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Marion peut remercier le « Petit Futé » ! C’est sa collaboration, déjà lointaine, avec le célèbre guide aux mille-et-une astuces touristiques qui lui a donné envie de passer de l’autre côté de la barrière. D’abord, dans l’hôtellerie comme réceptionniste. Puis dans le saint des saints de la promotion de la filière : une agence de développement ayant pour nom Yonne Tourisme. A 26 ans, la jeune femme vit intensément sa passion en charge des relations presse…

AUXERRE : De l’Yonne, elle ne connaissait strictement rien. Ou si peu. Peut-être les vieux clichés usuels qui circulent toujours sans prendre une ride autour de l’AJA, de Guy ROUX et du chablis. Bref, des images surannées aux antipodes de ses aspirations personnelles.

Surtout quand on est originaire de Toulouse, patrie de l’inénarrable Claude NOUGARO et du succulent cassoulet !

Toutefois, l’idée d’en apprendre davantage sur les particularismes et typicités de son nouveau département de prédilection la taraude depuis qu’elle a pris ses fonctions. Celles de responsable des relations presse, entre autres, au sein de l’agence Yonne Tourisme. Un poste ô combien névralgique dans l’organigramme de cette structure qui multiplie les opérations auprès des médias de la presse nationale, régionale et spécialisée. Sans omettre les relais d’opinion à l’international.

L’enjeu est de taille. Marion VERNHES le sait très bien en son for intérieur. Car, elle succède à une tour d’ivoire qui aura tenu la fonction avec sérieux et professionnalisme durant dix-sept ans : Stéphanie WAHL. Aujourd’hui, cette dernière a entamé un parcours formatif lui permettant de se reconvertir vers une toute autre carrière plus artisanale et dans ses appétences autour de la céramique.

Avant de quitter sa fonction, celle qui fut la passerelle obligée pour obtenir la moindre information sur les nouveautés touristiques de l’Yonne aura pris le temps de préparer sa dauphine. Dans les règles de l’art de la transmission de savoir-faire, lui inculquant au passage les trucs et spécificités propres à ce poste d’importance.

Munie d’un bachelor de tourisme dans sa besace, la jeune Marion s’est immergée par le passé au cœur de cette filière. Travaillant dix-huit mois en qualité de réceptionniste dans un établissement hôtelier cinq étoiles place du Capitole au cœur de la ville rose.

 

 

Préparer les outils permettant de lancer la saison 2021…

 

Curieuse, avide de découvertes et de nouvelles expériences, la jeune femme n’hésite pas à postuler à une offre d’emploi. Celle qui mentionne le recrutement immédiat d’une chargée des relations presse dans l’Yonne. Un territoire septentrional, loin, très loin, de la métropole toulousaine, berceau de l’aéronautique.

On connaît la suite : Marion VERNHES débute sa nouvelle carrière le 24 août à Auxerre, dans la touffeur d’une atmosphère caniculaire. Au moins, elle n’est pas dépaysée avec les températures de l’Occitanie !

Passionnée de guitare et d’ukulélé (cela ne s’invente pas !), cette férue de photographie a eu un coup de cœur pour l’Avallonnais et la vallée du Cousin. Désireuse d’en savoir plus sur le produit vedette de notre territoire, elle va suivre une formation œnologique avec le concours du BIVB, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne. Une corde de plus à son arc qui va transformer ce bagage intellectuel en une harpe nettement plus harmonieuse, on l’imagine.

Malgré le contexte actuel, Marion ne chôme pas. Travaillant avec pugnacité sur un dossier de presse spécial loisirs qui devrait assurer la promotion de notre territoire lors du « DEP Tour 2021 », programmé à Paris les 18 et 19 janvier, si tout va bien. Un évènementiel réunissant la fine fleur des médias et professionnels interpellés par la future saison qui s’esquisse. L’Yonne aura bien besoin de la fougue et du savoir-faire de la jeune femme pour figurer en pôle-position parmi les carnets d’adresse des journalistes en quête de nouvelles découvertes..

 

Thierry BRET

 


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Tristesse et désolation se sont abattues sur les épaules déjà endolories des professionnels de la restauration de l’Yonne. Ils ne comprennent plus vraiment le sens pratico-pratique des décisions gouvernementales avec ces fermetures répétitives qui nuisent à leurs chiffres d’affaires et à la pérennité de leurs entreprises. Combien de ces artisans passeront le cap de cette fatidique année 2020 ? Nul ne le sait à ce jour…

AUXERRE : Il est au bord des larmes, le président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH). Sa voix tremble. Son regard se trouble derrière ses lunettes légèrement embuées. Mais, sa détermination demeure intacte pour continuer le combat. Surtout lorsqu’il évoque le contexte ubuesque et absurde dans lequel sa corporation est tombée. De Charybde en Scylla !

Tout le monde à Auxerre connaît pourtant la bonhommie et la joie de vivre habituelle de ce chef d’entreprise, un garçon qui exprime à cette heure sa colère froide devant la foule, rassemblée sur le parvis de la préfecture de l’Yonne.

Chaleureux, enthousiaste, plaisant : Eric MOUTARD n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même. Mal à l’aise devant ce public d’artisans tout aussi malheureux que lui et d’une tristesse incommensurable. A faire pleurer dans les chaumières…

 

 

 

Affecté au plus profond de son corps et de son âme, le président de l’UMIH 89 l’avoue humblement avec ses mots qu’il peine à prononcer : il a failli mourir. Victime de cette saloperie virale qu’il a contractée et qui aujourd’hui le consume jusque au cœur de son entreprise. Sa raison de vivre professionnelle : sa brasserie, place des Cordeliers, qui présente désormais portes closes. Depuis de trop longues semaines à ses yeux, des jours et des jours de fermeture qui ressemblent à une éternité. Une petite « mort » en vérité…

 

 

Du travail et la réouverture des restaurants, un point c’est tout !

 

Alors quand Olivier TRICON, le président de la CPME de l’Yonne, présent à ses côtés, lui transmet tel un relayeur le temps de parole qui lui incombe, Eric MOUTARD se lâche. Sans fioritures et sans rond de jambes : il n’en peut plus de souffrir en silence depuis des mois.

Lui, les aides de l’Etat, il s’en moque éperdument. Ce qu’il veut en guise de revendications est beaucoup simple à comprendre : du travail ! L’ouverture de son établissement « Le Biarritz » sine die et non pas aux calendes grecques comme le prévoit le calendrier gouvernemental à partir du 20 janvier si les conditions sanitaires le permettent pour qu’enfin il puisse renaître de ses cendres, tel le Phénix qu’il est d’ordinaire.

 

 

Du travail pour vivre et redonner espoir à toute une population qui est à bout. Voilà ce que réclame haut et fort le porte-parole de l’UMIH derrière sa banderole. A ce jour, 40 % de son chiffre d’affaires se sont déjà envolés dans les limbes des pertes inéluctables. Triste à pleurer, avons-nous dit…et ce n’est pas fini.

Thierry BRET

 


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« Il faut remettre l’urgence climatique au cœur de l’actualité ! ». Il est vrai que les vagues successives qui déferlent en cascades depuis plusieurs mois sur notre quotidien (sanitaire, sécuritaire, économique…) en auraient presque fait oublier les grands enjeux sociétaux propres au réchauffement du climat. Pourtant, il y a cinq ans, 195 pays étaient signataires de l’« Accord de Paris ». Une promesse de limiter coûte que coûte la prolifération des gaz à effet de serre…

AUXERRE : Après les manifestations contre la loi « Sécurité globale » et son très décrié article 24, et les revendications professionnelles de plusieurs syndicats patronaux pour recouvrer le droit de travailler en rouvrant les établissements de l’hôtellerie/restauration, voilà le réchauffement climatique et ses conséquences apocalyptiques pour la planète Terre qui font un clin d’œil narquois à l’actualité ! Celle-ci n’en demandait pas tant, faute d’éléments informatifs à se mettre sous la dent à l’heure actuelle !

Rappel des faits : il y a cinq ans, le 12 décembre 2015, se signait dans la capitale de l’Hexagone le fameux « Accord de Paris » ! Ce texte ratifié par 195 pays dont les Etats-Unis qui depuis l’ont dénoncé sous l’ère de Donald TRUMP, visait à limiter le réchauffement climatique de la planète en diminuant la propagation des gaz à effet de serre, qualifiés de très dangereux pour notre équilibre.   

Parmi les promesses faites, pleines de bons sentiments : la limite de ce réchauffement pour qu’il se situe nettement en dessous de 2° par rapport aux niveaux préindustriels d’ici 2100.

Cinq années plus tard, soit le week-end du 11 et 12 décembre prochain, de nombreuses associations se réuniront de par le globe pour célébrer le cinquième anniversaire de cet accord.

 

 

De belles pancartes écolos et une petite bougie…

 

Un accord qui malheureusement est très loin d’avoir atteint ses objectifs initiaux alors que le scénario catastrophe nous guette en permanence avec l’accélération de la fonte des glaces, la montée des eaux, la multiplication des phénomènes météo extrêmes (ouragans, pluies diluviennes, crues rapides, sécheresse et incendies…).

Aussi, des associations qui ont pour nom « Friday for Future », « Youth for Climat », « Unis pour le Climat », « Extinction Rébellion » ou encore « Citoyens pour le Climat » en appellent à la mobilisation générale lors d’une action planétaire en faveur de la sauvegarde de la planète.

Dans l’Yonne, à Auxerre, c’est le collectif « Citoyens pour le Climat » qui servira de structure coordinatrice à l’organisation de cet évènement devant se dérouler sur les quais de l'Yonne, à proximité de la passerelle, esplanade Irène Jolit-Curie.

Leurs responsables (Laura TOURNAND et Laurane BEGUINE, pour le collectif « Citoyens pour le Climat » et Florence LOURY et Denis ROYCOURT, pour Auxerre Ecologie) suggèrent aux Icaunais de venir à cette manifestation munis de leurs plus belles pancartes aux slogans écologistes évidents et d’une petite bougie.

Ces objets joueront un rôle prépondérant lors de ce rassemblement pacifique. Chacune d’elles sera disposée sur le sol afin d’y écrire dans la langue de Shakespeare la locution suivante (« fightfor 1point5 ») ; ce qui signifie après traduction, « se battre pour les 1,5 degrés ».

Une allusion toute en lumière et en finesse au fameux signe de ralliement de cet évènement mondial…

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Pour le Jura, le manque à gagner s’élèvera à plus de dix millions d’euros. Dont 30 % se réalisent aux vacances de Noël. La fermeture des 139 remontées mécaniques qui font la joie d’ordinaire de plus de 632 000 skieurs sonne le glas pour la filière cette saison. La Franche-Comté, à l’instar d’autres territoires de montagne, n’avait pas besoin de cela : solidaire, la Région le fait savoir !

DIJON (Côte d’Or) : La nouvelle est proprement catastrophique tant au plan humain qu’économique. La fermeture des remontées mécaniques dans nos massifs montagneux prive les adeptes de ski alpin de leurs plaisirs de détente et d’évasion.

Et ce jusqu’à nouvel ordre, c’est-à-dire le 20 janvier 2021.

Date à laquelle sera réévaluée par le gouvernement la possibilité ou non en cas de persistance du coronavirus de pratiquer sa discipline hivernale préférée : le ski de descente.

Pour l’heure, deux des départements de Bourgogne Franche-Comté sont directement impacté par ces décisions. Ils tentent tant bien que mal de panser leurs plaies : le Jura et le Doubs.

Le Jura dispose de nombreuses pistes sur ses versants. Le territoire voit ainsi l’activité de cinq cents personnes se réduire à peau de chagrin. Tandis que plusieurs milliers de familles qui vivent indirectement ou directement de cette activité de loisirs par le biais de la location de matériels, l’hébergement, les commerces de proximité s’inquiètent de l’avenir. De quoi sera faite réellement cette saison de sports d’hiver ? De vache maigre, assurément.

 

 

L’ouverture des pistes de ski nordique ne fera pas avaler la pilule pour autant…

 

Plusieurs conseils départementaux de montagne ainsi que les cinq régions de l’Hexagone concernées par ces fermetures administratives (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Sud, Occitanie et Grand-Est) se sont regroupées pour engager une procédure en référé devant le Conseil d’Etat.

Un message qui se veut solidaire à l’adresse des professionnels de la filière mais aussi de protestation à la gouvernance.

S’associant à cette initiative, la Bourgogne Franche-Comté, par l’intermédiaire de sa présidente Marie-Guite DUFAY, a fait part de son total soutien aux territoires du Doubs et du Jura. Ainsi qu’à l’ensemble des professionnels de la filière.

La présidente de l’exécutif régional a qualifié cette décision (la fermeture des remontées mécaniques) comme une réelle « injustice alors que les pistes helvètes voisines sont ouvertes au public » !

Et de rappeler « qu’un équilibre entre le respect des normes sanitaires et le souci de l’activité économique des zones de montagne devait être préservé ».

Seul motif de satisfaction pour l’élue originaire de Franche-Comté, l’autorisation préfectorale donnée aux exploitants des stations de sports d’hiver de damer et tracer les pistes de ski nordique afin d’y accueillir les adeptes de cette discipline à partir du 15 décembre.

Un lot de consolation, certes, qui ne fera pas avaler la pilule au goût amer pour ces milliers de personnes frappées de plein fouet au portefeuille par ces fermetures...

 

 


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L’interprète de « La Montagne » aurait soufflé ses quatre-vingt-dix bougies le 26 décembre prochain. Dix ans après son départ, le poète à la plume tantôt sentimentale tantôt engagée manque cruellement à la chanson française en ces périodes si troublées. Gérard-André, l’un de ses dignes émules, ne pouvait ignorer cet anniversaire. Un double concert sera organisé à La Closerie les 26 et 27 décembre…sous l’égide de la poésie et de l’engagement !

ETAIS-LA-SAUVIN : « Que serais-je sans toi ? » chantait cet humaniste à la voix si fleurie et reconnaissable parmi toutes à l’adresse de sa belle. Que sommes-nous devenus sans lui ?

Une décennie après sa disparition survenue le 13 mars 2010 à Aubenas, dans sa chère Ardèche dont il affectionnait le moindre des paysages, que reste-t-il de l’œuvre intemporelle de Jean FERRAT, l’un des grands noms de la chanson française ?

Beaucoup de souvenirs et des œuvres éternelles à jamais gravées dans la mémoire collective de nos concitoyens : « Potemkine », « Nuit et brouillard », « Ma France », « Ma môme », « Une femme honnête »…

Des titres inoubliables et immortels qui revivront sur la scène du théâtre champêtre de La Closerie le temps d’un double rendez-vous. Un concert de Noël, régi sous le sceau de la poésie, de la tendresse mais aussi de l’engagement.

Une opportunité subtile de s’immerger dans l’univers de Louis ARAGON dont Jean FERRAT adaptera sur des créations musicales de toute beauté les écrits en les magnifiant de sa griffe de compositeur surdoué. Pour apprécier la ciselure toute en finesse de ces lignes mélodiques, il suffit de se remémorer l’air envoûtant de la chanson « Aimer à perdre la raison ».

Lors de ce double rendez-vous accueilli dans le petit théâtre de Puisaye, Gérard-André intégrera d’autres chansons dont celle de Pierre LOUKI, originaire de Brienon-sur-Armançon, « Y aurait-il ».

La Closerie réfléchit également à l’organisation d’une soirée hommage honorant la mémoire de la regrettée Anne SYLVESTRE disparue la semaine dernière. Prévu en 2021, ce rendez-vous pourrait se décliner sous le principe d’un « Grand Echiquier » avec la participation d’artistes de la chanson et de la musique, de personnalités du spectacle, des amis de la chanteuse et…du public.

 

En savoir plus :

Concert de Noël à La Closerie autour de l’œuvre de Jean FERRAT

Les 26 et 27 décembre à 17 heures.

Réservation indispensable

Tel : 03.86.47.28.16.

Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


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