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En cette journée du 08 mars en faveur des Droits des femmes, Europe Ecologie Les Verts réaffirme ses engagements auprès de la gent féminine pour que ses représentantes puissent faire entendre leurs voix. S’opposer au système patriarcal est l’une des priorités pour celles d’entre elles qui souhaiteraient bousculer les idées reçues. Le crédo des futures échéances électorales ?

 

DIJON (Côte d’Or) : Les écologistes font de l’égalité femme/homme un principe sociétal vertueux à défendre bec et ongles au quotidien. Un combat qui sera mené dans le cadre de leur projet pour le développement des territoires.

S’associer pleinement aux luttes émancipatrices permettant à la gent féminine de pouvoir mieux s’illustrer dans la société s’inscrit donc parmi les idées que le mouvement véhicule autour de lui.

Pas étonnant que la tête de liste de la prochaine échéance régionale soit justement l’une de ses porte-voix en la personne de l’ancienne candidate à la municipalité de Dijon : Stéphanie MODDE.

Aux côtés de l’Icaunais Mathieu BITTOUN, chef de file de la liste départementale dans l’Yonne, la candidate s’engage pour que la région se féminise davantage.

 

 

Partant du postulat que les femmes sont plus solidaires, plus paritaires, voire plus humaines parfois, EELV veut inventer de nouveaux modèles de cohabitation entre hommes et femmes qui se situent en horizontalité.

Des collectifs de femmes agissent désormais au nom de l’agro-écologie, protégeant ainsi les semences, l’eau et les ressources naturelles. Elles se mobilisent aussi dans les luttes environnementales contre le nucléaire, contre les problèmes de santé, pour la sécurité alimentaire.

Bref : EELV incite à l’écoute de ces femmes qui ont des choses à dire et qui veulent transformer notre vieille société érigée sur le patriarcat. Et sa vision capitalistique de l’économie…

 

Thierry BRET

 

 


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A l’instar de Louis XIV et de ses successeurs, qui sera le prochain « roi-président » à avoir l’audace et le courage de le déclarer ? L’historien François FURET avait raison. La Constitution de 1958 n’est que le reflet d’une monarchie constitutionnelle. Les deux grands monarques de la Vème République furent incontestablement Charles de GAULLE et François MITTERRAND ! La réforme constitutionnelle intégrera-t-elle le programme de certains candidats ? Quel est l’état des lieux aujourd’hui ? A quelques mois de l’échéance présidentielle, le pays entre dans une période de turbulences, ponctuée de sondages de toute nature…

 

TRIBUNE: Si l’élection avait lieu à date, pour certains instituts de sondage, Marine Le PEN gagnerait le premier tour des élections présidentielles du printemps 2022. Le sortant, Emmanuel MACRON, l’emporterait ensuite au second tour. Du déjà vu après le scrutin de 2017.

Mais, d’autres sondages donnent une tendance inverse ! Toutefois, le plus intéressant mais ô combien inquiétant est que plus de 70 % de nos compatriotes ne veulent pas d’un nouveau duel entre ces deux candidats. Sur le plan des idées, on voit disparaître le clivage traditionnel socialisme/droite libérale. MACRON a réussi à faire croire que les idéaux de gauche ou de droite n’ont plus aucun sens et qu’il faut se situer au-dessus des partis ! Mais quel idéalisme et pour quelle idéologie ?

L’idéal donne la priorité à l’homme, au citoyen. L’idéologie risque d’enfermer l’humain dans un sectarisme historique.

A part quelques doux rêveurs, ceux du « grand soir », le communisme et ses approches marxistes-léninistes n’ont engendré que des dictatures et des faillites économiques retentissantes.

 

Pour être écologiste, il faut être forcément socialiste !

 

De son côté, la pensée libérale et capitaliste prônée par Adam SMITH et Milton FRIEDMAN porte les germes des disparités, des inégalités et des révoltes sociales.

Henri JANSON avait raison : « Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme, le communisme, c’est le contraire ! ».

Que dire de l’écologie ? Nous sommes loin du philosophe naturaliste Henry David THOREAU qui passe pour être un précurseur de ce modèle de pensée. Le problème français fixe l’écologie dans les bornes d’un socialisme dit « républicain », anticapitaliste et prompt à créer des déficits économiques pour des raisons idéologiques.

Il existe un décalage entre les aspirations nationales, en matière de respect de la nature et des décisions qui paraissent aux antipodes de la raison : fermeture immédiate des centrales nucléaires, interdiction des sapins de Noël, suppression des caméras urbaines pour la sécurité…

 

 

Le mouvement des « Gilets jaunes » va naître précisément de l’application d’une taxe sur l’essence en faveur de l’écologie. Or, les aspirations de notre jeunesse, en matière écologique, ne sont pas prises en compte par Europe Ecologie Les Verts. Le non-sens, c’est que pour être écologiste, il faut être socialiste !

Rassurons-nous, les partis politiques traditionnels répondent aussi très partiellement aux aspirations des Français !

Le taux d’abstention le démontre. Finalement, le président est élu par une minorité d’électeurs qui, depuis les années 1980, ne vote pas pour tel candidat mais contre les autres. C’est ainsi que la France est devenue ingouvernable.

 

Une configuration d’autodestruction à gauche ?

 

 

Au Parti Socialiste, on confronte une mosaïque d’idées éparpillées façon puzzle. Pas ou peu d’idées centralisatrices, capables de fédérer le PS autour d’un candidat incontesté. Ségolène ROYAL a bien été tentée par l’aventure d’une campagne de primaire, avec Jean-Christophe CAMBADELIS et Christiane TAUBIRA. Ces deux-là se voient pousser des ailes !

Si François HOLLANDE semble exclu de la compétition, Olivier FAURE (actuel secrétaire général du camp socialiste) souhaite une alliance avec les Verts, tandis que Benoît HAMON envisage un rapprochement avec Jean-Luc MELENCHON.

Quant au tandem Anne HIDALGO/Yannick JADOT, il n’aboutira pas à inverser la situation déliquescente de la gauche. Afin de calmer le jeu, Julien DRAY estime qu’il est nécessaire de s’unir autour « d’idées forces » avant de désigner un candidat possible. Grâce au lancement de la « primaire des idées ».

Mais, en embuscade, pointe Arnaud MONTEBOURG qui poursuit allègrement la tournée de promotion de son dernier livre avec séances de dédicaces et rendez-vous médiatiques à la clé.

On n’est en plein flou artistique et dans une configuration d’autodestruction à gauche. Cerise sur le gâteau : le PS se familiarise avec les contraintes d’un néolibéralisme subit. Un plan social se préfigure au sein de la structure du parti. Les finances sont au plus bas et la dette importante : ce qui risque de compromettre la future campagne présidentielle.

Du côté de Jean-Luc MELENCHON, La France Insoumise rêve toujours du « grand soir » hypothétique. Après « l’Etat, c’est moi », le slogan du patron de LFI est devenu : « la République, c’est moi !».

Crise sanitaire oblige, Jean-Luc MELENCHON pourra développer son don d’ubiquité grâce à la technique des hologrammes ! Il compte bien en user et en abuser ! Il ne croit guère à une candidature unique de la gauche, si ce n’est l’espoir d’un rapprochement avec les communistes.

A ce jour, le leader de La France Insoumise ne peut engranger que 9 % des voix ! Une candidature unique à gauche change profondément la donne avec 25 à 30 % de voix possibles au premier tour !

Le Parti Communiste, enfin, oscille entre le soutien à Jean-Luc MELENCHON, comme en 2017, ou la présentation d’un candidat unique. La décision sera prise lors d’un vote les 07 et 09 mai 2021. Le PC a vu, à partir des années 1970, son influence diminuer et réduite à la portion congrue.

On peut la corréler à la fin du monde ouvrier, de ses grandes luttes syndicales, CGT en tête, tout au long de la première moitié du vingtième siècle. La désindustrialisation de la France parachève définitivement le phénomène. Le communisme en Russie a perdu sa substance. Les Italiens ont supprimé le mot « communiste » de leur parti historique. Quant aux Chinois, ils ont inventé, le « communisme capitaliste ». Il faut être chinois, d’ailleurs, pour comprendre. Il n’y a qu’en France, finalement, où le mot communiste perdure et est toujours rattaché à son parti originel…

 

Jean-Paul ALLOU

 

En savoir plus :

 

Le second volet de la tribune à paraître la semaine prochaine portera sur l’état des lieux des forces de droite…

 


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D’ici 2030, plusieurs centaines de trains à hydrogène sillonneront la France. Ils relieront les villes attractives des grands bassins régionaux aux plus petites des dessertes. Une prouesse technologique en forme de cocorico pour notre savoir-faire industriel qui souhaite prendre ainsi une longueur d’avance sur la concurrence. Les Américains et les Chinois sont d’ores et déjà prévenus ! L’Hexagone ne loupera pas le coche de l’alimentation par hydrogène de ses transports ferroviaires. Un message clair réaffirmé par le ministre Jean-Baptiste DJEBBARI…

 

AUXERRE : Les trains à hydrogène entreront en service dès 2023 sur plusieurs territoires de l’Hexagone. Après une série de tests établis, durant le laps de temps qui nous sépare de cette échéance. Des opérations minutieuses qui se réaliseront en toute logique, avant la mise en application de cette nouvelle technologie.

Or, on se souviendra longtemps à la lecture des ouvrages retraçant l’historique de ces étapes évolutives des moyens de locomotion que le premier bon de commande signifiant l’achat des trois rames initiales alimentées par de l’hydrogène fut signé dans la capitale de l’Yonne.

A Auxerre, précisément, dans « ce petit joyau placé dans un bel écrin » comme devait le qualifier la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY lors de la cérémonie protocolaire de la signature de cette triple acquisition.

Pour autant, le message adressé à la concurrence internationale est sans appel. La France est fin prête à relever le challenge mondial de la transition énergétique, notamment celui de la mobilité.

Quatre régions en deviennent désormais ses meilleures ambassadrices : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est, Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté. 

« Ce sont des territoires d’expérimentation avec des élus qui ont su s’engager vers cet audacieux pari, souligne le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI.

 

 

La BFC pionnière en la matière ? Elle a su investir depuis longtemps…

 

Lors de son périple de quarante-huit heures dans trois des départements bourguignons (la Saône-et-Loire n’était pas concernée par la visite ministérielle), le représentant de l’Etat a salué « ces faiseurs d’innovation » que sont les élus territoriaux et leurs partenaires de la sphère économique.

Pourquoi la Bourgogne Franche-Comté est-elle pionnière en la  matière ? Réponse du ministre à brûle-pourpoint : « Parce qu’elle a su investir dans le transport urbain et ferroviaire en sachant mobiliser les moyens humains et financiers… ». Et de féliciter deux des acteurs de cet engagement qui ont su s’employer à cette mobilisation dont on récolte aujourd’hui les fruits : le premier vice-président de la Région Michel NEUGNOT et la présidente Marie-Guite DUFAY.

 

 

Toutefois, l’Etat n’est pas étranger non plus à ce succès. Il a injecté la coquette somme de sept milliards d’euros à l’accélération de ce concept « hydrogène ».

Face à une crise sanitaire, devenue entre-temps un vrai accélérateur des évolutions comportementales dans nos modes de consommation avec une pression sociale forte, les réponses à apporter en haut lieu ne pouvaient être que déterminées et importantes. Notamment sur le sujet de la mobilité.

 

 

 

Sept milliards d’euros dans le concept : pas du saupoudrage…

 

« Ce plan de relance de sept milliards n’est pas un énième saupoudrage comme on a pu déjà l’observer sous d’autres cieux et dans d’autres temps. Il s’agit de concentrer ses efforts sur ce qui va créer de la valeur ajoutée à notre société… ».

Le ministre cite alors des technologies où certains acteurs économiques nationaux ont su prendre leurs marques et faire la différence avec la concurrence internationale. C’est le cas pour les fabricants d’électrolyseurs ou des liquéfacteurs.

Mener à armes égales la bataille qui est dûment engagée sur la maîtrise de ce nouvel eldorado que représente l’or « vert » (le marché exponentiel de la transition écologique) est l’une des priorités de l’Etat français.

« C’est maintenant que tout se joue, résume Jean-Baptiste DJEBBARI, le plan « France Relance » nous permet d’accélérer le temps et de mobiliser des financements publics et privés extraordinairement importants. Ces investissements  nous permettront de préserver les avantages que nous avons déjà acquis en la matière et qui sont bien réels sur d’autres pays… ».

L’Etat joue donc la gagne en misant sur l’essor des trains à hydrogène sur le domaine de l’économie. Par les temps qui courent, soyons unanimes, personne ne s’en plaindra !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Les images sont affligeantes de vérité. Et se passent de commentaires ! Sans filtre, elles traduisent le mauvais comportement des automobilistes qui multiplient au détour des voies d’accès de notre territoire les infractions en tout genre. Ici, c’est un stop qui n’est pas respecté à une intersection. Là, le conducteur se moque comme de sa première chemise du feu rouge qui doit l’immobiliser. A visionner sans modération…

 

AUXERRE : Le département de l’Yonne possède depuis des lustres des caractéristiques surprenantes dans le domaine de la sécurité routière. Avec un nombre de décès qui dépassait encore les quarante disparus la saison dernière, notre territoire caracole allègrement dans le peloton de tête des bonnets d’âne du non-respect du Code de la Route.

C’est l’un de ces territoires où il est très dangereux de circuler dans l’Hexagone, triste constat.

D’ailleurs, plus de 30 % du nombre d’accidents qui surviennent sur l’une de nos voies de communication, sont imputables au non-respect dudit référent officiel que tout bon automobiliste devrait sinon connaître à la perfection, dûment appliquer au quotidien en le maîtrisant. Or, rien ne vaut le visuel pour observer les faits que l’on nous reproche !

Aussi, la coordination de la Sécurité routière de l’Yonne, avec le concours de la Direction départementale de la Sécurité Publique d’Auxerre a fait le choix pour lutter avec davantage d’efficience contre ce phénomène exponentiel d’année en année de promouvoir une action de sensibilisation différente. Mais, plus réelle et percutante.

 

 

S’appuyant sur la participation de l’Ecole nationale de police de Sens, l’organe qui émane des directives de l’Etat a réalisé un court-métrage contenant des images capturées sur nos routes. Un florilège de situations dangereuses dénuées de tout civisme qui est destiné à favoriser une prise de conscience collective.

Malheureusement, le clip n’a pas lieu d’être dans un bêtiser ou à être classifié parmi les perles rares d’un vidéo-gag. Même si l’on visionne parfois des images pittoresques lorsque deux adolescents empruntent la même trottinette pour se mouvoir sur la route.

S’il faut en passer par là pour réduire le nombre de morts, alors oui : il faut regarder ce documentaire à de multiples reprises et s’en imprégner de manière subliminale. Avant de s’asseoir devant le volant.

Peut-être que la prise de conscience collective passe obligatoirement par ce chemin…

 

En savoir plus :

Le lien pour visionner la vidéo est le suivant :

 https://www.youtube.com/watch?v=Cl3ZtoGx6pQ

 

Thierry BRET

 


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Rares étaient les représentants du sérail politique à soutenir en présentiel l’appel à la mobilisation générale des organisations du spectacle ce jeudi 04 mars sur le parvis du théâtre d’Auxerre. Tout au plus, on dénombrera durant cet exercice protestataire contre l’atteinte aux libertés et à la privation culturelle la participation de deux figures locales : l’écologiste Denis ROYCOURT et le coordinateur départemental des Nouveaux Démocrates, Rachid EL IDRISSI…

 

AUXERRE : Mais où étaient donc passées les élites de la classe politique icaunaise, toutes obédiences confondues, en ce milieu de matinée ce jeudi ? Visiblement, ils avaient mieux à faire ailleurs que de soutenir de manière physique l’évènement contestataire proposé place François Mitterrand, à l’appel unitaire des organisations du spectacle.

L’évènementiel était ouvert aux professionnels de la filière, certes, mais être le plus hétéroclite dans sa représentativité n’était pas incompatible, loin s’en faut, avec son bien-fondé.

On aura beau chercher et scruter parmi la foule d’environ deux cents personnes réunies sous les rayons salvateurs d’un soleil matinal (ce qui conférait un peu de gaîté à l’ensemble), peu de politiques s’y distinguaient réellement pour demander la réouverture des salles de spectacle.

Tout juste, aperçut-on parmi les rangs de ces férus de théâtre, de poésie et de manifestations artistiques en provenance de tout le département deux figures de cette sphère pourtant très représentative d’ordinaire qui brillait curieusement par son absence.

 

 

 

Discutant avec des intermittents du spectacle, l’écologiste Denis ROYCOURT était l’un deux. Il n’hésitera pas à s’avancer vers l’estrade pour être parmi les premiers signataires de la pétition officielle réclamant la réouverture de toutes les salles de spectacle de France et de Navarre.

Lui emboîtant presque le pas, dans une file adjacente, le coordinateur départemental de la nouvelle formation politique, apparue en décembre dernier (les Nouveaux Démocrates), Rachid EL IDRISSI retira un stylo de la poche intérieure de son veston avant d’apposer sa griffe au bas du document qui se noircissait petit à petit de paraphes.

Bref, c’était l’opportunité idéale pour ce nouveau soutien aux idées véhiculées à travers ce mouvement par les députés Aurélien TACHE et Emilie CARIOU de s’illustrer publiquement en soutenant la cause culturelle et la défense de ses valeurs. Un premier engagement public à conserver dans les annales…

 

Thierry BRET

 

 


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