La structure prône le made in Yonne. Normal, elle s’appuie à date sur une vingtaine de négociateurs répartis dans cinq agences positionnées au cœur de l’Yonne et à Auxerre, sa capitale. Il faut croire que l’année qui s’achève lui aura réussi à bien des égards : le groupe 123 Immobilier termine 2025 sur une très bonne note en termes de résultat ; note excellente que lui attribue également sa clientèle sur les indicateurs de satisfaction…
AUXERRE: Il suit leur progression au pied de la lettre, Baptiste CHAPUIS, le dirigeant du groupe 123 Immobilier. Les chiffres ! Mais pas n’importe lesquels ! Ceux fournis par les indicateurs de satisfaction, publiés régulièrement sur les réseaux digitaux. 2025 sera d’ailleurs synonyme de « très bonne note » pour la structure icaunaise qui a su tisser patiemment sa toile au centre de l’Yonne pour devenir désormais l’un des incontournables du secteur sur le territoire.
Des notes qui traduisent l’appréciation de la clientèle lorsqu’elle franchit l’un des cinq pas de porte de ce groupe. Dans les faits, sur 500 avis, 490 sont revenus positifs ! Du 19,6 sur 20, en résumé ce qui aurait permis au dirigeant du groupe d’obtenir un baccalauréat avec mention très bien s’il était encore en âge de fréquenter les bancs du lycée ! Mais, à 40 ans, Baptiste CHAPUIS pense à toute autre chose que d’ajouter un diplôme dans sa besace de chef d’entreprise.
D’ailleurs, le rappelle-t-il bien volontiers, ces notes et commentaires qui éclosent sur les réseaux sociaux ruissellent sur l’ensemble des collaborateurs. Un gage de leur dynamisme, enthousiasme et volonté d’accompagner leurs clients jusqu’au bout de la moindre transaction !
On le sait 70 % des gens intéressés par l’immobilier passent par une agence professionnelle. D’où la nécessité de pouvoir les aider du mieux possible pour trouver chaussure à leurs pieds : tant dans la location que dans l’acquisition d’un bien. Chez 123 Immobilier, le travail de négociation reste très développé malgré la conjoncture. Surtout depuis le mois de septembre, un record qui s’est visiblement traduit par davantage de ventes de biens. Cela provoque un impact immédiat sur l’aspect emploi : le groupe est à l’heure actuelle à la recherche de nouveaux collaborateurs, des négociateurs indépendants, qui viendraient grossir le pool de professionnels qui interviennent sur Auxerre et à Appoigny. Qu’on se le dise !
Thierry BRET
En présence de Julien ODOUL, député de la troisième circonscription de l’Yonne, Ludovic MASSARD a annoncé sa candidature à la mairie de Sens pour les élections municipales 2026, avec le soutien du Rassemblement National et de l’Union des Droites pour la République, une formation dirigée par Eric CIOTTI.
SENS : Remettre de l’ordre à Sens : c’est son credo ! Le conseiller communautaire et de la capitale septentrionale de l’Yonne entend bien prendre ses marques dans la campagne des municipales 2026 qui commence à prendre tournure depuis quelques semaines, au niveau des actes de candidature. Accompagné du parlementaire Julien ODOUL lors d’un exercice oratoire avec la presse, ce lundi, le candidat déclaré s’est ainsi expliqué sur ses intentions.
« Au contact de tous les Sénonais depuis des années, j’ai pu mesurer la dégradation de notre sécurité au quotidien, les inquiétudes, les peurs. Aucun parti, aucun gouvernement, aucune majorité n’a su apporter de réponses courageuses à nos concitoyens. Il est temps d’agir concrètement pour les Sénonais : renforcement de la police municipale, sanction contre les délinquants et leurs familles, tolérance zéro, lutte contre le clientélisme et le communautarisme... ».
On l’aura compris à la lecture de ces propos qui résument sa feuille de route : Ludovic MASSARD ne vas pas s’endormir en chemin sur le dossier toujours épineux de l’insécurité sur le nord du département.
« L’insécurité explose, les trafics gangrènent nos quartiers, les violences s’installent dans notre quotidien : il faut rétablir l’ordre et garantir la sécurité et la protection des Sénonais ! ».
Ludovic MASSARD réclame l’alternance dans sa ville de prédilection. Une alternance qu’il est prêt à incarner avec détermination, se plaît-il à répéter. Y compris sur les réseaux sociaux. Sera-t-il suivi sur cette voie par les électeurs ? Réponse en mars 2026 !
Thierry BRET
Certains veulent aller voir Vesoul (dixit l’éternel Jacques BREL !) et d’autres veulent voir Auxerre ! Et quand ils viennent dans la capitale de l’Yonne, bien sûr, ils ne peuvent faire autrement que de visiter le fleuron emblématique de la cité de Paul Bert, l’AJA ! C’est ce que vient de vivre il y a quelques jours le président national de la puissante Fédération Française du Bâtiment, Olivier SALLERON, qui comme un « gamin » n’a pas hésité à poser aux côtés de l’une de ses idoles footballistiques de toujours, l’inamovible Guy ROUX !
AUXERRE : Il est heureux comme un gosse et cela se voit, il n’y a pas de doute ! Le maillot blanc et bleu floqué à son patronyme, Olivier SALLERON, président de la Fédération Française du Bâtiment repartira de son court déplacement dans l’Yonne avec le précieux vêtement qu’il pourra conserver dans une vitrine de bibliothèque, entre une grue et une bétonnière miniatures !
D’ailleurs, l’organisateur de cette visite, le président de la FFB de l’Yonne Cyril CHARETIE, n’a pas eu de mal à convaincre Baptiste MALHERBE, président du club de football du cru, d’ouvrir grandes les portes de l’espace « 1905 » au stade de l’Abbé Deschamps à l’occasion de ce déplacement plus que de courtoisie effectué par le numéro un du puissant syndicat patronal.
Nombreux étaient les acteurs de la vie institutionnelle, économique et politique à s’être mobilisé pour cette manifestation, à la grande satisfaction de Cyril CHARETIE, permettant de réunir tous les présidents à l’estampille FFB des huit départements de Bourgogne Franche-Comté.
D’ailleurs, avant les agapes officiels et la convivialité qui allait de pair, les participants à ce rendez-vous eurent droit à des échanges nourris et constructifs autour d’une thématique évidente : la situation du bâtiment dans le département de l’Yonne.
On notera à ce titre la présence de plusieurs parlementaires, la sénatrice Dominique VERIEN et la députée Sophie-Laurence ROY. Bon nombre d’édiles et de responsables d’EPCI n’auraient voulu manquer sous aucun prétexte cette rencontre matinale. A l’instar du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, arborant un costume beige du plus bel effet, pochette rose assortie.
« Nous devons jouer collectif dans l’intérêt du territoire ! »
Lors de sa prise de parole, Cyril CHARETIE en profita pour rappeler à l’auditoire qu’il serait judicieux de « jouer collectif au niveau de notre territoire ». Par ces mots, ils visaient plus particulièrement les donneurs d’ordre, les décideurs et les entreprises. Un clin d’œil manifeste envers la commande publique. « Ce n’est pas toujours le cas, devait-il renchérir, il faudrait que tout cela soit un plus réfléchi et travaillé, car nous autres, à la tête de nos entreprises, nous sommes des créateurs de richesse et de l’emploi. Quant à vous, les donneurs d’ordre, faites en sorte d’appuyer sur le bouton pour que nous soyons les moteurs de l’économie… ».
Une excellente entrée en la matière avant qu’Olivier SALLERON ne lui emboîte le pas, micro en main. Confirmant que les travaux du matin avaient été de bonne facture, le président de la FFB, originaire de la Nouvelle Aquitaine, n’eut pas de mal à captiver l’assistance.
« Je savais qu’il y avait une surprise sportive qui m’attendait dans l’Yonne, plaisanta l’intervenant, et je salue la présence de Guy ROUX. On a parlé d’économie, de bâtiment et de paysage. Et de formation !... ».

Une vraie émotion aux côtés de Guy ROUX !
Se remémorant la bicyclette réalisée par l’ex-international Lilian LASLANDES (un but qui fut refusé dans une compétition européenne face à Dortmund), Olivier SALLERON s’enthousiasma alors à l’idée d’avoir pu échanger avec le grand homme du football qu’est et restera l’éternel Guy ROUX !
« La force de la FFB c’est qu’elle montre son rayonnement partout sur tous les départements y compris dans les territoires ultra-marins. C’est la première fois que je suis aux côtés de Guy ROUX et je suis un peu ému ! ».
Des mots qui firent plaisir à l’intéressé. Avant que Baptiste MALHERBE ne dit quelques phrases en présentant les projets 2026 du club.
« Un projet d’agrandissement de nos tribunes qui va permettre de donner du travail pendant quatorze mois à une vingtaine d’entreprises locales, un projet de 16 millions d’euros d’investissement : on veut jouer collectif au profit de notre territoire… ».
Puis, Baptiste MALHERBE, accompagné de Guy ROUX, s’avancèrent vers le président de la FFB pour lui offrir ce fameux maillot floqué à son nom. Un Olivier SALLERON heureux qui n’oubliera pas de sitôt son déplacement en terre icaunaise, dans le saint des saints que représente l’AJA !
Thierry BRET

Disparue il y a cinq ans, Juliette GRECO nous revient par le miracle de l’incarnation orale et scénique de la chanteuse et autrice française, Pascale NEUVIC, le 24 janvier prochain, de passage à Courtenay (Loiret), au Pôle Culturel et associatif local. Accompagnée de son fidèle instrumentiste François MARNIER au piano et à l’accordéon, les amoureux de la grande dame qui demandait à être « déshabillée » par le public lors de l’interprétation de l’un de ses grands classiques, ne pourront que se réjouir devant la qualité d’un tel spectacle, empreint d’émotion, de souvenirs et de nostalgie. La plus-value artistique en sus !
COURTENAY (Loiret) : C’est à noter sur l’agenda 2026 ! Au mois de janvier, précisément, à la date du samedi 24 ! Un jour peu ordinaire pour les aficionados de la grande Juliette GRECO – ils sont encore légion dans l’Hexagone à découvrir et à redécouvrir l’œuvre considérable laissée par cette muse de la chanson française dite à texte – qui ne se priveront pas de se rendre de l’autre côté de la frontière, formée avec le Loiret, aux environs de Courtenay, pour vibrer en agréable compagnie avec la talentueuse Pascale NEUVIC.
La raison d’être de ce spectacle itinérant dans l’Hexagone depuis 2021 est simple : une envie commune à la base.
« Avec François MARNIER (pianiste et accordéoniste), nous avions envie de mettre en avant les textes forts des chansons de Juliette GRECO, confie l’artiste, puis, en lisant sa biographie, je me suis aperçue que la première partie de sa vie était souvent en résonance avec les textes que lui avaient écrit les plus grands auteurs et poètes. Cela m’a conforté dans l’idée d’écrire ce spectacle en suivant un fil rouge qui narre comment Juliette est devenue GRECO. Ponctué d’archives sonores et de chansons qui font écho avec sa vie, ce spectacle nous emmène sur les pas de Juliette dans ce Paris d’après-guerre où tout semblait possible… ».
Le choix d’une mise en scène simple et épurée permet de se focaliser sur la musique, et l’intensité des textes dont on ne peut que s’imprégner avec délectation.
Du chant lyrique – ce fut ses débuts bien avant 2012 où elle se lança en complément avec la chanson française – en passant par la pop (le groupe LUNATIK en 2016), Pascale NEUVIC est passionnée par ces femmes qui ont défié leur époque, qui ont joué un rôle dans la liberté des futures générations. Quelles soient musiciennes, actrices, romancières, femmes politiques…toutes ont participé à faire naître en elle une intime conviction, un besoin vital : être libre. Un sentiment qui habitait profondément la « dame en noir », immortalisée jadis sur la pellicule dans le feuilleton « Belphégor » ! La muse de Saint-Germain-des-Prés sera de retour grâce à la sensibilité et la voix de Pascale NEUVIC, toute en pudeur et délicatesse lors de son récital…

En savoir plus :
« De Juliette à Gréco ou l’itinéraire d’une femme libre », spectacle de Pascale NEUVIC, chant et de François MARNIER (piano, accordéon) au Pôle culturel et associatif de Courtenay (Loiret) le 24 janvier 2026 à 20h30.
Réservation :
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou tel : 06.82.95.08.65.
Thierry BRET
On appelle cela des « lockers ». Un terme anglicisant qui désigne plus communément un casier dit intelligent, servant de consigne de retrait automatique pour les consommateurs. Cà et là, ils fleurissent un peu partout dans les villes et métropoles de l’Hexagone. Naturellement, l’Yonne ne déroge pas à la règle de cet hyper-modernisme technologique dans le développement des services et en est pourvue dans ses villes importantes, comme la capitale départementale Auxerre, mais aussi dans des agglomérations un peu moins peuplées, à l’instar de Toucy ou de Charny-Orée-en-Puisaye.
A l’intérieur desdits casiers, le consommateur peut récupérer à sa guise et moyennant un code d’accès ses colis le plus souvent adressés par les grands acteurs du commerce numérique. Des multinationales ayant pignon sur rue depuis plusieurs années, qu’elles soient américaines ou chinoises, soit dit en passant. Des multinationales qui ne paient peu ou prou pas d’impôts sur le sol tricolore ou si peu, qui inondent le marché hexagonal et européen de produits très peu onéreux à la qualité parfois plus que douteuse, des produits dont raffolent désormais les consommateurs du cru, délaissant de fait les valeureux défenseurs du made in France. C’est-à-dire nos commerces et artisans de proximité dont beaucoup déposeront le bilan dès les premiers jours de janvier 2026. Plus de 70 000 entreprises à l’échelle du pays sont déjà concernés ; et cette hémorragie ne semble pas prête à se résorber, de l’avis des esthètes en la matière…
Un « Black Friday » qui tombe à pic !
Et voilà que ce sacro-saint « Black Friday », nouvelle hérésie commerciale qui nous arrive des Etats-Unis depuis quelques années, en remet une couche cette semaine ! Avec ses prix relevés à la hausse quelques jours avant la date fatidique (évidemment !) et les arnaques habituelles qui vont de pair où bon nombre de « gogos » se font berner en croyant réaliser l’affaire du siècle ! Ah, ces modes populaires importées des States et dont semblent se nourrir à satiété les Européens sans réagir : on pourrait les évoquer des heures durant ! Il serait bon aussi d’en voir le revers à la médaille avec la hausse mirobolante des droits de douane et le nouveau diktat économique imposé par l’administration TRUMP qui nous place, nous autres Européens, si faibles, si crédules et si dépendants, dans une position intenable dans la durée...
Pas étonnant alors que des collectifs comme « Extinction Rébellion » et nonobstant toute idéologie politique quelconque, semblent vouloir tirer la sonnette d’alarme à grands renforts de coups de communication pour tenter réveiller des consciences de plus en plus amorphes dans le pays du coq ! Vendredi, jour de ce « Black Friday » insupportable et très incitatif aux dépenses parfois inutiles, une action de sensibilisation a été menée précisément sur ces fameux casiers recevant les colis, situés à Charny-Orée-de-Puisaye, Toucy et Auxerre.
Cette action consistait à poser des affiches sur ces casiers afin d’y dénoncer l'évasion fiscale de ces multinationales qui inondent de leurs produits à bas prix le territoire en attirant ainsi l'attention du public sur les pratiques dites d’optimisation fiscales de ces entreprises et sur les conséquences sociales et écologiques de ces stratégies.
Des sociétés ne payant pas leurs impôts en France !
Dans un communiqué, le collectif précise la chose suivante : « Chaque année, selon de nombreuses organisations, les multinationales recourent à des montages juridiques complexes leur permettant de réduire drastiquement leur contribution fiscale. Ces pratiques représentent des dizaines de milliards d’euros qui manquent au financement des écoles, hôpitaux, crèches, transports publics, ainsi qu’aux investissements nécessaires pour faire face à l’urgence climatique… ».
Des sociétés, qui selon une étude publiée de 2019, dissimuleraient une part importante de leurs chiffres d’affaires réalisés en France, facilitant un transfert de profits vers l’étranger. Des sociétés régulièrement pointées du doigt pour avoir payé zéro euro d’impôt sur leurs activités dans l’Union européenne en 2020 et 2021 !
Et pendant ce temps-là, notre gouvernance exige des Français, actifs et retraités, urbains et ruraux, qu’ils mettent davantage la main au gousset dans un souci collectif d’effort fiscal citoyen afin de combler les trous abyssaux des dépenses publiques de l’Etat !
Il est grand temps de ne plus croire au Père Noël ! Et de cesser de soutenir ces opérations de surconsommation sans borne et contre-productive aux inspirations d’Outre-Atlantique au détriment des activités commerçantes et artisanales de proximité…Et de nos terroirs que l’on aime tant.
Thierry BRET