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Il y va des principes fondamentaux de la démocratie. Un gage inaliénable selon les deux élus de l’opposition à la gouvernance actuelle, le duo écologiste Florence LOURY et Denis ROYCOURT. Dans une missive adressée à l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT, les leaders d’Auxerre Ecologie demandent que le prochain conseil municipal se déroule le jeudi 12 novembre en présentiel. Afin que les décisions puissent y être débattues en public…

AUXERRE : Initialement programmée le jeudi 05 novembre en séance physique, la prochaine session du conseil municipal d’Auxerre a été décalée à la date du lundi 16 novembre à 18 heures. De manière numérique puisque devant s’appuyer sur la technologie offerte par la visioconférence.   

Les raisons à ce report de dernière minute se justifient avec la recrudescence du nombre de cas de COVID-19 dans la capitale de l’Yonne. Même si les arrêtés organisant la tenue des différentes instances devaient encore en préciser la nature pratico-pratique ce vendredi 06 novembre.

Cependant, l’idée d’un conseil municipal à distance ne satisfait pas deux des élus de l’opposition, les écologistes Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Outre les contraintes techniques imposées par l’emploi de la visioconférence, notamment au niveau de la fiabilité des connexions, voire de la vétusté de certains appareillages informatiques à domicile, c’est surtout le recul de la démocratie que représente la dématérialisation d’une assemblée délibérante qui est aujourd’hui pointée du doigt par les porte-étendards d’Auxerre Ecologie.

« Il est très important que dans cette période aussi troublée, les décisions puissent être débattues en public afin que la démocratie continue à s’exercer… ».

 

 

Pas de garantie possible au niveau de la qualité des connexions…

 

Arguant que l’édile Crescent MARAULT ne pourra garantir que les 39 élus du conseil municipal puissent participer de manière démocratique et convenable aux débats via ce processus numérique, du fait de connexion insatisfaisante ou de matériels peu fiables, les élus écologistes souhaitent le report de la séance au jeudi 12 novembre de manière présentielle.

Le lieu de ce rendez-vous est déjà tout indiqué : il s’agirait de l’enceinte principale du parc AUXERREXPO qui peut en garantir le respect des mesures sanitaires obligatoires.

Parmi leur argumentation, le tandem écologique rappelle que « le principe de réunion en présentiel est conforme à l’orientation du gouvernement et aux consignes données sur le maintien des services publics et le maintien des lieux de travail ».  

Des éléments explicatifs qui étayent la missive qui a été adressée au maire d’Auxerre et président de l’Agglo.

Certes, les deux élus réfractaires à l’utilisation du numérique comprennent le besoin de restrictions imputables à la pandémie de coronavirus. Toutefois, ils font la distinction entre deux types de réunions : les commissions dites « non-décisionnaires » qui peuvent se réaliser par le biais de la visioconférence et la séance plénière qui doit, elle, se faire en présentiel.

D’autant, que le choix d’organiser ce conseil municipal devant son écran d’ordinateur aurait été pris à la hâte et sans concertation avec les élus, dénoncent Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Pour l’heure, à défaut du jeudi 12 novembre, le conseil municipal est toujours maintenu au lundi 16 novembre pour les élus qui y participeront. Sans doute, ces derniers seront-ils confortablement installés pour y prendre part depuis leur bureau à domicile…  

Thierry BRET

 

 

 


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Pas si  simple de pouvoir commercialiser dans des conditions optimales sa gamme de véhicules dans un pays où la recrudescence de la pandémie explose au quotidien. Au cours de ces dernières vingt-quatre heures, cent mille nouveaux cas se sont déclarés d’est en ouest de la première puissance mondiale…

Etats-Unis : Une chose est sûre : le constructeur américain essaie tant bien que mal à conserver le cap de la dynamique commerciale dans l’un des nations les plus perturbées par l’épidémie de coronavirus.

Au mois d’octobre, la marque du continent américain a commercialisé plus de 181 000 véhicules (un chiffre qui ne prend pas en compte les poids lourds) grâce à son réseau de concessionnaires.

Deux modèles se sont distingués. L’emblématique Lincoln qui a su tirer son épingle du jeu marketing avec une progression de 2,8 % des ventes à l’instar de Corsair qui a même dépassé 37 % de hausse !

 

 

Toutefois, FORD a vu ses résultats chuter de 6,1 % dans un contexte que l’on imagine très délicat. Son modèle le plus vendu Outre-Atlantique reste néanmoins le pick-up F 150. Sa version relookée devrait boostée les opérations commerciales du constructeur, sans doute à horizon 2021.

L’un des porte-parole du groupe a précisé par voie de presse que le constructeur publierait dorénavant davantage d’informations sur ses performances afin de rassurer les investisseurs. Surtout pendant la période complexe de la pandémie.

 

 


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Focus sur le dernier ouvrage de Fabien OLICARD. Un opus à mettre entre toutes les mains car réalisé par un personnage caméléon, au superbe parcours. En dix ans, il a réalisé trois spectacles, quatre livres, un magazine, des jeux, et recense 1,7 million d’abonnés sur sa page « Youtube ». La découverte de cette personne inspirante et modeste est le fruit d’un léger break dans ses journées marathon pour répondre à nos questions.

 

INTERVIEW : Quelle est votre source de motivation, d’où vous est venue cette idée d’écrire ? 

Je suis autodidacte dans de nombreux domaines. Mais, mon meilleur ami, c'était les livres. Enfant, je passais ma vie dans les bibliothèques. Naturellement, un jour, j’ai eu envie de tenter l’écriture, une idée que j’avais depuis longtemps. Quand est sorti mon premier ouvrage (« Votre cerveau est extraordinaire »), je possédais déjà 400 000 abonnés sur les réseaux sociaux. Une fois que j’ai fini ce livre, je me suis rendu compte que je pouvais écrire un ouvrage en entier. Mais, cela n’était pas gagné au départ. On se pose la question, « est-ce que je vais arriver au bout ? ».  Et je me suis aperçu que j’adorais cela. Donc, tous les ans, j'écris un livre. Je me lance sans trop savoir sur ce que sera le thème central. Puis, je découvre au fur et à mesure que j’écris, la trame principale. Cela ne me met pas de pression. Parfois, je me pose la question : « est-ce que j’ai vraiment de quoi écrire la dessus, bon bah et puis je m’y mets ! » C’est un plaisir solidaire qui est aussi très agréable

Quelle est votre routine pour écrire justement ?

Elle est très cadrée. J'écris tous les jours pendant trente jours, soit  1 667 mots au quotidien. Je ne sais pas sur quel thème et je n’ai pas de plan précis. Je ne me juge pas. Les fautes d’orthographe et de conjugaison sont partout ! Mais, j'écris : qu’il pleuve, qu’il neige, que je sois malade, j'écris vraiment tous les jours comme ça.  Et à la fin de ces trente jours, j’ai en face de moi ces quelques 50 000 mots. Là, je les observe et je me dis ok : maintenant je me retrousse les manches et j’en fais un vrai livre ! J'ai fait cela pour le premier opus. Tous les ans, je reproduis l'expérience et cela me réussit plutôt bien.

Et donc le dernier ouvrage a été écrit pendant le confinement ? 

Oui. Il a été terminé pendant le confinement. J’avais commencé juste un peu avant. Je suis surpris : tout le monde a fait « oh, le confinement on peut plus sortir travailler… ». Et moi, je me suis dit, alors j’ai un livre à finir, ça m’arrange bien en fait ! 

Avec toutes ces activités, vous vous décrivez comment quand vous vous présentez ?

Si j’ai droit à une réponse longue, en général je dis : « je suis quelqu’un de très curieux, avec une passion pour les sciences et le mentalisme. Mais, on ne peut pas faire un métier avec cela. Alors, j’ai choisi trois métiers différents mais complémentaires : artiste de scène, auteur de livres et vidéaste.

Et souvent, on essaye de me ranger dans l’une de ces trois cases ! Moi, je me dis toujours : « les deux autres catégories sont aussi importantes dans ma vie avec une passion commune qui est le mentalisme… ». 

Mais en France, voire en Europe, c’est très dur ce côté multicartes professionnel. Ce n’est pas mal vu : mais c’est plutôt rassurant pour mes interlocuteurs de se dire en un mot, mais c’est qui ? Eh bien, j’aime répondre que je suis moi !

Côté spectacles, où en est-votre carrière ?

Je termine la présentation de mon troisième spectacle. En général, je les conserve deux ans. La plupart des artistes les gardent quatre ans. J’aime tellement écrire qu’au bout de deux ans, je considère que cela commence à vieillir. Surtout, que j’ai d’autre chose à dire !

La création des vidéos est régulière : au début de ma chaîne sur You Tube, j’en réalisais une au quotidien. Et cela, durant un an ! Actualiser ces documents me plaît. Depuis une décennie, j’ai créé trois spectacles. D’ailleurs, on me parle toujours du premier. J’ai eu l’impression qu’il a duré longtemps mais en réalité, entre la représentation initiale et la dernière, cela n’avait plus rien à voir…

Un mot sur le magazine « Curious »…

Ce magazine se décline sous la forme d’abonnements mais il n’est pas distribué en kiosque. Il a été créé à mon image, tel que j’aurai voulu l’avoir. Etant très curieux de nature, d’où le titre si évocateur, j’intègre parmi les sujets tout ce qui peut intéresser le lecteur. Et même si on me l’a fortement déconseillé, j’ai misé sur le format papier. Ce média est né il y a un an : ça marche et on vient de démarrer la seconde année de sa jeune existence…

Y-a-t-il une envie à tester après toutes ces belles choses ? 

En fait, pour une idée aboutie, il y en a souvent neuf autres qui sont nulles ! On n’arrive pas à les produire parce qu’elles ne rencontrent pas leur public. Mais, je m'épanouie dans la diversité. Peut-être que j’ouvrirai une « escape game » ou je jouerai dans une série. Il n’y a rien d'envisageable actuellement. Mais, j’adore aller dans des endroits que je ne connais pas du tout. Moins je maîtrise les choses, plus c’est super au niveau du challenge !

 

 

 

 

Avez- vous conscience de ce que vous apportez à travers vos livres ? Par exemple, ce livre « Votre temps est infini » ouvre vers des tas de possibilités et d’idées à mettre en place…  

Non pas du tout ! Parce que ce livre, quand je l’ai écrit, j’ai eu très peur des réactions après sa publication. Je me suis dit : que vont dire les gens ? Il n’est pas légitime pour écrire cela. Pourtant, j’ai l’impression de proposer un témoignage. Sur mon existence qui m’aura permis de comprendre le sens de la vie. J’ai eu une expérience intéressante en retour : j’ai acheté un terrain il y a peu de temps. Je contacte l'agent immobilier. En retour, j’ai reçu un mail et une photo de mon livre avec la précision suivante : « regardez, il est sur mon bureau ! ». J’ai trouvé cela incroyable…

Je sais aussi que quand on lit un livre, c’est stimulant. On ne prend pas tout argent comptant. On ne prend que ce dont on a besoin. Par contre on se dit aussi : « hey, je pourrai aussi faire ça, ça lance des pistes… ». C'est cela qui est chouette. Je le vis aussi intensément à la lecture d’autres livres

Une anecdote à raconter sur le dernier livre ? 

Quand j’ai eu fini de l'écrire, je me suis dit vraiment, que ce « mec-là », l’auteur a décidé qu’il avait tout compris. Il jette sa science sur les pages et je ne peux pas mettre ça sans y mettre mon passé. Sauf que depuis toujours, on me voit partout. Il s’écrit des choses sur moi. Mais, il n’y a rien d’intime, voire de très intime. Le plus intime : c’est mon enfance et mon passé. L'évidence m’est venue : écrire deux pages en début du livre pour expliquer un peu le passé. Ces deux pages, il m’aura fallu deux semaines pour les rédiger.

Je pleurai, je les jetai, je me remettais à l’ouvrage avant de conclure. Une vraie thérapie. On l’a mis dans le livre et au moins cela explique ma démarche. On sait d’où je viens.

J’ai eu les mêmes sensations en enregistrant le livre audio il y a un mois. Il a fallu plusieurs heures pour le faire parce que je n’arrêtais pas de pleurer...

 

Parmi plusieurs notes positives contenues dans ce quatrième livre « Le bonheur est caché dans un coin de votre cerveau », un des chapitres s’intitule « l’homme est fait pour échouer ». Dans lequel, l’auteur reprend une citation de Morgan Freeman : « Vous devez être fier d’avoir fait plus d’erreurs que les autres car vous en savez plus…”.

Il faut aussi découvrir en annexe à la fin du livre 19 les personnalités dont on souligne aujourd’hui la réussite mais qui eux aussi ont connu des échecs. Malgré plusieurs tentatives, plusieurs entreprises ouvertes puis fermées, ce ne sont pas des échecs, mais des expériences. 

Contrairement à d’autres pays, en France, quand on ferme une entreprise ou qu’on change de voie professionnelle, cela est considéré comme un échec. Mais au final, n’est- ce pas plutôt une somme d’expériences et de rencontres qui nous permet d’avancer en étant plus armés pour de prochaines aventures ? 

Propos recueillis par Maryline GANDON

 

 


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Réunis ce mardi 03 novembre à Auxerre pour étudier et analyser toutes les préconisations à mettre en place afin de sortir les commerces non-alimentaires de la mauvaise passe actuelle, la préfecture de l’Yonne, les collectivités territoriales et les chambres consulaires se sont accordés sur un point. Il est impératif d’accompagner les professionnels dans la continuité de leur activité…

AUXERRE: En filigrane, le message de soutien aux commerces de proximité est sans équivoque de la part des institutions du département. Il émane notamment du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, lui-même, des représentants des collectivités territoriales et des responsables des chambres consulaires départementales qui étaient conviés à une séance de travail ce mardi afin d’examiner les dispositifs d’aides à développer pour faire face à la conjoncture actuelle.

Services de l’Etat, consulaires et collectivités ont fait part de leur convergence d’intérêt pour soutenir ces entrepreneurs, acteurs centraux de la vie économique et sociale de notre territoire.

Même si la bonne conduite du confinement impose un certain nombre de restrictions salvatrices pour juguler la propagation de l’épidémie, il n’empêche que l’interdiction de l’accès à une typologie de commerces ne signifie pas pour autant la rupture totale de toute activité.

En ce sens, la pratique de retrait en magasin, nommément reconnu sous le vocable angliciste, « click-and-collect », représente un indéniable atout qu’il est nécessaire de développer.

Au sortir de ce rendez-vous, la préfecture et les organismes consulaires ont décidé d’encourager fortement ce moyen consumériste. Ainsi, des initiatives vont être conduites au service des commerces, elles bénéficieront du relais des collectivités territoriales.

 

Banque Populaire

 

Plusieurs initiatives pour soutenir le commerce local…

 

L’adoption de ces solutions solidaires et novatrices passe en premier lieu par l’information. Un document se présentant sous la forme d’un guide (il s’intitule sobrement « Comment vendre et communiquer pendant le confinement ») sera transmis à chacun des professionnels. De même, une piqûre de rappel sera injectée dans les consciences sur les aides d’Etat existantes qui permettent aux entreprises de traverser la période de confinement.

En parallèle, le lancement d’une plateforme départementale en ligne est imminent. Y seront répertoriés les magasins et les restaurants ayant mis en application le principe du « click-and-collect » mais aussi de vente à emporter ou de livraison.

Enfin, les participants de cette cellule de crise en soutien au commerce incitent à l’aide collective ou individuelle à la création d’outils numériques par les artisans et les commerçants.

Autant de préconisations utiles et pragmatiques qui doivent permettre au commerce local de faire face durant cette période complexe…

 


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Exit les escapades professionnelles sous le ciel de Charente du côté de Cognac ! C’est une nouvelle immersion dans la sphère pédagogique icaunaise qu’a décidé de vivre désormais la jeune femme originaire d’Auxerre en assurant la direction du centre de formation par apprentissage dans le milieu agricole.

VENOY : L’aventure professionnelle vécue au beau milieu du vignoble de Cognac n’aura duré qu’un certain laps de temps pour la professionnelle icaunaise.

En Charente, la jeune femme aura acquis de l’expérience dans un tout autre registre que l’univers pédagogique usuel, exerçant des activités de chef comptable au sein d’une société industrielle qui fabrique des étiquettes. La plupart étant destinées à identifier les bouteilles du fameux breuvage local !

Depuis quelques semaines, Hélène DECULTOT a effectué son grand retour dans l’Yonne. Après l’avoir quittée lorsque s’est achevée sa mission au sein du CIFA où elle officiait en qualité de responsable du Pôle commerce et gestion des entreprises.

Munie d’une solide expérience dans la communication initiée dans sa vie antérieure, cette touche-à-tout de talent est aujourd’hui ravie de reprendre les rênes du CFA agricole de La Brosse, accueillie en ces murs depuis le premier septembre. Après son transfert de Champignelles à Venoy…

A 33 ans, Hélène DECULTOT s’offre un challenge excitant dans un univers qu’elle découvre en remplacement de Valérie ROSSI, l’ancienne directrice du CFA. Prometteur…

 


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