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Portée sur les fonts baptismaux de la création entrepreneuriale le 27 mars 2014, cette société par actions simplifiées (SAS) de MILLY, bourgade proche de Chablis, est aujourd’hui l’une des rares structures sur ce segment d’activité à proposer une alternative originale d’interventions matérielles destinées aux professionnels de la vigne dans leurs travaux d’entretien. Broyage de serments, rognage, épandage de traitements phytosanitaires…la SAS, dirigée par Ludovic BARAT, lui-même cogérant du domaine viticole éponyme avec sa sœur Angèle, et responsable de la CUMA de la Côte de Léchet, poursuit son parcours professionnel sans l’ombre d’une fausse note. L’embauche récente d’un collaborateur aura été nécessaire en vue d’amplifier le potentiel de cette entité…

CHABLIS : Se définissant comme une entreprise de prestations de services viticoles, la SAS JANE doit son acronyme aux prénoms des enfants de la famille BARAT. Elle réalise depuis sa mise en fonction de nombreux travaux mécanisés qui se destinent aux professionnels du vignoble local.

Si le chiffre d’affaires (non communiqué par le chef d’entreprise) se situe néanmoins dans une courbe de progression ascendante confortant ainsi les axes stratégiques déclinés depuis le démarrage de l’entité, c’est qu’il traduit le besoin de nouveaux services à prioriser vers des viticulteurs qui ne peuvent se résoudre à tout faire par eux-mêmes, faute de temps. Voire par absence de moyens mécaniques pour certains.

Une excellente connaissance des besoins des vignerons…

S’inspirant de ce qui se pratique depuis plusieurs années avec succès dans le Bordelais ou plus près de chez nous, aux confins de la Bourgogne Franche-Comté et de Rhône Alpes Auvergne, le Beaujolais, Ludovic BARAT, lui-même co-gérant du domaine familial depuis 1993, a su très tôt appréhender les attentes réelles des viticulteurs face aux problématiques exigeantes de l’exploitation de parcelles.

Testant sa propre offre de services au sein du domaine, qui est par ailleurs l’un des clients essentiels de la jeune SAS, Ludovic décide de se projeter plus en amont en initiant son concept d’interventions mécaniques vers ses coreligionnaires. Outre des travaux usuels et non exhaustifs dans les vignes, la SAS JANE conçoit également l’épandage de traitements phytosanitaires ainsi que les opérations de labour. Au moment des vendanges, la jeune société propose ses services en mécanisant celles-ci.

De l’embauche nouvelle et un parc matériel qui s’agrandit…

Devant l’affluence des demandes d’intervention, Ludovic a eu recours à la création d’emploi. Un poste de chauffeur de tracteur a été créé cette année dans un esprit pragmatique de temps partagé, entre les activités propres à la SAS à 80 % ; le reliquat revenant au domaine BARAT qui exploite 22 hectares de vignes réparties en dix hectares de premier cru, autant en chablis et deux en petit chablis. L’établissement de MILLY produit 70 000 bouteilles annuellement dont 60 % s’exportent vers les destinations classiques du marché chablisien : Etats-Unis, Canada, Pays de l’est, Brésil et Europe continentale.

L’expansion économique devenant réalité, le président de la SAS JANE a acquis un deuxième tracteur pulvérisateur cette année, complétant ainsi sa gamme d’engins mécanisés. Elle est aujourd’hui l’une des rares entreprises de prestations de services viticoles dans l’Yonne et entend bien accroître encore son leadership à l’avenir. Tout en bénéficiant des avantages d’un matériel à la pointe de la technologie. C’est aussi en cela que le concept décliné depuis 2014 par la SAS JANE est innovant et séduit…


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Devenir chef d’entreprise ne s’improvise pas ! Le cheminement du porteur de projet, s’il ressemble parfois à un parcours du combattant hérissé d’embûches, repose sur un balisage affiné de connaissances et méthodologies ponctuées par des étapes incontournables à la réussite. Lors de l’ultime session explicative concoctée dans le cadre de la Semaine régionale de la création/reprise d’entreprise en Bourgogne Franche-Comté, la Chambre économique de l’Avallonnais (CEA) s’est adjoint les bons offices des partenaires institutionnels et professionnels légitimes pour éradiquer les incertitudes planant encore au-dessus des têtes de ces néo-entrepreneurs en quête d’informations pratiques…

AVALLON : Après vingt-et-une séances similaires organisées sur le territoire régional, la Semaine de la création/reprise d’entreprise a donc trouvé son épilogue à Avallon, ce vendredi 24 novembre, dans les locaux de l’hôtel d’entreprises. Combinant la complémentarité du travail offert par les organes consulaires sur ce dossier, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, l’évènement, prévu l’après-midi, se soldait par l’accueil de trente-et-une personnes, préalablement inscrites.

Toutes étaient désireuses de bénéficier des renseignements nécessaires, dispensés sous la forme d’entretiens individuels ou à l’occasion d’ateliers collectifs. Dont celui de la troupe théâtrale EXPONENS où les comédiennes de l’Yonne simulèrent un échange très instructif, à la limite de la caricature entre un conseiller bancaire peu enclin à ce type de rendez-vous et un client, futur créateur/repreneur d’entreprise, contenu dans une certaine réserve.

Des ateliers et des conférences orientés vers la découverte ludique de l’information…

L’adoption des bonnes attitudes et surtout du discours qui fait mouche pour convaincre le professionnel de l’établissement bancaire à accorder un soutien financier au projet constituaient le socle de cet exercice oral, pas si aisé au demeurant. Les commentaires avisés de Christophe de OLIVEIRA, spécialiste du marché de la viticulture au sein du Crédit Mutuel Centre Est Europe, faciliteront cette interactivité voulue par les organisateurs de la séance, auprès de la quinzaine de participants.

Autre temps fort  de ces ateliers ludiques : la découverte de la clé de voûte de toute réussite entrepreneuriale, la gestion d’entreprise. La présence d’un représentant de la Chambre des experts-comptables de l’Yonne n’était donc pas une surprise en soi, d’autant que ce dernier évalua les connaissances de son public à l’aide d’un quizz plus ou moins ardu.

La dernière heure de ce tantôt très constructif fut confiée à plusieurs conseillers de la CCI et de la CMA dont le spécialiste des études de marché au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie icaunaise, Julien SISSOKO. Celui-ci dévoila quelques données quantitatives sur la consommation actuelle des ménages sur notre territoire. De précieuses tendances indicatives pour les futurs commerçants. Chacune des étapes majeures de la création/reprise d’entreprise fut ensuite abordée par petits groupes.

Quant aux autres partenaires, ils occupaient de petits espaces d’accueil où ils purent recevoir en face à face le public avide de renseignements. Ainsi, on nota la présence de la Chambre départementale des experts-comptables, des avocats, des réseaux tels que Entreprendre Bourgogne ou INITIACTIVE 89, de Pôle emploi, du Régime social des indépendants (RSI), du Crédit Mutuel, etc.

Une année 2017 à la baisse alors que 2016 établissait un nouveau record…

La tenue d’un atelier de présentation orale de dossier, sur une durée d’une quinzaine de minutes pour convaincre les acteurs indispensables au montage financier, donna un aperçu quasi réel des possibilités offertes par les futurs prétendants à l’entrepreneuriat. Certains devaient se sortir des pièges parsemés çà et là sans connaître trop de difficultés ; d’autres, en revanche, eurent beaucoup plus de mal à trouver les mots justes et à les argumenter face à jury spécial articulé autour d’un avocat et d’un expert-comptable !

Pour l’animatrice de la Chambre économique de l’Avallonnais, Céline LO, cette manifestation, la première du genre conçue au sud de l’Yonne, aura créé une synergie positive entre les professionnels et les apprentis chefs d’entreprise. Constatant une légère érosion du nombre de porteurs de projets sur le territoire depuis janvier, la représentante de la CEA rappelle que 217 personnes ont été accompagnées l’année dernière. Seules 64 d’entre elles installeront réellement leur entreprise sur l’Avallonnais dans des registres corporatistes aussi divers et variés que l’artisanat, le commerce et les professions libérales, soit 49 créations et 14 reprises.

Mais, et même s’il ne reste encore que quelques semaines pour inverser éventuellement la tendance, l’année 2017 ne sera pas aussi aboutie au niveau des résultats. Le nombre de porteurs de projets s’élève à 158 à ce jour avec seulement 29 créations et 7 reprises. Un différentiel qui dénote légèrement après les deux dernières années de progression observées en 2015 et 2016…


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Avec un nombre de commandes dépassant les 11 500 véhicules sur le seul mois d’octobre, le constructeur nippon a réalisé plus de 29 % de volumes de vente par rapport à la période équivalente de 2016. Cette progression historique repose pour l’essentiel sur les ventes de modèles hydrides qui représentent 67 % des achats plébiscités par les consommateurs de véhicules particuliers de la marque. Au cumul sur les dix premiers mois de l’année, TOYOTA atteint une hausse trois fois supérieure à celle du marché avec 16,5 %. Des statistiques qui confortent le constructeur asiatique à la sixième place en volume par marque sur le mois d’octobre. Sur le canal des ventes aux particuliers, TOYOTA occupe une cinquième position en France avec une part de marché de 6,2 % à l’issue de cette période automnale…

PARIS : Acteur majeur de l’industrie automobile sur la planète, le constructeur japonais TOYOTA produit au plus près des marchés sur lesquels sont commercialisés ses véhicules. C’est le cas de la France depuis 1967. Le groupe y conçoit, fabrique et distribue de nombreux véhicules comme viennent de le rappeler les statistiques des ventes du mois d’octobre.

Sur un marché en hausse de 13,8 % par rapport à l’an dernier, les immatriculations de véhicules particuliers subissent une forte poussée de 23,3 % en octobre. Avec 7 900 immatriculations sur le mois, la part de marché de TOYOTA sur ce segment commercial atteint 4,5 % et même 6,2 % sur le canal des particuliers. Depuis le début de l’année 2017, le constructeur de l’archipel du Soleil Levant a vendu 72 862 unités, soit + 16,5 % par rapport à la même période en 2016.

La nouvelle YARIS stylisée remplit ses objectifs…

Mais, ce mois d’octobre demeurera dans les annales pour l’industriel japonais qui dispose d’une unité de production ultra moderne à la périphérie de Valenciennes (Nord). Cette forte progression des ventes coïncide avec la réalisation d’un mois record en termes de commandes avec 11 500 unités, soit 29 % de mieux qu’en octobre de l’année dernière. Soit le meilleur mois d’octobre en matière de vente depuis cinquante ans !

L’explication est rationnelle et se résume au regain d’intérêt des consommateurs autour des modèles hybrides, à commencer dont la part s’élève à 67 % en octobre. Une mention particulière peut être accordée à la YARIS hybride qui a confirmé son succès depuis la présentation de sa nouvelle ligne en avril. Ce modèle bat tous les records de commandes à l’heure actuelle, avec 2 900 exemplaires : 70 % du total des commandes de YARIS.

Près de 90 000 véhicules des deux marques commercialisés en France en 2016

Par ailleurs, la marque du sud-est asiatique enregistre de très belles performances en utilitaires avec 300 commandes de PROACE, soit la meilleure opportunité commerciale depuis le lancement en 2016. Concrètement, ce modèle très prisé des artisans a bénéficié de la seconde édition des « Journées Plus utilitaires » déclinées dans le réseau sur tout le mois d’octobre.  Au niveau de la location longue durée, TOYOTA poursuit sa progression et atteint désormais une part de marché de 3 % sur ce canal. Autant de données chiffrées ayant de quoi satisfaire les neuf mille collaborateurs de l’entreprise dont 4 300 qui interviennent à travers le réseau de 300 sites de distribution autour des deux marques, TOYOTA et LEXUS. Rappelons qu’en 2016, le constructeur japonais a vendu plus de 88 000 véhicules de ses deux marques en France dont plus de 35 000 étaient équipés de la technologie hybride.


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Cinq mille exemplaires par coupon d’une valeur d’une, deux, cinq, dix et vingt « cagnoles » devraient circuler sur le territoire de l’Yonne dès le printemps 2018. Respectant une parité simple à retenir en terme de conversion par rapport à l’euro (une équivalence de un pour un), cette monnaie propre à notre département rejoindra le lot de la centaine d’initiatives financières existantes qui actuellement se développent à la vitesse grand V dans l’Hexagone. Le tout étant ordonnancé depuis Lyon, siège de la NEF (Nouvelle économie fraternelle) et de sa banque centrale à l’origine de cette phase exponentielle de la monétisation en France, sans que rien ne soit laissé au hasard dans ce vaste projet ambitieux initié par l'association COURTS CIRCUITS…

AUXERRE : « Une partie du fonds de garantie (près de 70 %) sera attribuée à des projets globaux à vocation solidaire, tandis que le reliquat sera lui réinjecté dans le développement d’initiatives économiques locales…».

Méthodiquement, Pascal PAQUIN, l’un des interlocuteurs de ce concept très ambitieux d’instaurer une monnaie locale sur le nord de la Bourgogne, explique avec moult détails les mécanismes précis de ce nouveau système monétarisé qui concernera bientôt l’ensemble de la population, qu’elle soit particulière ou professionnelle.

Car, LA CAGNOLE n’est pas le fruit d’une expression anachronique ni régionaliste à la sauce folklorique. Bien au contraire, le précepte repose sur une historicité établie et surtout de nombreuses velléités qui éclosent çà et là à travers le pays. Par comparaison, il existait en 2015 une quarantaine de monnaies territoriales qui avaient libre cours. Aujourd’hui, on en dénombre déjà une centaine. Mais, ce palier devrait très vite s’étendre puisque ce sont plus de deux cents projets qui sont en voie de développement à l’heure actuelle dont beaucoup pourraient faire florès en Bretagne, notamment parmi ses grands centres urbains…

Le lancement de la monnaie se travaille d’arrache-pied…

Quant à l’Yonne, elle s’inscrit déjà dans un singulier particularisme à l’instar du Puy de Dôme avec son environnement rural très prononcé à l’échelle du département.  Le lancement inaugural conçu en harmonie avec l’association Le Jour de la Terre se peaufine déjà parmi la quarantaine de membres qui travaille avec sérieux à l’aboutissement de ce projet. Le jour J, la présence de Philippe DERUDDER, grande figure de l’explosion des monnaies locales à travers la planète, pourrait se confirmer sous la forme d’une conférence très attendue. La parole de cet entrepreneur d’origine canadienne est respectée dans le giron des nouvelles économies. Son vécu professionnel démontre que ce personnage charismatique n’a rien d’un doux rêveur. Même si il existe quelques exemples désagréables ici et là du bien-fondé de ces monnaies (Nantes, Toulouse, des villes où le subventionnement à outrance des municipalités devait nuire à la bonne faisabilité du concept), ailleurs, l’essor des monnaies locales n’est plus à mettre en doute depuis 2015.

« Toutes les règles propres au fonctionnement de « La CAGNOLE » ont été posées depuis un an et demi, confie Pascal PAQUIN, les bases initiales du projet ont vu le jour en juin 2016 avec le concours du groupe fondateur « ALTERNATIBA », un mouvement qui travaille à la mise en valeur concrète de nouvelles approches économiques et environnementales. Ce groupe a reçu le renfort d’une vingtaine de personnes convaincues de faire évoluer les choses après avoir visionné l’excellent film « Demain », une référence du genre… ».

Durant six mois, les représentants de la structure associative COURTS CIRCUITS s’affaireront à l’écriture de la charte et de ses statuts, à concevoir une collégiale fonctionnant à partir de commissions de travail spécifique où se prennent les décisions, à affiner le développement de ce projet ambitieux et insolite.

« Nous ne sommes pas dans une aventure avant-gardiste, ajoute Pascal PAQUIN, nous sommes juste situés dans un espace citoyen qui peut être rejoint à tout moment par celles et ceux qui le désirent… ».

Tous les quinze jours, une quarantaine de personnes se réunissent au sein de sept commissions et apportent leurs expériences à la mise en exergue de ce nouveau projet selon un mode opératoire qui ne requiert pas le besoin de désigner un président. A contrario, deux membres de cette structure s’occupent de la trésorerie et l’ensemble des adhérents sont déclarés à la préfecture. En bonne et due forme.

« Nonobstant, explique Pascal PAQUIN, et d’un point de vue légal, pour prétendre utiliser la monnaie, il faudra adhérer à l’association : soit 5 euros pour les citoyens et 25 euros pour les entreprises… ».

Un système de transaction proche du chèque vacance…

Comparables dans sa phase utilitaire aux chèques vacances ou aux chèques déjeuners, les coupons de la CAGNOLE serviront aux paiements de prestations commerciales diverses qu’elles soient culturelles, alimentaires ou autres. Le prestataire ne pourra rendre en revanche l’argent en euro, en faisant l’appoint.

Quant aux entreprises, il n’y aura pas de double affichage du prix ou du devis, tout sera effectué en euros. Au niveau comptable, l’amorce de ce nouveau mode de paiement ne modifiera en rien les usages habituels. La seule incidence effective apparaîtra au niveau de la saisie manuelle d’une caisse.

« Pourquoi une entreprise aurait-elle intérêt à employer cette monnaie locale à l’avenir ? C’est simple, concède Pascal PAQUIN, elle prouvera avec la mise en valeur à ce concept son engagement vers la transition environnementale et aux nouvelles approches de l’économie. Référencé sur un annuaire et un site Internet, l’entrepreneur volontaire bénéficiera d’une aide substantielle de la part de l’association quant à la recherche de fournisseurs et de clientèle. Quant au consommateur citoyen lambda, il profitera de remises régulières selon les volontés des entreprises (offres commerciales), en étant respectueux dans son acte consumériste… Les entreprises partenaires ciblées seront exclusivement des commerces et des structures de type TPE/PME… ».

Créer un véritable engouement économique de proximité…

A l’origine, ces envies de monétisation locale constituent un geste purement politique et contestataire afin de retirer en partie l’argent des flux financiers traditionnels qui alimentent le terreau de la spéculation au détriment des échanges.

Quant à l’association initiatrice du concept, elle pourra aussi garantir des prêts à court terme et à taux zéro en vue de développer les projets des entreprises. La possibilité de créer une paire d’emplois d’ici deux à trois années n’est d’ailleurs pas exclue pour assurer la gestion de ce processus. Comme l’ont fait les auteurs de la monnaie locale de Saint-Etienne en créant des emplois partagés…

De même, les collectivités auront la faculté de pouvoir signer une convention de partenariat avec l’association gestionnaire de la monnaie locale : cela leur permettra de payer des services locaux en cagnole. Sur le volet des collectivités, Pascal PAQUIN est formel dans ses arguments : « notre projet est viable économiquement de lui-même tout en conservant son indépendance : il sera fondé sur le principe des cotisations de ses membres.. ».

D’autres idées germent dans les esprits réfléchis des membres de la collégiale qui anticipent la suite de ce programme ambitieux. L’Auxerrois et la Puisaye seront les premiers points d’ancrage de l’implantation progressive de la CAGNOLE avant que les autres secteurs géographiques de l’Yonne ne disposent réellement des précieux coupons au printemps 2018.


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Le 08 décembre, la Brasserie de la Renaissance à Auxerre accueillera le premier Café de la Création dans la capitale de l’Yonne. Un concept instauré par l’établissement bancaire qui se destine à l’ensemble des porteurs de projets, clients ou non de la banque verte. Le temps d’une matinée, encadrés par une multitude de partenaires institutionnels et consulaires, les entrepreneurs en herbe du territoire bénéficieront de conseils avisés et bienvenus, utiles à la préparation de leur dossier…

AUXERRE : Entre 8h30 et 11 heures, le vendredi 08 décembre, les créateurs d’entreprises (et ils sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans pareille aventure), seront invités à prendre part à la nouvelle initiative structurelle du Crédit agricole Champagne Bourgogne. 

Notaires, juristes, avocats, experts-comptables, mais aussi représentants de la Chambre de Commerce et d’Industrie, de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, de Pôle Emploi ou du RSI (Régime social des indépendants) constitueront la « dream team » efficiente et aguerrie de cette première rencontre conçue à Auxerre, après une expérience similaire déjà réalisée avec brio à Avallon il y a quelques semaines.

Concevoir un écosystème favorable aux projets d’entreprises…

Le prétexte organisationnel de ce Café de la Création, concocté à l’intérieur d’une brasserie au lieu d’une salle de réunion aseptisée d’une quelconque administration, est de transmettre un maximum de renseignements pratiques et utiles aux chefs d’entreprises en devenir. Qu’il s’agisse de pure création entrepreneuriale ou de reprise de société existante.

Partant du simple postulat que monter sa propre boîte et concrétiser ses ambitions professionnelles ressemblent parfois à un réel parcours du combattant aux limites de l’insurmontable, le Crédit agricole Champagne Bourgogne a voulu faire bénéficier les porteurs de projets de son propre tissu relationnel. Celui-ci s’articule autour d’un écosystème favorable à celles et ceux qui désirent développer des activités au plus près des territoires. La banque n’a éprouvé aucune difficulté à convaincre l’ensemble de ses partenaires habituels à la rejoindre dans ce concept.

Mis en place dans l’Aube et la Côte d’Or, il était judicieux de le voir intégrer le département de l’Yonne tôt ou tard. Chargée de la direction marketing, de l’innovation et de la RSE à Dijon, Isabelle AUGRAIN, se dit satisfaite des retours obtenus après les premières séances créatives de ces cafés qui facilitent les contacts.

« Notre volonté est de créer une vraie dynamique territoriale autour du concept et susciter l’envie d’initier des projets professionnels. Le Café de la Création est avant tout autre chose un lieu de rencontre où les experts et spécialistes de l’approche économique de l’entreprise apporteront tous les ingrédients nécessaires à la réussite de ces projets expliqués devant eux. L’autre motivation justifiant la mise en place de cette initiative repose sur la désacralisation de certaines fonctions professionnelles majeures qui cohabitent avec l’entreprise : je pense au notariat ou à la filière du chiffre et du droit (avocats, huissiers, experts-comptables…)… ».

Plus de 250 porteurs projets mobilisés autour de ce concept…

Respectant la confidentialité inhérente à ce type d’intervention, le Crédit agricole Champagne Bourgogne rappelle qu’en aucun cas ce support créé par ses soins équivaut à une manœuvre de démarchage commercial.

« Une des preuves les plus tangibles à ce propos, insiste Isabelle AUGRAIN, consiste à accueillir des personnes qui ne possèdent pas de compte bancaire au sein de notre établissement… ».

En petit comité, les sessions regroupent le plus souvent entre quinze à vingt porteurs de projets. Ces séances de travail à la couleur café, comme aimait le chanter Serge GAINSBOURG, ont déjà accueilli plus de 250 personnes en quête d’informations précises afin de peaufiner l’optimisation de leur projet.

Une fois, l’étape initiale franchie à Auxerre, la pérennisation du concept à période régulière (le deuxième vendredi du mois) deviendra une simple formalité pour le Crédit agricole et ses partenaires de l’économie…


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