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Les centres équestres représentent une filière extrêmement stratégique du secteur du tourisme et de l’hébergement dans l’Yonne. Certains de ces établissements ont choisi de reprendre leurs activités le 04 juillet, favorisant ainsi l’accueil de petits groupes d’enfants qui ont repris goût à la sociabilité en s’immergeant en milieu naturel au contact des animaux. Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST s’est dit très attaché et attentif à la reprise de ces occupations de loisirs…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Dans le sabir officiel de la chose administrative, un centre équestre intègre la catégorie des centres d’accueil collectif pour mineurs. Une identification plus connue sous l’acronyme d’ACM.

C’est précisément dans l’un d’entre eux, le Cirque équestre de COCICO au cœur de la Puisaye, que le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avait choisi de se rendre à quelques encablures de la sacro-sainte date de reprise des activités publiques. Soit le 04 juillet.

Et ce, après plusieurs semaines d’inertie imputables à la propagation d’une épidémie de coronavirus qui laissera de douloureux stigmates tant au niveau économique qu’humain.

En marge d’échanges nourris et forts constructifs avec plusieurs responsables de ces centres répartis en Puisaye (cf : à lire le futur article sur ce sujet), le représentant de l’Etat, accompagné de Pascal LAGARDE, de la direction départementale de Jeunesse et Sports, aura pris soin de découvrir dans ses moindres recoins le magnifique complexe qui s’étend sur une propriété de trente hectares.

Celle de Charles GOMME, membre de la quatrième génération d’une structure familiale qui préside à la destinée de ce lieu haut de loisirs avec enthousiasme depuis si longtemps.

 

 

Un mix réussi entre les arts équestres et ceux du cirque  

   

Séduit par le cadre enchanteur de l’ancien corps de ferme transformé en lieu de vie et d’hébergement au service de l’enfance, Henri PREVOST devait ressentir l’atmosphère particulière de cet endroit si tranquille au cœur de la campagne. Celui que les petits occupants de l’été mais aussi des vacances scolaires qualifient de « magique ».

Première curiosité lorsque l’on y pénètre : la vision insolite d’un grand chapiteau aux coloris jaune et bleu. Le Centre équestre de COCICO n’est pas un endroit ordinaire.

Il y accueille les arts du cirque où les jeunes têtes blondes suivent avec passion l’initiation à la jonglerie, au rôle de clown, aux arts circassiens dans leur ensemble. Chaque année, les férus de trampoline, de voltige équestre et autres exercices d’équilibristes donnent un spectacle final devant leurs parents en présence du onsieur Loyal local qui anime ce rendez-vous ludique.

Seconde surprise : la reconfiguration de cette ancienne exploitation agricole, totalement repensée (et ce depuis 1986) en un lieu d’accueil pédagogique extraordinaire. Il est révolu le temps où la ferme produisait le lait issu de son cheptel.

Plus loin, ce sont les poneys et les chevaux (une cinquantaine de ces animaux sont accueillis dans le centre) qui attendent la petite délégation officielle. Le préfet de l’Yonne rayonne : lui qui adore les équidés.

 

 

Des conditions d’accueil qui garantissent la sécurité…

 

Le préfet s’écarte un bref instant de ses interlocuteurs pour délivrer une petite caresse à l’une des juments qui patiente. Il mesure alors toute l’importance de rasséréner les professionnels de la filière équestre qui éprouvent de sérieuses difficultés depuis de si longues semaines.

Quelques photographies plus tard, et voilà le haut fonctionnaire qui pénètre allègrement avec ce plaisir insatiable d’en savoir davantage à l’intérieur de l’une des roulottes typiques recevant d’ordinaire la visite des juniors. Celles et ceux de ces gamins qui y vivront un séjour épanouissant et inoubliable.

COCICO possède une capacité d’accueil de 130 enfants, âgés de six à seize ans. Bref : c’est la colonie de vacances rêvée pour des gosses ayant soif de grands espaces et friands de belles aventures !

 

 

 

Oui mais voilà, cet été, les choses se gèrent différemment. Au grand dam des propriétaires de cet endroit magique. Les centres équestres ont été particulièrement affectés par la crise sanitaire. De fortes incertitudes planent toujours au-dessus des épaules de leurs responsables quant à la réelle fréquentation estivale et surtout celle de l’arrière-saison.

Charles GOMME expliquera en substance au préfet que les centres peuvent redémarrer leurs activités dans de bonnes conditions. Les protocoles sanitaires y sont exigeants. La sécurité du jeune public, garantie.

Le préfet demeure à l’écoute des professionnels de cette filière. Quant aux enfants qui sont revenus depuis la crise en ces murs : ils en redemandent. Pour que ce cadre champêtre calme et verdoyant leur procure des sensations à jamais ancrées dans leur mémoire…La magie du cirque et du cheval fait oublier toute le reste !

 

 


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Comprendre et investir autour des crypto-monnaies. Tel est le fil d’Ariane qui servira de trame conductrice aux cinq cogérants de la société MUGI le 23 juillet lors d’une conférence sur cet écosystème financier. Le rendez-vous fera aussi la part belle aux projets de la start-up 100 % made in Yonne soutenue par les grands faiseurs institutionnels de notre territoire…

AUXERRE : Vous souhaitez en connaître davantage sur ces phénomènes monétaires qui éclosent un peu partout à travers la planète depuis…1998 ? Ils ont pour nom les crypto-monnaies et les blockchains. Des locutions un tantinet hermétique pour le commun des mortels qui peuvent paraître pour certains décideurs économiques aux antipodes de leurs préoccupations journalières. Et pourtant !

L’émergence de ces écosystèmes est tangible et ne cesse de s’accroître. Les cinq cogérants de la jeune start-up icaunaise, MUGI, en donneront des preuves palpables lors d’une causerie, concoctée par leurs soins à l’hôtel Normandie, au soir du 23 juillet.

En présence d’un public qu’ils espèrent nombreux et participatifs, Mickaël CHAPOTIN, expert-comptable et responsable financier, Raphaël CHAPOTIN, expert en administration des réseaux et du développement, Maxime CHERY, entrepreneur dans le domaine du numérique et spécialiste de blockchain, Fanny VIAUT, gérante de la société COMMUNIK & VOUS, spécialiste de communication, réseaux sociaux et de marketing et Alexandre TEINTURIER, responsable d’études stratégiques en innovation et développement segmenteront le contenu de leurs interventions en deux temps forts.

Le premier concernera la pose de jalons pédagogiques auprès de l’assistance afin de présenter cet  univers spécifique avec transparence et soucis de vulgarisation. Le second s’articulera sur le projet d’investissement de la société MUGI, apparue dans le landerneau de l’entreprenariat à l’automne 2019.

La structure propose des solutions d’investissement clé en main dans ces actifs numériques.

 

 

Une levée de fonds et une infrastructure flambant neuve en 2020…

 

En prodiguant ses conseils auprès de prospects qui ne savent pas comment s’y prendre. La marque utilisée à ce titre pour ces opérations se nomme MELIS INVEST SAS. Son président n’est autre que Francis MOREAU, conseil en développement et l’un des créateurs de KUB, « Kick Up Business ».

Par le biais de cet organe qui privilégie la recherche d’investisseurs, ce dernier a pu mobiliser la présence de treize actionnaires autour de ce concept innovant.

MUGI a également connu une levée de fonds à hauteur de 250 000 euros au début de l’année. Des subsides qui lui auront permis de démarrer la première phase de son projet en cours de déploiement.

Bénéficiant de solides partenaires (la Région BFC, BPI France, l’AER, agence économique régionale, la French Touch mais également la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et KUB), MUGI s’installera dans de flamboyants locaux construits sur une parcelle de deux mille mètres carrés à Toucy.

Les travaux se finaliseront durant cet été. Avant un probable emménagement prévu à l’automne prochain, sans doute en octobre…

 

En savoir plus :

Conférence les crypto-monnaies : comprendre et investir

Le jeudi 23 juillet 2020 de 19h00 à 20h30

Hôtel Normandie à Auxerre

41 Boulevard Vauban

Renseignements auprès du 06.85.14.84.19 et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


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Le Conseil départemental de l’Yonne n’est pas insensible aux difficultés financières que rencontre le monde associatif au sortir de cette crise unique en son genre. Bien au contraire, l’organe institutionnel vient de mobiliser près de 330 000 euros pour alimenter un fonds global de 814 000 euros destinés aux seules associations employeuses…

AUXERRE : Un euro par habitant. Soit une enveloppe totale de 330 000 euros. La somme alimente le fonds d’avances remboursables gérées par France Active dans le cadre du plan d’actions voulu par le Département de l’Yonne. Ce plan a pour objectif de soutenir les associations qui comptent au moins un salarié.

Fonctionnel depuis peu, ce dispositif suppose une demande d’inscription par les structures intéressées. Il suffit de parcourir le site de Bourgogne Active et d’y remplir les documents adéquats. Les demandeurs sont alors recontactés sous un délai de cinq jours. Ils se voient proposer un accompagnement adapté à leur situation. Sous réserve de certaines conditions (notamment la complétude du dossier), les aides parviennent à leurs destinataires sous quinzaine.

 

Ne laisser personne sur le bord du chemin…

 

De la culture à l’insertion, du sport aux services à la personne, du handicap à l’éducation populaire : tous les secteurs d’activités sont ainsi concernés par ce geste altruiste. Le but étant de ne laisser aucune de ces entités au bord du chemin.

L’initiative résulte du plan d’actions de dix millions d’euros validé le 03 juillet lors de la session de l’assemblée départementale.

Rappelons que le Département a intégré le Fonds de soutien créé spécifiquement avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté et la Banque des Territoires pour subvenir aux besoins des associations icaunaises comptant au moins un salarié.

 

 

 


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Le décret du 17 mars 2020 fait des émules notamment au sein du monde de la protection animale. En cause : une modification des termes du Code Rural et de la Pêche Maritime concernant les conditions de délivrance d’une dérogation pour la fourniture d’animaux aux laboratoires. L’association « 30 millions d’amis » craint que cette réforme ne favorise la vente d’animaux domestiques aux laboratoires par les éleveurs non-agréés.

TRIBUNE : L’association « 30 millions d’amis » monte au créneau. Bien que cette pratique soit règlementée, nombreuses sont les associations qui la combattent depuis des années. En septembre 2019, le parti animaliste demandait la fermeture définitive du centre d’élevage de Mézilles dans l’Yonne, qualifié d’« élevage de la honte » par ses détracteurs.

La colère de certains s’est amplifiée avec le décret voté le 17 mars qui semble assouplir les conditions de recevabilité des demandes de dérogation.

Reha HUTIN, présidente de l’association « 30 millions d’amis », estime que ce décret constitue « un retour en arrière de plus de trente ans » et qu’il bafoue la directive européenne à laquelle il fait normalement écho.

« Les élevages de chiens de chasse, d'animaux de compagnie ou encore les particuliers peuvent désormais... vendre leurs animaux à des laboratoires ! » s’est indignée l’association dans un communiqué du 26 juin 2020.

 

Quelles sont les modifications apportées au décret ?

 

Selon l’article R214-90 du Code rural et de la Pêche Maritime, le ministère de la Recherche, conjointement avec les ministres chargés de l'environnement et de l'agriculture, a toujours eu la possibilité d’accorder une autorisation exceptionnelle aux éleveurs non agréés « sur la base d’éléments scientifiques dûment justifiés ». Mais également « lorsque la production des éleveurs agréés est insuffisante ou ne convient pas aux besoins spécifiques du projet ».

Cette dernière mention a tout bonnement été supprimée par le décret du 17 mars. Une question se pose : qu’entend-on exactement par éleveur non agréé ?

Le ministère de l’Enseignement, de la Recherche et de l’Innovation s’est indigné de la réaction de « 30 millions d’amis » qui constitue, selon lui, une « désinformation » auprès du public.

Il spécifie bien dans un communiqué datant du 27 juin que « les animaux de compagnie ne sont en rien concernés et cela ne sera jamais le cas… ».

En effet, selon la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes), « est considérée comme un éleveur, toute personne vendant au moins un animal issu d’une femelle reproductrice lui appartenant ».

De plus, ces éleveurs doivent répondre à de nombreuses obligations en termes d’accueil des animaux et de vente à commencer par une déclaration auprès de la Chambre d’Agriculture. Dans tous les cas, il ne s’agit donc pas de simples particuliers.

 

 

Comment interpréter cette modification du Code rural ?

 

La suppression de cette condition peut suggérer que le ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur n’est plus obligé de motiver un refus par l’impossibilité des fournisseurs agréés à répondre aux besoins des laboratoires. Seul l’argument scientifique pèserait dans la balance.

Les chances d’obtenir une autorisation de fournir un laboratoire seraient, par conséquent, multipliées. Cela pourrait même générer un climat concurrentiel entre éleveurs agréés et non agréés.

Or, le gouvernement en a une toute autre lecture. Selon lui, « le décret du 17 mars vient encore limiter les cas possibles justifiant une demande de dérogation notamment liés à une production insuffisante chez les éleveurs agrées ».

En d’autres termes, le ministère de la Recherche serait davantage à même de rejeter un dossier bien que les arguments scientifiques soient valables et même si les éleveurs agréés ne sont pas capables de satisfaire les laboratoires.

Floriane BOIVIN

 

 

 


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C’est une distinction honorifique très particulière que vient de recevoir le directeur d’établissement de l’assureur mutualiste GROUPAMA dans l’Yonne. Cette figure incontournable du sérail économique local s’est vue remettre lors d’une cérémonie protocolaire l’insigne de lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la gendarmerie nationale.   

AUXERRE : Seconde composante de la réserve militaire de la gendarmerie, la réserve citoyenne représente aujourd’hui un effectif de près de mille trois cents personnes réparties à travers l’Hexagone.

Autant dire que le nombre de places y est compté avec extrême minutie même si le désir de ce corps d’armée est de l’accroître de deux cents membres supplémentaires d’ici quelques années.

Solidement ancrée sur les valeurs citoyennes imputables à un engagement personnel et désintéressé, cette réserve accueille des bénévoles issus de la société civile. Ils sont désireux de se rendre utiles au service de l’institution.

Le plus souvent, ils proviennent des domaines corporatistes spécifiques tels que le juridique, la communication, les finances, l’immobilier, entre autres.

Mais, dans le cas présent, les appétences professionnelles de Jacques BLANCHOT conjuguent davantage les spécialités de l’assurance, la prévoyance, la gestion des risques, la psychologie humaine, la formation, le management mais aussi l’essor économique territorial.      

 

 

 

 

En recevant des mains du général de corps d’armée Armando de OLIVEIRA la précieuse insigne militaire, le cadre de l’assureur mutualiste se voit ainsi conforter dans cette mission sociétale qui favorise le rayonnement de la gendarmerie auprès des acteurs de la société civile. Et permet un meilleur rapprochement entre l’Armée et la Nation.

Notons la présence lors de cet évènementiel, pour l’une de ses ultimes sorties officielles dans le département, du colonel Renald BOISMOREAU, commandant du groupement de l’Yonne, avant son affectation à l’ambassade de France à Tunis le 01er août.

Emu par l’obtention de cette médaille militaire, il conviendra désormais d’appeler Jacques BLANCHOT lors de rendez-vous de travail, « mon colonel » !

 

 

 


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