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Le message est bref. Court, à la limite du lapidaire mais suffisant. Quelques mots, simples, qui sont ainsi adressés aux adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME). Ils transitent par l’application « WhatsApp ». C’est direct et rapide. Quelques jours seulement après l’assemblée générale statutaire de l’organisation patronale qui fédère TPE et PME de l’Yonne, le président actuel, Baptiste CLERIN, rend donc son tablier. Une décision mûrement réfléchie, visiblement…et définitive.

 

AUXERRE ; Sans doute, a-t-il soupesé longuement chaque mot avant de les coucher de manière définitive sur son téléphone portable. Via une application qui permet ensuite de les envoyer à un groupe de contacts préférentiels. Celles et ceux de la CPME de l’Yonne, l’organisation patronale qui représente et défend les intérêts des petites et moyennes entreprises du département.

Des mots simples, clairs, compréhensibles de tous, non dénués d’ambiguïté. Des mots destinés à la centaine d’adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne, balancés dans les tuyaux numériques jeudi soir, aux alentours de 20 heures. Des mots au caractère surprenant puisque porteurs d’un message fort et décisif, la démission du président de l’organisme.

Huit jours auparavant, Baptiste CLERIN animait dans l’un des salons de la société Le Borvo à Chemilly-sur-Yonne l’assemblée générale ordinaire de la structure patronale. Ce sera sa dernière apparition officielle dans les habits présidentiels. Même si le garçon demeure au sein du bureau, en qualité de vice-président en charge de l’artisanat, afin, l’explique-t-il sommairement, « pour épauler les membres du bureau, du conseil d’administration et de tous les adhérents ».

Parmi les arguments avancés par Baptiste CLERIN, justifiant son choix, on retiendra cette formule, profonde et personnelle ; « cette décision de démissionner de mon poste de président de la CPME 89, je l’ai prise pour ma famille, pour le bien de celle-ci et pour mes activités… ».

Puis, de conclure, « je sais avoir fait au mieux pour les adhérents et surtout pour la CPME de l’Yonne ». Une ultime explication de texte avant d’envoyer le message par le canal digital.

La suite ? On la découvrira d’ici quelques jours, sans doute. Plusieurs noms de successeurs circulent déjà dans les soupentes du bateau CPME Yonne. Une chose est sûre et certaine, la vacance ne pourra durer très longtemps. La vie économique n’attend pas…

Thierry BRET

 

 


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Elles ne sont pourtant que dans deux ans, les prochaines élections municipales. Et néanmoins, ça se bouscule déjà au portillon ou plutôt sur le parvis de l’Hôtel de Ville avec un embouteillage de potentiels candidats, déclarés, supposés ou non ! A croire que la place est bonne et que c’est la totale plénitude pour administrer et gérer une ville, telle la capitale de l’Yonne ! En cette année olympique, une seule phrase retient notre attention : « à vos marques ? Prêts… partez ! ».

 

Lundi   

En référence à l’attentat qui eut lieu ce jour-là en 2004 en gare de Madrid-Attocha, faisant près de 200 victimes et plus de 1 800 blessés, le 11 mars est devenu depuis 2019, Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme, à travers toute l’Union européenne. L’hommage rendu à Auxerre, en présence des corps constitués et devant un public clairsemé, s’est conclu tout naturellement par un salut aux porte-drapeaux, des autorités et personnalités présentes, mais au son d’une musique pour le moins surprenante, à savoir, « La Mer » de Charles TRENET ! Bien sûr, c’est toujours mieux que « La Danse des canards », mais l’on peut s’interroger sur l’opportunité d’évoquer « Golfes clairs et reflets d’argent…» en pareille circonstance ! A moins que dans un raisonnement aux accents syllogistiques, les organisateurs aient considéré que le dessinateur CABU, assassiné en janvier 2015 dans l’attentat de « Charlie-Hebdo » vouant une admiration sans borne au « Fou chantant », celui-ci deviendrait troubadour officiel de ladite cérémonie… CQFD !

 

 

Mardi   

« Charlie-Hebdo », toujours… L’une de ses anciennes comparses, Corinne REY, dite « Coco », aujourd’hui dessinatrice de presse au journal « Libération », est victime d’une cabale sur les réseaux sociaux, menaces de mort à l’appui. Son crime ? Avoir fait paraître un dessin évoquant à la fois Gaza et le ramadan, où un habitant famélique tente d’attraper un rat pour se nourrir, avec cette légende, « Pas avant le coucher du soleil »… Un dessin que tout défenseur de la presse satirique aura interprété comme dénonciation multiple de la famine régnant à Gaza, du désespoir des Palestiniens et aussi, de l’absurdité de la religion. Mais les esprits fondamentalistes de tous bords en ont décidé autrement, débordant d’imagination dans leurs messages de haine, « Ils auraient dû te liquider le 07 janvier »… Et dire que trois députés LFI se sont crus obligés de se joindre aux attaques contre Coco, dans l’incapacité de rire de tout faute d’en pleurer. Elle est pire que le terrorisme et fait chaque jour un peu plus de victimes… Longue vie à la connerie !    

 

 

 

Mercredi

Le feuilleton « Aya NAKAMURA » n’en finit pas d’alimenter gazettes et réseaux sociaux. Toujours pas fan, mais de plus en plus révulsé par les bassesses verbales et attaques racistes auxquelles se prêtent les nostalgiques de la « blanchitude » et de la « France éternelle » aux accents d’accordéon. Ils seront sans nul doute ravis d’apprendre qu’Edith PIAF, élevée par leurs délires au rang d’icône nationale intouchable, avait pour grand-mère maternelle, une personne née de l’autre côté de la Méditerranée, qui, avait pour patronyme Emma Saïd Ben MOHAMMED et pour nom de scène « Aïcha », dont le propre père était un berbère né à Mogador, aujourd’hui Essaouira, au Maroc… Comme quoi même la « Môme Piaf » ne descendait pas directement de Vercingétorix et de Jeanne d’Arc !     

 

Jeudi 

Les prochaines élections municipales sont dans un peu plus de deux ans, mais le bal des prétendants est ouvert, avec déjà du monde sur la piste ! Après la démission de Pascal HENRIAT(MoDem) de la vice-présidence de la collectivité auxerroise et de sa fonction d’adjoint au conseil municipal, suivie de celle de l’élu d’opposition Rémi PROU-MELINE (Place publique), c’est au tour de Mathieu DEBAIN (Territoires de Progrès), de se préparer à la bataille en créant l’association « Demain les Auxerrois », dont le nom est déjà à lui seul tout un programme ! On apprend beaucoup des erreurs du passé et l’on se grandit à ne pas les répéter. Est-il nécessaire de rappeler qu’au second tour des municipales de 2020, c’est par le biais d’une triangulaire que l’actuel maire d’Auxerre fut élu… Faut-il s’attendre à un scénario de ce type dans deux ans, tributaire des égos de chacun… ? 

 

Vendredi

La poliomyélite… Une maladie aujourd’hui oubliée, mais qui fit des ravages dans les années d’après-guerre, suscitant angoisses et terreurs chez tous les parents, au moindre signe de céphalée ou de raideur de la nuque de leurs progénitures. Dans les années 80, la maladie touchait encore chaque année plusieurs centaines de milliers d'enfants à travers le monde. La mort cette semaine à l’âge de 78 ans, de Paul ALEXANDER, un Américain prisonnier d’un poumon d’acier depuis l’âge de six ans, seul moyen de survivre face à la paralysie irréversible de ses muscles respiratoires, record du monde en la matière, est là pour rappeler combien le vaccin découvert au milieu des années 50 a pu sauver d’existences. Qu’en pensent les adeptes de la pensée complotiste, « anti vaccins », « anti Macron », « anti tout », se réunissant chaque samedi en haut de la rue du Temple à Auxerre ?         

 

Samedi

« Bière qui mousse amasse la foule » ! Pour la troisième année consécutive, le saint patron de l’Irlande et à travers lui toute la Celtie, ont été fêtés de belle manière à Auxerre, en cette veille de la Saint-Patrick. Si l’incertitude demeure sur le passage à Auxerre du saint patron de l’Irlande, pour y rencontrer Saint-Germain, son retour chaque année est désormais acté et bien installé dans le calendrier des festivités auxerroises… « Allez les verres » ! 

 

 

Dimanche

Aujourd’hui 17 mars, débutait il y a quatre ans le premier confinement pour tenter de contrer la pandémie de coronavirus. La veille, dans une allocution télévisée restée dans les mémoires Emmanuel MACRON évoquait un pays en « guerre sanitaire ». Une guerre qui fit chez nous près de 35 000 morts. Prévu durer deux semaines, ce premier confinement inédit ne prit fin que le 11 mai au matin, soit après 55 jours. L’époque des gestes barrières, des consignes sanitaires, d’une population retranchée, des restaurants, crèches et lieux d’enseignement fermés, de la fin des embrassades, des premiers applaudissements des professions médicales sur les balcons des immeubles, du travail à distance, des masques et du gel hydroalcoolique introuvables… C’était hier, c’était demain…     

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Autant l'avouer tout de go, le show des étoiles Michelin a toujours un côté, un brin émouvant : les larmes des promus (surtout lorsqu'ils sont jeunes), leur joie sincère. Tout cela fait plaisir à voir ! On les félicite sincèrement ! En vedette américaine des présentatrices, mention spéciale pour Louise PETITRENAUD, digne fille de son père. Souriante et à l'aise, elle nous mit en appétit, quant au palmarès.

 

TOURS (Indre-et-Loire) : En 2024, cinq « Bibs gourmands » sont venus enrichir la Bourgogne : deux en Côte d'Or, deux en Saône-et-Loire et un dans l'Yonne (« Le Martin Bel Air » à Saint-Martin-du-Tertre). Hélas, côté nouvelles étoiles, c'est le néant absolu. On peut penser que désormais, le Michelin a quelque peu délaissé les vicinales bourguignonnes au profit du TGV qui passe dans bon nombre de localités, promues désormais.

En Bourgogne, celles de l'ouest sans TGV (Nièvre et Yonne) sont donc moins bien loties que Côte d'Or et Saône-et-Loire, desservies par le train rapide. Mention spéciale pour l'attachante Nièvre, anormalement exclue des étoilés et autres Bibs. Ce ne fut pas toujours le cas, autrefois.

 

Une intervention de Dominique VERIEN, en vain…

 

Dans l'Yonne (Michelin 2004), il y avait huit tables étoilées et six « Bibs gourmands ». En 2024 ne demeurent plus que trois tables étoilées (« La Côte Saint-Jacques » à Joigny, « La Madeleine » à Sens qui célèbre un quart de siècle en qualité d’étoilé ainsi que « Le Château du Vault-de-Lugny », du sympathique et talentueux chef mauricien Franco BOWANEE) auxquelles il faut ajouter trois tables référencées, « Bibs Gourmands ».

On peut dire en la matière que la marée est basse, très basse d'ailleurs, pour notre département. N'oublions pas qu'en 2021, le Michelin supprima sans raison aucune, bon nombre de tables icaunaises référencées, sans distinction certes, mais c’était des restaurants méritants où l'on cuisine très bien. Citons « Le Crieur de Vin » à Sens, « Le Rive Gauche » à Joigny ainsi que « Le Bourgogne » à Auxerre. Ils firent notamment les frais de cette anormale purge. Même la sénatrice Dominique VERIEN essaya bien par courrier d'en connaître les véritables raisons. Peine perdue..

 

 

La jeunesse et la prise de risque pas récompensées…

 

Dans le nouveau palmarès, j'ai été véritablement estomaqué par les huit promotions deux étoiles, composées de « vieux chevaux de retour », pratiquant l'entre soi et moult fois décorés, tels de vénérables maréchaux soviétiques du temps de feu l'URSS ! Cela n'enlève rien au professionnalisme du chef Christophe CUSSAC de rappeler qu'il fut déjà doublement étoilé, dans les années 90 (« Abbaye Saint-Michel » à Tonnerre) ; il est désormais à Monaco, connu pour son Grand prix automobile de formule 1 avec des voitures, nécessitant force pneumatique !

Mais où est donc passée la jeunesse ? La prise de risque ? Où sont les chefs-patrons ? Pas dans ce palmarès, en tout cas, qui fleure bon le réseau culinaire et l’entrisme à tout crin ! C'est dommage. Et démotivant aussi.

En Bourgogne, deux tables me semblent à ce niveau : « Chez Greuze » à Tournus, mais aussi la maison Frédéric DOUCET à Charolles (à découvrir bientôt dans nos colonnes).

 

Espérons un changement de cap pour l'Yonne en 2025 !

 

Deux promotions trois étoiles, là aussi sans chef-patron, dommage pour le chef alsacien Olivier NASTY et sa famille, une à Paris (un déjeuner à « La Réserve » l'an passé m'impressionna véritablement) et l'autre expresse, là aussi, tout proche d'un circuit automobile dans le Var. Décidément !     
Mais parfois, c'est indéniable, le Michelin nous révèle une bonne petite adresse - encore heureux ! -, qui est un brin cachée dans sa ruralité. La France, ce n'est pas que Paris, la Riviera et Courch' !

A titre d’exemple, dans l'Ain, avec « L'Ain Timiste » à Poncin, et plus rare en Seine-et-Marne avec « La Vieille Auberge » à Villeneuve-le-Comte.
Espérons pour notre Bourgogne, un meilleur cru en 2025. Il me semble qu'elle le mérite.  Allez contre mauvaise fortune, bon cœur, bon appétit et large soif !

Précisons que la version papier du guide Michelin 2024 sortira ce vendredi 22 mars.

 

Gauthier PAJONA

 


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Qui a dit que la jeunesse de l’Yonne n’était pas douée avec la pratique du numérique ?! Personne, espérons-le ! Parce que les derniers développements liés au fait divers, relatif aux attaques informatiques perpétrées contre France Travail (ex-Pôle Emploi) ces jours-ci démontrent que parmi les trois personnes à l’origine de ces méfaits ayant perturbé 43 millions de données, l’une n’est autre qu’un jeune natif…de l’Yonne !

 

HUMEUR : La seule information identitaire disponible par la presse et émanant de la procureure de la République de Paris concernant notre surdoué de la chose digitale, est la suivante : il ou elle est natif/native de l’Yonne !

Année de naissance certifiée, 2001 ! Donc, un jeune homme ou une jeune fille, afin de respecter la légitime parité, qui est donc âgé(e) de 23 ans ! Bravo, avec de la suite logique dans les idées, c’est une jolie carrière de hacker à la sauce icaunaise qui semble lui être destinée !

A ceci près que les trois personnes interpellées par les forces de l’ordre, dont notre adepte du « dark web » et de l’informatique illicite, sont mises en examen. Avec une certitude, c’est que le piratage informatique de données coûte cher en France. Surtout les informations concernant des millions de personnes, transitant par les services de France Travail !

 

 

C’est le 08 mars dernier que les opérateurs de l’agence nationale pour l’emploi avaient procédé à un acte de signalement auprès de la CNIL, la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés. Les faits de piratage dataient de février et de mars.

Bref, notre « vedette » locale risque donc de sentir le vent des fourches caudines lui souffler aux oreilles une fois que la justice sera rendue. Et de ne pas retoucher un clavier et une souris d’ordinateur avant longtemps ! A moins d’être embauché par une entreprise locale en quête d’un expert numérique, ce qui fera au bout du compte un demandeur d’emploi en moins ! Une manière de boucler la boucle, non ?!

 

Thierry BRET

 


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Circulez, il n’y a rien à voir ou presque avec l’Administration pénitentiaire. C’est en substance la mésaventure vécue il y a quelques jours dans le cadre d’une visite organisée au centre de détention de Joux-la-Ville, par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et la société de gestion du site icaunais, IDEX, lors de la série de brunchs mensuels, des « Positives Entreprises ». Objet du courroux : une véritable discrimination médiatique, imputable non pas au délit de faciès mais au déni d’ignorance de reconnaître un média numérique dans l’exercice de ses fonctions !

 

HUMEUR : Incompréhensible explication de texte de la part de l’Administration pénitentiaire qui accorde à l’un une autorisation et la refuse à l’autre, sans aucune argumentation !

Dans le cadre d’une visite guidée de la communauté des « Positives Entreprises », le fameux club des chefs d’entreprises plutôt fédérateur de la CCI de l’Yonne, sur site, à savoir le centre de détention de Joux-la-Ville, notre média a été victime d’un fait discriminatoire dans l’exercice de ses fonctions ! De quoi aller en prison, sans passer par la case départ et de risquer la perpétuité ?! Soyons sérieux, ce n’est tout de même pas le cas, sans blague !

Mais, bon, les faits sont là. La représentante du quotidien régional, charmante et sympathique journaliste au demeurant, n’a eu, elle, aucune peine à obtenir l’autorisation officielle, le précieux sésame délivré par l’Administration pénitentiaire, service public du ministère de la Justice, donc dépendant de l’Etat, pour pénétrer sans contrainte dans l’enceinte carcérale, munie de son indispensable appareil photographique afin d’y immortaliser les détenus exerçant leur labeur dans les ateliers dont il faut à tout prix assurer la promotion. Tant auprès du public que des futurs partenaires de la sphère économique, sans qui ce système de réinsertion sociale par le travail ne pourrait fonctionner judicieusement.

En revanche, si votre serviteur était accepté pour se rendre à l’intérieur de l’édifice de Joux-la-Ville, c’était toutefois dépourvu de son instrument de travail – le fameux appareil photo en question - permettant là aussi d’illustrer en images les éléments intéressants de la thématique du jour, le travail en espace carcéral.

 

 

Motif du refus : pas de réponse ni justificatif de surcroît ! Les négociations entamées auprès des responsables de la société de gestion du site, IDEX, n’y changeront rien après quelques minutes de palabres inutiles ; ce sera la visite du centre de détention sans photo mais avec une profonde amertume chevillée au corps !

Visiblement, l’objectivité de l’Administration pénitentiaire n’est pas leur fort. Les explications, non plus ! Quand deux journalistes se présentent à l’entrée d’un centre de détention pour le visiter et relater, avec autorisation, ce qui se vit à l’intérieur, l’équité doit être la même pour tous en matière de prises de vue et d’approches professionnelles. Question de respect, de logique et de réciprocité.

Pratiquer la discrimination médiatique au profit de l’un et au détriment de l’autre est plus que du mauvais goût et nauséabond sur le principe de la liberté d’expression. L’idéal pour créer un vrai sentiment d’injustice. Ce qui est tout de même un comble pour un service de l’Etat qui exerce précisément des activités dans la sphère juridique en valorisant la réinsertion sociale des hommes et le respect bénéfique de leurs droits !

 

Thierry BRET

 

 


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