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Son chemin de vie ne lui aura pas permis de croiser le vénérable personnage de manière physique malgré ses attaches originelles avec le département de l’Yonne. Pourtant, le chanteur Icaunais GERARD-ANDRE, poète et digne interprète de Louis ARAGON, eut un jour l’incroyable opportunité de pourvoir s’entretenir de longs instants au téléphone avec l’immortel académicien qui vient de nous quitter si brusquement à l’âge de 92 ans. Une conversation que l’émule de Jean FERRAT et de Jean-Roger CAUSSIMON n’oubliera jamais…

ETAIS LA SAUVIN : « La disparition de Monsieur Jean d’ORMESSON me touche. Beaucoup diront mieux que moi qu’il était un très grand homme de lettres. J’appréciais énormément l’entendre parler de littérature car je crois qu’il savait dépasser son MOI.

Mais au-delà de tout ce que l’on va dire sur son œuvre immense, je veux témoigner, à titre personnel, pour dire que c’était aussi un homme de cœur et de parole.  Un jour, avant mon arrivée dans l’Yonne, j’ai eu l’honneur de lui parler au téléphone.

L’histoire est simple, très simple, diront certains, mais pour moi (saltimbanque), elle reste indélébile et m’a porté jusqu’à ce jour. Il faut savoir que Monsieur Jean d’Ormesson était un très grand « aragonien ». Je venais de sortir un opus de douze poèmes d’Aragon que j’avais mis en musique. À ma grande surprise (nous ne nous étions jamais rencontrés), il m’appela pour me dire, avec beaucoup de gentillesse et de conviction, de belles choses sur mes choix de poèmes et sur ma mise en musique. La conversation fut assez longue mais peu importe sa durée puisque pour moi elle restera éternelle…

Il récidiva en octobre 2013 pour me dire qu’il regrettait de ne pouvoir assister à ma création, « La Voix des siècles Victor Hugo Louis Aragon » au Théâtre d’Auxerre. Merci Monsieur Jean d’ORMESSON…».

Thierry BRET et GERARD-ANDRE  


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Depuis 40 ans, GENERATIONS MOUVEMENT (anciennement les Aînés Ruraux) agit au cœur des territoires afin de créer et  favoriser le lien social. Trois axes prédominent son pôle d’intérêt : la solidarité, les aspects intergénérationnels et la déclinaison de loisirs. La fédération départementale de l’Yonne, forte de ses 135 structures adhérentes et de ses 9 000 membres, rappellera lors de ce colloque à Auxerre le samedi 29 novembre les incontestables atouts du premier réseau associatif de seniors au plan national. Avec en toile de fonds les orientations stratégiques prévues pour 2018 autour d’un programme baptisé, « 100 % connecté » où l’accessibilité pour tous à l’univers numérique est devenue la priorité…

AUXERRE : Reconnue d’utilité publique et s’adressant plus spécifiquement aux personnes âgées de plus de soixante ans, GENERATIONS MOUVEMENT représente une indéniable force de frappe à l’échelle hexagonale, avec 700 000 adhérents répartis dans près de 90 structures départementales. Neuf mille seniors, issus de 135 associations locales, constituent à ce jour le socle non négligeable de la fédération icaunaise qui organisera au cours de l’après-midi du samedi 29 novembre son colloque annuel dans l’amphithéâtre du Conseil départemental de l’Yonne à Auxerre.

Evénement très attendu par ses organisateurs qui évoqueront par la même la forte présence territoriale de cette frange de la population, ce colloque servira de tremplin à la dynamique des associations de retraités qui souhaitent être représentées officiellement aux côtés des instances légitimes en vue des grandes réformes de l’Etat.

Un relais de proximité entre les communes et la population…

Comme le précise, le président départemental Jean-Louis DRUETTE, « GENERATIONS MOUVEMENT agit en qualité de relais opérationnel entre les habitants et la commune, au titre d’un outil au service des élus locaux et des pouvoirs publics pour créer du lien et animer la vie dans la cité…».

Le président de la structure associative profitera de son temps de parole pour expliquer l’une des grandes actions déclinés dès l’année prochaine, « 100 % connecté », en faveur de la vulgarisation de l’usage du multimédia et du digital au plus grand nombre. Un vaste chantier qui devrait corroborer les explications que devraient fournir le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, invité à dévoiler à la tribune les principes factuels du SDAASP, le Schéma départemental d’amélioration de l’accessibilité des services au public.

La place des seniors dans le débat public s’agrégera aux discussions de cette future matinée. Récemment, GENERATIONS MOUVEMENT a réitéré sa demande pour que les retraités soient enfin représentés et participent aux côtés des partenaires sociaux aux négociations sur la fiscalité et le pouvoir d’achat.

Répartir équitablement les efforts demandés face à la hausse de la CSG…

S’insurgeant contre la confirmation gouvernementale de l’entrée en vigueur dès le 01er janvier 2018 de la hausse de la CSG (Contribution sociale généralisée). Ne refusant pas de fournir un effort supplémentaire face aux nécessités économiques conjoncturelles, la présidence nationale de GENERATIONS MOUVEMENT espère simplement que ces nouvelles sollicitations soient équitablement partagées par l’ensemble des composantes de la société française.

Dans ce cadre, l’association soutient la démarche de la Confédération française des retraités (CFR), structure qui rassemble plus d’un million d’adhérents, en faveur de la suppression de la cotisation maladie de 1 % prélevé sur les complémentaires du secteur privé.

Même si le gouvernement du Premier ministre Edouard PHILIPPE a annoncé des mesures compensatoires pour de nombreuses catégories, GENERATIONS MOUVEMENT considère que les retraités sont une fois de plus laissés de côté, hormis les plus modestes, puisque la hausse de la CSG ne s’appliquera pas aux pensions inférieures à 1 200 euros.

Ce thème essentiel à l’actualité du mouvement associatif des seniors pourrait peut-être s’inviter au moment des échanges de ce colloque départemental…


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Le rendez-vous annuel de la Caisse primaire d’assurance maladie  de l’Yonne, ce jeudi 23 novembre au 89 à Auxerre (20 heures), se consacrera à l’une des problématiques fondamentales qui frappe à l’heure actuelle les milieux de la santé en province : à savoir la paupérisation de l’offre de soins en zones urbaines et rurales toutes disciplines confondues. Plusieurs intervenants dont ceux de la DREES s’interrogeront sur la photographie exacte de cette situation complexe à l’aune de 2018 tant au niveau des patients et leurs besoins de recherche d’un médecin traitant que vu du prisme des professionnels de santé (les perspectives offertes par les filières médicales, l’essor de la télémédecine, les Maisons de Santé ou le rôle des pouvoirs publics). Une conférence qui s’annonce passionnante avec néanmoins la volonté pour ses organisateurs de délivrer des messages clairs et positifs vers le grand public. Et plus largement aux 250 000 assurés sociaux que compte le département…   

AUXERRE : Un quart des assurés sociaux français renoncent aujourd’hui à bénéficier de soins par manque de moyens. Une réalité tangible à laquelle font face eux aussi les responsables de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne. L’absence d’interlocuteurs de proximité (les généralistes) conduit à cette situation ubuesque alors que paradoxalement les progrès de la médecine n’ont jamais été aussi aboutis en matière de performances technologiques et thérapeutiques.

Pourtant, les chiffres avancés par l’ODENORE (Observatoire des non-recours aux droits et aux services) traduisent ce profond malaise que vivent les représentants de l’organisme institutionnel. Sans être dans une phase de revendication contestataire contre un système qui a fait ses preuves par le passé, ils constatent néanmoins cet état de fait qui ne correspond plus à leur éthique première : permettre aux assurés sociaux de profiter d’une offre de soins facilitée et accessible à tous…

Un nouveau dispositif mis en place par la CPAM dès 2018…

« A ce titre, devait préciser le directeur de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, Patrick KAZANDJIAN, lors de la conférence de presse annonciatrice de l’événement, dès avril 2018, la CPAM assurera la promotion d’un dispositif visant à éradiquer le non-recours aux soins, imputable à la précarité sociale et économique du territoire…Nous identifierons les cas les plus aigus afin de les accompagner vers une démarche honorable…».

En revanche, il n’en dira pas davantage sur le mode opérationnel choisi à cet égard. Par contre, le dirigeant de l’établissement de réaffirmer ensuite qu’il était anormal que « les gens paient des cotisations sociales quand ils travaillent mais qu’ils ne puissent pas bénéficier de médecins en cas de nécessité »…

Institué depuis 2004 vis-à-vis des assurés sociaux et des professionnels de santé en quête d’informations, le Conseil public de cette édition 2017 aura le mérite de poser les bonnes interrogations autour de ce sujet ô combien délicat de notre société. Comment trouver un médecin traitant alors que bon nombre de praticiens généralistes font valoir leurs droits à la retraite ou quittent les campagnes faute de motivation ? Comment accompagner les patients en déshérence médicale avec quelles aides pour résoudre l’ensemble de ces difficultés ? Les conférenciers d’un soir auront fort à faire pour apporter des arguments solides qui ne permettent pas au public de sombrer dans une profonde mélancolie faite de souvenirs emprunts de nostalgie lorsque la médecine des villes et celle des champs étaient encore au diapason des réalités sociétales…   

Le rôle de conciliateur de la Caisse primaire d’assurance maladie

Bien sûr, il sera question de préciser le rôle de la conciliatrice de la CPAM à l’écoute 24/24h des assurés sociaux. Naturellement, il sera question de la venue de nouveaux praticiens dans l’Yonne. L’avis du président du Conseil de l’Ordre des médecins, le docteur Alain MIARD, devrait être prépondérant à ce sujet.

L’évolution de la pratique médicale, du développement de la pluridisciplinarité, voire du comportement des patients envers la chose médicale constitueront d’autres pistes de réflexion devant être explorées.

Au-delà de ces aspects de fond, les organisateurs du Conseil public auront aussi pour mission de rappeler les prérogatives essentielles de la Caisse primaire d’assurance maladie. Outre l’accompagnement des professionnels de santé, l’organisme informe à travers de nombreux moyens de communication l’assuré social afin que ce dernier ne soit pas pénalisé sur le ticket modérateur, et dans sa quête de recherche médicale.

« Imposer un médecin traitant n’est pas concevable en soi, devait ajouter le président de la Caisse départementale, Paul GIRARD, néanmoins, nous renouvelons notre demande auprès de la CNAM de pouvoir constituer une brigade de médecins en les salariant et de les envoyer dans certaines zones sensibles où la raréfaction médicale se fait jour… ».

Faudra-t-il développer le principe des médecins salariés pour répondre aux besoins des patients ?

Depuis décembre 2015, le dossier qui a été à plusieurs occasions discuté avec les représentants de la CNAM (Caisse nationale d’assurance maladie) n’a malheureusement pas eu de suite heureuse. Pourtant, on recense une cinquantaine de zones déficitaires sur le département de l’Yonne dont celles de Pont sur Yonne, Migennes, Vermenton…Or, les statistiques, elles, ne trompent pas : en juin 2013, 270 médecins généralistes exerçaient encore leur art sur le territoire. Quatre ans plus tard, les effectifs ont été amputés d’une trentaine de professionnels pour s’établir à 239 praticiens. Les raisons évoquées correspondant à des départs à la retraite…

Rappelant que la CPAM ne pilotait pas la répartition des soins et que celle-ci demeurait à l’apanage du ministère de la Santé, le président de l’organisme institutionnel insista sur l’excellent mode opératoire de son outil qui fonctionne très bien.

« Certes, devait-il renchérir, la demande de salariat au niveau de la médecine ne représente pas la tendance actuelle dans les approches en haut lieu ; mais indéniablement c’est une piste de réflexion vers laquelle nous devons réfléchir à l’instar du département de Saône et Loire qui lance un recrutement d’une trentaine de médecins salariés pour combler ses manques territoriaux… ».

Quant à la présence de médecins d’origine étrangère (Roumanie, pays de l’Est, Espagne, Afrique…), elle peut être opérationnelle en cas d’intégration réussie. Ce qui est le plus souvent le cas.

Maisons de Santé : un développement essentiel à l’offre thérapeutique pluridisciplinaire

La médecine actuelle est aussi confrontée aux orientations spécifiques de ses étudiants malgré un numérus clausus déjà restrictif quant au nombre de praticiens à qualifier chaque année. En fait, trop peu se dirigent vers les spécialités en occultant les aspects généralistes du métier.

Reste le bien-fondé des Maisons de santé qui ne cessent d’augmentent dans le département selon les bassins de vie. En Puisaye, plusieurs d’entre elles fonctionnent de manière très positive et le phénomène est en train de s’étendre à l’ensemble du territoire avec l’aval et le soutien du Conseil départemental.

Quant au développement de l’ambulatoire sur courte durée, il constitue aussi une alternative appréciable à la résolution de bon nombre de problèmes sur lequel s’appuie la Caisse primaire d’assurance maladie qui soutient l’initiative en l’accompagnant de son programme spécifique : PRADO. A condition que la présence des médecins traitants se renforce pour en assurer un suivi rigoureux. Un cercle vertueux vers lequel il faudra nécessairement se conformer à l’avenir pour que les mesures prises en ce sens deviennent efficientes…


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Samedi 18 novembre, le complexe du Pantographe à VENAREY les LAUMES (Côte d’Or) accueillera en journée ce rendez-vous annuel porté par l’Association française des diabétiques de Bourgogne. Plusieurs centaines de personnes, victimes de cette pathologie sournoise, participeront à ces travaux de belle facture, en présence de nombreux spécialistes de la médecine et experts…ainsi que les professionnels des milieux sanitaires qui dévoileront leurs dernières nouveautés en matière d’aides et de soutiens aux malades.

DIJON (21) : Les chiffres sont proprement révélateurs d’une situation atypique pour la région Bourgogne. Plus de 85 000 personnes, atteintes de diabète, sont prises en charge chaque année sur l’ensemble des quatre départements du territoire, avec des taux record enregistrés dans la Nièvre (le département le plus touché par cette maladie) et son voisin, celui de l’Yonne.

Même la Côte d’Or avec plus de 2 8000 patients, demeure un département qui ne déroge pas à la règle. Avec un indice de prévalence de 5,1 %, force est de constater que la Bourgogne représente une des régions françaises les plus concernées par ce fléau.

Président régional de l’Association française des diabétiques, Robert YVRAY nous livre quelques explications : « Les deux principaux types de diabète sont les diabètes de type 1 et 2. Ce sont des maladies différentes, mais elles sont toutes les deux caractérisées par un excès de sucre dans le sang.  L’hérédité reste la première cause du diabète de type 2. Celui-ci, qui représente 90 % des personnes diabétiques, a pour autres causes principales le surpoids, l’obésité, une mauvaise alimentation, la sédentarité et une activité physique trop faible. En résumé, la pathologie doit être pris très au sérieux et traité efficacement avant que les complications annexes ne surviennent… ».

Informer sur les complications de cette maladie pas banale…

Parce que le diabète demeure un problème de santé publique qui ne cesse de croître d’année en année, l’association régionale, aidée en cela par ses antennes départementales au niveau logistique, décline à chaque automne ce colloque contenant pléthore d’informations.

L’objectif de ce rendez-vous devenu une institution dans le paysage de santé est de renseigner la population sur les méfaits de cette maladie qui nous concerne tous. « Il nous faut lutter contre la banalisation de cette pathologie, ajoute Robert YVRAY, et sensibiliser sur la réelle gravité engendrée par les possibles complications… ».

C’est en 1964 que les régimes d’assurance maladie commencent à prendre en charge le diabète à la suite de nombreuses opérations de lobbying. Première maladie chronique, le diabète est la première cause de cécité avant 65 ans, la seconde des maladies cardiovasculaires, la première cause d’amputations hors accidents (8 000 personnes par an).

Des dépenses qui ne cessent d’augmenter chaque année…

Plus de 3,5 millions de diabétiques sont diagnostiqués et traités en France (3,6 % de la population) tandis que 400 nouveaux cas apparaissent chaque jour. Plus grave : les enfants ne sont pas épargnés par les souffrances physiques occasionnées par la maladie.

Vingt mille d’entre eux sont ainsi concernés par un mal qui ne cesse d’empirer si l’on n’y prend pas garde. Enfin, et pour clore cette série de statistiques affolantes, il faut savoir que 18 milliards d’euros sont dépensés à destination de ces malades et un milliard d’euros de dépenses supplémentaires l’est chaque année pour l’assurance maladie.

Gérard RAYMOND, président de la fédération nationale, sera également de la partie lors de cette journée particulière en terre de Côte d’Or. Il présentera d’ailleurs lors d’une conférence le parcours de santé pluri-professionnels des patients chroniques. Un aperçu passionnant de la réalité thérapeutique de ces milliers de personnes, toujours en quête de l’information la plus pertinente…


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A peine désigné par le suffrage électif, à l’occasion des Journées fédérales de Dijon les 12 et 13 octobre, le nouveau président national de la puissante fédération des professionnels de l’immobilier a rendu une visite plus que de politesse aux représentants de la FNAIM de l’Yonne, un département qui est rattaché au groupement Paris Ile de France. Une manière de prendre la température de la base et de se préparer à exercer ce futur mandat où il succèdera pour une durée de cinq ans au Dijonnais Jean-François BUET en poste jusqu’au 31 décembre…

AUXERRE : Très en verve au cours de son allocution officielle, le nouveau président de la FNAIM, Jean-Marc TOROLLION, s’installera dans le fauteuil national dès le 01er janvier 2018, avec un credo bien ancré dans la tête : il souhaite « bâtir la fédération des professionnels de l’immobilier de l’avenir ». Offensif, mais également ouvert au monde économique qui l’entoure, le successeur du bourguignon Jean-François BUET est diplômé d’une maîtrise de droit notarial et de l’ICH. Il exerce depuis 1987 à Grenoble en qualité d’agent immobilier et s’est investi dès le début de sa carrière dans le syndicalisme.

Le poids du numérique fera la différence dans le réseau du « Cube Jaune »

Profondément attaché aux métiers portés par la filière, l’ancien président régional de la FNAIM Rhône Alpes (2009/2012) a ensuite brigué un mandat national en 2013, s’imprégnant du rôle de président délégué de la fédération française. Le tremplin idoine pour gravir le dernier échelon, devant le conduire au poste suprême avec 58,40 % des votes obtenus à Dijon.

D’un naturel optimiste et plein d’espoir, Jean-Marc TORRILLION n’en est pas moins un garçon vigilant qui n’accorde pas de confiance particulière au gouvernement qui réfléchit à la refonte de la loi de 1955. Celle qui régit l’ensemble de la filière…

Evoquant la nécessité d’instaurer la démocratisation du bail numérique qui deviendrait un vrai service de l’Etat, le président de la FNAIM rappelait à l’assistance, composée d’une centaine de professionnels exerçant sur le territoire de l’Yonne, dont le président Stephan SIMPSON et son prédécesseur, Guy BRUGGEMAN, que « nul ne pouvait échapper désormais à la mutation numérique indispensable au modernisme de notre pays ».

S’arrêtant quelques instants sur la stratégie de communication qu’il souhaite initier dès sa prise de fonction, Jean-Marc TORROLLION a indiqué à son auditoire attentif que la mise en place d’un compte Facebook professionnel devenait inévitable. « Nous posséderons ainsi une force de frappe exceptionnelle qui ne cessera de se démultiplier par ricochet… ». Surtout, insista-t-il, « n’ayez pas peur de le faire ! ».

Le titre d’agent immobilier nous appartient et pas aux autres !

Dans un souci de stabilité, le président sortant Jean-François BUET poursuivra sa mission en dirigeant la structure nationale jusqu’au terme de l’année civile. Mais, signe d’ouverture et de transition sereine et efficace, son successeur sera aidé pour prendre plus facilement possession de ses nouvelles fonctions et bénéficier ainsi de ses conseils.

Le nouvel homme fort de la FNAIM s’attachera également à défendre mordicus le titre d’agent immobilier, parfois dévoyé. « Ce titre professionnel est à nous et pas aux autres ! », déclarera-t-il péremptoire, avant de confirmer qu’il fera tout pour protéger ce titre distinctif par rapport aux mandataires qui exercent une concurrence parfois exacerbée sur la filière.

Quant à la loi ALUR, qui sera mise en place, Jean-Marc TORRILLION a bien rappelé qu’il n’était pas question que le gouvernement impose une masse de règles complexes sans l’aide d’une réelle protection.

Syndicat patronal pesant plus de 50 % sur le marché de l’immobilier en France et ayant un poids considérable auprès des pouvoirs publics, la FNAIM souhaite accélérer le processus d’intégration de jeunes recrues motivées et compétentes.

« La formation, c’est un marqueur essentiel pour notre corporation, c’est aussi une question d’image qualitative. Les jeunes qui nous rejoignent doivent éprouver de la fierté à l’idée d’exercer leur métier sous le sceau du « Cube jaune », le logo identifiant la FNAIM… ».

Devant conclure ses propos sur les valeurs intrinsèques de l’organisme, le futur responsable de la FNAIM rappela que « cette profession d’agent immobilier est réglementée au même titre que l’ordre des experts-comptables ». Argument de référence dont il faudra se souvenir au cours de la prochaine mandature…


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