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Proposée par l’Association française des dépendants en rétablissement (AFDER) en partenariat avec le Réseau de santé mentale de l’Yonne (RSMY) et l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), cette intervention grand public aura pour socle informatif la découverte des multiples dommages occasionnés par le cannabis sur les personnes qui en sont dépendantes. Cette conférence verra la présence sur scène de Sandra MARCELLIN, psychologue au RSMY et Julien CHARTIER, président national de l’AFDER, réunis à l’amphithéâtre de l’IFSI à Auxerre ce mardi 04 décembre à 20 heures pour une séance explicative… 

AUXERRE : La consommation de cannabis connaîtra-elle un jour la voie de la démocratisation dans notre pays ? A l’instar de plusieurs états européens, dont les Pays-Bas et l’Espagne qui ont déjà statué en ce sens, d’aucun pense en France qu’il est grand temps de vulgariser l’usage de ce produit illicite, bien au-delà de son emploi à des seules fins thérapeutiques.

Pourtant, c’est un tout autre signal d’alarme qui sera tiré mardi soir dans le vaste amphithéâtre de l’IFSI, l’Institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier d’Auxerre.

Ce lieu d’enseignement pédagogique pour les futures professionnelles de santé accueillera une conférence publique passionnante, consacrée à cette substance. Ce sera aussi une excellente opportunité de mieux en appréhender les effets insidieux sur le comportement de ses consommateurs.

D’ailleurs, l’envie grandissante de socialisation de cette résine néfaste au psychisme humain inquiète de plus en plus les spécialistes de la question. Par exemple : le directeur de la résidence Mémoires de Bourgogne, un EHPAD qui accueille des personnes âgées sur la commune de Perrigny, Philippe WATTECAMPS.

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Sensibiliser l’opinion publique avec le concours des réseaux influents

Sensibilisé à ce problème, il s’est mobilisé en sa qualité de professionnel du milieu sanitaire et social pour faire partager ses craintes sur la banalisation du cannabis en France.

Au même titre que l’alcool et le tabac, le cannabis est considéré comme une plaie béante dans la société contemporaine. Le responsable de l’établissement de gérontologie n’a pas hésité à prendre l’initiative de porter ce projet de causerie officielle.

En l’espace de quelques semaines, et avec la complicité de partenaires sérieux du sérail sanitaire dont l’Agence régionale de Santé (ARS), le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse primaire de l’Assurance maladie, il a monté de toute pièce ce projet qui a pris échos auprès du président national de l’AFDER, Julien CHARTIER.

Ce dernier effectuera le déplacement depuis l’Ile de France mardi soir pour expliquer ce qu’est la structure associative qu’il préside en présentant son programme d’aides.

Le choix de l’IFSI s’imposait en parfaite logique. Le centre de formation prépare les futures infirmières.

Premiers temps fort de l’intervention, les commentaires de la psychologue Sandra MARCELLIN, du RSMY, rappelleront les interactions positives et négatives de la substance dans ses cadres préventifs et curatifs. Les effets délétères de la résine sur ces utilisateurs y seront expliqués.

Puis, Julien CHARTIER séquencera son propos en deux items : la présentation et le rôle de l’AFDER avant d’aborder dans le détail les programmes d’aides existants pour arriver à décrocher totalement de ce fléau. Il devrait évoquer également les protocoles mis en place par deux cliniques en France qui ont adopté des techniques particulières importées des Etats-Unis.

Ouvert à tout public, l’entrée de cette conférence est gratuite. La capacité d’accueil de l’amphithéâtre étant de deux cents places, il est recommandé de réserver en se manifestant auprès de la référence suivante : 06.61.66.40.33.

 


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Ce fut un registre d’intervention inhabituel pour BGE Nièvre Yonne mais ô combien essentiel à la réflexion et au développement de nouvelles approches économiques. La structure associative régionale a garni les travées de l’amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre, lundi soir, où près de deux cents personnes, issues du sérail entrepreneurial et institutionnel, ont pu apprécier à leur juste valeur les messages forts, relayés par le long-métrage, « La Terre vue du cœur ». Une table ronde, pertinente quant à la thématique abordée, en résultera. Plus que jamais économie et écologie doivent être à l’unisson à l’avenir afin d’éviter un scénario catastrophe…

AUXERRE : Un créateur d’entreprise ne peut plus décemment se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sans être préoccupé par les questions d’environnement et d’écologie. Quel que soit son appétence sectorielle.

Alors que la transition écologique se rappelle au bon souvenir de nos concitoyens, surtout à travers le prisme de la mobilité énergétique et de notre dépendance aux énergies fossiles, le public, convié à découvrir les images de cette production cinématographique de bel aloi (« La Terre vue du cœur »), aura pris bonne note de ce qu’il faut faire et surtout ne pas faire dans ce nécessaire processus de sauvegarde de la planète.

Sortant de son cadre d’intervention habituel (la formation et l’accompagnement de porteurs de projets en vue de leur émancipation professionnelle), BGE Nièvre Yonne s’est donc muée en caisse de résonance intellectuelle, à la cause de l’adoption de préceptes écologiques.

Fiscalité, règlementation, actualité : tout ou presque concorde aujourd’hui pour que la transition écologique s’applique derechef au sein même des entreprises. Partant de ce simple postulat, les responsables de BGE Nièvre Yonne se sont rapprochés de quelques exégètes en la matière pour sensibiliser le commun des mortels de la TPE/PME locale.

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Un excellent vecteur introductif avec le film…

Grand bien leur en a pris : ce qui aurait pu être une soirée délicate à organiser, au vu du contexte conjoncturel du moment et l’émergence inattendue des « Gilets jaunes », pour la plupart réfractaires aux idéologies écologistes, s’est transformé en une pleine réussite côté auditoire.

Refusant du monde aux accès de l’amphithéâtre, BGE a enregistré près de deux cents spectateurs pour sa grande première.

Conçu autour de la personnalité charismatique de l’astrophysicien Hubert REEVES et du philosophe Frédéric LENOIR, le film concocté par Iolande CADRIN-ROSSIGNOL interpella la salle sur la menace insidieuse qui pèse sur la biodiversité.

Largement diffusé à travers l’Hexagone depuis sa sortie initiale, le 13 avril dernier, « La Terre vue du Cœur » représentait un excellent vecteur introductif à la table ronde qui devait suivre.

Celle-ci réunissait, outre le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, le vice-président en charge de l’environnement au sein de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Denis ROYCOURT, et trois responsables du milieu professionnel, Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord Bourgogne au sein de VEOLIA Eau, Abdel Malik OUACHEN, créateur de la TPE INDHYA et le régional de l’étape, Pierre NAUDET, l’un des cadres dirigeants de la société familiale des Pépinières NAUDET à CHEU.

Interrogés par Benjamin LEMAIRE, lui-même créateur de l’agence évènementielle « Le Vin, Tout simplement », les intervenants purent exposer leurs points de vue personnels en apportant de multiples exemples concrets.

Parmi les sujets phare qui auront servi de trames à leurs propos : l’importance de l’eau, ressource vitale à l’existence de l’humanité, la préservation des arbres et forêts, la mise en place du pôle environnemental de l’Yonne (une création programmée en 2019 à Auxerre), le poids des nouvelles méthodologies en matière de gouvernance d’entreprises avec le management libérateur et les entreprises libérées.

Cette soirée riche en thèmes ne pouvait laisser personne dans l’indifférence.


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Présente au vernissage de la nouvelle exposition accueillie à l’Espace culturel de l’hôpital, l’édile de Tonnerre s’est dit très satisfaite de la pertinence artistique proposée par le travail de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX. Découvrant avec grand intérêt l’œuvre de l’artiste franco-suisse, Dominique AGUILAR a salué l’ingéniosité créative de la jeune femme et la qualité d’une exposition qui offre une dynamique culturelle de belle envergure à l’agglomération tonnerroise…

TONNERRE : Disposant de l’Hôtel-Dieu et s’appuyant sur la présence d’un complexe cinématographique labellisé « Art et Essai », la ville de Tonnerre possède de solides atouts à faire valoir dans le domaine patrimonial et culturel. Sans omettre l’Espace spécifique de l’hôpital, devrait-on ajouter !

Admirative devant le travail intimiste et insolite de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX, le maire de Tonnerre Dominique AGUILAR s’est félicité de la qualité des expositions qui sont dorénavant accueillies sur le site. Appréciant l’éclectisme de ses créateurs qui se posent durant plusieurs semaines dans cet antre de la culture, l’élue n’a pas boudé son plaisir de découvrir les subtiles finesses de l’imaginaire, inculquées par l’artiste, au détour d’un photogramme ou d’un tableau.


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Des échanges particulièrement vifs et virulents ont ponctué les débats de la dernière séance de l’Assemblée départementale ce vendredi 23 novembre à Auxerre dès que fut évoquée la fermeture définitive de l’antenne icaunaise de l’Ecole nationale vétérinaire à Champignelles. L’hémicycle a retenu son souffle lorsque le député de l’Yonne André VILLIERS a pointé du doigt l’inertie, selon lui inexplicable, du secrétaire d’Etat en charge des relations européennes et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, sur la défense de ce dossier qui met à mal l’enseignement supérieur dans le territoire. Pris à parti par l’ancien président du Conseil, le représentant du gouvernement a balayé d’un revers de la main ces considérations verbales en optimisant sur les réelles potentialités offertes par le site. Invitant les élus à regarder l’avenir avec confiance et courage…

AUXERRE : Etrange passe d’armes que celle dont ont été témoins les élus de l’Assemblée départementale vendredi dernier. Alors que l’ordre du jour abordait le revirement inattendu de la contribution de l’Etat dans le cadre du développement du plan numérique scolaire (voir notre prochain article), un autre sujet, beaucoup plus brûlant, devait faire une entrée fracassante dans l’hémicycle. Engendrant de sérieux remous entre deux ténors politiques de l’assistance : le député André VILLIERS et le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE.

Qualifiant « d’insulte faite à l’encontre du territoire de l’Yonne la décision de fermer l’antenne icaunaise de l’Ecole vétérinaire de Champignelles », le député UDI de la seconde circonscription a fustigé l’immobilisme incompréhensible et latent du représentant gouvernemental à propos de ce dossier.

« Une nouvelle fois, ce sont les filières d’enseignement supérieur de nos territoires ruraux qui pâtissent des décisions arbitraires prises par les ministères, s’insurgea André VILLIERS, les conséquences économiques à l’issue de cette fermeture seront très importantes pour l’Yonne. Mais qui s’en soucie réellement ? C’est un enterrement de première classe dont nous sommes tous les victimes… ».

Un dossier suffisamment défendu par les élus de la majorité présidentielle ?

Attristé par l’irrévocable décision, le député de l’Yonne rappela en aparté que les précédents gouvernements avaient toujours apporté leur soutien au maintien de l’ENVA à Champignelles. Et de renchérir de par sa qualité de tribun, sur une interrogation que beaucoup se posaient intérieurement : « est-ce que ce dossier a été suffisamment défendu par celles et ceux des élus de la majorité présidentielle qui nous représentent ? ».

Rejetant l’inutilité de la câlinothérapie faite par le Président de la République lors de sa visite au Congrès des maires, André VILLIERS fustigea l’absence de concertation du pouvoir étatique auprès des élus de proximité.

Profitant de la colère profonde du parlementaire du sud de l’Yonne, Nicolas SORET (Parti socialiste) proposa qu’un vœu officiel soit prononcé de manière officielle afin de clarifier la position de l’hémicycle.

« C’est bien qu’il y ait des déclarations de principe, devait-il marteler, mais il est temps de concrétiser ces paroles par des actes ».

Autre élue à s’être exprimée en faisant montre de son inquiétude, Isabelle FROMENT-MEURICE. Cette dernière expliqua que le centre de formation pour l’apprentissage de Champignelles (CFA) était lui aussi menacé de fermeture. La Région ayant perdu toute compétence en matière de gestion de ces établissements. Sept cents d’entre eux pourraient être concernés à l’avenir au plan national.

Présent dans l’hémicycle, Jean-Baptiste LEMOYNE ne tardait pas à réagir aux banderilles cinglantes que lui adressa le député VILLIERS.

« Ce site de Champignelles a pour vocation de poursuivre des activités pédagogiques, expliqua-t-il, le comité de pilotage qui réunit élus et parlementaires a déjà travaillé sur différentes pistes permettant la préservation de ce lieu. Grâce à ces activités complémentaires, le site pourrait être utilisé entre 40 et 50 semaines par an au lieu des 28 semaines actuelles pour la seule occupation vétérinaire… ».

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Le combat des chefs entre deux ténors de la politique

En guise de conclusion, le secrétaire d’Etat décocha une flèche implicitement envoyée vers André VILLIERS. Caractérisant la tournure hypocrite de ce débat.

Il fit un clin d’œil appuyé à l’ancien dossier de fermeture du laboratoire vétérinaire départemental IDEA à Auxerre. Une fermeture assurée par l’ancien président du Département (« celui qui est en face de moi »). Le secrétaire d’Etat conclut sur une note plus positive en précisant que différentes pistes dont certaines émanant de structures départementales se présentaient dans le dossier de Champignelles.

Mais, ce combat des chefs entre les deux orateurs devait se poursuivre dans le même état d’esprit.  Survolté, et souhaitant répondre à « celui qui était en face de lui ! », le député André VILLIERS rappela qu’il avait pleinement assumé la fermeture de l’IDEA à l’époque.

« Je n’accorde pas de crédits à ces arguments de bas étage, affirma-t-il, le travail exercé dans ce laboratoire vétérinaire avait fondu progressivement comme neige au soleil. Son activité coûtait un point de fiscalité au budget du Département. En outre, nous avons assuré le reclassement des quarante personnes qui y étaient employées. Enfin, dois-je rappeler à « celui qui est face à moi » qu’il avait lui aussi voté cette décision… ».

Et André VILLIERS de continuer avec la même véhémence orale, « je ne voudrais pas qu’il y ait un nouvel avenir à cette formation vétérinaire sur le dos des seules collectivités ! N’oublions pas que l’on ferme l’antenne à cause d’un déficit comptable… ».

Et de conclure, « je vous rappelle que cette décision illogique est une injure faite à notre département ! ». Une manière catégorique de clouer aux piloris toute velléité de réponse…

 

 

 

 

 

 


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C’est une véritable invitation au voyage vers la ville d’Auxerre que propose le professionnel de l’image avec la réalisation de ce court-métrage. Et surtout, pour celles et ceux qui l’ont déjà visionné, l’occasion de pouvoir découvrir deux des complexes hôteliers du chef-lieu du département bourguignon : l’IBIS Centre et le tout récent, IBIS Budget, qui est fonctionnel depuis le mois de juin. Le professionnel auxerrois a pu ainsi honorer avec sa touche et sa sensibilité personnelles cette commande de film, à la suite d'une sollicitation par le propriétaire des établissements hôteliers, Alain GEHIN.

AUXERRE : Derrière cette réalisation cinématographique originale, il y a surtout le signe fort d’un encouragement à la création audiovisuelle sur la région de l’Auxerrois. Un soutien qui n’est malheureusement pas à l’apanage de la réalité quotidienne.

Travaillant en parfaite symbiose avec le réalisateur de ce court-métrage, bel outil de communication sur les atouts touristiques de la ville et les potentialités offertes par la présence hôtelière du groupe IBIS, Alain GEHIN, propriétaire des deux hôtels IBIS de la rive droite d’Auxerre, était parti sur ce projet avec des idées bien précises. Instigateur du concept, il s’est rapproché du vidéaste Pascal DELAGNEAU, un spécialiste du court-métrage d’entreprise mais aussi de productions audiovisuelles relatant les évènements de la sphère culturelle et artistique.

L’objectif de ce challenge visuel, faisant la part belle à la créativité et à l’esthétisme de l’image, s’inscrivait dans une pure démarche de valorisation de la ville d’Auxerre, vue sous le prisme d’une qualité optimale de l’accueil offerte par ces deux établissements hôteliers.

Le synopsis a mis l’accent sur les opportunités offertes par les hôtels, judicieusement positionnés aux abords de l’Yonne. Mais, à travers ce documentaire, le cinéaste accentuera le trait sur la joliesse du cadre de vie présenté par la ville, sa renommée imputable à la valeur sportive et le poids d’une AJ Auxerre toujours aussi prégnante (l’un des fers de lance des préférences dans les passions qui animent Alain GEHIN depuis longtemps) et le volet festif et convivial de la ville, à travers ses animations régulières.

Une collaboration complice et fructueuse…

« Le chef d’entreprise m’a ensuite entièrement fait confiance pour la mise en scène, confie Pascal DELAGNEAU, ce fut une collaboration sympathique, vécue avec réellement de plaisir aux côtés de ses équipes, des acteurs et des figurants… ».

Techniquement, le réalisateur n’a pas hésité pour la conception de certaines prises de vue à recourir à l’emploi d’un drone. « L’idée conceptuelle sera de suivre tout naturellement le fil de l’eau, la proximité de l’Yonne, comme arcane principal et fil conducteur de ce film, précise le créateur audiovisuel.

Le résultat est proprement réussi. Les images aériennes qui permettent une vision globale insolite de l’infrastructure et de cette partie de la ville émanent de la dextérité vigilante de Pierre-Alexandre DARDOISE, gérant de la société DRONE PAD. Ce passage du court-métrage devait se faire dans les règles de l’art sécuritaire (avec l’aval de la Ville), la présence d’un ensoleillement légitime pour optimiser le rendu de l’image et sa qualité de perception, mais également sans vent qui aurait pu déstabiliser le petit appareil.

« Toutes les courtes scènes du film reflètent de ces petits moments de vie empruntés au quotidien, explique Pascal DELAGNEAU, en fait, je voulais une construction simple mais aussi très efficace… ».

S’inspirant souvent de cette impression de voyage et de balades impromptues, le réalisateur a laissé libre cours à son imaginaire pour produire le meilleur de lui-même. On le constate de facto dans la première partie de cet opus, avec la touriste qui rejoint l’hôtel à pied depuis la gare sur une note musicale de bonne tenue « On the road for holidays » de Vincent TELLIER.  Autre séquence significative : le jeune couple qui emprunte la fameuse passerelle surplombant la rivière et gagne sa chambre…

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La présence de figurants de poids dont l’inusable Guy ROUX…

La diffusion de l’« Ode à la joie », hymne musical devenu le symbole de l’Europe, la vision furtive de Guy ROUX, en figurant populaire ou l’évocation de Chablis assurent une part d’intérêt croissante à ce travail de longue haleine. Pascal DELAGNEAU a pris soin de le fignoler avec minutie. Caméra au poing, il a aussi sublimé le jeune mannequin qui avait œuvré pour l’association Cœur de Ville de Sens, dans une approche candide, et pleine de fraîcheur.

L’illustration de l’IBIS Budget s’est forgée sur la présence d’un jeune couple d’amoureux, originaire de Toulouse, en goguette le temps d’un week-end dans la capitale de l’Yonne. « Nous avons souhaité que ces jeunes gens expriment une joie de vivre, aussi bien dans leur chambre que dans notre ville d'Auxerre, argumente le réalisateur, monté avec des séquences festives, dont le festival CATALPA ou « Fleurs de vigne », Nelly et Thibaut ont joué le jeu dans une parfaite allégresse, et ça se voit ! ».

Recherchant en permanence le maximum de sincérité de ses acteurs et figurants dont Guy ROUX qui n’est plus à un film près (le charismatique ancien entraîneur de l’AJA a prêté sa silhouette à plus d’une vingtaine de réalisations), Pascal DELAGNEAU a voulu rendre crédible chaque scène de son film. Ce fut une expérience inouïe où il y aurait à raconter sur chaque moment et personne immortalisée par l’objectif de la caméra. « C’est l’humain qui a été mis en valeur, et pas les murs ou le mobilier, plaisante-t-il.

Le choix de la musique de Vincent TELLIER est prédominant. « C’est notre quatrième collaboration : elle a été très inspirante lors du montage ».

Celui-ci a été effectué à la maison ! Comme aime le préciser le cinéaste alors que la tendance actuelle, et même parfois pour de grandes marques, est de se servir sur le net pour récupérer des images libres de droits ! Un film à découvrir sur les réseaux sociaux et dans l’univers audiovisuel des établissements hôteliers, référence suivante : https://www.youtube.com/watch?v=sibJJZOxy3A   


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