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La souffrance avant l’exaltation ! Que cette rencontre sportive fut compliquée pour l’inénarrable ancien coach de l’AJ Auxerre ! Guy ROUX en aura donc vu de toutes les couleurs lors de ce match de barrage, offrant l’accès parmi l’élite au club bourguignon. Hypothéquant leurs chances en prenant un but avant le terme du temps réglementaire, les Auxerrois ont eu raison in fine des Verts lors de la séance des pénaltys. Redonnant le sourire à l’ami Guy !

 

BILLET :

 

Lundi

 

Présent hier sur les quais de l’Yonne, à l’occasion de « Fleurs de Vigne », la figure charismatique de l’AJA qu’est Guy ROUX a bien sûr été interpellée sur la désignation la veille au soir, de l’AS Saint-Etienne, comme ultime adversaire dans la course des Auxerrois pour une montée en Ligue 1. Fidèle à son image de paysan madré, le vieux lion de l’Abbé Deschamps a fait preuve de prudence, confessant qu’il aurait préféré tomber sur le Football Club de Metz plutôt que sur les Verts de Geoffroy-Guichard, pour tenter de décrocher le sésame qui ouvrirait les portes de la première division à son équipe fétiche, dix ans après sa relégation en Ligue 2. Avant de rajouter dans un sourire que « soixante mille places en trois matchs, c’est du jamais vu… ». Si l’heure de la retraite a sonné, l’homme est semble-t-il resté fidèle à son image « bankable » de comptable des deniers de l’AJA. « Faut pas gâcher… ! »    

 

 

Mardi

 

Autre figure auxerroise présente ce dimanche à l’heure des intronisations, le député Guillaume LARRIVÉ qui, contrairement à ce que pourrait laisser imaginer cette photo, n’est pas décidé à lever les mains et se rendre à ses adversaires en lice pour lui ravir son siège au Palais Bourbon. En fait, il était à la manœuvre pour lancer un ban bourguignon ! Profitant néanmoins de l’estrade qui lui était offerte pour s’adresser au préfet Pascal JAN et lancer un appel : « Monsieur le préfet, vous êtes désormais dans un département qui aime l’Etat et qui souvent d’ailleurs, a élu des hauts fonctionnaires à la députation. C’est une habitude qui peut, le cas échéant, se reproduire… ». Pas de doute, la campagne bat son plein !

 

 

Mercredi

 

La tuerie d’hier à Ulvade, petite ville du Texas, était la 27ème fusillade en milieu scolaire, enregistrée depuis le début de l’année aux Etats-Unis. En moins de six mois, 17 196 personnes sont mortes à cause d’une arme à feu soit le chiffre terrifiant de 119 victimes par jour. Ce pays où l’on apprend le maniement des armes à des gamins de cinq ans est devenu fou, ivre de ses peurs et de ses certitudes. Un pays devenu sourd et qui n’entend pas le cri des corps suppliciés de 19 enfants et deux adultes, déchiquetés par les balles d’un semi-automatique AR-15, l’arme la plus répandue dans le pays, que toute personne majeure peut se procurer pour la somme modique de 400 dollars ! Que pèsent toutes ces victimes, face à la puissante National Rifle Association of America (NRA), l'influente association pour le port d'armes à feu aux Etats-Unis, aux 5 millions d’adhérents et au budget annuel de 400 millions de dollars, faiseur de rois et de présidents ? L’un d’entre eux d’ailleurs était l’invité de leur forum annuel au lendemain de la tuerie. Par mesure de précaution, les services secrets ayant pour mission de protéger l’ancien président Donald TRUMP, ont demandé que les invités viennent sans armes… On n’est jamais assez prudent !

 

Jeudi

 

Un nouveau pôle consacré aux affaires non élucidées, les « cold cases », a été créé au sein du Tribunal de Nanterre, avec pas moins de six magistrats dédiés et une galerie réservée, pour accueillir la vingtaine d’armoires où entreposer les tonnes d’archives papier consacrées à ces affaires ainsi que les scellés collectés. A ce jour, 107 dossiers y sont répertoriés, dont sept faisant l’objet d’une information judiciaire, parmi lesquels ceux d’Angèle DOMECE et Joanna PARRISH, victimes présumées de Michel FOURNIRET. Dommage que le Palais de Justice à Auxerre ne se soit doté en son temps, d’un tel pôle, cela aurait peut-être évité que ne disparaissent dans le secret de ses couloirs, certains scellés et dossiers liés à Emile LOUIS et à la mort tragique du gendarme Christian JAMBERT, alimentant à jamais les plus folles rumeurs… 

 

 

Vendredi

 

Les élections passent, les affiches demeurent, fragilisées par le temps et laissant libre cours à l’imaginaire au fil de leur dégradation. Comme ce Janus, dieu des commencements et des fins, né de la fusion des visages d’Emmanuel MACRON et d’Éric ZEMMOUR, avec pour Capitole, le Palais de l’Elysée et pour cri de ralliement, « en même temps… » !

 

 

Samedi

 

Et pendant ce temps-là, le géant pétrolier saoudien ARAMCO a vu son bénéfice net grimper de 82 % au premier trimestre 2022, pour un montant avoisinant les 40 milliards de dollars de profits. Amis automobilistes, un petit effort, faisons-lui franchir la barre des 100 % !

 

 

Dimanche


C’est fait ! Auxerre est en Ligue 1 et la fête bat son plein, entachée toutefois par le comportement au stade Geoffroy-Guichard de « brutosaures » au doux nom de supporters, à peine la série de tirs au but terminée. Un match qui, coïncidence du calendrier, s’est déroulé 37 ans jours pour jour, après celui opposant la Juventus de Turin et Liverpool, en finale des Clubs Champions au stade du Heysel à Bruxelles. Score final : 1 à 0 pour la Juve, grâce à un pénalty de Michel PLATINI et 39 morts au compteur, suite à l’explosion de violence et de haine dans les tribunes, entre les aficionados des deux équipes. On dit souvent que l’histoire n’est qu’un éternel recommencement, ce qui s’est passé ce soir à Saint-Etienne en est la preuve, sans faire de victimes heureusement… Mais, jusqu’à quand ?

 

Dominique BERNERD

 


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Ouf, ça fait du bien ! De retrouver le chaud soleil qui nous brûle la peau. De se promener en toute quiétude, sans se cacher le nez sous ce masque devenu insupportable des deux côtés des quais de l’Yonne qui débordent d’activités. Concoctée par Centre France Parc Expo, filiale évènementielle du groupe de presse régional, et AUXERREXPO, la manifestation de la Pentecôte se hume à doses envoûtantes et homéopathiques. En savourant chacun de ces instants au gré des soixante-dix exposants…

 

AUXERRE: Enfin, un retour à une existence normale. Faisant fi de protections nasales qui empêchent les gens de respirer à l’air libre et sans se soucier de distances périmétriques où l’on ose à peine se frôler de peur d’attraper la maladie !

Trois journées de festivités vont être ainsi déclinées par la filiale évènementielle du groupe de presse Centre France, dans cette bonne capitale de l’Yonne. Une agglomération encore toute ragaillardie de l’accession inespérée parmi l’élite du football hexagonal de son club fétiche, l’AJA !

 

 

Le soleil aidant – l’astre diurne a donné rendez-vous à ce public de flâneurs épicuriens et familial -, l’affluence devrait atteindre des pics de fréquentation record après deux longs épisodes annuels de privation. Les organisateurs tablent sur environ vingt mille visiteurs sur ce salvateur week-end de la Pentecôte. Propice à la dégustation – c’est le principe même d’une fête vouant aux nues la succulence de la gastronomie régionale et de ses nectars liquides -, le rendez-vous se prolongera tard dans la soirée (samedi et dimanche) conférant un supplément d’âme festif et généreux à cette animation.

Il est vrai que depuis un septennat, la réussite est présente sur cet évènement devenu un incontournable du paysage gastronomique et touristique du terroir de l’Auxerrois. D’ailleurs, entre la gougère et le verre de Chablis à avaler avec modération, on aura toujours l’opportunité de se nourrir à la contemplation des monuments patrimoniaux qui font le charme de cette belle ville provinciale. Y compris depuis le parc Roscoff où seront accueillis majoritairement les visiteurs.

 

 

 

En savoir plus :

Fête de la Gastronomie et du Vin

Parc Roscoff

Rue Etienne Dolet

Auxerre

Samedi 04 juin de 10h à 22h,

Dimanche 05 juin de 10h à 22 h,

Lundi 06 juin de 10h à 19h.

Le programme complet est à découvrir sur auxerrexpo.com.

 

Thierry BRET

 

 


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Lundi 30 mai, au matin, « the place to be » : c’était Auxerre ! Même « Miss Grenouille », au comptoir, s’est régalée en lisant la « une » de la presse régionale, relatant les exploits des footballeurs de l’AJA ! Bravo aux jeunes sportifs pour cette  réussite, qui dépasse largement  le cadre footballistique, et fait du bien à l'Yonne, tout simplement.

 

AUXERRE : On peut penser que désormais, il faut arrêter de regarder dans le rétroviseur de la Peugeot 505 ou celui de la  Renault 30 GTL, en ressassant les gloires passées (Cantona, Blanc, Boli, Roux et les autres…) et se concentrer plutôt sur le pare-brise de cette future saison à venir avec Furlan, Léon le formidable, Touré, Hein et les autres. Car l'avenir de l'AJA, c'est à eux seuls qu'il appartient désormais !

Quittons  le banc de touche, pour ce comptoir plus familier, car, ce matin-là, on ne parle que de ça, et c'est tant mieux finalement. Tels des verres auxerrois,  le bleu et le blanc s'entrechoquent de la plus belle des manières.

 

 

Une belle enseigne à découvrir, tenue par Nadia et Gaëtan…


Il faut un certain courage pour quitter la tenue d'une pizzeria à succès, aux marges financières confortables, et retrouver l'essence même de son noble métier de cuisinier. C'est cela qui a conduit Gaëtan et Nadia, son épouse, dans ce bel angle de rue, non loin d'une école maternelle d'antan. « A la Maison », comme l'indique la belle enseigne, c'est un restaurant. Mais aussi leur lieu de vie tout simplement. Sitôt la grille franchie, un sentiment d'élégance certaine nous envahit, dont on ne se départira qu'en quittant les lieux : le jardin, la salle, son confort et sa discrète isolation phonique au plafond.

Tout y est à l'unisson. De nos jours, pour pareille réalisation, il faut passer sous les arcanes de normes ubuesques de plus en plus contraignantes. Beaucoup d'énergie - trop peut-être - est dispensée pour ce faire.

Mais, reconnaissons-le : le résultat est à la hauteur des espoirs engagés. Quel joli endroit. La clientèle ne s'y trompe  pas, et ce jour-là, des restaurateurs locaux, ainsi que d’anciens édiles cohabitent paisiblement par fourchette interposée.

 

 

Des toasts au lieu de gougères, cela change !

 

A l'apéritif, des toasts qui changent avec la sempiternelle gougère, bonne pioche ! En entrée, l'œuf est impeccablement poché, velouté d'asperges vertes et de noisettes torréfiées : cela fait un fort bon plat. Le jaune pimpant se mêle à la verdeur prononcée de l'asperge. C'est frais et de saison. Le jambon ibérique  - c'est la mode, mais je le clame d’autant qu’en France, aussi, nous avons d'excellents jambons (le porc noir de Bigorre, l’Ibaïama....) - est ici découpé finement par la « Rolls » des trancheuses : une « Wismer », la préférée de sieur Philippe BULANT, patron de l'entrepôt « Métro », sis à Monéteau ! Un jeune serveur, affable et souriant, s'affaire alors à nous débarrasser.

 

 

Des plats équilibrés et structurés, à la saveur certaine…

 

Les plats arrivent alors. Pour votre serviteur, un suprême de poulet jaune fermier, sauce à l'orange. Une belle assiette, avec là aussi quelques fleurs, heureusement comestibles !  La sauce est bonne, bien équilibrée, même si dans sa globalité, l'assiette paraît manquer, d'un je ne sais trop quoi...Et en dessert, la tarte au citron déstructurée est intéressante, goûteuse et point trop sucrée. 
Avec le café,  une gouttelette de rhum dominicain, je crois, s'interpose avec élégance !  Le rhum, c'est vraiment l'alcool du moment, songeais-je alors, tandis que lorsque j'étais gosse, cet alcool semblait n'être dévolu qu'à la pâtisserie et autres pâtes à crêpes !

 

 

Quiétude et cuisine se donnent rendez-vous…



En traversant le joli jardin où les enfants peuvent jouer tranquillement, pendant que leurs parents prennent l'apéro, chut !..., on se dit en repartant, que voilà une bien jolie table où quiétude et cuisine se donnent rendez-vous. Comme à la maison  en somme ! Mais en ce lundi si particulier, j'allais oublier, encore bravo à l'AJA !


 

En savoir plus :

 

Les - : j'admets volontiers un côté un brin pinailleur, mais je suis certain qu'un plat comme ce suprême de volaille mériterait d'être plus abouti : avec assaisonnement de la viande, que sais-je ? Pas grand-chose, en fait, juste le temps d'y réfléchir, peut-être ?

Les + : la quiétude d'un joli cadre, des chaises confortables, et un agréable moment à table.

 

 

 

Contact

 

Restaurant A la Maison

20, rue Marcellin Berthelot

89000 Auxerre

Téléphone : 03 86 51 00 30

Du jeudi au lundi inclus.

Fermé mardi et mercredi.

Parking facile à proximité. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Il ne faut pas se fier aux apparences. Parfois en retrait, à la limite de l’effacement dans les réceptions officielles, homme simple mais toujours à l’écoute de l’autre, l’ancien responsable du MEDEF de l’Yonne n’en est pas moins un grand monsieur de l’entrepreneuriat et de la prise d’initiative économique. Une qualité que lui reconnaissent ses pairs. Idem, pour les instances suprêmes du mouvement patronal, et la République. L’insigne de Chevalier de l’Ordre national du Mérite qu’il devait recevoir au printemps ? De la pure logique, en vérité, car le personnage le vaut bien !

 

AUXERRE : Jamais un mot prononcé plus haut qu’un autre. Calme, pondéré – il a pourtant du sang ibérique qui coule dans ses veines ! -, Etienne CANO, un patronyme à inscrire dans le marbre de toutes les mémoires entrepreneuriales, aura été un compagnon de route fidèle à ses principes pour celles et ceux qui l’ont côtoyé de près durant ce long parcours professionnel qui fut le sien. Un garçon affable, généreux, loyal, compréhensif, droit, perfectionniste qui aura pris parti fait et cause durant toute son existence pour le mouvement patronal dont il a défendu les intérêts en y acceptant les mandats, le MEDEF.

Alors que se déroulait ce jour l’assemblée générale du syndicat dans l’Yonne, alors que l’économiste Philippe DESSERTINE tiendra la vedette lors d’une conférence débat passionnante dont il a le secret dans le vaste amphithéâtre de la Maison des Entreprises, lui, Etienne CANO, dégagé de toutes obligations professionnelles, promène toujours sa silhouette sympathique, au gré d’un évènementiel corporatiste, afin de conserver des liens et des contacts avec celles et ceux qui l’ont fréquenté durant toutes ces années.

 

 

Un insigne qui fleurit à la boutonnière…

 

Etienne CANO ? C’est une multitude de talents concentrés sur un même individu. Une mosaïque d’actes engagés au service des entreprises et de l’économie icaunaise. « L’un des nôtres… précise à son effet un Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, en le qualifiant. Un sentiment de fierté et d’admiration devant le travail accompli. Un trait significatif pour évoquer ce personnage public tracé à l’unanimité.

L’âme de la Maison de l’Entreprise et du patronat icaunais devait tôt ou tard recevoir une distinction honorifique à sa dimension. Cela a été chose faite il y a quelques temps. Une décoration prestigieuse : l’insigne de Chevalier de l’Ordre National du Mérite qui fleurit désormais à sa boutonnière. Un instant de gloire, trop court pour la postérité pour le vivre pleinement, traduit dans les faits la remise de cet accessit par la vice-présidente du MEDEF, Dominique CARLAC’H, une habituée des déplacements entre Paris et Auxerre, puisque l’ancienne championne de France d’athlétisme (discipline 400 mètres) n’en est plus à une visite de courtoisie (et de sympathie) près avec la représentation patronale agissant dans l’Yonne.

 

 

 

 

Un chef d’orchestre adepte de l’harmonie…

 

Fédérateur, organisateur, chef d’orchestre d’un ensemble symphonique uniquement composé de solistes, Etienne CANO devait recevoir les louanges de celles et ceux qui jouent les premiers rôles au sein de ce Mouvement des Entreprises de France. Logique, en somme, si l’on s’en réfère à l’analyse exprimée par son alter ego dirigeant, Claude VAUCOULOUX : « Etienne CANO a toujours su faire jouer cet orchestre à l’unisson ! ». Contre vents et marées, il va de soi !

Pudique, ne s’inclinant pas volontiers devant les discours flatteurs, l’ancien chef d’entreprise de Saint-Florentin – l’une d’entre elles a d’ailleurs été reprise par l’actuelle présidente du MEDEF de l’Yonne, Emmanuèle BONNEAU -, navigue forcément sur le bonheur. Celui-ci s’est mué en autant de devoirs managériaux accomplis. Ceux qui ont permis de porter hautes les couleurs du syndicalisme patronal dans son rayonnement départemental, voire au-delà. Et sans que le nouvel impétrant à la distinction suprême ne se laisse griser par quelques médailles que ce soit !

 

Thierry BRET

 

 


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L’artiste n’aura pu accrocher ses œuvres que le temps d’une soirée éphémère. Aux murs de la splendide salle de réception, sise à l’Abbaye de REIGNY, haut lieu du patrimoine cistercien de notre territoire. Une présentation unique dont ont pu largement profiter les participants de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale de l’Yonne (CDPPT) lors de leurs retrouvailles. Dommage, trois fois dommage pour les amateurs de l’art pictural que l’exposition n’ait pu perdurer davantage parmi ces pierres séculaires…

 

VERMENTON : Le carton d’invitation promettait une surprise, sous la forme d’une animation, sans en préciser vraiment les contours. Déléguée territoriale de l’Yonne pour le groupe La Poste, Christine MORANGE qui avait en charge la logistique de cet évènement, une manifestation ouverte aux partenaires de l’honorable institution, n’avait soufflé mot sur le programme.

Le cadre, déjà, ne pouvait laisser indifférents les représentants des collectivités de l’Yonne qui convergeaient vers le point de rassemblement : l’Abbaye de REIGNY. Un petit écrin paradisiaque pour la vue et l’odorat – les magnifiques espaces fleuris aux fragrances envoûtantes -, œuvre patrimoniale et spirituelle qu’ont construit pas à pas et à force d’abnégation et de volonté, Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS. Un couple de « gentlemen farmer » qui n’a jamais baissé les bras face à l’adversité pour porter haut les cœurs ce projet tel que nous le connaissons désormais.

 

Un espace amplement mis en valeur…

 

Le décor, ensuite. Une scène, jouxtant l’un des murs de l’édifice et arrosée copieusement de la forte lumière de ses projecteurs, histoire de créer l’ambiance. Se succèderont dessus différentes personnalités du Groupe La Poste de notre contrée. Venus rappeler le poids de l’institution postale dans son périmètre territorial, fait d’implications et d’investissements. Surtout auprès des collectivités.

D’Hélène MERLE LABROUSSE, directrice des ressources et appui aux transformations numériques à Gilles DEMERSSEMAN, l’élu régional, bien connu dans le landerneau, qui a pris les rênes de la présidence de la CDPPT, il y a quelques mois à peine. De Jacques PERRIER, délégué régional de la « grande maison postale » en Bourgogne Franche-Comté venu spécialement de Dijon à la représentante de la préfecture, Dominique YANI. Nous y reviendrons ultérieurement, par ailleurs.

Les murs de la construction monacale, enfin pour conclure. Ils attirent, irrésistiblement, les regards. Logique, des toiles y sont suspendues à des cimaises à hauteur d’yeux. Colorées, profondes, contemplatives. Ce sont les œuvres de l’artiste Alice BIAIS-BELARD. Une esthète en la matière : celle de la représentation abstraite dans toute sa magnificence. Son univers lui permet de s’exprimer dans un espace de liberté, amplement maîtrisé, poussant les pensées vers l’infini.

 

 

La spontanéité offerte par le travail de l’acrylique…

 

Le support choisi par la peintre n’est autre que de l’acrylique. Elle lui offre de la spontanéité dans l’expression de sa créativité.

« Le fond de mes toiles, précise-t-elle, est toujours riche en matières : partitions de musique, sable, poudre de marbre, voire même du tissu… ».

L’effet est saisissant. Le résultat est noble. En parfaite harmonie avec le lieu, ce vestige cistercien restauré au cordeau par la volonté sans faille du couple MAUVAIS. Un lieu dont il faut découvrir impérativement le moindre recoin. De façon méditative…

L’artiste fréquente le sérail de l’art pictural en sa qualité d’actrice investie à l’imaginaire bouillonnant depuis plus de trente-cinq ans. Un parcours jalonné de succès pour cette diplômée de Sciences Po. Excusez du peu mais Alice BIAIS-BELARD a accroché ses œuvres dans de multiples expositions et galeries en France (Honfleur, Chatou, Paris, Vézelay…) mais aussi à l’étranger (Canada, Italie…).

Ses toiles sont recherchées par des collectionneurs privés. Qu’ils s’agissent de ressortissants américains, japonais, italiens ou suisses. A quand les riches mécènes du Moyen-Orient ?

Jusqu’à tard dans la soirée, les convives du groupe La Poste se seront donc délectés de cette immersion impromptue dans les tableaux de cette artiste, qui expose régulièrement dans l’Yonne (Avallon, Vézelay…), et qui fait sienne la célèbre phrase du maître du cubisme, Pablo PICASSO : « un tableau ne vit que par celui qui le regarde ».     

Au vu du nombre de regards jetés consciencieusement sur les toiles, le doute n’est plus permis : les œuvres de cette artiste, cotée chez Drouot, sont plus que jamais vivantes !

 

Thierry BRET

 

 


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