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 Il y a maintenant vingt ans, la société NISSAN allait droit vers la faillite. Un fleuron de l’industrie automobile japonaise prenait le chemin du cimetière des éléphants. Le Japon, comme l’Allemagne, après avoir été dévasté par la guerre, caracolait de nouveau à la tête des nations industrielles dans le monde. La France, elle, continuait son petit bonhomme de chemin, avec une industrie à sa place où depuis des siècles, nous enregistrions de belles réussites…

TRIBUNE : Disposant de belles PME actives, de quelques grands groupes industriels et de régions industrieuses, la France, face aux pays anglo-saxons, l’Allemagne d’abord puis le Japon, n’a jamais fait vraiment le poids. Depuis toujours, le déficit du commerce extérieur demeure un problème lancinant pour nos dirigeants politiques.

La régie Renault, symbole du « Colberto-étato-techno » culturel français, tenait pourtant sa place sur le marché français de l’automobile. Mais, ce système ne brillait guère à l’étranger. Aussi, peut-on être admiratif pour son patron de l’époque, Louis SCHWEITZER, d’avoir osé ce formidable défi : tenter de faire sauver Nissan par la marque aux losanges.

Exactement vingt ans plus tard, l’alliance « Renault-Nissan-Mitsubishi » est devenue le premier constructeur mondial d’automobiles. C’est le pari de Louis SCHWEITZER et l’œuvre de Carlos GHOSN. Le choix de ce dernier est également à mettre à l’actif de Louis SCHWEITZER. Fermez le ban !

Donc, en l’espace de deux décennies ans, un franco-libano-brésilien a su créer le premier groupe automobile du monde à partir d’une entreprise au bord du dépôt de bilan, d’une régie qui ne jouait pas vraiment dans la cour des grands en lui enjoignant un troisième groupe automobile japonais. Petit rappel en quelques chiffres : en 2018, Nissan a produit 5,81 millions de véhicules, Renault en a sorti 3,76 millions de ses usines et Mitsubishi à peine 1,03 million.

Ce n’est pas rien. Mais une évidence saute aux yeux. Dans cet ensemble, les Japonais produisent 6,84 millions de véhicules et les Français 3,76 millions de modèles. Vous avez tout compris...

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Les Japonais veulent bouger les lignes sans ménagements pour leurs partenaires…

Et le champion de tout cela a été arrêté à sa descente d’avion à Tokyo pour malversations financières personnelles. On ne sait pas exactement ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Et ce qu’on lui reproche véritablement…

En revanche, personne de sérieux ne peut croire que les dirigeants de Nissan pouvaient ignorer cela depuis des années. Le Japon, comme chacun sait, est une société encore féodale. Les liens entre les grandes entreprises, les hauts fonctionnaires, et la classe politique forment un réseau inextricable.

Aussi, cette affaire relève du drame shakespearien tel Macbeth. Les Japonais veulent reprendre le pouvoir et tout bousculer sur leur passage. Contrairement à toutes les déclarations sur la pérennité de l’Alliance, le drame shakespearien ne fait que commencer.

Les Japonais veulent changer les choses sans ménagements pour leurs partenaires français. Avec tous les risques que cela comporte…

Quelques chiffres mettent en évidence que cette alliance était devenue au fil des ans déséquilibrée.

Renault détient 43,4 % de Nissan tandis que Nissan ne détient que 15 % de Renault. De plus, l’État français, profitant d’une loi de circonstance, dite loi Morhange, bénéficie de droits de vote double chez Renault. Nissan est donc le deuxième actionnaire de Renault après l’État français.

En contrepartie de cette situation, pour le moins bancale, Renault s’est engagé à ne jamais s’opposer à la direction de Nissan au sein du conseil d’administration de Nissan.

Certes Carlos GHOSN a été frappé par la malédiction grecque : « Zeus rend fou ceux qu’il veut perdre… ». Il a donc trop tiré sur la ficelle des avantages personnels. Mais la question n’est pas là. Quels que soient ses torts sur le plan fiscal et celui de l’éthique. Non, la vraie question reste la vision réelle de l’Alliance qu’ont les Japonais.

Prenons notre place dans ce théâtre shakespearien de l’automobile et voyons la suite de cette pièce en plusieurs actes qui ne fait que commencer, contrairement à tout ce qu’on nous raconte.  Comme le disait le maître de la littérature britannique, ce sera « very exciting » à suivre !

Emmanuel RACINE     

                                                                                                                                                                 


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Défilé de mode à base de créations africaines, présence musicale d’un DJ chevronné et animations endiablées assurées par une compagnie de jeunes femmes, Les AMAZONES, composeront le copieux menu de ce rendez-vous atypique, décliné par l’association icaunaise. La salle polyvalente de CHEVANNES arborera le samedi 09 février les couleurs chatoyantes de ce Continent noir si éclectique sous le rythme de ses danses et percussions. Le public pourra y découvrir en parallèle un aperçu de sa gastronomie.

AUXERRE : Créée le 31 janvier 2015, l’association AFRIK’AU CŒUR n’a de cesse depuis de promouvoir la richesse culturelle de ce vaste continent, parfois oublié du monde occidental. Pourtant, celui-ci regorge d’artistes de talent. Qu’il s’agisse de musiciens, de cinéastes, de peintres, de créateurs à l’imaginaire exacerbé, d’écrivains ou d’auteurs de pièces théâtrales.

Quatre ans déjà que les membres de GRAINE d’ESPOIR, du groupe BAOBAB 89 et YSIA ont façonné les contours de cette jeune structure qui offre chaque année des moyens ludiques et pédagogiques de nous ouvrir à ce paysage culturel polymorphe de très belle facture.

Celles et ceux qui partagent la même sensibilité, cet attachement sans borne envers la culture africaine, ne manqueront sous aucun prétexte le premier évènement de l’année 2019.

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Sous le signe de la fête et de l’amitié…

Proposé avec le soutien de l’Animation Chevannaise, ce temps fort de la diversité et de la tolérance se déclinera sous la forme d’une soirée africaine. Elle sera agrémentée d’un repas dansant.

Le programme se veut intense. Il mettra en exergue la créativité stylistique de Valérie MBOMI. Très inspirée par les ultimes tendances de la mode continentale, la jeune femme valorisera ses réalisations lors d’un défilé que l’on peut d’ores et déjà qualifier de bigarré.

Une soirée africaine sans la présence de rythmes chaloupés serait incongrue. Les jeunes femmes de la Compagnie Les AMAZONES se chargeront de faire chavirer la salle au rythme des bongos et des instruments traditionnels. Membre de l’association BLACK VOICES, Mathieu, un DJ inventif, animera la seconde partie de cette manifestation, placée sous le signe du rythme et de la fête.

AFRIK’AU CŒUR

Réservation au 06.83.85.75.46.

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Quelle sera la configuration opératoire pour l’Europe de demain et ses institutions ? A l’aune d’une future échéance électorale, la seule de l’année 2019, mais déjà qualifiée de très importante par l’ensemble des observateurs de la chose politique, le MODEM et la République en Marche de l’Yonne ont posé des jalons étroits pour une réflexion commune auprès de leurs militants et sympathisants. Face à une conjoncture mouvementée et complexe, le dialogue et l’échange d’idées demeurent l’une des priorités essentielles pour tenter de résoudre l’ensemble des problématiques actuelles. Mieux entendre et écouter l’autre, c’est aussi apporter du grain à moudre à la compréhension et à la réflexion à l’heure des choix…Surtout quand les messages explicatifs sont véhiculés par des exégètes en la matière…

AUXERRE : Débattre autour de l’Europe, sur ses forces et ses faiblesses, sur ses atouts et ses défauts, sur les attentes qu’en ont les citoyens. Ces initiatives où le dialogue et la concertation priment avant tout sur tout autre chose, devraient se déployer à un rythme plus soutenu au cours de ces prochaines semaines sur le territoire. Les antennes départementales du MODEM et de La République en Marche (LAREM) en ont fourni la preuve tangible il y a peu dans la capitale du département.

En organisant un rendez-vous liminaire sur ce thème, où les deux formations qui feront liste commune aux Européennes, ont voulu éclairer de leurs lumières, et en s’appuyant sur des intervenants de qualité, nos concitoyens sur les paramètres fondamentaux, qui découlent de ce scrutin, loin d’être anodin pour notre avenir.

La question de l'Europe ne peut se balayer d'un simple revers de la main...

C’est en substance ce que les organisateurs de la soirée ont pu affirmer en préambule de cette conférence articulée autour de trois orateurs de belle envergure : Elodie RISENTHAL, consultante et spécialiste des questions européennes, Marcel GRIGNARD, président de « Confrontations Europe », organisme qui s'active sur des groupes de travail (investissement de long terme et financement de l'économie, numérique, énergie et transition bas carbone, économie circulaire, Europe compétitive et sociale, insertion professionnelle des jeunes)- il est chargé de mission auprès de la Ministre du Travail, et Jean KASPAR.

Ce dernier, apprenti dès l’âge de 14 ans, a succédé à Edmond MAIRE, en tant que secrétaire général de la CFDT en 1988. Il y sera l'initiateur de la « stratégie des convergences », destinée à rapprocher les organisations syndicales réformistes en France.

Vice-président de l'Observatoire social international liant « Entreprise et Personnel », Jean KASPAR est très sollicité par ailleurs. Il intervient au CNAM, à Sciences Po Paris, à l’IAE de Paris, à l’Université de Haute-Alsace et à Marne-La-Vallée. Nommé en 2012, président de la Commission du Grand Dialogue de La Poste, il est actuellement conseiller municipal d'opposition à Villeneuve sur Yonne.

Devant un auditoire attentif, les trois conférenciers livreront leurs visions de l’Europe en fonction de leurs appétences techniques et structurelles. Ouvrant le ban, Elodie RISENTHAL proposa un retour aux fondements de l’Europe. Avec une analyse fine des traités originels. Quand l’Europe n’en était encore qu’à l’état embryonnaire et balbutiait ses premières décisions au sortir de l’Après-Guerre, avant de prendre davantage de volume dans les années 1950.

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Et pêle-mêle de faire référence à la liberté des échanges avec la reconnaissance des diplômes, à la libre concurrence et à la libre circulation des citoyens et des travailleurs.

« Quatre millions de personnes franchissent chaque jour une frontière grâce aux accords de Schengen, précisa-t-elle. Indéniablement, l’Europe a facilité les flux et le commerce. Tout en préservant le contrôle des frontières… ».

Et de rappeler le poids de l’agence FRONTEX (et ses 250 millions d’euros de budget) qui permettent d’assurer un rôle de coordination et de contrôle des états membres.

Toutefois, malgré les moyens mis en œuvre par les états membres, cela n’empêchera pas, dès 2005, l’afflux important de migrants (un million de déplacés). Les demandes d’asile devenant plus élevée dans les pays d’entrée à l’instar de la Grèce (82 %) et l’Italie (15 %).

« Aujourd’hui, continua l’oratrice, l’Italie agite le drapeau rouge en disant que sa quote-part a été atteinte. Le responsable de l’exécutif, SALVINI, interdit tous les bateaux (200 000 migrants en afflux) qui se dirigent désormais vers les côtes de l’Espagne. Dans le domaine de la solidarité à ces personnes : il reste beaucoup à faire… ».

Faire progresser l’Europe vers davantage de droits sociaux…

L’évocation de l’Europe sociale incomba à Marcel GRIGNARD. Pour lui, il est nécessaire de tirer l’Europe vers le plus haut niveau des conditions de travail.

« Cette Europe sociale, elle existe, dit-il, nulle part ailleurs, autant de pays ont pris de l’intérêt à résoudre cette question sociale. Mais, c’est évident : elle peut mieux faire ; d’autant que l’élargissement avec les nations de l’Europe centrale, survenu dans les années 2000, a fait tout dérailler… ».

Depuis, la compétition économique entre les pays de l’Union est devenue récurrente. Avec son lot de tricheries autour des règles et des salaires, la présence d’une concurrence sociale violente ou la prolifération de travailleurs détachés.

Mal gérée au niveau social, l’Union européenne n’est pas à la hauteur des attentes de ses habitants, victimes de dégradations sociales. 

Pourtant, certains européens convaincus disent qu’il est grand temps de stopper cela. Et de proposer un salaire égal pour un travail égal.

« Créer un socle social européen (avec une série de droits nouveaux autour de la famille et parental) a été salué par tous, ajoute Marcel GRIGNARD, mais, ce socle qui est intéressant est renvoyé à l’appréciation de chaque état membre… ».

Il est difficile aujourd’hui d’harmoniser les décisions européennes. Même si le continent a progressé en développant des éléments sociaux en commun, l’essentiel de ces décisions demeure nationale.

Quant à la situation de l’emploi, à travers l’Europe, elle est bancale et inappropriée aux besoins des peuples qui y habitent.

Nonobstant, et les trois interlocuteurs devaient se rejoindre sur le dernier volet de leur causerie, en insistant sur cette envie unanime d’Europe.

« On a besoin d’une Europe qui nous permettre de traiter la délicate question du climat et celle du bien-être de l’humanité, de bénéficier d’une nourriture saine et de l’eau en abondance, de vivre sur des territoires où règnent la concorde, la cohésion sociale et l’égalité. De mutualiser nos énergies. Cette Europe qui nous unit doit pouvoir agir sur tous les problèmes sérieux qui dépassent la simple gestion d’un état : cela concerne la protection des données numériques, la sécurité face au terrorisme, le paiement des impôts visant les grandes multinationales. Nous avons un destin commun, c’est celui de construire ensemble notre propre avenir, avec des valeurs et aspirations parfois identiques mais aussi éloignées les unes des autres. Il nous faut faire un effort considérable pour comprendre les autres…. ».

Etre capable de l’expliquer aux Européens (et aux Français) pourrait apporter du mieux au quotidien. Voilà à quoi vont s’employer les représentants du MODEM et de LAREM de notre territoire d’ici le jour J de ce vote capital…

 


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Plusieurs mois d’un travail minutieux, millimétré au cordeau, auront été nécessaires aux préparatifs du grand banquet de la Saint-Vincent tournante régionale qui se déroule ce week-end à Vézelay. L’ambitieux pari des organisateurs de pouvoir réunir sous la même bannière les fines fleurs de la gastronomie de l’Yonne est déjà en soi une réussite. Avant même que ne soit donné le moindre coût de fourchette dans ces assiettes royales qui recevront les recettes sublimées par autant de talents. Parmi ces quatre « mousquetaires » de l’ordre d’Escoffier et des arts culinaires à y prendre part, citons la fameuse toque de La Côte Saint-Jacques, l’étoilé Jean-Michel LORAIN et l’incontournable référence de la cuisine française, Marc MENEAU.

VEZELAY : La promesse était de taille pour les organisateurs de l’évènement. In fine, le défi est tenu ! Quatre signatures exceptionnelles des arts de la table et de la gastronomie nationale exerceront de concert leur savoir-faire afin de sublimer les papilles des 700 convives, ayant choisi de participer au banquet de la Saint-Vincent tournante de Bourgogne. Ce rendez-vous est décliné durant ce week-end spécial vécu sur la Colline éternelle, ce samedi 26 janvier.

L’inoubliable chef de L’Espérance, Marc MENEAU, ouvrira le bal de ce copieux programme pour gourmets et épicuriens. Associé à son fils, Pierre, il signera une divine entrée, servie après diverses mises en bouche gustatives.

La figure emblématique de Vézelay concoctera sa célèbre « huître en gelée d’eau de mer », agrémentée de la truite de Crisenon, accompagnée de perles de manioc et de son caviar de truite, sur une gelée de pomme.

Il reviendra au prometteur mais déjà excellent Ryo NAGAHAMA, qui officie au « Fil du Zinc » à Chablis de se livrer à un exercice toute en finesse et en subtilité : la seconde entrée.

Les férus de bonne chair se sustenteront d’une mousseline de brochet et sa crème d’écrevisses. Recette qui sera accompagnée d’un bourgogne Vézelay 2016, de la cuvée spéciale de la Saint-Vincent.

 

Chef doublement étoilé de la Côte Saint-Jacques, établissement que l’on ne présente plus dans le paysage de la haute gastronomie française, Jean-Michel LORAIN abordera le plat principal. L’une de ses spécialités où le maître excelle : la volaille fermière à la vapeur de crémant de Bourgogne. Le plat principal se mariera à un gevrey-chambertin millésime 2014, de la cuvée des vignerons.

Quant aux aficionados du chocolatier-confiseur Olivier VIDAL, meilleur ouvrier de France de la spécialité en 2007, ils se régaleront avec un « amour de cerise », un dessert au nom très évocateur qui augure de succulentes subtilités dont l’artisan a le secret.

Les quatre chefs bénéficieront de l’expertise aiguisée, en matière d’harmonie et de coordination dans le déroulé de ce banquet, du sémillant Daniel AUBLANC, président de l’Amicale des cuisiniers de l’Yonne et du très professionnel Didier CHAPUIS, des FESTINS de Bourgogne, qui confèrera le savoir-faire attendu à ce repas festif peu ordinaire.

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L’opportunité de partager les valeurs de la profession ensemble…

Interrogé sur sa contribution gastronomique à cet évènement qu’il qualifie de « cérémonie exceptionnelle et de retrouvailles inoubliables entre les chefs et les vignerons », Jean-Michel LORAIN est satisfait de cette présence aux côtés de ses pairs.

« Les préparatifs ont nécessité plusieurs mois de travail et de réflexion, concède-t-il, chacun de nous apportant une recette qui soit un reflet de son authenticité professionnelle. Le banquet de la Saint-Vincent demeure, en cela, un rendez-vous extraordinaire… ».

Le chef de la Côte Saint-Jacques devait expliquer ensuite la portée internationale de cet évènement. La meilleure manière de le traduire fut simple : une quarantaine de ressortissants américains, accueillis dans l’établissement hôtelier de Joigny, et amoureux des vins français n’ont pas hésité à traverser l’Atlantique pour ne rien manquer de l’évènement bourguignon.

Vécue pour la première fois à Vézelay, la Saint-Vincent tournante de Bourgogne aura bien des airs de rendez-vous mondial…


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La start-up de l’Yonne vise un essor de ses activités à travers l’Hexagone et surtout à l’échelle européenne. De quoi lui donner des fourmis dans les jambes ! D’autant que ce spécialiste dans la recherche de logements destinés à l’accueil de personnes âgées profite d’un nouveau coup de pouce financier de la part de ses partenaires historiques. Une coquette enveloppe d’un million et demi d’euros qui permettra à la structure entrepreneuriale de Joachim TAVARES d’accélérer son développement…

JOIGNY : 2019 débute en fanfare pour ce représentant régional de la « Silver Economie ». Positionnée sur le segment de l’aide aux seniors et à leur famille pour trouver un logement, la société réalise une très belle opération financière. Non seulement, elle a su convaincre ses partenaires historiques de lui prodiguer l’investissement nécessaire à sa progression (BPI France et GROUPAMA Paris Val de Loire), mais en outre, elle s’est adjoint la précieuse intervention de nouveaux donateurs. Convaincus par la pertinence de la TPE, BDR IT et BFC Croissance et Innovation ont validé leurs soutiens officiels à ces projets d’expansion. Des structures inféodées à la Caisse d’Epargne et à la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté. 

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Cap vers l’Espagne en 2019…

Pourvue de cette somme rondelette, PAPYHAPPY déploiera ces prochains mois une stratégie novatrice et adaptée à ses besoins. Ceux de conquête de nouvelles parts de marché à travers la France mais aussi vers l’Europe. L’intégration de services d’accompagnement auprès d’entreprises partageant des valeurs similaires se traduit dans les faits par la constitution de partenariats. A l’instar de celui acté avec la direction régionale de GROUPAMA Paris Val de Loire en 2018.

Quant aux cibles prioritaires sur le Vieux continent, elles s’identifient de prime abord à la péninsule ibérique. Et plus particulièrement, à l’Espagne, pays déjà dans le viseur du charismatique dirigeant de la jeune entreprise, Joachim TAVARES. Les services novateurs de la start-up y seront déclinés courant 2019.

L’adhésion de PAPYHAPPY à la SILVER ALLIANCE (un groupement de 18 entreprises qui ont choisi d’utiliser le co-branding de marques pour impulser un entrepreneuriat collectif et collaboratif créateur d’emplois locaux) aura pesé lourd dans la balance.

Apparue en juillet 2016, la société de Joigny aux quinze collaborateurs se classe parmi les meilleurs établissements seniors en France dans la quête du logement. Il en sera peut-être de même, d’ici quelques mois, à travers l’Europe…


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