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La place de la femme dans la société a souvent été remise en cause. Aujourd’hui, elles luttent pour obtenir une réelle égalité avec les hommes. Création d’entreprises, PDG, les femmes décident. Selon l’INSEE, en 2020, c’est 39 % des nouvelles entreprises individuelles qui ont été créé par des femmes. Ces chiffres sont en évolution depuis les vingt dernières années. Mais, les corps de métiers restent, eux, assez restreint.

 

TRIBUNE : Les femmes sont plus souvent assignées à effectuer un travail administratif ou dans le domaine de l’éducation. Celles-ci sont moins représentées dans les postes à responsabilités. Elles sont souvent moins prises au sérieux que les hommes et ce, davantage dans le secteur de l’entreprenariat et de l’économie. Selon l’INSEE, « en 2017, en France, les femmes salariées du secteur privé gagnent en moyenne 16,8 % de moins que les hommes en équivalent temps plein ».[1]

 

Un changement progressif des mentalités…

 

Les femmes sont toujours aussi déterminées à obtenir l’égalité entre elles et les hommes. Elles veulent faire entendre leur voix et elles sont aidées. C’est le cas avec Elisabeth MORENO, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

En effet, elle a lancé un appel à projet afin de permettre d’aider la création de l’entreprenariat féminin. Elle l’a annoncé le 22 avril dernier lorsqu’elle a rencontré Julia CATTIN qui à seulement 34 ans est la PDG de FIMM, un concepteur et fabricant français de solutions de manutention à Joigny. La ministre déléguée y invite toutes les femmes qui souhaitent créer leur entreprise ou bien alors relancer cette dernière. La représentante de l’Etat vise pleinement une indépendance économique pour les femmes.

Celles-ci sont aussi aidées par d’autres femmes. « L-start » – La réussite au féminin[2], est une plateforme en ligne totalement dédiée à la création d’entreprise. Conçue par deux femmes, Dominique DESCAMPS et Sophie COURTIN-BERNARDO qui ont construit depuis presque trente ans, une expérience entrepreneuriale. Elles ont alors imaginé « L-Start » qui va apporter des outils pratiques, des formations, des méthodologies validées aux femmes qui veulent se lancer. Tout ceci sous la forme d’abonnement mensuel sans engagement.

63 % des femmes considèrent qu’il est plus motivant pour elles de créer leur propre entreprise plutôt qu’être salariée. Leurs motivations sont claires : « concrétiser une idée personnelle (47 %) », « donner du sens à leur vie professionnelle (46 %) » et « gagner en liberté (34 %) ».

C’est ce qu’à montrer le sondage réalisé par OpinionWay en 2020 pour France Active et BPI France.[3]

Aujourd’hui, les femmes osent. Le monde est porté par le numérique et notamment avec les réseaux sociaux. De ce fait, les femmes ont le pouvoir de se faire entendre, de véhiculer une information et d’être soutenue. Cela n’était pas forcément le cas avant l’arrivée de toutes ces technologies ; elles n’avaient pas la possibilité d’être soutenue.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4514861

[2] https://l-start.com

[3] https://www.franceactive.org/wp-content/uploads/2018/03/CP-Femmes-entrepreneurs-Etude-France-Active-Bpifrance-V7.pdf


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Renforcement du lien avec le local, endiguement de la pénurie de médecins, croissance du territoire : tel est le programme de Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription de l’Yonne, et de son assistant parlementaire, Steve CAMPAGNE. Le binôme a annoncé sa candidature aux départementales. Leurs suppléants, Eve JANOT, conseillère municipale à Serbonnes et médecin retraitée, et André PITOU, maire de Sergines, sont bien résolus à les soutenir.

 

THORIGNY-SUR-OREUSE : Sans surprise, la députée Michèle CROUZET souhaite renouveler son mandat de conseillère départementale. Mais, sans faire équipe avec Alexandre BOUCHIER.

« Au bout d’un moment, je me suis retrouvée un peu seule à porter tout ce qui se passait au niveau local… » commente-t-elle. Notamment le projet de collège à Sergines. Un manque de collaboration et de fortes divergences politiques ont mené les deux collègues à une rupture nette. Et même si la députée ne l’évoque pas, c’est, sans doute, sans compter l’affaire de diffamation qui oppose à l’heure actuelle le maire de Saint-Denis-les-Sens et Clarisse QUENTIN à son collaborateur Steve CAMPAGNE.

Ce dernier, au caractère bien trempé et empli d’espoir, aspire à rétablir une politique sous sa forme noble, sans démagogie. Il a d’ailleurs rapidement montré les dents en prévention de propos invalidant sa candidature. L’assistant parlementaire donne également le ton de sa campagne, dite de « propositions », par un éloge continuel de Michèle CROUZET et en rhabillant au passage ses opposants pour l’hiver, notamment Julien ODOUL, le chef de file du Rassemblement National.

Plus de jeunes dans le paysage politique du département : c’est un autre mot d’ordre de Steve CAMPAGNE qui s’inquiète fortement de la moyenne d’âge très élevée des élus.  « Comment peut-on être attractif si les gens ne s’identifient pas à ceux qui nous représentent ? » s’interroge-t-il. Le candidat compte bien inverser la tendance. Nos anciens n’ont donc qu’à bien se tenir !

 

 

Rajeunir les représentants de l'hémicycle : un vrai leitmotiv…

 

Il faut néanmoins reconnaître que moins de la moitié des jeunes comptent voter aux élections de 2022 et parmi eux, 21 % pencheraient pour Marine LE PEN. « Cette classe-là est particulièrement touchée par la désillusion vis-à-vis de toutes les formations de droite comme de gauche qui se sont succédées au pouvoir » selon le politologue Jean-Yves CAMUS.

En dépit de sa fougue, l’ambassadeur d’une politique clarifiée n’en oublie pas pour autant ses autres compagnons de route qui souhaitent maintenir un travail d’équipe au-delà des élections. Steve CAMPAGNE aura donc l’occasion de mettre en pratique des principes qui lui sont chers, a priori : la loyauté et la cohésion d’équipe.

Médecin généraliste, Eve JANOT dit avoir souhaité faire partie de cette équipe en raison de son dynamisme et de son efficacité. Elle lui offre généreusement son expertise médicale. Ses préoccupations portent surtout sur la santé, à travers divers thèmes tels que l’écologie ou encore le phénomène de désertification médicale. « J’ai exercé à Saint-Denis-lès-Sens et je me suis rendue compte qu’il y avait un gros problème de pénurie de médecins traitants. Du coup, on voyait des pathologies que je n’avais jamais vues auparavant » témoigne-t-elle.

« Le territoire, c’est ce qui m’anime. Il a une vraie valeur. Il a besoin d’être porté et d’être défendu » confie André PITOU, maire de Sergines et président du SIVOM. L’élu souhaite apporter sa connaissance et son expérience du terrain à l’équipe afin de développer le nord de l’Yonne. A commencer par le projet de collège de Sergines dont il est un fervent défenseur. Par ailleurs, il en profite pour dénoncer des inégalités de traitement entre les communes par le département et des choix dont l’intérêt purement politique empêche son aboutissement.

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Ce n’est pas encore le Nirvana propice aux grandes embrassades. Mais, à défaut de grives, on se contentera des merles comme le précise l’adage. Alors que le variant à l’origine britannique monopolise toutes les attentions des spécialistes du fait de sa large présence sur notre territoire (près de 90 % des cas de contamination), le nombre de personnes admises dans les centres hospitaliers de l’Yonne décroit légèrement. Enfin, le reflux ?

 

AUXERRE: Tiendrait-on enfin le bon bout, cette fois-ci, dans la gestion de la crise sanitaire à l’aune de la sacro-sainte période estivale, synonyme de départs en vacances et de retrouvailles festives jusqu’à plus soif ? On ne peut que l’espérer !

Ou du moins y croire un peu plus après l’intervention passionnante de la déléguée de l’Agence régionale de Santé (ARS) pour l’Yonne, Eve ROBERT. Invitée à venir s’exprimer lors de la conférence de presse ce lundi 03 mai tenue dans les salons de la préfecture, la jeune femme a présenté un tableau optimiste, à défaut d’être idyllique, du contexte sanitaire qui préoccupe les esprits depuis plus d’un an.

Un mot prononcé par la représentante de l’agence régionale aura résumé tout l’intérêt de cet exercice oratoire faisant office de repère : « embellie » ! Les signes avant-coureurs de ce nouvel état de fait ne se contentent pas d’être signalés, ils se corroborent à travers les exemples chiffrés qui ont parsemé ces explications.

Primo, le taux d’incidence pour cent mille habitants d’ordinaire très élevé dans notre département est de 166 à date. Seuls trois départements de la couronne francilienne (Val-de-Marne, Val d’Oise et Seine-Saint-Denis) dépassent encore allègrement le taux d’incidence, soit 400 !

Secundo : le nombre de personnes hospitalisées dans les établissements de soins icaunais régresse. Elles ne sont plus que 228 à recourir aux soins pour se sortir de cette mauvaise passe. Confirmant ainsi ce mouvement de décrue, certes sensible, mais qui redonne espoir.

 

Un recul moins progressif dans l’Yonne qu’ailleurs…

 

Toutefois, Eve ROBERT n’aura pas manqué d’insister sur le fait que l’épidémie recule moins vite dans l’Yonne que dans d’autres territoires de l’Hexagone. Cependant, la progression rapide du nombre de décès constaté en si peu de temps relativise l’ensemble de ces informations moins pessimistes. Pour mémoire, 539 décès viennent ternir le bilan de cette crise depuis ses débuts.

Si près de 1 800 personnes se soumettent volontiers à un test quotidien dans l’Yonne, précisons que le taux de positivé demeure à la hausse, affichant 10 % des cas enregistrés.

Côté réanimation, la situation reste tendue. Surtout dans le Sénonais, zone plus affectée que d’autres secteurs du département. Au total, vingt personnes y sont traitées avec moult précautions par les services hospitaliers.

Quant à l’origine du coronavirus qui circule dans le nord de la Bourgogne, elle est très majoritairement issue de sa variante britannique (une dominante à 90 %). Les souches originaires du Brésil et d’Afrique du Sud ne représentent que 3,4 % des cas, bien inférieures à ce que les scientifiques observent sur l’ensemble du territoire national.

 

Thierry BRET

 


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D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos  lendemains économiques.

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.

À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.

Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]

Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.

Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.

Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.

 

 

 

La crise sanitaire met la France à l’épreuve...

 

Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.

La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.

La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.

Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.

Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.

Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.

Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]

Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».

C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055

[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361

[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984

[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12

[5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3578202


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Circonspects, les élus de l’opposition d’Auxerre ? Pour certains d’entre eux, c’est presque un doux euphémisme que de le dire ! Surtout après le rassemblement organisé ce lundi 26 avril en mémoire de la policière assassinée au commissariat de Rambouillet. Leur absence fut remarquée. Logique, rétorquent-ils : ils n’avaient reçu ni invitation ni courriel leur proposant de s’y rendre !  

 

AUXERRE: Ils sont très irrités, les élus de l’opposition de la Ville d’Auxerre. A ne pas prendre avec des pincettes, compte tenu d’un énième épisode supposé politicien qu’ils déplorent et dont ils ciblent volontiers le principal responsable, c’est-à-dire l’édile de la municipalité en personne.

En particulier trois d’entre eux qui arborent les couleurs du groupe « L’Assurance d’une transition sereine » : Maud NAVARRE, Farah ZIANI et Rémi MELINE.

Eux qui auraient voulu afficher leur unité républicaine en participant bien au-delà des clivages politiques à la cérémonie du souvenir qui évoquait la mémoire de la malheureuse fonctionnaire de police, assassinée il y a quelques jours dans les Yvelines.

Oui mais, voilà, l’opération organisée le 26 avril sur le parvis du commissariat de police s’est déroulée à leur insu. Sans qu’ils ne reçoivent la moindre invitation sur papier, ni un simple e-mail sur leur messagerie leur indiquant la date, le lieu et l’horaire de ce rendez-vous commémoratif.

« C’est un comportement de la part de Crescent MARAULT qui est pour le moins déstabilisant, pour ne pas dire plus… ».

Sauf que dans le cas présent, la municipalité n’y était pour rien ! Car, non organisatrice de ce rassemblement inopiné. Qui émanait uniquement des seuls syndicats de police. Ces derniers répondaient ainsi à un appel de mobilisation lancé au niveau national, largement diffusé via les réseaux sociaux et la sphère médiatique.

Toutefois, les trois signataires du communiqué de presse qui a fait le tour des rédactions départementales insistent en se disant peu surpris par cet état de fait par ailleurs. Car, le 25 avril, il y eut déjà un précédent.

 

 

Le lien républicain est mis à mal…

 

Les élus de l’opposition n’étaient pas présents à la journée de commémoration consacrée aux victimes de la déportation. Ce fut du même acabit le 19 mars dernier lors de l’évènement rappelant le terme de la guerre d’Algérie.

La raison de ces absences répétitives ? La Ville  ne convierait pas ses élus d’opposition d’après les représentants de « L’Assurance d’une transition sereine » !

Selon ces derniers, « c’est une attitude pour le moins curieuse qui contribue à affaiblir le lien républicain d’usage, unissant toutes les forces politiques en place lors d’évènements patriotiques ou mémoriels ».

Bref, y aurait-il de la part de la Ville une volonté de boycott orchestré de manière systématique ? Ou ne serait-ce que l’application stricto sensu des règles de confinement instaurées par la préfecture, qui autorise in fine que peu de personnes à se réunir même à l’extérieur ?

Voire un épisode, plus politicien celui-là, en concordance avec la campagne électorale qui débute ?

Une chose est sûre manifestement : les syndicats de police, organisateurs dudit évènement qui fait controverse dans le landerneau auxerrois depuis quelques jours, ont omis, il est vrai, de respecter les sacro-saints rituels imposés par le protocole républicain. Inviter tout le monde !

Mais, à leur décharge, la conception d’un recueillement dans l’urgence émotionnelle fait parfois oublier les principes cérémoniaux habituels.

D’autant que la douleur de perdre l’une des leurs dans des circonstances aussi funestes demeure bien vivace parmi ces esprits éplorés. Peut-être un peu trop enclins au vue de ces faits tragiques d'omettre les pratiques usuelles…

 

Thierry BRET

 

 


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