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AUXERRE : A la surprise générale, et même à celle de la Conseillère départementale de l’Yonne Monique HADRBOLEC toute émue de la découvrir à Auxerre en pareille circonstance, la comédienne Danièle EVENOU (« Marie Pervenche »), pensionnaire régulière de l’émission des « Grosses Têtes » de RTL, a créé la sensation avec beaucoup de désinvolture et de gentillesse lors de la récente journée inaugurale de la résidence services seniors « Terres de Bourgogne », bousculant quelque peu le protocole et les convenances habituelles.

Prenant le temps de discuter avec chaleur parmi les résidents de la nouvelle structure, la marraine officielle du programme DOMITYS a su égayer ce rendez-vous en le ponctuant de messages positifs et enthousiastes non dénués d’humour.

 

Virevoltante, et très à l’aise parmi le public comme aux côtés des personnalités, Guy FEREZ, l’édile d’Auxerre, devait même se prêter à ce petit jeu cocasse d’échanges de bons mots pour le plus grand plaisir de l’assistance, ou de Jean-Marie FOURNET, président-directeur-général du groupe AEGIDE, l’égérie du leader national de la résidence services seniors aura donné une autre tournure à une inauguration réussie et insolite qui restera longtemps dans les mémoires des invités…

 


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Invité à venir s’exprimer ce 26 octobre dans le cadre des « Ateliers d’Auxerre », concept d’échange et de réflexion initié par le député Guillaume LARRIVE, le député européen Les Républicains, Arnaud DANJEAN, a évoqué l’un de ses thèmes de prédilection, consacré à la défense et à la sécurité nationale. Il devait mettre en exergue, face à un auditoire passionné, les conclusions d’un rapport diligenté par Emmanuel MACRON et supervisé par ses soins, servant de trame référentielle à la « Revue stratégique de défense et sécurité nationale » remis le 13 octobre à la présidence de la République. Une manière pertinente et sans compromis politique de la part de l’élu de Saône et Loire de jauger les atouts et les faiblesses actuelles des forces militaires françaises face aux risques géopolitiques accrus du moment…

VENOY : Egrenant en guise de préambule quelques chiffres faisant froid dans le dos lorsqu’il évoque les forces combattantes du jihad (plus de 17 000 jeunes français radicalisés dont 1 200 d’entre eux présents sur le terrain des opérations en Irak et en Syrie aux côtés d’environ 10 000 européens convertis à la cause du califat), l’eurodéputé Arnaud DANJEAN a su brosser durant une heure et demie d’intervention un état des lieux sans fioritures de la réalité géopolitique mondiale en matière de terrorisme et d’islamisme.

En provenance du Parlement européen de Strasbourg, le conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté a réaffirmé haut et fort les axes stratégiques de la France en matière de défense et sécurité nationale, livrant au passage le fruit de son travail, fourni avec ses collègues entre juillet et octobre, dans le cadre de la rédaction de ce rapport devant procéder à un état des lieux des forces militaires françaises. Rapport qui devait être présenté dès le 13 octobre à l’Assemblée nationale : à sa lecture, il a traduit la préservation du consensus autour de la politique de défense actuelle.

« Les parlementaires sont à l’unisson par rapport à cette politique, devait-il confier, car aujourd’hui, il est fondamental de savoir se défendre et se protéger contre ce fléau incarné par le terrorisme. Aujourd’hui, les modalités d’application de ce terrorisme aveugle changent après les attentats sophistiqués que nous avons connus à Paris en novembre 2015 : elles deviennent plus rustiques et spontanées avec des attaques au couteau ou à la voiture dans les rues… ».

Le regard de l’opinion sur les forces armées s’est transformé. Le soutien de la population est sans commune mesure à leur égard. « Toutes les occasions se présentant à nos concitoyens, même celles qui sont parfois surannées comme les cérémonies patriotiques, doivent concourir à rassembler la Nation. Nous avons la grande chance d’avoir à nos côtés la présence de ces femmes et ces hommes qui défendent nos intérêts et nos vies : nous devons être de vrais patriotes et encourager la jeunesse, ce terreau de l’avenir parfois un maillon faible en matière de valeurs civiques, à suivre leurs exemples… ».

Tour d’horizon des situations conflictuelles de par le monde…

Délivrant ses messages forts et précis, Arnaud DANJEAN devait ensuite examiner attentivement la situation de la planète en matière de crises. Constatant que ces dernières sont partout et créent une instabilité traumatisante auprès des populations. « Cela devrait être durable, je le crains, surtout au niveau de la vague islamiste. Il suffit de regarder ce qui se passe au pourtour de l’Europe pour s’en inquiéter… ».

Lucide, sans vouloir être trop alarmiste, le député européen cite sans ambages les pays où la guerre se vit à fleur de peau : Lybie, Irak, Syrie, mais aussi les troubles régionalistes qui se développent au Moyen-Orient (Turquie, Yémen…).

« La défaite de DAESH à Raqqa n’est que symptomatique. Nous sommes en présence d’une tectonique sociale et géopolitique forte et il faudra longtemps avant que les sociétés de cette partie du globe ne se stabilisent réellement et optent pour le modèle démocratique… ».

Mais, le pire, selon le parlementaire européen, est à venir. Avec son lot de secousses…à l’est.

« Regardez ce qu’il se passe en Russie. Ce pays doit devenir un partenaire stratégique indiscutable de l’Europe mais il fait figure de voisin incertain. Avec un climat instable dans la plupart des anciennes républiques de l’ex-URSS. Ne parlons pas de la porosité des frontières au Sahel (5 millions de km2) et de son plan migratoire bafoué ! Là-bas, l’islam radical y poursuit son expansion. Des efforts sont nécessaires avec une large coopération européenne parce que cela ne va pas se régler ainsi en deux ou trois ans ! ».

Reprenant son identité LR, Arnaud DANJEAN profitera de cet exemple pour décocher quelques banderilles à l’intention de l’équipe gouvernementale précédente : « elle nous a donnés illusion que l’on pourrait se retirer très facilement de ce terrain opérationnel. C’est un leurre : depuis 4 ans, 4 000 hommes y sont en faction et plus personne n’évoque un retrait ni de réduire la voilure. Or, le langage de vérité n’a pas été tenu, entre les coûts du maintien de cette force, l’usure de nos soldats et des moyens techniques… ».

La place de la France dans le concert mondial de la défense

Autrefois, la dissuasion nucléaire calmait les ardeurs des plus belliqueux et permettait aux deux blocs (Américains et Russes) de limiter leurs invectives et autres soubresauts par l’intermédiaire des états tampons (Cuba, Vietnam, Afrique équatoriale). Mais, aujourd’hui, les choses évoluent dangereusement sur ce même registre. Et Arnaud DANJEAN de citer la complaisance internationale à l’égard de la Russie après l’annexion de la Crimée, de l’indifférence totale au surarmement de la Chine qui, en l’espace de dix ans, est devenue la deuxième puissance militaire mondiale, du rôle incompréhensible joué dorénavant par les Etats-Unis de Donald TRUMP, notamment sur le retrait de l’accord nucléaire avec l’Iran (« c’est une erreur stratégique majeure que fort heureusement les Européens ne suivent pas ! »), de l’affirmation régionale de pays tels que l’Iran, Arabie Saoudite, la Turquie, la Corée du Nord, le Japon…avec pour conséquence la prolifération des armes à forte puissance.

« A ce titre, c’est dans l’espace que nous pouvons aussi avoir de mauvaises surprises pour notre sureté, renchérit le parlementaire, avec un acteur privé qui peut y envoyer ses propres satellites. Il sera bientôt possible de placer en orbite des satellites tueurs de satellites. Quid alors des satellites de géolocalisation ? Quid également  des câbles sous-marins que certains états pourraient être amenés à sectionner ? Ce n’est plus de la politique fiction : c’est l’univers à la James Bond ! L’impact sur les entreprises et le monde de l’économie serait irréversible… ».

Et la France, pays si singulier en matière de défense, dans ce monde perturbé et inquiétant ? Arnaud DANJEAN se veut rassurant : « nous avons un statut à assumer et des caractéristiques que les autres pays européens n’ont pas. Même, si nous n’avons pas les moyens des trois grandes puissances que sont les Etats-Unis, la Russie et la Chine. Mais, nous possédons des atouts intéressants. En étant le seul état d’Europe à être doté de l’arsenal nucléaire. Et de disposer d’un statut diplomatique prépondérant… ».

Pourvue d’un modèle militaire complet (terre, air, mer, du sous-marin le plus perfectionné aux satellites), la France ne doit plus agir isolé lors de ses interventions de maintien de la paix.

« Face à notre fragilité structurelle, parce que le gouvernement de François HOLLANDE les a trop sollicitées, les forces militaires françaises doivent posséder de nouvelles ambitions stratégiques plus raisonnables. Le manque de matériel est avéré. Les hommes sont trop exposés et ne se forment plus. La surutilisation de l’outil n’est plus concevable en l’état : il faut donner les moyens aux forces armées de se régénérer… ».

Certes, si l’outil de défense du pays est exceptionnel : il comporte aussi de sérieuses failles que ne manquera pas de pointer de l’index le politique des Républicains. « Savez-vous que 50 % des hélicoptères ne sont pas disponibles alors que le budget de fonctionnement de ce poste s’élève à 34 milliards d’euros à l’année ! ».

Des partenariats obligatoires avec les Européens et d’autres pays…

Quant à la lutte anti-terroriste, elle passe d’abord par l’optimisation des services de renseignements. Et la hausse obligatoire du budget de la défense, soit 1,7 milliard d’euros prévu jusqu’en 2022. « Pour obtenir une politique de la défense et de la sécurité nationale forte et ambitieuse, il faut travailler à la dimension européenne. Tous les états membres de l’Union doivent être concernés. L’Allemagne a envoyé à titre d’exemple 1 000 soldats au Sahel pour prévenir les vagues migratoires. Mais, nos voisins doivent venir nous aider, à la fois militairement et surtout financièrement…Sinon, notre singularité deviendra très vite notre solitude et à terme notre échec… ».

Pragmatique, le député européen ne plaide pas pour une avancée à 27 états sur ce dossier. « Il faut convenir de travailler par petites unités avec le groupe de pays ayant les moyens, la capacité et la volonté de le faire. L’Allemagne avec la dotation de matériel et de finances, l’Espagne et l’Italie dans le cadre de leurs intérêts migratoires mais aussi avec les pays Baltes et ceux de l’Est. Enfin malgré le BREXIT, la poursuite de la solidarité et du travail avec les Britanniques sont indispensables. Et de renforcer notre partenariat militaire avec eux…Quant aux expériences intéressantes de coopération avec l’Australie, elles sont intéressantes et nous permettent de réhabiliter notre présence militaire en Outre-Mer… ».

Une conférence tenant en haleine qui devait se conclure par le mea culpa de l’élu des Républicains sur les erreurs commises par le passé par son propre camp vis-à-vis des militaires. Erreurs qu’il faudra corriger très vite avant une éventuelle prochaine alternance…


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Présente pour la sixième fois consécutive, Porte de Versailles du 28 octobre au 01er novembre, la PME de Saint-Julien du Sault (Yonne), spécialisée dans l’importation, le conditionnement et la distribution de fruits secs auprès des circuits professionnels et grossistes, filiale du groupe STELLIFERI (FERRERO)-leader européen de la transformation de noisettes avec 40 000 tonnes par an, expliquera les vertus nutritionnelles de sa gamme de produits (amandes, noisettes, etc.), faisant florès auprès des artisans de la filière des métiers de bouche (chocolatiers, pâtissiers, restaurateurs…) qui les utilisent abondamment dans leurs recettes. Une excellente opportunité pour le dirigeant de la société, Benoît CHAIX, de montrer le savoir-faire et le succès d’une entreprise, âgée de 75 ans…et d’expliquer la stratégie de « FRUITS SECS DU WEB », seconde entité distributrice via le numérique à destination de la clientèle de particuliers…

 

PARIS : Les artisans de la pâtisserie, chocolaterie et confiserie auxquels il est nécessaire d’ajouter les industriels de l’agro-alimentaire, les transformateurs, les biscuitiers, et les grossistes constitueront les cibles privilégiées que l’entrepreneur de cette PME de huit salariés rencontrera sur le stand prévu à cet effet. Avec un chiffre d’affaires annuel de 11 millions d’euros, SILVAREM importe, conditionne et distribue des fruits secs et séchés auprès des circuits traditionnels des métiers de bouche. Soit près de 1 200 tonnes annuelles de fruits secs dont 80 % de noisettes et d’amandes. Des produits en provenance pour l’essentiel d’Italie, de Turquie et des Etats-Unis…

Certifiée ISO 22 000 (norme de la sécurité alimentaire), SILVAREM privilégie les produits qui intègrent le moins de conservateurs et développe une gamme bio qui séduit de plus en plus de consommateurs. L’entreprise possède également une forte clientèle d’industriels. 20 % de ses partenaires sont issues de la filière distribution avec quelques références parmi ceux-ci, à l’instar de POMONA.

Côté communication, le lancement du nouveau site web au 01er octobre (www.silvarem.com) draine d’autres amateurs de fruits secs et optimise la relation existante avec les 800 clients en France. Parmi les informations que dévoilera le nouveau site : on relèvera une note de conjoncture des marchés, la présence de fiches techniques sur les diverses références qui composent cette gamme de 500 produits et la politique tarifaire.

Vitrine numérique distincte, FRUITS SECS DU WEB se propose de commercialiser fruits secs et séchés auprès des particuliers, à partir de petits conditionnements de qualité identique à un tarif imbattable. FRUITS SECS DU WEB répond aux exigences les plus élevées, en offrant des délais optimums de livraison vers n'importe quelle destination de France.

La présence au Salon d’un client fidèle : MAZET CONFISEUR…

Entreprise centenaire, la Maison MAZET est une confiserie artisanale à la notoriété reconnue qui dispose de plusieurs points de vente à Montargis, siège social, mais aussi à Paris. Elle réalise un chiffre d’affaires de 5,5 millions d’euros à l’année et emploie 44 collaborateurs.

Spécialiste de confiseries délicates au chocolat ainsi que de la célèbre « Prasline Mazet de Montargis », amande caramélisée selon une recette de 1636, la structure artisanale portée par Benoît DIGEON se distingue par le label, « Entreprise du patrimoine vivant », obtenu en juin 2016. Elle est aussi l’un des plus fidèles clients de SILVAREM, incorporant dans ses recettes de confiserie de nombreux fruits secs.

« Notre besoin annuel en fruits secs est de 50 tonnes, précise Benoît DIGEON, dont 80 % proviennent notamment pour les amandes et les noisettes de SILVAREM. Cette entreprise est respectueuse des normes de qualité et propose une traçabilité de ses produits. SILVAREM nous accompagne dans le suivi des normes qualitatives alimentaires. C’est une réelle plus-value à notre égard. A l’instar de l’ensemble de nos partenaires qui nous fournissent le chocolat, le sucre, etc. ».

Conditionnées selon les besoins des clients, et sélectionnées selon des critères qualitatifs très stricts, les amandes et noisettes de SILVAREM seront ensuite grillées ou caramélisées, voire enrobées de chocolat et ses multiples variantes (une douzaine de recettes différentes) pour la conception des savoureuses merveilles de ce professionnel qui exporte de plus en plus vers le Japon, les Etats-Unis et l’Australie.  

Les valeurs nutritives des fruits secs et séchés, et les bienfaits du chocolat

Les fruits secs oléagineux à coques (amandes, noisettes,…) et les fruits déshydratés (abricots, raisins secs,…) sont excellents pour la santé, s’ils sont consommés régulièrement et en petites quantités au sein d’une alimentation variée et diversifiée. Consommés bruts, ils s’intègrent parfaitement dans une cuisine originale et exotique, relevant les saveurs, les couleurs et les textures de nos recettes.

Leurs teneurs élevées en micronutriments (minéraux, vitamines, polyphénols) et en fibres en font des aliments de choix pour préserver notre santé : une alimentation riche en fibres qui préserve de l’apparition de nombreuses maladies chroniques (surpoids et obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, certains cancers). Plusieurs mécanismes bénéfiques sont mis en avant : régulation du transit intestinal, piégeage du cholestérol alimentaire, régulation des pics de glycémies postprandiale, régulation de la faim et de la satiété, limitant le grignotage et la prise de poids, équilibre et diversité du microbiote intestinal.

Certains fruits secs ont un pouvoir antioxydant intéressant permettant de réduire le stress oxydatif et le vieillissement cellulaire.

La composition des fruits secs oléagineux en matières grasses de bonne qualité (acides gras mono et polyinsaturés) et leur richesse en fibres constitue la base d’une alimentation de prévention des risques cardiovasculaires. En février 2017, le Haut Conseil de la Santé publique a d’ailleurs proposé d’inclure un nouveau repère de consommation dans le Programme National Nutrition Santé (PNNS) : « Une petite poignée de fruits à coque par jour ».

Leurs bienfaits nutritionnels sont souvent exploités dans des alimentations particulières : la teneur élevée en calcium des amandes dans une alimentation sans produits laitiers, la teneur en protéines des oléagineux chez les végétariens pratiquant la complémentation protéique, l’utilisation de purées d’oléagineux dans les alimentations sans produits laitiers ou sans œufs.

Enfin, les fruits secs déshydratés sont les aliments du sportif par excellence. Ils boostent le sportif pendant l’effort grâce à leurs minéraux intervenant dans la contraction musculaire et à leurs sucres simples rapidement assimilables tout en évitant troubles digestifs et lourdeur pendant l’effort du fait de l’absence de matières grasses.

Aliment plaisir, le chocolat doit se déguster avec parcimonie, privilégiant qualité et teneur élevée en cacao, en mettant tous nos sens en éveil. Contenant des polyphénols antioxydants, il est aussi connu pour être un antidépresseur naturel grâce à sa teneur intéressante en magnésium (antifatigue et décontractant) et des substances intervenant dans le mécanisme du plaisir.


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De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…

 

AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».

Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.

« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».

En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…

Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…

La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».

La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…

« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».

Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018.  Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.

Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…

Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».

Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».

Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».

Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…

Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».

Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…


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Se rendre chez le 17ème du classement de Ligue 2 ne sera pas chose aussi facile pour les protégés de Francis GILLOT au soir de ce vendredi 27 octobre. Au plan comptable, cinq petits points séparent ces deux formations qui ont connu des fortunes similaires depuis le début du championnat. Même si aujourd’hui, le club bourguignon a repris quelques couleurs en se hissant à la onzième position de ce tableau pour le moins disputé. Mais après son laborieux faux pas contre le Racing Club de Lens (6 à 0), l’équipe de l’Ain aura à cœur de se racheter devant un public chauffé à blanc et en espoir de revanche. Gare à la nasse qui pourrait se refermer inexorablement sur les joueurs auxerrois si ces derniers manquaient d’humilité…

 

AUXERRE : Même si l’international polonais Ludovic OBRANIAK ne sera pas encore aligné sur la feuille de match, les footballeurs auxerrois connaissent néanmoins un net regain de forme depuis plusieurs journées. Et de méritantes victoires obtenues contre des adversaires plutôt coriaces et ayant fait jeu égal avec le team de Francis GILLOT !

Cependant, beaucoup s’interrogent sur la durée de cette dynamique actuelle. Le moral regagne petit à petit le lot des supporters. Quant aux joueurs, ils ont su démontrer sur la pelouse qu’ils étaient capables du meilleur après avoir connu le pire le mois dernier.

Le podium en ligne de mire si les victoires s’enchaînent…

Le coach a retrouvé le sourire même s’il confirme ne pas se contenter que de cela. « Nous ne sommes pas encore à 100 % de nos aptitudes, explique-t-il en conférence de presse, mais nous progressons de manière positive. Les joueurs, y compris les plus jeunes encore peu habitués à ces rencontres de haut niveau, ont su prendre à bras le corps leurs responsabilités. Les entraînements s’effectuent dans le plus grand des sérieux. Si nous poursuivons sur cette lancée, j’ai bon espoir de revenir sur les cinq ou six premiers du peloton de tête…en glanant le maximum de points ».

Il est vrai que la distance est déjà tangible entre le Stade de Reims qui caracole au sommet du classement avec ses 27 points (dix de mieux que l’AJ Auxerre), l’AC Ajaccio (second) et le Paris Football Club (troisième) et l’ensemble de leurs poursuivants. Mais, à bien analyser le haut de tableau de ce championnat : Nîmes (4ème) et Lorient (5ème) ne sont guère éloignés de l’unique pensionnaire bourguignon en Ligue 2.

« Nous avons une marge de progression importante, ajoute Francis GILLOT, et nous devenons plus serein rencontre après rencontre… ».

De là à dire que l’AJ Auxerre puisse prétendre tenir les rôles de premier choix dans cette compétition au cours de ces prochaines semaines n’est pas improbable. Peut-être, comme devait le suggérer l’entraîneur de l’équipe première, « que certains clubs du haut de tableau connaîtront une baisse de régime avant Noël…».

Se méfier du sursaut vengeur de Bourg Péronnas…

Il faudrait alors en profiter avec efficacité pour accumuler les victoires, synonymes de points salvateurs au compteur. Mais, l’étape immédiate de ce long cheminement vers les sommets se nomme Bourg Péronnas. Après le naufrage de l’équipe face à Lens (6-0), les Bressans n’auront qu’une seule envie : se reprendre avec férocité surtout devant leur public.

« Cette équipe possède de très belles qualités offensives, constate Francis GILLOT, ils vont se créer de nombreuses occasions : nous devrons alors les surprendre par des contres assassins… ».

Mais de l’avis du coach auxerrois, jouer chez eux après un tel coup de semonce ne pouvait plus mal tomber pour lui et ses hommes. L’engagement devrait être total lors de cette partie et gare à la casse côté blessures.

« Nous sommes prêts dans nos têtes afin de ne pas être surpris d’un accueil trop viril…A nous de conserver toute notre vigilance à l’arrière ».

Concluant sur l’adversaire du jour, désigné par le sort à l’occasion du 7ème tour de la Coupe de France (11 et 12 novembre), le club de Chamalières (National 2), Francis GILLOT se montre somme toute méfiant.

« C’est une compétition que j’affectionne beaucoup. Il nous faudra aborder ce premier tour avec de l’enthousiasme et de l’exigence, après on se donnera à fond pour espérer ramener ce trophée à la maison… ».

Et loquace de préciser qu’il demanderait des renseignements plus complets au président Francis GRAILLE, originaire de l’Auvergne, où évolue le club du Puy de Dôme !


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