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Disposant d’une vitrine d’exposition qui sera présentée lors du salon des seniors les 05 et 06 octobre à Auxerre, le leader national de la distribution de produits orthopédiques et médicaux incitera les visiteurs à parcourir des kilomètres sur un vélo d’appartement. Au profit d’une noble cause : la recherche en faveur de la lutte contre le cancer…

AUXERRE : A chaque coup de pédale, c’est un geste supplémentaire au bénéfice de la recherche contre le cancer qui sera réalisé. Invitant les visiteurs du prochain salon des seniors à se mobiliser en faveur de cette cause, CAP VITAL SANTE espère récolter par ce biais, soit parcourir le plus grand nombre de kilomètres sur un vélo d’appartement, un joli pécule (un euro pour un kilomètre réalisé). L’enveloppe sera remise in fine aux responsables de la Ligue départementale contre le cancer de l’Yonne.

Pour la seconde édition de cet évènementiel auquel le distributeur de matériels et équipements paramédical et médical accorde son crédit, il s’agira de joindre l’utile à l’agréable. S’adonner à la pratique d’un exercice physique tout en relevant un sérieux défi basé sur l’altruisme !

Une idée séduisante qui plaît à la responsable de l’enseigne CAP VITAL SANTE à Auxerre, Amandine PACIELLO. D’ailleurs, le déroulé de cette action solidaire ne sera pas la seule surprise concoctée durant ce rendez-vous automnal.

Le stand sera conçu selon le schéma de la perte d’autonomie. Sous la forme concrète d’un appartement témoin de 70 mètres carrés. Le public pourra y flâner en découvrant les subtilités techniques existantes à ce titre-là.

Un simulateur de vieillesse dont le port se présente sous la forme d’un gilet pourra être testé au cours de cette manifestation.

 


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Le spécialiste de la bureautique, de l’informatique et de la commercialisation de fournitures de bureaux et d’ustensiles scolaires entame ce nouvel exercice avec beaucoup d’optimisme. De jolis contrats sont venus confirmer récemment la bonne vitalité de cette structure professionnelle, en place à Auxerre et dans l’Yonne depuis plus d’une décade. Les perspectives de développement se présentent sous de bons auspices pour son dirigeant, David PARIZOT. Ce dernier, responsable de la communication du « Club 15 », outil relationnel au service du Rugby Club Auxerrois, a effectué sa rentrée officielle il y a quelques jours sur le Sénonais lors d’une rencontre qui réunissait les chefs d’entreprise inféodés au réseau Entreprendre Bourgogne…

GRON : Détendu et satisfait de reprendre ses activités professionnelles, et promotionnelles en faveur de son club sportif de prédilection, le RCA (Rugby Auxerre Club) dont il anime le club d’affaires, David PARIZOT a débuté cette période de rentrée sous de bons alois. La société qu’il dirige depuis plus de dix ans ne connaît pas d’essoufflement dans sa propension à exercer son professionnalisme.

Bureautique, informatique, solutions technologiques, matériel de reprographie…OXO 89 est également passée maître dans l’art et la manière de vendre des fournitures. Qu’elles soient purement scolaires ou destinées à agrémenter les bureaux administratifs. Professions libérales, organismes publics, entreprises de services et industrielles mais aussi particuliers lui ont fait confiance dans cette relation privilégiée que cet entrepreneur communiquant a su décliner depuis tant d’années autour de lui.

De belles opérations avec le tissu professionnel local…

Profitant des retrouvailles du réseau Entreprendre Bourgogne, accueilli par un autre acteur économique qui possède le vent en poupe (Christophe ALLEMANDOU, PDG de PLASTIKPACK et actionnaire de la nouvelle société FRAPAK), David PARIZOT a eu l’opportunité de s’exprimer par notre intermédiaire sur sa rentrée économique.

« Les perspectives sont excellentes, devait-il préciser, nous avons conclu de belles opérations avec des partenaires professionnels… ».

Ainsi, près de 150 fauteuils de bureaux ont été acquis récemment par le leader mondial de la pompe industrielle MOUVEX afin d’équiper ses locaux. Une opération similaire aura permis au groupe de concessions RENAULT, SODIVA, de se doter de sièges confortables et de mobilier neuf pour équiper ses vitrines commerciales.

Prêt à anticiper sur les besoins de demain…

Pesant plus de 2,2 millions d’euros de chiffre d’affaires, OXO 89 dont le siège social est implanté à Perrigny emploie à l’heure actuelle une dizaine de collaborateurs. La rentrée scolaire aura été une excellente source de revenus pour l’enseigne. Elle propose des milliers de références de produits par le biais de la voie numérique.

« Nous avons connu une progression de notre chiffre au niveau de la vente de fourniture globale, ajoute David PARIZOT, le marché scolaire nous aura permis de diversifier nos activités en y affirmant notre compétence… ».

Dernièrement, le lycée de Saulieu (Côte d’Or) a sollicité la structure pour la vente et la pose d’un vidéo projecteur, de systèmes numériques tactiles et équipement WIFI.

Un nouvel enjeu est apparu également dans l’approche stratégique du métier : la dématérialisation des archives et des factures. Malgré une concurrence exacerbée, OXO 89 tire son épingle du jeu. Y compris sur le volet des obligations relatives à la pratique de la RGPD.


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C’est une obole généreuse de 1 400 euros qui tombe dans l’escarcelle de la jeune structure associative icaunaise apparue en février 2016. Ayant pour vocation de sensibiliser les publics au handicap visuel, Ensemble pour Voir 89 convertira le chèque offert par l’assureur mutualiste à l’achat de matériel pédagogique et d’accessoires utiles à la locomotion des malvoyants.

AUXERRE : Portée sur les fonts baptismaux à l’hiver 2016, l’association caritative Ensemble pour Voir a pour credo la sensibilisation la plus éclectique à la dure problématique du handicap visuel. Si les jeunes scolaires et les étudiants constituent une cible privilégiée pour accueillir cette source de renseignements, le grand public et les professionnels du bâtiment ne sont pas oubliés pour autant dans cette politique de communication volontariste.

Etre soutenue financièrement (et de manière altruiste) par GROUPAMA Paris Val de Loire représente une opportunité quasi providentielle pour la présidente, Isabelle PLEUX. Cette dernière, accompagnée de représentants de son comité exécutif et de personnes déficientes visuelles, a pu apprécier le don qui lui a été remis par le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, lors d’une cérémonie protocolaire aux accents sympathiques et chaleureux.

Un acteur économique mais aussi prévenant sur le plan de la solidarité…

L’enveloppe financière, un total de 1 400 euros, a été collectée lors d’une manifestation de relations publiques, les « Rencontres départementales » déclinée auprès des clients et sociétaires du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance au cours de ce printemps. GROUPAMA Paris Val de Loire procède ainsi chaque année. Et offre une somme d’argent sous la forme d’un chèque à une association solidaire et caritative.

Précisons que le groupe régional n’est pas qu’un simple acteur économique. L’environnement sociétal lui parle au gré de son quotidien. En témoigne ses aides et interventions diverses, relayées par sa propre fondation santé au plan national, en faveur de la Fondation des maladies rares ou à travers des opérations menées auprès de l’Association des petits princes.

Oscillant entre 30 et 60 euros selon les variantes, le coût des cannes de locomotion constitue un budget conséquent que ne peuvent supporter les personnes malvoyantes. Aussi, Ensemble pour Voir a décidé d’acquérir ce type de matériel indispensable à la mobilité grâce à la générosité de l’assureur mutualiste.


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Corrélé fortement au développement économique et sociétal d’un territoire, le déploiement du numérique constitue l’un des enjeux majeurs auxquels les pouvoirs publics doivent s’attaquer de pied ferme. Or, la plupart des gouvernances étatiques s’étant succédées au fil de ces dernières années ont pris soin d’ignorer la fracture numérique, pourtant soulignée par Jacques CHIRAC. Aujourd’hui, le constat est observable avec désappointement : il nous place avec un bonnet d’âne parmi les derniers rangs des nations européennes encore inaccessibles ou presque aux vertus de la 4G. Alors que dans certaines sphères technologiques, on évoque déjà la 5G, voire la 6G ! Vice-président en charge du développement économique et numérique de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne, Régis LHOMME est la cheville ouvrière du plateau conférence qui sera donné le 11 octobre prochain autour des évolutions alternatives usitées partout en France pour résoudre ces problématiques de couverture…

TONNERRE : Pourquoi la Communauté de communes dont vous êtes le vice-président en charge du développement économique et du numérique a-t-elle souhaité organiser cette table ronde à destination des forces vives de l’économie et des institutionnels de l’Yonne ?

Parce que nous avons des solutions simples pour donner accès à l’Internet sur des territoires délaissées par la République et qui n’ont pas de solutions à court terme. Il n’est pas besoin d’épiloguer sur le handicap que cela représente tant pour les particuliers avec la dépréciation de l’immobilier, que pour les entreprises qui nous disent que c’est le plus grand frein à leur déploiement après le bassin d’emplois…

Depuis trois ans, le Tonnerrois a déployé cette technologie préconisée par l’opérateur numérique WE ACCESS sur le territoire. Quel en est le bilan aujourd’hui ?

Globalement positif, sur les 52 communes de la CCLTB, 28 étaient en totale déshérence et sans aucun service. Nous avons donné l’accès à 16 d’entre elles. Les communes suivantes seront servies dans les mois qui viennent. A côté de cela, nous avons équipé une vingtaine d’entreprises qui étaient en souffrance, proposant soit un service standard, soit un service professionnel avec une connexion synchrone, du débit montant et descendant identique. Je souhaite aussi mentionner que nous offrons le même service aux écoles gérées par la Communauté de communes qui avaient souvent un accès Internet aléatoire, voire inexistant.

Pourquoi avoir choisi cette structure plutôt que d’être passé par l’un des quatre opérateurs historiques, spécialistes en ce domaine ?

Tout simplement parce que les territoires ruraux ne sont pas dans le radar des opérateurs historiques. Ils n’avaient aucune offre à nous proposer.

« La France est l’un des plus mauvais élèves en Europe… »

Comment analysez-vous la situation de la couverture du numérique très haut débit aujourd’hui dans notre département ? Voire en France ?

Le jugement ne peut être que sévère. La France est un des mauvais élèves de l’Europe. Elle a d’ailleurs été épinglée dans un rapport de la Commission européenne (Digital Economy Society Index 2017) avec une couverture 4G qui la plaçait au 27ème rang sur 28 pays en Europe pour l’économie numérique globale. Un autre exemple, le rapport ARIASE nous place au 18ème rang avec – par exemple – fin 2016 seulement 11 % des foyers ayant accès à la fibre. Le retard est lié aux choix des gouvernements successifs qui n’ont pas fait les efforts nécessaires, laissant les opérateurs privés devenir les maîtres du jeu.

Concernant l’Yonne, le retard est aussi évident. Après avoir réalisé que la fibre ne pourrait être installée partout, les budgets ne permettent que de la montée en débit, utilisant le cuivre, avec des résultats très divers compte tenu de l’état du réseau cuivre. Les solutions alternatives comme la voie hertzienne, facile à mettre en œuvre et à coûts contenus ne semblent pas être considérées par les pouvoirs publics. Ils sont donc mis en œuvre par des collectivités comme des communautés de communes ou des régions à l’instar de la Bourgogne Franche-Comté.

Pourquoi un tel retard alors que dès 1995 le président de la République de l’époque, Jacques CHIRAC, évoquait la lutte contre la fracture sociale et numérique ?

Nos politiques ont beaucoup parlé et peu agit. Alors que d’autres pays prenaient le problème avec plus de pragmatisme, on en paye maintenant le prix.

Dans ce dossier, vous faites figure de cavalier solitaire dans le déploiement de cet accès au numérique par la voie hertzienne. En votre qualité de collectivité, comment peut-on expliquer l’absence de subsides financiers de la part des autres grands acteurs institutionnels concernés par ce sujet (Etat, Région, Département…) ?

En fait, je ne crois pas que nous fassions réellement cavalier solitaire. Il y a en France près de 200 opérateurs alternatifs en plus des quatre structures historiques. Si nous avons choisi WE ACCESS, c’est parce que ces professionnels avaient déjà équipé avec succès d’autres communautés de communes, comme le Larzac. Concernant l’absence de subsides, nous avons eu chaque fois la même réponse. C’est-à-dire : « Nous comprenons votre problème, mais ce type d’action n’est pas intégré dans le Schéma Régional de Développement Numérique.. ». Sans tenir compte que ce schéma ne prévoyait rien pour notre territoire.

Depuis plusieurs mois, collectivités et entrepreneurs s’abonnent à votre proposition, qui s’avère moins onéreuse et plus fonctionnelle que les autres. Comment réagissent ces abonnés qui jusque-là éprouvaient de sérieuses difficultés ? Est-ce que les particuliers sont également concernés ?

Globalement le retour est très positif, même si nous devons encore améliorer le service. Cela vaut pour les entreprises comme pour les particuliers.

 « Nous sommes dans une situation d’urgence économique… »

 L’objectif avec cette démarche est-il de faire du prosélytisme à tout crin autour de ce procédé qui est au final méconnu ?

Non. Nous pensons que ce ne peut être qu’une solution transitoire pour quelques années en attendant l’évolution des technologies. Mais, nous croyons aussi que les usagers, entreprises ou particuliers, ne peuvent pas attendre. Nous sommes dans une réelle situation d’urgence économique et sociale.

Un important budget est consacré à ce déploiement. Est-ce suffisant en l’état ? Combien faudrait-il pour équiper l’ensemble de notre territoire ?

Nous faisons le maximum de ce que notre collectivité peut abonder. C’est suffisant pour le Tonnerrois. Mais, nous regrettons du peu d’intérêt des pouvoirs publics pour cette solution. Ils ont un plan et n’en sortent pas, même si – pour le Tonnerrois – ce plan ne prévoit rien de concret ; soit quelques montés en débit auxquelles nous ne croyons pas…

Pire, nous espérions de la flexibilité car nous souhaitons monter trois nouveaux pylônes. Nous étions prêts, techniquement, pour les mettre en service avant la fin de l’année. Mais, un nouveau processus administratif risque de ralentir fortement cette opération, qui se fera, mais on ne sait pas à quelle échéance dans le temps…

Qu’espérez-vous en termes de réaction et de commentaires avec cette première soirée explicative du 11 octobre ?

Je pense que nous avons le savoir-faire mais pas le faire-savoir. Si cette soirée pouvait faire prendre conscience de l’urgence de la situation, et qu’il existe des solutions concrètes. Nous souhaitons que les pouvoirs publics s’y intéressent. A ce titre-là, nous aurions atteint notre objectif.

Le numérique très haut débit représente-t-il un sérieux enjeu politique sur notre département ?

Cela me semble évident, car c’est fortement corrélé au développement économique. Si nous voulons attirer des entreprises, favoriser l’emploi et désenclaver la ruralité, cela ne peut se faire qu’en donnant à tous l’égalité devant la fracture numérique. Combien d’emplois pourraient-ils être crées dans l’Yonne par l’apport du télétravail ? Combien de nouvelles entreprises s’installeraient si elles avaient accès aux mêmes services qu’en zone périurbaines ? C’est pour moi un enjeu politique majeur et qui ne doit pas être restreint à l’axe géographique « Auxerre/Sens ».

Quelles seront les prochaines étapes que vous envisagez de provoquer pour continuer ce travail informatif auprès des usagers professionnels et personnels ?

C’est un travail de fourmi. Mais, nous continuerons. Il reste au moins douze communes à équiper. A chaque fois, nous faisons une réunion d’information auprès des habitants et des entreprises concernées. La communication de la Communauté de Communes reflète aussi cette activité.

En définitive, nous souhaiterions réellement une prise de conscience des pouvoirs publics qui devraient apporter davantage de soutien, pas seulement financier lorsque qu’une collectivité est dans l’obligation de se substituer à l’Etat pour un enjeu d’une telle importance.


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Plantés il y a déjà une décennie, les vingt rangs de vignes, constitués de différents cépages, égayent de manière naturelle l’immense place centrale du groupe scolaire d’enseignement professionnel auxerrois. Hormis les aspects décoratifs et verdoyants, ils donneront naissance à la première cuvée de ratafia, faite maison, la saison prochaine. La vendange a été assurée par les élèves ces jours-ci dans le cadre d’un projet pédagogique…  

AUXERRE : L’obtention à terme d’une centaine de bouteilles de ratafia devrait permettre aux élèves du lycée des métiers d’Auxerre de s’exercer aux techniques de la viticulture au cours de cette saison.

Inscrivant un énième projet pédagogique à la liste non exhaustive des thématiques qui s’enseignent au sein du lycée VAUBAN, la direction a décidé de valoriser la vingtaine de rangées, plantées sur le site et composées d’un assemblage de cépages : gamay, pinot noir, chardonnay, aligoté, melon bourgogne, etc.

Il s’agira, sous la houlette d’un représentant du corps professoral, de produire la toute première cuvée de ratafia. Ce breuvage sucré et légèrement alcoolisé à l’estampille du lycée VAUBAN !

Une production qui se dégustera sur place…

Aidé en cela par un viticulteur du cru grâce à une convention de partenariat, l’initiative se vit aujourd’hui dans le cadre d’un véritable projet pédagogique. Il a pour but l’optimisation de cette vigne si caractéristique puisque implantée dans l’enceinte du complexe éducatif. Une stratégie que devait confirmer la proviseure Capucine VIGEL ayant adoubé le concept.

Si la vendange, récente, a été assurée par certains lycéens, ce sont les travailleurs à mobilité réduite et atteints d’un handicap de l’IME Auxerre qui en assurent régulièrement l’entretien.

Ce ratafia se consommera sur place. Une partie de la production étoffera les possibilités de dégustation du restaurant et bar d’application, « La Gourmandise ». En revanche, il n’est pas prévu de la commercialiser en dehors de l’établissement. Ni de l’exporter !

 


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