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Le renouvellement de la convention de mécénat entre la Fondation d’entreprise « AGIR en Champagne Bourgogne » et la Fondation régionale du Patrimoine favorise la poursuite d’une kyrielle d’actions positives en vue de sauvegarder et valoriser les richesses culturelles de notre territoire. Avec comme axiome prioritaire, la restauration d’un patrimoine, situé en zone rurale. Depuis l’origine de ce partenariat constructif, ce sont 216 projets qui ont ainsi été soutenus pour un montant global de 557 581 euros…

DIJON : Apparue en février 2013, la Fondation d’entreprise « AGIR en Champagne Bourgogne », portée par l’établissement bancaire régional, agit dans le cadre d’une cause citoyenne : la préservation des intérêts collectifs et durables au profit de la dynamique territoriale qui intègre à la fois les projets éducatifs, socioculturels, linguistiques, scientifiques et environnementaux.

Disposant de subsides financiers provenant entre autres des versements issus de la démarche « Cartes sociétaires », instaurée par le Crédit agricole de Champagne Bourgogne (Aube, Côte d’or, Haute-Saône, Yonne), cette structure devait tôt ou tard s’allier avec l’un des acteurs essentiels de la défense patrimoniale et culturelle en France, la Fondation du Patrimoine.

Un défi unique avec un vrai modèle économique

Partageant des valeurs communes, les deux partenaires instaurent très vite un schéma coopératif efficace entre leurs exécutifs. Au service du patrimoine et de ses richesses à extirper de l’oubli, et parfois si malmenées. Ce sont les zones rurales qui motivent en priorité l’engagement des deux signataires de cet accord.

« Nous souhaitons contribuer au développement économique de nos territoires par la valorisation du patrimoine en créant et en maintenant de nombreux emplois… ».

Les enjeux sont donc de taille. Mais, la volonté reste la même entre Vincent DELATTE, président du Crédit agricole de Champagne Bourgogne et président de la fondation « AGIR », et Guy BEDEL, délégué régional de la Fondation du patrimoine.

« Pérenniser cette diversité, créer de la valeur et réunir les énergies constituent un challenge unique que notre équipe de 26 bénévoles et trois salariés partage au quotidien, précise le président de la Fondation régionale du Patrimoine.

Le travail besogneux de l’organisme est colossal. Plus de 2 632 projets ont déjà bénéficié de la manne précieuse de ces acteurs dévoués à la cause culturelle. Qu’ils interviennent à La Charité sur Loire, à Belfort, à Sens ou à Lons le Saulnier. Certaines entreprises, notamment celles établies en Franche-Comté, n’ont pas hésité à s’engager au sein d’un club de mécènes afin de renforcer leurs capitaux. Plus de 1,75 million d’euros ont été collectés au service de ce combat perpétuel.

Plus de 4 000 emplois créés et préservés depuis 1996…

Le Crédit agricole de Champagne Bourgogne s’est appuyé sur l’un de ses instruments de paiement fétiche, la carte sociétaire, réservée à ses clients. Une somme minimale, un centime d’euro, est ainsi prélevé à chaque utilisation afin d’être reversé par la caisse régionale sur un fonds mutualiste qui vise à encourager les projets locaux.

Depuis l’origine de la Fondation du Patrimoine, survenue en 1996, plus de 28 000 projets ont été soutenus en France, engrangeant plus de 2,3 milliards d’euros  de travaux, soit un équivalent de 4 000 emplois créés ou maintenus dans le secteur artisanal du bâtiment en moyenne par an. Cela méritait bien une petite signature entre deux partenaires fiers de s’investir autour d’une noble cause.


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Fonctionnel depuis fin juillet, le nouvel établissement du leader national de ce segment d’activité à forte plus-value sociétale (celui des résidences services seniors) ne connaît aucune difficulté pour proposer ses 118 logements, à la location. Enregistrant un taux de remplissage de 55 %, le concept « Terres de Bourgogne » à Auxerre figure même parmi les complexes d’hébergement les plus performants au sein du groupe en termes de réactivité et d’intérêt auprès de ses futurs pensionnaires. Sachant de surcroît que l’ensemble des appartements ont été vendus à leurs propriétaires investisseurs de manière rapide…

AUXERRE : Conçue au niveau de sa phase promotionnelle avec le concours des groupes NEXITY et AEGIDE, mais aussi de l’agence immobilière locale, « GUILLOT Immobilier », la résidence services seniors « Terres de Bourgogne » occupe une place privilégiée au cœur de la capitale de l’Yonne. Initié dès 2011, et accueilli sur d’anciens terrains de football cédés judicieusement par la Ville, le projet mettra néanmoins de longues années avant de se concrétiser dans l’absolu. Mais, qu’importe : le résultat est là, et dévoile du bel ouvrage.

Un investissement de 20 millions d’euros

Nécessitant une enveloppe globale de 20 millions d’euros à sa construction, le bâtiment offre près de 800 mètres carrés d’espaces club, comprenant salon, atelier, corner esthétique, piscine, salle de sport. De quoi créer un lieu de vie confortable et convivial où les résidents peuvent apprécier la quiétude et le bien-être de l’endroit grâce à la qualité des nombreuses prestations.

Respectant les normes de la réglementation thermique 2012 (RT 2012), la résidence a été érigée dans le souci de préserver l’environnement et la valorisation du patrimoine. Grâce à une consommation d’énergie réduite. Les logements de type T1 (35 m2) à T3 (70 m2), destinés aux 20 % de couples ayant choisi le site pour y couler des jours tranquilles, sont adaptés aux attentes de ce public dans un réalisme ergonomique.

10 % de ces appartements se destinent même à l’accueil temporaire de ses résidents, des personnes placées avec le concours du CCAS de la Ville d’Auxerre ou des structures médicales.

Un édifice comparable à un hôtel de standing…

Découvrant le cadre agréable de ce complexe dont il a apprécié les similitudes avec de l’hôtellerie de belle facture, l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ, accompagné de son premier adjoint, Guy PARIS, ont le loisir de visiter le site, en présence du PDG du groupe AEGIDE, Jean-Marie FOURNET.

« Avec la réalisation de ces travaux, vous démontrer votre rôle d’entreprise investie dans la dynamique et l’animation de ce territoire, devait-il préciser lors de son allocution, je ne peux que me réjouir de l’existence de ce beau concept à Auxerre… ».

Entre services à la carte, équipements adaptés et restauration de qualité, gérée par le groupe SOGERES, la résidence « Terres de Bourgogne » aura bénéficié de la présence de la comédienne Danièle EVENOU pour cette inauguration exceptionnelle où bon nombre d’acteurs économiques et institutionnels avaient effectué le déplacement afin de se rendre compte par eux-mêmes des réelles potentialités de cette résidence où il fait bon vieillir.

Unique concept résidentiel de DOMITYS en Bourgogne (même s’il existe une résidence similaire à Besançon), « Terres de Bourgogne » a créé une vingtaine d’emplois directs depuis son ouverture.   


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Unique coordinatrice de la VAE (Validation des acquis de l’expérience) sur le territoire de l’Yonne depuis 2014, Frédérique NIKA évoque les principes fondamentaux de ce dispositif professionnel qui a été remodelé au 01er octobre en toute discrétion. Instrument essentiel de la loi de modernisation sociale promulguée le 17 janvier 2002, la VAE est l’une des méthodologies intelligentes de faire reconnaître son savoir-faire professionnel (ou bénévole) en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une progression sociale au sein de son entreprise. Explications…

 

AUXERRE : S’adressant aux salariés, professions libérales, demandeurs d’emploi et même bénévoles associatifs, la VAE est devenue au fil des ans le moyen idoine de faire valoriser ses nombreuses années d’expérience avant d’obtenir le diplôme, précieux sésame légitime permettant de convertir cela de manière officielle.

Pour Frédérique NIKA, coordinatrice de cet outil facilitateur pour gravir les échelons, « une VAE répond à plusieurs objectifs lorsque l’on entreprend la démarche de l’obtenir : attester d’un niveau professionnel atteint pour favoriser l’évolution professionnelle dans le cas d’une reconversion, ou pour obtenir une qualification dans le cadre d’un concours ou d’optimiser sa qualification professionnelle en cas d’évolution de poste et de statut. Dans tous les cas, la VAE est indispensable à la personne pour développer la confiance en soi ».

« On peut être amené à le faire par conviction personnelle, par choix d’évolution, en répondant au besoin d’exigence d’un prêt requis ou pour un concours, mais aussi en face des offres d’emploi, ajoute cette spécialiste de la question.

Le législateur ramène le processus de 3 à 1 an…

Jusqu’à présent, trois ans d’expérience en rapport direct avec le diplôme choisi étaient nécessaires pour pouvoir y prétendre. Mais, la réforme de la loi Travail (Loi 2016 et le texte du 08 août 2017, correspondant à l’abaissement de la durée requise à un an) a modifié sensiblement la donne. Sachant, dans l’intervalle, que tous les ministères n’avaient pas encore appliqué ces mesures. Mais, depuis le  01er octobre 2017, on ne peut sursoir à ces modifications.

« Il est important que le législateur ait fait évoluer le développement de la VAE, concède la jeune femme en charge de la gestion des dossiers dans l’Yonne, la réduction de l’expérience, ramenée de trois ans à un an, est essentielle pour gommer les aspérités techniques de ce dossier et freinait les velléités des prétendants. La notion d’expérience acquise et valorisable s’élargit et ne concerne plus uniquement le seul degré professionnel. Ce qui signifie dans l’absolu que le montage d’un dossier peut entrevoir des réussites obtenues lors d’un mandat électif, pendant une activité associative, mais aussi sportive ou culturelle… ».

Néanmoins, il est nécessaire de rappeler que l’on ne peut valider que des expériences qui ont eu cours sur son chemin de vie. « Si la personne n’a jamais exercé une discipline et qu’elle souhaite l’intégrer au sein d’une VAE, il n’y aura pas d’autres alternatives que de la diriger vers la formation… ».

Une photographie à l’instant « t » de son parcours d’expérience

Le contingent des personnes interpellées par la validation des acquis de l’expérience ne cesse de croître d’année en année. Les raisons en sont évidentes avec le net désir de changer de vie professionnelle de manière plus fréquente et ce besoin assumé de reprendre sa destinée en main. Après avoir pris contact avec Frédérique NIKA, conseillère VAE auprès de la Maison de l’Emploi pour la zone sud de l’Yonne, et le CIBC (Centre interinstitutionnel de bilan de compétence de l’Yonne sur le centre et la partie nord du département), les futurs lauréats à cette validation se renseignent sur bon nombre de questionnements. Les principaux étant le mode de financement, les étapes permettant de suivre ce parcours initiatique, la découverte de ses différents acteurs, l’éligibilité du candidat, les aides dans le choix du diplôme, la prise en charge…

« Ensuite, explique Frédérique, nous les orientons vers l’organisme certificateur qui validera ce parcours pédagogique… ».

Un profil éclectique avec 70 % de public féminin

Entre 36 et 45 ans, de nombreuses femmes s’essaient à la pratique de la validation des acquis de l’expérience. Quel que soit le niveau de diplômes, mais avec un maximum de niveau V et VI. Le délai pour arriver au bout du chemin équivaut le plus souvent à une année.

Mais, dans la grande majorité des cas, la VAE est une approche méconnue des salariés.

« C’est surprenant, s’étonne Frédérique NIKA, tous peuvent y prétendre mais peu connaissent réellement leurs droits… ».

Parmi les freins incontestables de ce processus pourtant très utile à la sécurisation des emplois, c’est la lourdeur administrative qui prévaut.

« En fait, il est nécessaire de passer par un point relais conseil comme celui de la Maison de l’Emploi à Auxerre ou les antennes du CIBC à Sens et à Joigny pour obtenir des informations.

Quant à l’organisme certificateur qui validera in fine le parcours, il peut se présenter sous différentes formes : ministère de l’emploi, de la jeunesse, de l’agriculture mais aussi l’Education nationale, voire des établissements privés. La certification est établie par chacun de ses organismes. Mais, aujourd’hui, le législateur souhaite une uniformisation du processus sans doute pour le rendre plus accessible.

Grâce au concours du point relais, et l’aide au choix et à l’identification du diplôme, le candidat s’inscrit à la demande de recevabilité. Une étape obligatoire afin de mener à bien le terme de cette initiative. C’est là que Frédérique NIKA joue les bonnes fées en apportant sa plus-value et ses connaissances à la constitution de ce lourd dossier, argumentant dans les moindres détails les expériences professionnelles des prétendants.

A l’issue de ce long chemin pédagogique, on ne valide rien. Soit on obtient le diplôme, ou partiellement certains modules. Un jury composé de professionnels peut alors faire des préconisations et expliquer les failles du candidat. S’en suivra nécessairement des formations complémentaires pour pallier aux manques…

Des aides financières de la Région et de Pôle Emploi…

Quant à la partie financière, elle ne peut être édulcorée. L’accompagnement pour atteindre ses objectifs n’est pas obligatoire mais il est vivement conseillé. Afin de bénéficier de conseils pertinents, 95 % des personnes qui suivent ce procédé intellectuel choisissent un accompagnateur. Ensuite, et selon la situation, on pourra mobiliser des aides de la Région et de Pôle emploi pour les demandeurs d’emploi, ou un congé de VAE pour les salariés dans le cadre du Compte personnel de Formation qui remplace les DIF.

Le coût pour une VAE est estimé de 500 euros à 2 000 euros. Les subsides étant analysés au cas par cas (frais d’accompagnement, frais d’université…). Pour les salariés, il n’y a pas de coût particulier car tout est pris en charge grâce aux OPCA qui assurent le financement selon leurs typologies.

Précisons que la Région Bourgogne Franche-Comté qui a habilité la Maison de l’Emploi à proposer ces missions, contribue à financer les demandeurs d’emplois selon certains critères.


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Responsable du pôle action commerciale au sein de l’établissement multi-sites courrier de l’Avallonnais, Philippe PATON est intervenu devant les membres de l’AET (Association des entrepreneurs du Tonnerrois) lors d’une conférence instructive où il expliquait la gamme des innovations numériques et stratégiques en matière de marketing, mises en place par l’opérateur national…

 

TONNERRE : La POSTE bouge et le fait savoir de manière didactique dans son entourage. Notamment auprès des chefs d’entreprises et des acteurs de l’économie locale.

Présentant la diversité des offres existantes (colis, courrier, numérique et logistique), Philippe PATON, invité par le président de l’AET, Eric MONNOYER, à venir s’exprimer lors d’une réunion statutaire, a pu mettre en relief les compétences d’un groupe qui multiplie les campagnes de sensibilisation vers les artisans, les commerçants et les dirigeants de PME/PMI.

Dans le temps d’intervention qui lui était alloué, le conférencier d’un soir a pu expliciter les vertus de la nouvelle offre de « prêts à poster » que l’on peut même personnaliser.

L’opérateur développe beaucoup d’offres numériques à l’instar du timbre en ligne, spécifique aux entreprises. L’idéal étant de concevoir le maximum d’économie in fine. Y compris lors des envois de lettres recommandées en ligne.

Signe des temps, La POSTE commercialise aussi des services de prêts à envoyer dans le cas des envois express. « Côté Pro » englobe un ensemble de préconisations dédiées aux activités des commerçants. Afin de leur faire gagner du temps et d’optimiser leur budget. Mais, les services marketing de l’opérateur national ont aussi imaginé des solutions de conquête de parts de marché grâce à la vente à distance ou l’optimisation de trafic sur les points de vente de leurs clients professionnels.

Devenir une entreprise qui s’adapte aux réalités des besoins…

Parmi les aspirations nouvelles qui ont cours en cette fin d’année : la gestion des archives. Poussée par un souci légitime de diversification alors que l’établissement postal a vu chuté de 50 % ses activités sur la distribution d’objets (18 milliards d’objets en 2008 contre 9 milliards dans les perspectives à horizon 2020), La POSTE poursuit sa mue vers des activités novatrices.

La mise en place d’un programme de veille au profit des seniors (« Veillez sur mes parents »), avec la distribution de tablettes tactiles à la clé, traduit cette volonté de jouer un rôle de plus en plus prégnant au niveau de l’éco-citoyenneté et du sociétal.

Quant au traitement des plastiques et des produits non recyclables, après le tri des papiers, il intègre désormais le registre de la sauvegarde de l’environnement de ce groupe en perpétuelle évolution…


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VERMENTON : Jouets anciens, tableaux, gravures, bibelots, vaisselles, lampes, linges de maison, bicyclettes, outils, objets de curiosité…les chineurs et autres férus de vide-grenier devraient largement y trouver leur compte ce dimanche 12 novembre en essayant de s’approprier la perle rare parmi les innombrables pièces proposées par Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS, propriétaires de ce splendide monument cistercien au sud d’Auxerre.

Une fois n’est pas coutume, le couple a décidé d’organiser ce deuxième vide-grenier après avoir découverts dans les vastes soupentes et chambres de l’édifice qu’ils occupent depuis plusieurs années des malles et cartons provenant d’anciens déménagements de leurs aïeuls. Béatrice et Louis-Marie ne les avaient jamais ouvertes auparavant d’où leur immense surprise devant tant d’objets si hétéroclites et au charme suranné.

La vente sera organisée par l’association des Amis de REIGNY et aura pour objectif de financer les actions culturelles de la structure qui ne reçoit plus aucune subvention.

Rappelons que celle-ci est à l’origine du fameux Festival Paroles et Musiques, référence artistique incomparable dans le département, mêlant artistes lyriques et classiques aux écrivains, comédiens et poètes.

La restauration du cellier aux moines profitera aussi des subsides imputables à cette manifestation à la fois ludique (le plaisir de dégoter un objet chargé d’histoire) et instructif, en profitant de ce haut lieu du patrimoine architectural de Bourgogne Franche-Comté.

L’entrée est de 2 euros au profit de l’association. Quant à l’amplitude horaire, elle d’étale de 9 heures à 16 heures en cette future journée dominicale du 12 novembre…


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