d’euros…

 

Quant à Crescent MARAULT, pour qui l’accès à la qualité de l’eau pour tous est une priorité, il est fier au nom du territoire de cette opportunité élaborée avec le concours du groupe SUEZ.

« Alors que des ruptures d’approvisionnement en eau vont se multiplier en France dans les années à venir, expliqua le maire-président de l’Auxerrois, les élus de l’agglomération ont fait le choix de proposer une eau de qualité premium qui soit en permanence disponible. Cette stratégie s’engage dans le long terme en innovant notre système de distribution et de gestion de l’eau potable pour les vingt prochaines années… ».

Puis, exposant les chiffres, Crescent MARAULT rappellera que 98 millions d’euros seront ainsi investis par l’intercommunalité de l’Auxerrois et 42 millions d’euros par SUEZ, représenté par son directeur général Eau France, Arnaud BAZIRE, composant  un plan d’investissement global de 140 millions d’euros sur cet ambitieux projet.

Deux nouvelles usines de production d’eau potable verront également le jour et mises en service d’ici le terme de 2026. Equipées d’une nouvelle technologie novatrice – l’emploi d’osmose inverse basse pression – elles permettront d’obtenir une eau sans goût de chlore et nettement moins calcaire que celle qui coule aujourd’hui des robinets. Une vraie catastrophe pour les appareils électroménagers encrassés des familles de l’Auxerrois !

Voilà donc une histoire d’eau dont Auxerre pourra s’enorgueillir à l’avenir, dixit son édile, tant au niveau de l’attractivité, de la libération, de l’innovation et de la fierté. En sus, une marque d’eau, propre à celle qui sortira désormais du robinet, est envisagée par la collectivité ! C’est sûr : on en a déjà l’eau à la bouche !

    

Thierry BRET

NB : le prochain volet de ce reportage sera consacré à la présentation de SUEZ et à sa stratégie sur ce projet…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Après l’annonce de la suspension de l’accord céréalier établi entre la Russie, la Turquie et l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, la tonne de blé est passée à 235 euros. Mais, rien à voir avec le pic de 430 euros la tonne qui affolait les marchés en mai 2022. Soulignons, qu’il s’agit à date d’une suspension d’accord et non d’une rupture définitive. C’est une nuance importante qui ouvre, peut-être encore la porte à des négociations…ce que souhaite les professionnels de l’agriculture.

 

TRIBUNE : En juillet 2023, si les conséquences sur « les pays les plus dépendants du blé ukrainien » sont davantage inquiétantes, Marc FESNEAU (ministre de l’Agriculture) admet que le contexte pourrait engendrer un « effet rebond » en France, pouvant faire grimper les prix. Il cite en particulier l’éventualité d’une non-prolongation de l’accord céréalier ukrainien. Scénario finalement confirmé, avec l’annonce du Kremlin de son souhait de se retirer des négociations.

 

La pénurie guette à moyenne échéance…

 

Faut-il pour autant redouter des pénuries de céréales, voire des épisodes de famine ? Tout dépendra de la durée de la suspension de l’accord. Même si elles sont plus coûteuses, d’autres voies d’acheminement des céréales existent. Ensuite, l’Ukraine n’en est pas le seul fournisseur : elle était en 2021 le troisième exportateur mondial d’orge, le quatrième de maïs et le cinquième de blé. Les récoltes ayant été bonnes dans l’hémisphère nord, il suffit de pouvoir les transporter. Si on manquait de blé, ce serait plus difficile. Beaucoup de pays pourraient avoir des difficultés à supporter une augmentation des prix sur le long terme. Leurs finances ont déjà été affaiblies par la hausse brutale de l’an dernier. Le pain et tous les produits dérivés, les pâtes, industriels ou artisans, pourraient ne pas se remettre d’une deuxième vague d’augmentation des matières associées à la flambée de l’électricité !

A court terme, même si le marché se tend et les prix augmentent, il n’y a rien de dramatique. A moyen terme par contre, c’est la pénurie qui guette. D’autant plus que la production de blé ukrainien va diminuer fortement du fait du conflit. Une moindre production impactera nécessairement les prix.

 

Le jeu trouble de la spéculation

 

Les spéculateurs se comportent comme des vautours sur une carcasse ! Le blé, le soja, le maïs…sont cotés en bourse. Exactement comme le pétrole, l’aluminium, l’or ou d’autres matières premières. La plus importante bourse aux céréales au monde se trouve à Chicago, une autre à Paris. Là, des vendeurs et des acheteurs s’échangent virtuellement des milliers de tonnes de céréales. Un processus informatisé, automatisé, à partir d’instructions données à des algorithmes qui procèdent à ces échanges. Le nombre d’opérations boursières potentielles effectuées peut se calculer par microsecondes, tellement le procédé s’effectue rapidement. On appelle cela le courtage (ou trading) à haute fréquence. A Paris, la spéculation financière sur le blé se passe sur le MATIF (Marché à Terme International de France).

En effet, ces spéculateurs ne sont pas intéressés d’acheter des tonnes de blé, de maïs ou de soja. Ils sont intéressés à faire du profit à court terme en anticipant l’évolution des prix et en faisant des paris sur l’avenir. Si tous ces acteurs font un pari semblable en s’espionnant les uns les autres, en suivant, dans un comportement moutonnier, ce que les autres font, cela amène les marchés à paniquer !

Car ils se disent qu’au fond, si Goldman Sachs, si Bank of America parient à la hausse, c’est qu’il doit y avoir des raisons de voir les prix monter à l’avenir. Donc on va retarder l’écoulement des stocks. On va demander à être payé plus cher pour les ventes de nos récoltes. Et c’est là qu’une bulle spéculative se forme. Il y a alors une déconnexion entre les marchés physiques qui réagissent à l’offre, à la demande réelle dans le monde, et les marchés financiers qui eux sont régis par une logique spéculative. Ce ne sont plus des agriculteurs, des négociants, des meuniers qui s’échangent des céréales mais des banques.

 

Un petit exemple pour comprendre

 

Je suis financier et j’achète, à terme 50 tonnes de blé à échéance de décembre 2023, puis je vends des contrats virtuels sur des matières premières que je ne possède pas au cours de 280 euros (cours du jour). On note que je ne produis rien et je vends ce que je ne possède pas. Bien sûr, je ne règle rien. Sans entrer dans le détail, il faut offrir des garanties, « déposits » sur contrats… En décembre, le cours est passé à 350 euros et je vends des contrats pour 50 tonnes de blé à ce cours. Résultat : je gagne 3 500 euros ((350-280) x 50). C’est aussi simple mais à la portée uniquement de ces grands financiers qui n’ont jamais hésité à affamer les uns pour enrichir quelques autres.

« Il faut faire le bien pour mériter son bonheur, on n'y arrive pas par la spéculation et la paresse. La paresse séduit et le travail satisfait. C'est dans une conscience tranquille qu'on puise sa force. » Anne FRANK. Plus que jamais, une phrase à méditer !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils n’avaient jamais vu une telle affluence, les responsables du magasin « Bi1 » d’Auxerre. Plus de cinq cents personnes se sont agglutinés au plus près des rayons alimentaires de l’un des plus petits commerces de la GMS locale, avec l’espoir de goûter la nouvelle trouvaille sucrée de « Bille de Sucre », de découvrir la tendreté de la viande délicatement grillée devant soi ou d’apprécier des framboises très parfumées. Une Foire aux Vins fleurant bon le business qui devait aussi honorer les producteurs du cru avec un subtil bouquet de blancs, rosés, rouges et effervescents pour satisfaire le palais des VIP…

 

AUXERRE : C’est la foule des grands jours, devant les portes. Elle est protégée des rigueurs encore chaudes d’un soleil ardent, même après vingt heures, par de petits chapiteaux de toile. Au sol, un tapis rouge reçoit les pieds des invités. Tiens, tiens, peut-être un clin d’œil tout en délicatesse au « Tout Auxerre » ou presque, convié à vivre de manière intense mais raisonnée cet évènement de rentrée comme il se doit. La Foire aux Vins (6ème du nom) où politiques, institutionnels, représentants des milieux d’affaires, sportifs, culturels et associatifs du terroir doivent être vus et se faire voir ! Une animation biffée de longue date dans les agendas des puristes de l’évènement…et ils sont légion !

D’année en année, ce rendez-vous – il aura été organisé très tôt dans le calendrier pour cette édition puisque assuré le 05 septembre – constitue un lieu de convergence à privilégier pour tous celles et tous ceux qui influencent le sérail local. Tant sur les réseaux sociaux qu’en relation physique !

 

 

Cela se mérite : il faut pénétrer dans le « Saint des Saints » !

 

Kaléidoscope de tout ce qui se fait, se pense, se dit, se décide, se conteste, sur la place, la foire aux vins (astucieux prétexte marketing et commercial) fait toujours recette, plusieurs années après sa création. On l’aura observé aux alentours de 20h/20h30 où le parking de l’enseigne « Bi1 » (ex-ATAC), près de l’hôtel de police, ne pourra pas contenir toutes les automobiles devant y stationner.

L’imposante file d’attente dehors sous le soleil le prouve : il faudra bel et bien s’armer de patience avant de pouvoir espérer pénétrer dans le « Saint des Saints » de la soirée : à savoir l’antre, beaucoup trop petit en la circonstance, de ce magasin qui d’ordinaire n’accueille pas autant de clients, convergeant tous en même temps, et à la même heure vers les rayons, en l’occurrence celui des vins, allègrement garnis pour l’occasion !

 

 

On trépigne, on se bouscule, on ronchonne et on déguste !

 

Une fois à l’intérieur, on se bouscule, on se faufile, on tente de goûter un de ces nectars vantés par le petit flyer remis en main propre par le service d’accueil – très poli et plutôt pro !-, on aperçoit de loin un étal où se précipitent les plus affamés (ou les plus gourmands, selon le cas !), on joue des coudes tant bien que mal pour s’extirper d’un petit boyau entre deux ateliers de dégustation saturé, on salue la connaissance, on papote dès qu’on le peut, ça ronchonne aussi quand plus personne ne peut se mouvoir…bref, ce sont des instants de vraie vie qui nous sont proposés là par les dirigeants de la boutique qui n’en reviennent pas eux-mêmes de l’engouement suscité par un rendez-vous, au demeurant sur le papier des plus anodins tant les foires aux vins ont intégré désormais notre patrimoine consumériste automnal depuis des lustres !

 

 

Des invités ivres de bonheur de se trouver là…

 

Mais, là, c’est totalement différent ! Du jamais vu, la ruée vers l’or, le Nirvana pour celles et ceux qui ont la chance, la malice d’esprit ou le bonheur de pouvoir tout goûter et y consacrer la soirée entière ! Sans doute des professionnels de la dégustation, des esthètes des arts de vivre pour arriver en pole position sur le stand repéré de loin ! Il n’y a pas à dire : il y a des « professionnels » en la matière !

Un coucou de courtoisie à Sophie BILLON qui nous régale de plaisirs sucrés avec ses dernières créations à l’estampille de « BILLE de SUCRE » - c’est toujours aussi bon !- et hop on se glisse vers le rayonnage béni des dieux, flamboyant de dives bouteilles. Des sancerres, du montagny premier cru, des gewürztraminer, du saint-bris, du coulanges, des chiroubles, des côtes d’Auxerre, des corbières… : la gamme est plaisante, elle se découvre avec modération et moult commentaires par des invités ivres de bonheur (et cela sera amplement suffisant !) de se retrouver là.

 

 

La meilleure des campagnes promotionnelles : la dégustation !

 

Un verre d’effervescent – du Prosecco Maschio pur produit du terroir transalpin – sera remis à chaque convive à l’entrée (une larmiche afin de l’avoir un peu en bouche au palais) et que la fête commence !

« Si cela continue, il sera nécessaire d’agrandir le magasin, confie Sébastien CAMBUZAT, le responsable marketing et communication de la boutique, on n’a pas les moyens de se payer l’équivalent des campagnes publicitaires des autres enseignes de la place, mais, cela, on sait faire avec la manière ! ».

Tout juste, Sébastien ! Ce rendez-vous prisé par les VIP de la place et d’ailleurs (ceux de l’Agglomération auxerroise) se renouvellera sans problème la saison prochaine. Cette année, l’ancien gardien de but et champion du monde de l’équipe de France 1998, Lionel CHARBONNIER, était de la partie, en invité d’honneur surprise. Qui ouvrira le bal en septembre 2024 ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En marge de la conférence de presse consacrée à la rentrée des collégiens de l’Yonne ce mardi, le Conseil départemental qui possède les compétences légitimes sur le sujet explore la possibilité de créer, tôt ou tard, un campus éducatif dans la localité de Puisaye. Projet novateur pour notre territoire, celui-ci s’inspirerait de ce qui se pratique avec réussite dans l’Eure, où à Mesnil-en-Ouche, ce complexe offre un environnement propice aux études, tout en mutualisant les coûts…

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Et pourquoi pas la mutualisation ? Le plus souvent synonyme de rationalisation financière dans bien des cas. L’idée fait plus que son chemin du côté de la Puisaye, puisque les études liées à la création d’un nouveau concept expérimental en matière de concentration scolaire ont débuté. Une information qui a été donnée par le premier vice-président du Département, le maire de Pont-sur-Yonne, Grégory DORTE, lors de la conférence de presse, inhérente à la rentrée des collèges 2023.

Créer un campus éducatif dans l’agglomération de Puisaye n’a rien d’un poisson d’avril ! D’autant que le concept existe déjà et que les services du Conseil départemental de l’Yonne s’y sont penchés en l’examinant de près, dans la commune de Mesnil-en-Ouche, située dans le département de l’Eure, en Normandie.

De l’aveu même de Grégory DORTE – peut-être l’a-t-il découvert de visu lors d’un déplacement ? – cette infrastructure fonctionne très bien. De quoi s’agit-il précisément ? Du regroupement sur un même lieu (le même bâtiment aussi après qu’il ait subi des modifications usuelles) d’une école maternelle, élémentaire, primaire et…collège ! Du quatre en un, en vérité !

 

Un concept élaboré en « bonne intelligence »

 

Accueillant environ 260 élèves dont une trentaine d’internes (on peut y adosser effectivement un internat), le nouveau campus de la localité normande fait déjà office de référence dans le landerneau pédagogique hexagonal. Un projet qui a vu le jour il y a peu, ayant reçu la bénédiction urbi et orbi du Conseil départemental de l’Eure, de l’Académie de Normandie et de la commune d’accueil.

Autant dire que les mêmes ingrédients pourraient se décliner à l’avenir dans l’Yonne, si le bilan des études en cours se révélait positif à la conceptualisation du projet.

Elaboré en « bonne intelligence », la réalisation si elle voyait le jour nécessiterait une enveloppe budgétaire d’environ 8 à 10 millions d’euros pour construire et aménager ce complexe dans la localité de Puisaye. Une déclinaison qui pourrait ensuite s’exporter vers d’autres sites pédagogiques de la ruralité, à l’instar d’Ancy-le-Franc.

Ambitieux, le projet repose sur la réussite scolaire des élèves : le leitmotiv de la gouvernance départementale, assumée par son président Patrick GENDRAUD.

En filigrane, regrouper sur un seul et unique complexe pédagogique les jeunes apprenants serait également favorable à la maîtrise des coûts et à la réduction des dépenses. Le nerf de la guerre de toute institution par les temps qui courent !

Une piste qui n’est donc pas à négliger au Conseil départemental…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil