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« NFT », vous connaissez ? La traduction littérale de cet acronyme inspiré de l’anglais des affaires n’est autre que « Non Fungible Token ». Le jeton non fongible, pour les puristes qui rejettent d’un revers de la main l’usage de cet anglicisme trop envahissant. Serait-ce la raison d’être sémantique d’un dernier combo de rap à la mode ? Ou la désignation d’un tout nouveau jeu vidéo ? Que nenni ! « NFT » traduit la technologie émergente qui arrive à grands pas au sein de l’écosystème des crypto-monnaies. Domaine que MUGI va s’employer à vulgariser auprès du plus grand nombre…

 

AUXERRE : De la pédagogie, toujours. De la vulgarisation, encore ! Chantre des investissements en bitcoin et du rayonnement des crypto-monnaies depuis notre territoire, MUGI va une nouvelle fois se distinguer lors d’une série de causeries dont elle a la parfaite maîtrise pour intéresser le plus grand nombre à ces pratiques financières.

 

Un paradigme très prometteur que suit de très près METIS…

 

Cette fois-ci, la thématique principale qui sera abordée lors de trois rendez-vous prévus en présentiel à Nevers (le 16 mars), Dijon (le 17 mars) et Auxerre, le lendemain, sera consacrée à ces « NFT », dont la presse spécialisée se fait souvent l’écho depuis quelques temps.

Popularisée depuis 2021, cette technologie constitue de fait un nouveau compartiment d’actifs numériques avec ses caractéristiques propres. Engendrant une croissance démesurée depuis le début de cette année, qui s’amplifie de jour en jour, en suscitant beaucoup d’intérêts.

METIS, la structure mère de l’univers « MUGI », surveille de très près l’évolution de ce paradigme très prometteur qui révolutionne déjà bon nombre de circuits. Certaines industries se positionnent déjà sur ce marché. En particulier celles de l’art qui pourrait s’en trouver considérablement changé avec la possession de biens digitaux.

 

 

Un phénomène qui va voir sa valorisation exploser dans le futur…

 

Le secteur du luxe s’y engouffre également. Lançant leurs propres collections au sein de ces espaces numériques futuristes de type métavers. Même les acteurs de la GMS (grande distribution) n’y sont pas insensibles. A l’instar de CARREFOUR qui a déjà acquis une parcelle de terrain virtuel dans un jeu vidéo, « The Sandbox », afin de positionner un futur commerce en ligne dans le métavers (ce monde parallèle numérique créé par Facebook) pour la coquette somme de 300 000 euros !

« Nous pensons fortement que nous sommes au tout début d’un phénomène qui verra sa valorisation exploser dans les années à venir, confie l’équipe MUGI qui voit dans ce mouvement un nouvel axe très puissant en devenir.

Toujours prompt à prendre des initiatives, la structure développe un nouveau service, sous la forme d’un pool de liquidités. Celui-ci aura pour objet d’investir dans ce nouveau compartiment d’actifs numériques. Afin de se positionner déjà sur ce marché en début de construction.

D’où l’existence de ces trois interventions à suivre également en visioconférence qui ne se cantonnent pas au seul département de l’Yonne. Parce que la naissance de ce nouvel écosystème le vaut bien ?

 

Thierry BRET

 


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On se croirait presque sur un « dance floor » ! Une piste de danse, si vous préférez l’explicatif dans la langue de Molière ! Des lumières, vives et colorées, et un décorum un brin décalé avec la thématique du soir (une rencontre entre clubs services pour renouer le contact) et sans la moindre sonorité ambiante des « after work » qui doivent s’y dérouler d’ordinaire. Le T 10, concept branché du cœur de ville d’Auxerre, a accueillie, grande première, la fine fleur des « clubbers » du cru. Histoire de raffermir les liens…

 

AUXERRE: Cela fait combien d’années qu’ils ne s’étaient pas réunis autour d’une table afin de pouvoir échanger et partager leurs passions de l’altruisme et de la solidarité ? Pourtant, toutes et tous, selon les modèles emblématiques qu’elles ou ils représentent, se sentent investis d’une mission sociétale forte au bénéfice de chacun de nos concitoyens, d’ici et d’ailleurs, sur le sacro-saint principe de la référence intellectuelle qui unit femmes et hommes de bonne volonté dans ce monde : « servir autrui » !

 

Générosité et civilité : les actes fondateurs des clubs services…

 

Qu’ils soient Lions, Rotary, Kiwanis, Inner Wheel, Table Ronde, Jeune Chambre Economique,…, ces inféodés aux causes solidaires et humanistes ne répondent qu’à un seul et unique dessein, le partage de valeurs identiques. Celles-ci, générosité et civilité, se déclinant par le prisme d’actions caritatives et éducatives, conçues la plupart du temps par leurs auteurs, eux-mêmes, ou en soutenant et en les finançant, d’autres associations.

Donc, en se retrouvant, vendredi dernier, dans le décor si typique et fonctionnel du « T 10 », les représentants des différents organes associatifs de la place auxerroise purent à satiété livrer leurs impressions sur leur engagement dans ce courant universaliste que sont les clubs services. Ils ont ainsi présenté leurs actions sociales ponctuant leur saison d’intervention (un calendrier, il est vrai, quelque peu malmené après deux années de présence de la COVID), tout en se projetant sur l’avenir.

Un futur où nécessairement les affres de l’inattendu et sanglant conflit qui frappe l’Europe, à la suite de l’invasion des forces armées de la Russie sur le territoire de l’Ukraine, complètera sans aucun doute le tissu d’actions de cette actualité interventionniste, au nom des causes justes et nobles.

 

 

Des entretiens tous les trimestres et en immédiateté sur une application…

 

Si le souvenir du regretté René AUBIN (l’un des pères fondateurs de cet interclub services local) fut maintes fois évoqué (eh, oui dix ans déjà que son absence pèse sur nos mémoires), c’est surtout vers l’avenir que se projetèrent la vingtaine de personnes présentes, ayant répondu positivement à l’invitation d’Amine LAMRANI, actuel président du Lions Club Auxerre Phoenix, et instigateur de cette rencontre.

Un rendez-vous où plusieurs représentants des deux Lions Clubs d’Auxerre, des deux Rotary locaux, du Kiwanis, de la Table Ronde, de la JCE et d’Inner Wheel prirent la parole, satisfaits dans leur for intérieur d’une pareille initiative.

 

 

 

L’objectif étant de faire perdurer ces entretiens, de manière trimestrielle mais aussi sur les réseaux sociaux, par le biais de l’application « WhatsApp », fil d’Ariane offrant une communication immédiate à l’ensemble des membres d’un même réseau.

Si Adrien BAILLY, l’une des pièces maîtresses de la Jeune Chambre Economique que l’on ne présente plus, s’est vu confié le rôle de référent de ces suivis informatifs entre les différents partenaires, tous les clubs en présence se sont engagés sur le principe à soutenir l’initiative d’entraide aux réfugiés ukrainiens arrivant en nombre en Pologne, portée par le collectif « Des Couleurs pour l’Ukraine ».

 

 

Un projet de collecte de produits de première nécessité pour les réfugiés ukrainiens…

 

Un vaste projet de collecte participative autour de l’alimentaire et de la quête de produits de première nécessité conçue sur l’Auxerrois qui leur fut présenté en guise de plat de résistance lors de ces retrouvailles fructueuses.

Ces retrouvailles, sous le sceau de la convivialité, clôturèrent ainsi ce premier rendez-vous, permettant à l’interclub services d’Auxerre de refaire surface sous le feu des projecteurs (les fameuses lumières colorées du T 10 !) après des années de léthargie. Mais, pas d’oubli.

Cette renaissance qui s’amorce semble être actée dans le principe fédérateur. Les actions sociales mutualisées entre ces partenaires n’en seront donc que plus belles !

Pour toujours mieux servir les autres…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Serait-ce une réelle chance pour l’industrie hexagonale ? Au vu des nombreux items abordés qui y gagnent en efficience, nul ne pourrait en douter. La nouvelle convention collective de la métallurgie, officialisée par moult signatures le 07 février dernier à Paris, prendra effet d’ici moins de deux ans. Impulsant un élan considérable à tout un pan de l’activité entrepreneuriale de notre pays. Au nom de l’attractivité, de la compétitivité mais aussi de l’équité et de la concertation. Un réel progrès pour la filière ? Non mieux que cela : un élan fédérateur au supplément d’âme certain pour l’industrie !

 

AUXERRE : « Ce n’est pas une contrainte, ce n’est qu’une amélioration… ». La jubilation du délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de l’Yonne fait plaisir à voir. Le nouveau dispositif conventionnel, adoubé récemment par toutes les composantes de la filière, fait figure de premier pas sur la Lune. « Un petit pas pour l’homme, un grand bond pour l’humanité ! » avait lancé Neil ARMSTRONG au meilleur de sa forme en foulant le sol poussiéreux de notre satellite en juillet 1969. Simplifier la vie de la relation sociale en entreprise offrirait-elle les mêmes sensations auprès de personnes, plutôt terre à terre que sont les acteurs de l’industrie française ? Possible !

L’aboutissement de cette signature après une genèse entamée depuis le début des années 2010 est qualifié de rendez-vous « historique ». Tant par Claude VAUCOULOUX qui nous en explique les contours vu du prisme de l’Yonne, que par les communiqués de presse officiels qui abreuvent les rédactions depuis la date de ce précieux paraphe.

« Nous venons de vivre l’acte de naissance d’un nouveau modèle social pour l’industrie française, lâche dans un large sourire le porte-étendard de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM de la Nièvre et de l’Yonne, une vraie opportunité intellectuelle qui va booster ce secteur d’activité au centre de bon nombre de réflexions, suite à la très longue crise sanitaire identifiant la dépendance de la France à bien des égards.

 

 

De vrais groupes de travail, pas de comités « Théodule » !

 

Applicable au 01er janvier 2024, cette convention collective porte sur différents aspects. Essentiels à la relation sociale et à l’existence de l’entreprise. Ils ont pour dénominateurs communs la lisibilité, l’équité, la concertation, la compétitivité, l’attractivité….autant d’auxiliaires pour répondre aux enjeux de l’entreprise dans la conjoncture actuelle, qui est loin d’être un long fleuve tranquille à la suite des récents évènements belliqueux opposant Russes et Ukrainiens.

Partant du simple postulat que la plupart des textes existants avaient pour origine des applicatifs issus des années 60 et 70 (autant dire un monde devenu totalement obsolète à nos yeux !), les futurs signataires souhaitaient dépoussiérer ces écrits, les rendant de facto plus en phase avec les réalités conjoncturelles du moment. Un besogneux travail de fourmi et la constitution de différents groupes de travail dès 2012 ! Comités (qui n’avaient rien de « Théodule » !) qui se mirent à fonctionner à plein régime afin de légitimer ce vaste nettoyage de printemps nécessaire à la filière et dans lesquels Claude VAUCOULOUX eut l’opportunité de pouvoir réfléchir ! Un travail réalisé en profondeur, partagé avec les associations syndicales représentatives de la métallurgie.

Qu’en ressortira-t-il in fine ? Que du positif, de l’avis de notre interlocuteur.

« Cette convention est unique et nationale. Elle s’inscrit réellement dans l’innovation sociale. A terme, elle est amenée à remplacer 78 conventions collectives existantes qui régissent la relation sociale dans la métallurgie… ».

Jusqu’alors, une cohabitation subtile permettait de réunir sous des égides différentes une convention des ingénieurs et des cadres de la sidérurgie et de nombreuses conventions territoriales de la métallurgie concernant les personnels qui ne sont pas cadres. Dorénavant, tout ceci sera remplacé par cette convention nationale unique sur le territoire.   

« C’est simple, poursuit Claude VAUCOULOUX, des 7 500 pages de textes conventionnels avec lesquels nous travaillons depuis longtemps, nous n’aurons plus que 231 pages servant de trame à ce nouveau dispositif entrant en vigueur au 01er janvier 2024. ».

 

 

Six enjeux capitaux pour répondre à ce nouvel élan stratégique…

 

Quant aux enjeux, ils reposent sur une articulation dégageant six idées motrices. Et, en premier lieu, répondre aux enjeux de l’entreprise.

« Ce dispositif, précise Claude VAUCOULOUX qui en maîtrise la moindre arcane, constitue un socle adapté à toutes les entreprises de la filière, quelle que soit leur taille et leur domaine d’activité… ».

Un socle reposant sur les valeurs intrinsèques de ces structures : le temps de travail, la santé et les conditions de l’emploi, la rémunération, la classification, la relation individuelle, la formation, la protection sociale, le dialogue social. Rien n’a été édulcoré.

Naturellement, la compétitivité reste de mise. C’est l’ADN de toute entreprise qui se respecte. Comment l’améliorer ?

« La nouvelle convention va favoriser en le simplifiant et en le sécurisant le cadre social des acteurs, ajoute le représentant de l’UIMM dans l’Yonne, par exemple, les entreprises auront toute latitude à pouvoir appliquer strictement ce que prévoit la convention collective nationale ou à l’adapter, grâce à des accords d’entreprise négociés avec pour cela la plus grande autonomie possible ».

Ce nouveau système, opérationnel d’ici deux ans, apportera davantage de lisibilité aux entreprises, souvent noyées dans l’empilement de textes complexes et hétérogènes. L’unicité de ce texte de 231 pages fera le reste. En facilitant la compréhension et l’accessible à tous.

Le volet recrutement, nerf de la guerre actuel des structures qui peinent à embaucher du personnel qualifié, figure sur le registre de l’équité. Les sociétés auront la faculté de pouvoir mieux accompagner leurs salariés dans leur gestion de carrière via un tout nouveau système de classification des emplois, transparent et équitable. Une classification devant optimiser le développement professionnel et personnel des collaborateurs et contribuer à la bonne fonctionnalité de l’entreprise.

 

 

La concertation paritaire se veut renforcée avec cette convention newlook. Les entreprises et les organisations syndicales, hormis la CGT non signataire de l’accord définitif mais qui a néanmoins suivi tout le protocole de négociations, laissent grandes ouvertes les portes à la négociation sociale.  « Une réelle avancée sociale » selon Claude VAUCOULOUX qui permet « de magnifier le secteur de la métallurgie à travers son paritarisme ».

D’ailleurs, dans l’Yonne, les partenaires sociaux s’entretiennent régulièrement depuis septembre 2021 pour décliner au mieux le mode opératoire de ce texte national devant être déployé sur le territoire.

Reste l’ultime axiome de cette stratégie à six orientations : l’attractivité. Une évidence en matière de valeur ajoutée humaine et l’indispensable montée en compétences des salariés. L’accélération des nouvelles technologies et du numérique dans les processus de production ressemble à un sérieux atout vers lequel la filière veut s’engouffrer.

Sur le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté, cette convention sera opposable aux trois cents entreprises du secteur qui appliquent ces accords, celles-ci emploient l’équivalent de neuf mille salariés.

D’ici la date d’application de ce dispositif, l’UIMM Yonne disposera autour d’une task-force d’un dispositif complet afin d’accompagner ses adhérents dans ce qui ressemble à une grande révolution de palais. La révolution industrielle du XXIème siècle au plan social ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Si un secteur professionnel n’est jamais en disette pour proposer des offres d’emploi aux jeunes pousses montantes, c’est bien de celui-ci dont on peut parler ! Le profil est simple. Etre détenteur d’un diplôme de niveau licence, posséder quelques appétences aux relations humaines et à l’écoute, le reste suivra après immersion dans cette sphère du marketing et de l’offre commerciale. A l’instar de la Caisse d’Epargne en quête de candidats !

 

AUXERRE : Mine de rien, c’est fou comme les établissements bancaires recrutent chaque année ! Ils ne sont jamais à court de bonnes idées, et surtout de postes pérennes, parfaitement identifiés, à disposer de suite pour subvenir aux besoins des plus jeunes d’entre nous : un métier !

La Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté ne déroge pas à cette règle. Elle qui a déjà ajouté une dizaine d’embauches supplémentaires à son escarcelle au cours de ce dernier semestre sur le seul territoire de l’Yonne !

Les profils sont à caractère commerciaux. Logique pour cette typologie d’établissement qui raisonne en parts de marché réalisées sur la vente de produits financiers et de crédits, voire sur le conseil en gestion patrimoniale. Le must des services préconisés par un acteur du monde bancaire, aujourd’hui.

 

Les titulaires de Bac + 3 dans le viseur de la Caisse d’Epargne…

 

Dans l’absolu, la directrice du groupe de l’Yonne, Florence FORZINETTI, recherche des postulants devant pourvoir à trois opportunités professionnelles de manière immédiate. Des postes qui bénéficient d’un contrat à durée indéterminée. Du conseiller généraliste au chargé d’affaires en gestion patrimoniale, sans oublier celui de conseiller en clientèle.

Présente à l’agence commerciale de Toucy ce jeudi en fin de matinée, l’encadrante bancaire a confirmé ce besoin.

« Généralement, précisa-t-elle, nous puisons nos nouvelles recrues parmi un vivier de diplômés de niveau baccalauréat, bac + 3 (licence) – le plus souvent force de vente – qui possèdent la fibre du conseil et de la relation à l’autre ».

L’alternance est également usitée à bon escient. L’année dernière, cinq apprenants issus de l’Ecole de Commerce et de Gestion, accueillie au sein du pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie à Sens, ont intégré les services de la Caisse d’Epargne, afin d’y poursuivre leur cursus. Preuve que les portes sont grandes ouvertes pour celles et ceux de ces jeunes gens qui désirent s’initier aux pratiques de la commercialisation bancaire.

 

Trois postes à pourvoir à l’instant « t » dans l’Yonne…

 

Toutefois, le parcours de progression en interne demeure favorisé par la direction des ressources humaines. Les notions de promotion ne sont donc pas galvaudées selon l’exemple de la directrice de la vitrine commerciale de Toucy, Kelly PAYET, qui officie en qualité de responsable d’un point d’ancrage ouvert au public depuis trois ans. Elle, qui a pu assez rapidement se hisser vers le haut de la pyramide en gravissant les échelons sur un rythme bien soutenu, se dit très satisfaite de son sort.

Prenez-en de la graine, mesdemoiselles et messieurs les postulants, avant d’adresser vos lettres de motivation et autres CV afin de décrocher la timbale de ces trois nouveaux postes qui vous tendent la main !

 

Thierry BRET

 

 


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C'était une de ces matinées, fleurant quelque peu la fin de ce drôle d'hiver. Dans cette petite rue proche du marché de Sens,  un panneau à l'impeccable calligraphie - digne des institutrices et instituteurs d'avant 68 - m'interpella. Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! Séquence souvenir, de feu l’ORTF, avec le commissaire BOURREL et ses « Cinq dernières minutes ! ». J'y reconnus alors la patte de Laëtitia, que l'on a découvert jadis au « Martin bel air », sis à Saint-Martin-du-Tertre. Une bonne petite table locale que l'on évoquera un de ces quatre dans cette chronique....

 

SENS : Appréciée de la clientèle, elle n'avait pas son pareil pour préparer un « Américano », avec LA recette de son père-grand ! Après un court passage dans une chaîne que je ne citerai pas, là-voilà, à sa place, chef de salle de  la toute nouvelle « Table du Boucher ».

Bienvenue à la maison TROTOUX ! Guillaume y prit la suite de son père Rémi, après avoir exercé dans de belles boutiques, tant à Lille, que chez « Pouy » à la capitale. Voici trois ans, par le biais d'importants travaux, il créa cette boucherie du XXIème siècle, avec son étal arrondi.

Ce n'est pas la première fois que se crée à Sens un restaurant à viandes. Le précédent, ce fut voici il y a quelques années « Le Cav's », comme comptoir à viandes. C'était bon, certes, mais cher et chichiteux. Je me souviens encore des salsifis au chocolat en dessert ! Cela ne dura point. Peut-être y manquait-il un brin de gourmandise tout simplement ? Si certains clients vont au restaurant, d'autres s’y rendent aussi pour manger. CQFD !

Mais revenons rue Etienne Mimard, et poussons la porte vitrée de ce petit antre. Notre calligraphe est là, sa craie est rangée : les clients peuvent arriver ! Le décor est chaleureux, et la juxtaposition de tables hautes et basses, y est plutôt heureuse. Quelques saucissons pendouillent, juste histoire de  nous narguer !

 

 

La possibilité de se sustenter dès potron-minet !


« La Table du Boucher » pour Guillaume, c'est le prolongement de sa boutique, avec la possibilité pour la clientèle, de choisir un morceau sur l'étal. Même de bon matin, pour un « p'tit mâchon », plus très diététiquement correct en 2022, mais ayant l'avantage de faire plaisir, c'est déjà ça !

On s'attable donc confortablement dans cette petite salle contiguë à la boucherie. La planche-apéritif,  composée  de saucisson de porc noir de Bigorre bien poivré et de chorizo est plaisante. Avec ce joli  vin de Fixin. Aujourd'hui, la maison propose une souris d'agneau ou une entrecôte blonde d'Aquitaine. Le tout est accompagné de gratins (chou-fleur ou courgettes). Ou bien votre autre choix se portera sur le bel étal que l'on zyeute depuis notre table !

Quelques crudités pour commencer : de la betterave, une bonne piémontaise et une salade grecque, sans sirtaki, dommage ! Une dame seule se régale à la table voisine. Derrière nous, des parents déjeunent avec leur fille restauratrice. Elle est établie avec son mari, en terre vendéenne, à Aizenay. L'établissement s'appelle « La Sitelle ». Le Michelin parle de recettes originales avec de nombreux accords terre-mer, ainsi que d'un accueil agréable et attentionné.

 

 

 

Les petites « blagounettes » entre deux assiettes !

 

Le pain, ça compte ! Il est bon et bien cuit. Il provient de la proche boulangerie- pâtisserie tenue par Eric GAUFILLIER. On en profite pour saluer ce sympathique artisan, présent dans la cité de Brennus depuis plus de trente ans. Son frère, pâtissier, officie à Provins.

L'entrecôte arrive impeccablement saignante. Elle fut cuite à la plancha. C'est la mode ! Personnellement, il me semble que pareil morceau poêlé et arrosé durant cuisson, ce serait bon aussi. Même si ce n'est pas très « comme j'aime », ainsi que  le serine la pub sur machin-tv ou autre ! Le gratin de chou-fleur est fort bon, bien assaisonné ; on y perçoit de fines effluves de l'indispensable muscade.

Laëtitia, quant à elle, passe de table en table, un mot gentil pour chacun, une « blagounette » entre deux assiettes !

Le dessert maison du jour est une tarte aux figues. D'autres sont préparés par la maison GAUFILLIER et proposés à la dégustation. Bonne pioche que cette tarte aux figues, ce fruit si finement granuleux. Puis, vient le moment du café servi avec un nougat local.

C'est chouette, cette « p'tite Table du Boucher ». Bravo au courageux Guillaume qui ignore les trente-cinq heures. Et bravo aussi à notre calligraphe préférée !  Nous reviendrons pour une viande poêlée cette fois-ci ! Tant pis pour « comme j'aime » !

 

 

En savoir plus :

 

Les + : cadre agréable, originalité du concept, service au top, prix des vins raisonnables avec notamment un Irancy de chez CANTIN servi à 25 euros la bouteille, c'est rare !

Les - : les tarifs sont raisonnables, mais au prix d'un bon restaurant cependant (soit environ celui d'un menu à 35 euros, référence du « Bib gourmand » dans le guide Michelin), l’établissement aura tout intérêt à prendre avec le temps - Paris ne s'étant pas fait en un jour - un virage, un peu plus cuisiné. On pense aux sauces et jus, notamment. Beurre d'herbes, sauce bordelaise et autres sauces Foyot s’accorderaient volontiers avec miss entrecôte (blonde d'Aquitaine ou brune des Alpes, c'est vous qui voyez !). Un noble support de choix...

 

 

La Table du Boucher Maison TROTOUX (sur Facebook)

09, rue Etienne Mimard

SENS

Tel  03. 86. 65. 18. 20.

Boucherie-charcuterie : du mercredi au lundi.

La salle est ouverte lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 09 à 19 heures.

Précisions : l’établissement n'étant pas un restaurant, au sens légal du terme, il n'y est pas servi d'alcools forts (apéritifs,  digestifs...).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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