Nous autres, les Français, sommes, c’est bien connu, les meilleurs du monde. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les multiples débats dont la télévision nous abreuve à longueur de journée. Nous sommes à l’origine des Droits de l’homme. Nous avons fait la Révolution qui a été un modèle vertueux pour l’ensemble de la planète. Nous avons été en Europe dont nous sommes à l’origine de la vision moderniste le « Peuple des Lumières ». Oui, nous sommes vraiment excellents ! D’ailleurs, que serait le monde sans nous ? On se le demande !
TRIBUNE : Récemment, dans son émission intitulée « 28 Minutes », Élisabeth QUINT a réuni quelques beaux esprits sur un sujet qui mérite toute notre attention : la situation en Syrie. On y parlait du retrait des Américains et, par conséquent, de l’abandon des Kurdes qui avaient combattu contre DAESH. Avec nous et dans notre intérêt.
« Et maintenant, on les laisse tomber ! ». Mais, ne nous inquiétons pas trop, ils ont l’habitude depuis un siècle de ce revers de la médaille...
Ce qui était intéressant à l’écoute de ces conciliabules, c’était d’entendre nos philosophes d’un soir condamner les Américains d’avoir abandonné leurs alliés : « Personne ne pourra plus jamais leur faire confiance » disait-on en substance. Comme dans une affaire, datant d’il y a deux mille ans, il n’y avait pas assez de pierres à jeter sur la coupable, en l’occurrence, une femme adultère. Cela a même donné une expression que l’on retrouve dans toutes les langues : « Que celui qui n’a jamais pêché, jette la première pierre… ».
Mais nous autres, les Français, nous avons une formidable réserve de pierres à jeter. Et nous ne nous en privons pas ! Nous en jetons beaucoup aux autres et, comme il nous en reste quelques-unes dans la besace, nous les utilisons pour nous les jeter entre nous !
Ainsi, certains reprochent à d’autres l’abandon des Harkis, l’une de nos hontes nationales dont on a du mal à faire la repentance.
En grand pourfendeur de celles et ceux qui dirigent (mal) notre pays devant l’Eternel, Philippe de VILLIERS rappelait récemment cette bien triste affaire. Et puis, il y a désormais le cas similaire des Afghans.
Que la journaliste d’investigation Élise LUCET, dans sa remarquable émission « Envoyé spécial », a intitulé : « Les oubliés de Kaboul ». Ils sont Interprètes, magasiniers, ouvriers… près de 800 travailleurs afghans ont ainsi aidé les soldats français déployés dans leur pays. Aujourd’hui, considérés comme des traîtres, ils sont menacés de mort par les talibans. Leurs demandes de visa sont rarement acceptées. Ils accusent l’armée tricolore de les avoir abandonnés à leur sort…
Le premier devoir de l’homme est de respecter autrui…
Il y a six mois, un magazine a cité le cas d’un interprète afghan qui venait d’être abattu par les talibans. La mort de ce pauvre homme laissait une veuve prostrée dans la douleur et la misère, ainsi que trois enfants. Un de nos grands dirigeants a-t-il eu l’idée de l’accueillir en France et de lui verser une pension pour qu’elle et ses enfants puissent vivre dignement, après les immenses servis rendus à la patrie par son valeureux époux ?
En fait, toute notre histoire est truffée de ces abandons honteux. Lors des guerres d’Italie au XVIe siècle, un certain Machiavel avertissait déjà ses compatriotes de la versatilité des Français : « Ils vous soutiennent aujourd’hui ; ils vous abandonneront demain… ». Le jugement était déjà sans appel.
Mais revenons-en aux Afghans et à un autre membre de la famille de VILLIERS : le général Pierre de VILLIERS, ancien chef d’état-major de l’armée française. Le général est précisément l’auteur d’un excellent ouvrage: « Qu’est-ce qu’un chef ? ». Dans cet opus, le militaire originaire de Vendée affirme : « Le premier devoir de l’homme est un devoir, celui de respecter l’homme… ». On ne peut que souscrire à cette affirmation qui nous élève.
Oui, mais, Mon général, m’est-t-il permis de vous adresser cette question : « N’est-ce pas un devoir que de respecter les Afghans qui ont servi l’armée française ? ».
J’en ajouterai une seconde toute aussi pertinente.
« N’est-ce pas votre devoir à vous, chef de l’armée française en Afghanistan, de sauver les 800 travailleurs afghans ? Nous, Français, trouverons-nous enfin un chef qui rompe avec cette honteuse tradition d’abandonner, celles et ceux qui nous ont fait tant confiance ? ».
Mon général, êtes-vous ce chef ?
Philippe de VILLIERS, vous qui déplorez l’abandon des Harkis : « Etes-vous prêts à utiliser de toute votre influence pour que les gens qui ont fait confiance et servi la France soient accueillis dans notre pays et, ainsi, sauvés d’une mort certaine ? ».
Messieurs Pierre et Philipe de VILLIERS, à vous de remplir votre devoir et de nous montrer le chemin de l’honneur retrouvé…
Emmanuel RACINE
Le vingtième anniversaire du rapprochement fraternel entre les villes d’Auxerre et de Plock se concrétisera par l’organisation d’un séjour touristique à travers la Pologne du 22 au 29 juin. Une opportunité de découvrir un pays très proche de la France, côté cœur, et de tester le savoir-faire logistique de la Maison des Jumelages et de la Francophonie qui en sera l’organisateur…
AUXERRE : C’est un circuit de près de mille kilomètres à travers ce vaste état de l’Europe orientale qui sera proposé en ce mois de juin. Originaire de la ville de Plock (importante agglomération industrielle située à l’ouest de Varsovie), et responsable pour l’association des relations avec la ville jumelle d’Auxerre, Grégoire JAKUBOWSKI est le coordinateur de ce voyage instructif.
Il en a confié la programmation sur place à une agence de tourisme qui a concocté un circuit haut en couleurs et au dépaysement garanti, allant de Varsovie à Cracovie.
La Maison des Jumelages et de la Francophonie entretient des liens ténus avec la ville de Plock. Par le biais d’échanges artistiques, sportifs, culturels et économiques. Le séjour sera articulé autour de la culture et du patrimoine, pour célébrer comme il se doit cet anniversaire de jumelages lors du passage à Plock et s’imprégner ainsi de la riche histoire polonaise.
Mais, les participants à ce séjour (ouvert à tout public) pourront découvrir notamment Wroclaw, la vieille ville de Cracovie et la mine de sel sculptée de Wieliczka. Tous trois sont des sites remarquables classés au Patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore la demeure de Frédéric Chopin à Sanniki.
Pour en savoir plus sur le programme et les conditions de participation, il faut s’adresser avant le 10 avril à la Maison des jumelages et de la Francophonie d’Auxerre au 03 86 51 75 95 ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Depuis plusieurs mois, la monde médiatique est en ébullition et se fait l’écho des affaires de pédophilie qui enflent au sein de l’Eglise catholique, apostolique et romaine dans le monde occidental. Les victimes ont parlé et le couvercle a sauté. Dans cette affaire sinistre, il convient de distinguer la question de la pédophilie et celle de la non-dénonciation de ce crime abject…Deux éléments bien différents, en vérité…
TRIBUNE : Parlons de la pédophilie d’abord. Elle est aussi vieille que le monde. C’est d’ailleurs un mot grec. Faisons donc un saut en arrière de vingt-cinq siècles et relisons « Le Banquet » de Platon où l’amour des jeunes gens est abordé sans complexes : « Ceux qui se réclament de l’Aphrodite populaire aiment les femmes aussi bien que les hommes et les jeunes garçons. Ils aiment le corps plus que l’âme. Ceux qui se rattachent à l’Aphrodite céleste n’aiment que les hommes parce qu’ils ont plus de vigueur et d’intelligence que les femmes, (je suis obligé de citer le texte de Platon in extenso !). Ils n’aiment les jeunes garçons que lorsqu’ils commencent à être intelligents. Ils préfèrent leurs âmes à leurs corps. (…) Chaque ancienne moitié recherche désormais sa moitié complémentaire, d’où les trois formes d’amour possible : homme-femme, homme-homme, femme-femme. Pour ceux qui s’arrêtent aux apparences, Socrate est celui qui recherche les jeunes gens. Ceux qui sont plus perspicaces ne manqueront pas de se demander plutôt pourquoi Socrate retient les jeunes gens. Ils comprendront alors que Socrate « figure » (au sens rhétorique) tout ce qu’on recherche dans la quête amoureuse… ». Un peu plus loin, Platon pose la question suivante : « Le précepteur doit-il être également l’amant de son élève ? ».
Ainsi, dans le monde grec, l’amour pour les jeunes gens, voire les jeunes garçons, était chose naturelle. Mais, ce qui apparaissait comme normal à cette époque ne l’est plus aujourd’hui. La pédophilie est devenue un crime pour les adultes qui la pratiquent, et une blessure indélébile qui ne se referme pas pour ceux qui l’ont subie…
L’expérience, la somme des erreurs que l’on a commises…
Ensuite, il convient de dire qu’associer la pédophilie au célibat, en l’occurrence à celui des prêtres, est une grave erreur. Dans quelques pays d’Asie, notamment au Cambodge et en Thaïlande, et dans une certaine ville d’Afrique du Nord ainsi qu’à Cuba du temps du dictateur Batista et de nouveau lors de l’ouverture au tourisme amorcé par Fidel Castro, la pédophilie ou, plutôt, le marché de la pédophilie pour étrangers, a fleuri.
J’en ai été le témoin à La Havane en 1996. Cuba ne vendant plus ses cannes à sucre aux Russes a recommencé de commercialiser des filles de tout âge et de jeunes garçons aux touristes… Puis, conscient que le pays avait ouvert les portes de Pandore au n’importe quoi, le gouvernement cubain a remis de l’ordre. Attirer des devises, oui ! La démocratisation de la prostitution à outrance, non ! La vente des enfants cubains à des occidentaux dépravés ne s’inscrit plus parmi les priorités de la ligne politique du parti au pouvoir.
La pédophilie demeure une tare inéluctable de l’espèce humaine. Et, l’on n’en sera pas quitte pour autant avec cette grande lessive médiatique. La question qui se pose désormais est simple mais implacable : comment faire pour que cela ne se reproduise plus ?
« L’expérience, disait Oscar Wilde, c’est la somme des erreurs que l’on a commises ». Mais, a ajouté un jour le directeur général de mon entreprise, « que l’on n’a pas le droit de refaire… ». Pour cela, il me semble que deux mesures simples mais rigoureuses doivent être prises au sein de l’Eglise : la première consiste à mettre en place un réseau de psychologues au service du clergé en invitant tout religieux qui détecte en lui-même une tendance à la pédophilie à prendre contact avec l’un de ces praticiens. La deuxième mesure réside dans la rédaction d’une charte précisant les actions qui doivent être prises à tous les niveaux de la hiérarchie dès qu’un soupçon de pédophilie se fait jour dans l’une des branches de cette vénérable institution séculaire.
On pourrait confier à l’Ordre des jésuites la mission de créer le réseau de psychologues, d’en assurer le suivi et d’élaborer la charte. La psychologie et l’énergie ont été leurs attributs principaux depuis six siècles.
Prenez connaissance de l’histoire des « Réductions » en Amérique latine où ils furent les seuls au cours de la colonisation à défendre énergiquement les indigènes… et lisez le livre de Jean Lacouture, « Les Jésuites ».
D’ailleurs, peut-être avez-vous entendu dire qu’ils viennent de placer l’un des leurs à Rome, à la tête de l’Eglise catholique, apostolique et romaine ! Signe des temps d’une évolution favorable au retour de la morale ?
Emmanuel RACINE
Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…
FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.
Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.
Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.
Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.
Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.
L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…
Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.
Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.
D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.
Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.
La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.
Il y a maintenant vingt ans, la société NISSAN allait droit vers la faillite. Un fleuron de l’industrie automobile japonaise prenait le chemin du cimetière des éléphants. Le Japon, comme l’Allemagne, après avoir été dévasté par la guerre, caracolait de nouveau à la tête des nations industrielles dans le monde. La France, elle, continuait son petit bonhomme de chemin, avec une industrie à sa place où depuis des siècles, nous enregistrions de belles réussites…
TRIBUNE : Disposant de belles PME actives, de quelques grands groupes industriels et de régions industrieuses, la France, face aux pays anglo-saxons, l’Allemagne d’abord puis le Japon, n’a jamais fait vraiment le poids. Depuis toujours, le déficit du commerce extérieur demeure un problème lancinant pour nos dirigeants politiques.
La régie Renault, symbole du « Colberto-étato-techno » culturel français, tenait pourtant sa place sur le marché français de l’automobile. Mais, ce système ne brillait guère à l’étranger. Aussi, peut-on être admiratif pour son patron de l’époque, Louis SCHWEITZER, d’avoir osé ce formidable défi : tenter de faire sauver Nissan par la marque aux losanges.
Exactement vingt ans plus tard, l’alliance « Renault-Nissan-Mitsubishi » est devenue le premier constructeur mondial d’automobiles. C’est le pari de Louis SCHWEITZER et l’œuvre de Carlos GHOSN. Le choix de ce dernier est également à mettre à l’actif de Louis SCHWEITZER. Fermez le ban !
Donc, en l’espace de deux décennies ans, un franco-libano-brésilien a su créer le premier groupe automobile du monde à partir d’une entreprise au bord du dépôt de bilan, d’une régie qui ne jouait pas vraiment dans la cour des grands en lui enjoignant un troisième groupe automobile japonais. Petit rappel en quelques chiffres : en 2018, Nissan a produit 5,81 millions de véhicules, Renault en a sorti 3,76 millions de ses usines et Mitsubishi à peine 1,03 million.
Ce n’est pas rien. Mais une évidence saute aux yeux. Dans cet ensemble, les Japonais produisent 6,84 millions de véhicules et les Français 3,76 millions de modèles. Vous avez tout compris...
Les Japonais veulent bouger les lignes sans ménagements pour leurs partenaires…
Et le champion de tout cela a été arrêté à sa descente d’avion à Tokyo pour malversations financières personnelles. On ne sait pas exactement ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Et ce qu’on lui reproche véritablement…
En revanche, personne de sérieux ne peut croire que les dirigeants de Nissan pouvaient ignorer cela depuis des années. Le Japon, comme chacun sait, est une société encore féodale. Les liens entre les grandes entreprises, les hauts fonctionnaires, et la classe politique forment un réseau inextricable.
Aussi, cette affaire relève du drame shakespearien tel Macbeth. Les Japonais veulent reprendre le pouvoir et tout bousculer sur leur passage. Contrairement à toutes les déclarations sur la pérennité de l’Alliance, le drame shakespearien ne fait que commencer.
Les Japonais veulent changer les choses sans ménagements pour leurs partenaires français. Avec tous les risques que cela comporte…
Quelques chiffres mettent en évidence que cette alliance était devenue au fil des ans déséquilibrée.
Renault détient 43,4 % de Nissan tandis que Nissan ne détient que 15 % de Renault. De plus, l’État français, profitant d’une loi de circonstance, dite loi Morhange, bénéficie de droits de vote double chez Renault. Nissan est donc le deuxième actionnaire de Renault après l’État français.
En contrepartie de cette situation, pour le moins bancale, Renault s’est engagé à ne jamais s’opposer à la direction de Nissan au sein du conseil d’administration de Nissan.
Certes Carlos GHOSN a été frappé par la malédiction grecque : « Zeus rend fou ceux qu’il veut perdre… ». Il a donc trop tiré sur la ficelle des avantages personnels. Mais la question n’est pas là. Quels que soient ses torts sur le plan fiscal et celui de l’éthique. Non, la vraie question reste la vision réelle de l’Alliance qu’ont les Japonais.
Prenons notre place dans ce théâtre shakespearien de l’automobile et voyons la suite de cette pièce en plusieurs actes qui ne fait que commencer, contrairement à tout ce qu’on nous raconte. Comme le disait le maître de la littérature britannique, ce sera « very exciting » à suivre !
Emmanuel RACINE