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L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…

SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…

Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.

Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.

Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.

 

La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…

 

Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.

Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.

Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.

Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.

L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.

 


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Accueillir ses petits-enfants. S’en occuper efficacement en étant inventifs, dans des occupations et des balades à moins de cent kilomètres : voilà ce qui nous était proposés durant cette période de confinement. Ce fut l’occasion de découvrir les vertus du « géocaching ». C’est-à-dire l’aventure pour tous ! Imaginez organiser une journée, une semaine ou plus, de vacances, seul, entre amis ou en famille avec des enfants et des petits-enfants, pour chercher « un trésor » ! Il suffit pour cela de s’équiper d’une paire de chaussures de marche et d’un smartphone où sont installés un GPS et un site de géocaching, gratuit le plus souvent…

TRIBUNE : Pour prétendre pratiquer l’art du géocaching, il faut s’inscrire à titre gracieux sur le site « géocaching.com ». Et ensuite, partir à l’aventure pour découvrir des trésors ! Mais, quels trésors ?

Il s’agit de petites boîtes contenant parfois un cadeau que l’on peut prendre (mais à remplacer) et d’une feuille où on inscrit son nom et la date de découverte. On replace ensuite ladite boîte au même endroit. A notre connaissance, il n’existe pas de « géocaches » avec diamants et louis d’or !

On peut aussi créer une « géocache ». Ce jeu est amusant, voire enthousiasmant pour découvrir une ville, une région, la France, le monde et l’univers !

Avec un peu de créativité, des offices de tourisme, comme celui de Bourg-en-Bresse ou de Besançon, peuvent créer des caches afin de faire découvrir des sites archéologiques, des monuments, les richesses des paysages de la région…

Aux Etats-Unis, certaines activités commerciales intègrent le géocaching pour faire découvrir un lieu touristique et la boutique des souvenirs proposés…

Une suggestion idéale pour « La Côte Saint-Jacques » ou « La P’tite Beursaude » afin d’attirer les clients dès l’ouverture possible de leurs restaurants !

 

 

Géocaching, un jeu enthousiasmant !

 

Historiquement, le géocaching est né le 03 mai 2000 dans l’Oregon. Le concept a été créé par un certain Dave ULMER. Effet « boule de neige » immédiat : aujourd’hui, plus de trois millions de caches existent dans 180 pays.

On compte plus de 200 000 caches en France dont 325 à Auxerre et ses environs dans un rayon de 25 kilomètres : Monéteau, Appoigny, Migennes… Certaines caches font l’objet d’énigmes à résoudre afin de trouver le lieu. Dans le monde, sept millions de « géocacheurs » se sont déjà inscrits à ce jeu !

Les géocaches sont classées par niveau de difficultés : du niveau un à cinq. Certains sites ne peuvent s’installer qu’avec une autorisation parentale : il faut éviter aux plus jeunes d’aller dans des lieux dangereux.

On peut ainsi recenser des endroits insolites comme le sommet du Mont-Blanc. Pour le monde, vous pouvez aussi être tenté par les sommets du Kilimandjaro ou de l’Everest, le cœur de la forêt amazonienne ou les caches déposées au pôle Nord (attention aux ours blancs !) et au pôle Sud !

Encore plus fort : il en existe à 2 431 mètres de profondeur au beau milieu de l’océan Indien.

Mais, la cache la plus hallucinante tourne à la vitesse de 8 km/seconde et se situe à 400 kilomètres de la Terre !

C’est le « géo-astronaute » Richard GARRIOTTE qui déposa le 12 octobre 2008 une cache à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale).

Le niveau de difficulté est de cinq pour la trouver ; il faut prévoir un coût d’environ 58 millions de dollars pour le vol et 35 000 dollars par nuitée, hors promotion !

 

Et pourquoi pas le géocaching participatif au dessein écologiste…

 

Mais, le plus important reste que le géocaching est un jeu qui relie les hommes et la nature.

Certaines destinations proposent de faire rencontrer des personnes qui ne se connaissent pas pour découvrir un lieu afin de le dépolluer. Il s’agira alors de ramasser les déchets laissés par les touristes…

La discipline est devenue plus qu’un simple jeu de découverte. On peut se cultiver tout en s’amusant et aiguiser sa créativité en famille. Les témoignages sont éloquents, consultez Internet !

Louis ARAGON écrivait : « Je réclame le droit de rêver au tournant de la route aux grands charmes de la promenade. Le droit de m'émouvoir du monde maintenant que s'approche la canonnade. Je réclame le droit des hommes à pencher leur visage anxieux au miroir des fontaines. D'aimer les blés et de le dire. D'y chercher une douce paix incertaine. Je réclame le droit de peindre mon pays... ».

Alors à vos téléphones portables ! Et bonne chasse dans ces nouvelles aventures palpitantes !

Jean-Paul ALLOU


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Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…

SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !

Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.

Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !  

Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.

Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.

 

 

 

Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…

 

Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !

Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.

Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.

Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.

De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.

Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…

 


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Arrivée à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle lundi soir, la commande de masques jetables des entreprises du Sénonais, adhérentes du club « Business Sens », a été distribuée mardi après-midi par les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Une opération à laquelle a pris part la société de négoce en produits carnés, EUROSER.

SENS : Les représentants de 152 entreprises du nord de l’Yonne ont pu repartir le sourire aux lèvres ce mardi après-midi une fois reçu leur dotation de masques jetables réceptionnés hier soir sur le tarmac du principal aéroport de France.  

Fruit d’une commande passée il y a quelques temps, à l’initiative d’un partenariat tripartite très actif entre la chambre consulaire du département, le club des entreprises du Sénonais (le Business Sens) et la société EUROSER, cette dernière dont le siège social est implanté à Avallon est spécialisée dans le négoce et le courtage de produits carnés frais et congelés avec ou sans os. Elle exporte près de 70 % de ses produits en Europe mais aussi vers l’Asie.

La livraison arrivée lundi soir en France était très attendue. Il est vrai que ces produits garantissant la protection sanitaire de leurs utilisateurs ont été proposés à 0,614 € hors taxes par boîte de cinquante exemplaires.

 

 

Les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne mettent également à disposition des entités professionnelles du territoire une liste de fournisseurs icaunais qui fabriquent masques, visières, gels et autres solutions alternatives afin de se prémunir contre les risques de propagation de l’infection virale.

En outre, la CCI s’active depuis le début de la crise pour accompagner les entrepreneurs en leur mettant à disposition : l’information COVID mise à jour quotidiennement sur la référence : www.covid19-entreprises89.fr .

D’autres bases de données nationales sont consultables sur la plateforme gel (https://bit.ly/2WzAeW) et sur celle de l’offre et la demande de masques (https://bit.ly/2SGPDTW).

Enfin, il existe une plateforme nationale dédiée aux professionnels: https://bit.ly/2WcAhsv


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C’est par le biais d’une visio-conférence que l’ambassadrice icaunaise de la chanson française a obtenu le Graal ce vendredi 08 mai lors des demi-finales du concours international de musique vocale. Une épreuve concoctée lors des commémorations qui marquent le terme de la Seconde Guerre mondiale. Encensée par les critiques de la presse russophone et d’un jury de personnalités (le cinéaste Emir KUSTURICA), la dame en robe rouge se retrouve donc en finale. Un évènement prévu à l’automne…

YALTA (Russie) : Invitée à cette épreuve vocale annuelle par le Centre de Russie pour les Sciences et la Culture de Paris, l’artiste de l’Yonne était la seule représentante de l’Hexagone à concourir à ce festival international. La sélection initiale regroupait pas moins de 157 prétendants, en provenance de 37 nations différentes.

Qualifiée pour les demi-finales (elles se sont disputées crise sanitaire oblige en visio-conférence ce vendredi 08 mai depuis le domicile des candidats), Christelle LOURY s’est lancée dans une brillante interprétation, aux dires d’un jury subjugué par l’aisance de la prestation, d’un air populaire extrait du patrimoine culturel russe : « Nous avons besoin d’une victoire ».

Adaptée pour la circonstance dans la langue de Molière par Christine ZEYTOUNIAN-BELOUIS (lauréate du prix Russophonia), la chanson prit ses lettres de noblesse grâce aux intonations puissantes et émouvantes de l’interprète bourguignonne qui y mit toute son âme et sa passion.

Vêtue d’une belle robe rouge aux coloris éclatants, l’égérie de la chanson française apparut sur l’écran audiovisuel et fit mouche face à un jury de personnalités conquis par la tessiture de la chanteuse.

     

Une chanson en forme d’hommage et de devoir de mémoire…

 

Interrogée sur la manière de gérer cette participation à son premier concours de chant depuis ses débuts, la chanteuse du Sénonais a voulu rendre un hommage appuyé à ses grands-parents qui se sont investis dans la résistance face à l’ennemi nazi.

« Mon grand-père a été fait prisonnier durant ce conflit, précise-t-elle, c’était ma contribution artistique pour le saluer et me souvenir de toutes les victimes de cette guerre monstrueuse. Notamment celles du peuple russe qui a été victorieux pour sortir du joug des nazis et a payé un lourd tribut avec 27 millions de victimes… ».

Organisé par la Fondation « Le Monde humanitaire » avec le soutien des plus grands médias russes et étrangers, ce festival concours, intitulé « La Route vers Yalta », invitait des artistes du monde entier à interpréter dans leur langue maternelle des airs patriotiques russes de la Seconde Guerre mondiale.

Obtenant son billet pour la finale regroupant les huit meilleurs candidats, Christelle LOURY devra désormais s’armer de patience avant de pouvoir disputer ce challenge vocal dans la ville emblématique de Crimée.

La finale prévue en présentiel dans une salle pouvant accueillir dix mille spectateurs devrait se dérouler en octobre.

La française aura alors toutes ses chances de l’emporter si l’on en croit le témoignage de Lev LESHCHENKO, président du jury : « Christelle est incroyable ! Je regrette seulement que la voix ne se place pas dans le petit espace de la pièce. Je pense que c'est une explosion émotionnelle si puissante que l'on peut ressentir sur une grande surface, dans un stade. Je pense que c'est très cool et la voix est fantastique. Les émotions étaient tout simplement exceptionnelles… ».

Un exercice, certes inhabituel, pour notre ambassadrice qui fera vibrer ses émotions en mémoire de celles et de ceux dont on ne doit jamais oublier le sacrifice…

 


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