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L’exploit ne peut être comparable à celui qu’accomplit en ce moment sur les routes d’Anatolie le sportif de l’extrême, l’Auxerrois Abderrazzack EL BADAOUI à bicyclette pour rejoindre Dubaï. Mais, excusez du peu : prendre part au fameux « Trailwalker OXFAM » n’en demeure pas moins un sacré challenge. Marcher cent kilomètres en moins de trente heures par équipe de quatre et sans relais représente l’insolite défi que se lance…Cécile RACKETTE, une sous-préfète qui, décidément, n’a pas peur de relever les défis !

 

AVALLON : Elle ne court plus après la rigueur d’un emploi du temps trop serré en termes de timing et de rendez-vous imputable à sa fonction, la représentante de l’Etat sur l’Avallonnais et du Tonnerrois ! Dorénavant, elle marche !

Dès qu’elle en a l’opportunité, Cécile RACKETTE accélère le pas afin de peaufiner sa condition physique en vue d’un sacré challenge qu’elle s’est fixée à l’automne : participer à la fameuse épreuve de cent kilomètres non-stop concoctée par OXFAM. Le tout à parcourir en moins de trente heures aux côtés de trois équipiers qui n’assureront…aucun relais !

Organisation internationale de développement, OXFAM qui agit en faveur de la lutte contre la pauvreté s’est également fait connaître en France par des défis athlétiques à relever. Ce trail en est une preuve manifeste : il accueille chaque année de sérieux clients qui savent ce qu’est le goût âpre, parfois amer, de l’effort continu.

Qu’à cela ne tienne, la dynamique sous-préfète du sud de l’Yonne a décidé de troquer sa tenue protocolaire d’une représentante de l’Etat en exercice pour être plus saillante afin de rejoindre ses camarades à l’entraînement.

Dans l’équipe, trois personnalités fortes complèteront le tableau : un gendarme du peloton motorisé d’Avallon, un soignant et un mécanicien, toujours utile pour réparer les pannes « musculaires » en chemin ! Attention, toutefois, Cécile RACKETTE sait qu’elle peut compter sur ce dernier membre de l’équipe, puisque déjà double vainqueur des éditions 2019 et 2020 en…15h45 ! Une paille !

Réaction de l’intéressée : « Je m’entraîne en conséquence pour ce défi car on doit rester constamment ensemble. Je suis à fond pendant les séances d’entraînement et j’attends la fin du couvre-feu pour apprendre à courir de nuit à l’aide d’une lampe-frontale… ».

Puis, en riant, elle poursuit : « J’ai déjà prévenu mes coéquipiers que ce serait « deux sans trois » au niveau du résultat victorieux à condition qu’ils trouvent un moyen de ralentir les autres… ».

Empruntant de superbes chemins fleurant le terroir du Morvan, la prochaine édition de ce raid pédestre à vocation humanitaire (cela, on l’aura bien assimilé) promet d’être passionnante. Outre le plaisir de courir pour atteindre son objectif horaire, l’équipe de Cécile RACKETTE s’est en effet engagée à collecter au moins 1 500 euros de dons pour financer les actions quotidiennes d’OXFAM France aux vertus altruistes.

« A notre petite mesure, confie la fonctionnaire, nous voulons, nous aussi, nous dépasser par défi personnel, au soutien d’une noble cause… ».

Chapeau bas, Madame…

 

Thierry BRET

 


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Tous les salariés en ont rêvé et la pandémie leur a permis de réaliser ce vieux fantasme : éviter les bouchons, le métro, la cantine. Voire ce collègue qui oublie tous les matins de prendre sa douche et le chefaillon qui emploie ses journées à vérifier qu’on ne passe pas notre temps à réserver nos prochaines vacances sur le web ! Mais après un an de télétravail, c’est l’heure de la rentrée : le moment est venu de retourner au bureau…

 

TRIBUNE : Seulement voilà, selon un sondage Opinionways de ces jours derniers, 74 % des Français ne veulent pas y retourner. Les bouchons, le chefaillon et les collègues odorants, c’est niet !

Alors les entreprises et leurs DRH tergiversent. Ils négocient. Du présentiel, il en faut, et du distanciel, leurs salariés en redemandent.

Vient donc le temps de l’entre-deux. Deux jours à la maison et trois jours au bureau, c’est selon. Mais d’autres refusent toujours le télétravail et d’autres encore vont jusqu’à l’autoriser à 100 %. Qui a tort, qui a raison ?

Les dirigeants qui souhaitent du présentiel tout le temps ou ceux qui préfèrent que leurs ouailles restent à la maison, histoire de faire quelques substantielles économies immobilières ?

De fait, tout le monde a raison. Toutes les entreprises le reconnaissent aujourd’hui : la productivité de leurs salariés n’a pas baissé après une année de home working.

Au contraire, les horaires sont devenus élastiques et se sont rallongés. Quant à la capacité de concentration, elle a augmenté puisque le salarié n’est plus dérangé toutes les cinq minutes par Ghislaine de la compta qui veut prendre un café, ou par Thibaut du marketing qui veut absolument raconter les derniers « Gossips » de l’étage du dessus.

A l’inverse, les fans du présentiel n’ont pas tort non plus. Car ils ont bien remarqué qu’avec le télétravail à 100 %, l’imagination et l'innovation étaient en berne. Car ces choses-là se développent en équipe. Lorsqu’un salarié rebondit sur l’idée d’un autre et ainsi de suite. Et ils savent que les visioconférences ne remplaceront jamais les conversations de bureau impromptues, au détour d’un couloir ou à la machine à café.

Pour ou contre, nombre d’entreprises ont choisi de ne pas choisir. Le télétravail partiel devrait perdurer longtemps et tout le monde devrait en être content.

Le chefaillon vérifiera qu’on n'est pas sur Expedia toute la journée à coups de zooms répétés, et peut-être même que le collègue odorant, travaillant à quelques mètres de sa salle de bains, pourra s’y rendre de temps en temps !

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 

 


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S’il devait y en avoir une sur le territoire, ce serait celle-là ! Une équipe qui fait de la transparence et de la probité ses principaux atouts fédérateurs. Redonnant ainsi tout son sens au terme initial du mot politique, issu du vocabulaire grec qui posa les premiers jalons du débat démocratique uniquement au service du peuple. Sous les couleurs de « La Nouvelle Dynamique », ces quatre-là prennent fait et cause pour la pratique de l’intégrité absolue. Un terme devenu tabou dans cet univers si hermétique ?

 

AUXERRE : Ce n’est pas une énième candidature de plus pour résoudre les problématiques bassement matérielles du quotidien des habitants du canton d’Auxerre 1 qui nous est proposée là.

Certes, parmi les priorités de ce programme éclectique qui est minutieusement dévoilé sous l’œil d’une caméra avide d’images à placer en archives (on sent la patte du professionnel en communication qui a régenté cette conférence de presse bien ficelée), figurent nécessairement le contournement sud de la capitale de l’Yonne et les conséquences (à peine digérées par ce binôme et ses suppléants) de la fermeture du collège Bienvenu Martin.

Des items dont se font écho à l’unisson la plupart des prétendants aux fauteuils de l’hémicycle départemental, voire régional, toutes obédiences confondues.

La composante de cet attelage au patronyme vivifiant de « Nouvelle Dynamique » ne pouvait immanquablement pas squeezer de sa profession de foi ces thèmes incontournables de campagne.

De toute évidence, la déviation méridionale de la ville d’Auxerre devait donc s’inscrire parmi les réflexions prédominantes de ce quatuor positionné sur l’échiquier politique dans le camp d’un centrisme incliné un peu vers la droite. Normal que ces orateurs qui ont pris soin de décliner leurs identités et fonctions dès le préambule de cette causerie face aux journalistes souhaitent prendre ce dossier interminable à bras le corps en cas de succès au soir des 20 et 27 juin.

Le canton d’Auxerre 1 s’étale sur les localités de Lindry, Saint-Georges-sur-Baulche et Villefargeau. Sans omettre la partie occidentale d’Auxerre. D’où l’intérêt à porter au crédit de ce projet tentaculaire cofinancé par toutes les parties institutionnelles en présence : depuis l’Etat jusqu’au Département, en passant par la Région et l’Agglo de l’Auxerrois.

 

 

"Les élus de terrain doivent être à porter de baffes des électeurs…"

 

A ce propos, celui du financement, le leader de cette équipe (elle se veut fonctionnelle plutôt à quatre têtes au lieu du binôme traditionnel) Jean-Philippe BAILLY estime que « le Conseil départemental se doit d’être le fer de lance de cette réalisation ». En devenant le coordinateur légitime de cet assemblage hétéroclite qui in fine mettra la main au gousset pour en financer l’ouvrage.  

« C’est cela être un élu de terrain, ponctue le patron du « Nouveau Centre » dans l’Yonne qui durant les six dernières de la mandature FEREZ gérait en sa qualité d’adjoint au commerce la destinée de la vie artisanale et commerçante de la ville.

Aux côtés d’Halima Georgette GUTSCHE, dont c’est la première titularisation officielle en qualité de candidate alors qu’elle a gravité longtemps parmi le sérail politique pour ses appétences à la vie sociale, de Christine AUGE, ancienne secrétaire de feu l’UMP 89 dans une vie antérieure et de Christian BRUNEAUD, qui joua les premiers rôles en étant l’un des élus de Saint-Georges-sur-Baulche, Jean-Philippe BAILLY souhaite incarner ce renouvellement au sein de l’hémicycle.

« Nous ne serons jamais des gens de bureau, éloignés de la réalité du terrain, ajoute-t-il, nous deviendrons des interfaces constantes à l’écoute de la population afin de construire ensemble leurs projets d’avenir… ».

Puis, prémonitoire ou un tantinet prophétique, le responsable de la « Nouvelle Dynamique » lâche tout de go « qu’un élu de terrain se doit d’être à porter de baffes des citoyens ». L’argument aurait-il donc inspiré l’auteur du soufflet envers l’auguste personne du président de la République quelques jours plus tard dans la Drôme ?!

 

 

 S’appuyer sur la diaspora du canton pour aider les jeunes…

  

L’autre versant de ce remède à appliquer contre l’inertie et l’immobilisme tels que l’imaginent ces futurs « conseillers territoriaux » (une idée qu’avait suggéré en son temps un certain Nicolas SARKOZY !) concernera la réhabilitation de l’ancien collège Bienvenu Martin. Une fermeture qui visiblement leur est restée en travers de la gorge !

« C’est toujours une plaie béante pour la population de ce quartier d’Auxerre, souligne Jean-Philippe BAILLY, et même si notre désir en cas de victoire est de soutenir la majorité départementale qui se dégagera des urnes, j’étais à cette époque en profonde divergence avec les décisions prises par le Département… ».

Que faire de cet ancien site pédagogique ? « Nous voulons créer un établissement d’accueil éducatif orienté vers la réussite sous le prisme de la culture, du sport, de la cohésion sociale… Ce serait autre chose que d’y déposer de simples archivages comme le désire le Conseil départemental ! ».

Même si la compétence économique n’est pas d’actualité au sein de la vénérable institution, il n’empêche que le quartette semble vouloir jouer sa partition sur son secteur géographique en cas de succès.

 

 

 

« Travailler avec les acteurs du terrain, faire l’interface avec les investisseurs, rencontrer les entreprises qui n’ont pas pleine conscience des aides financières qu’elles peuvent obtenir dans le cadre de leurs projets incombent à nos responsabilités d’élu de proximité… ».

Quant au commerce et à sa résurgence, notamment à Saint-Georges, il est dans le viseur de ce team bien décidé à redonner vie coûte que coûte à cette activité.

Le complexe du Phare entre également en ligne de compte des préoccupations de cette équipe se présentant officiellement sans étiquette. L’aide apportée aux structures y travaillant (AMIDON 89 à titre d’exemple) ne sera pas fortuite.

Les jeunes ayant des difficultés à acquérir de l’emploi feront l’objet de parrainage citoyen avec le concours d’entrepreneurs et de partenaires ad hoc.

Originalité de la démarche : « On va contacter la diaspora de ce canton pour qu’ils viennent parler de leur métier avec nos jeunes ! ». Ambitieux.

 

 

Jean-Philippe BAILLY en héraut d’une opération « mains propres » ?

 

Au-delà de cette déclinaison à la Prévert d’un programme copieux et réfléchi, il restait en guise d’offrandes conclusives l’inattendu, le savoureux, le surprenant, voire le décalé propre à cette candidature.

Une volonté chevillée au corps du leader de la formation, adoubés par ses coreligionnaires, de se placer au-dessus de la mêlée en matière d’intégrité et de transparence.

Inévitablement, Jean-Philippe BAILLY ne manquera pas l’occasion de faire référence à l’affaire juridique actuelle qui concerne l’édile d’Auxerre, Crescent MARAULT. « Ce n’est pas une élection comme les autres pour nous ! ».

Disant tout haut ce que d’autres pensent tout bas, l’ancien adjoint de Guy FEREZ endosse la vêture d’un chevalier blanc, devenant le porte-étendard d’une croisade opération « Mains propres » locale dont il revendique la légitimité au nom de la démocratie et de la lutte antisystème (à mots découverts contre les « magouilles » !).

« C’est une des raisons pour laquelle je me présente, affirme-t-il, en qualité de candidats épris de valeurs humanistes, de liberté et de solidarité… ».

D’ailleurs, s’il était élu, le chef de file  du « Nouveau Centre » dans l’Yonne passerait aux actes en suggérant la constitution d’une commission dédiée à la transparence et à l’exemplarité au sein de l’hémicycle départemental. Chiche ?

 

Thierry BRET

 

 


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Loin des yeux, loin du cœur, dit l’adage. Pourtant, lorsqu’il évoque son hypothétique retour dans la belle province de DA NANG, le timbre de sa voix se mue de manière perceptible. Un ange passe. Nimbé de ce petit zeste subtil, prélude aux grandes émotions. Didier MERCEY a laissé depuis son départ du Vietnam une part de son âme en Extrême-Orient. Même si sa structure professionnelle se porte à merveille malgré les vicissitudes occasionnées par la crise sanitaire…

 

GRON : Il fait penser à un lion tournant inlassablement dans une cage de fer Didier MERCEY. Ne tenant plus en place alors qu’il a à faire, ailleurs. Ici, aussi, soit dit en passant.

Mais, depuis plusieurs mois, il avait calé son rythme existentiel, plutôt bien garni, à ce nouveau style de vie, partagé entre le sud-est asiatique et le Vieux continent. Une période de deux mois en France, suivie d’une présence d’une trentaine de jours au sud de Hanoï, sur le littoral à DA NANG.

Alors quand au détour d’une rencontre, en l’occurrence celle qui est provoquée par la visite du candidat aux régionales, le Marcheur Denis THURIOT sur la plateforme portuaire de Gron le lundi 07 juin, il évoque la filière vietnamienne de la maison mère, créée de toute pièce depuis trois ans, son cœur ne peut que s’épancher. Avec un peu de vague à l’âme !

Contraint depuis le début de la pandémie de rester au nord de l’Yonne, Didier MERCEY éprouverait-il une quelconque nostalgie après ces quelques mois vécus dans cette longue bande de terre qui s’étire au bord de la Mer de Chine ?

Certainement ! Dans un pays où la jeunesse domine et le taux de croissance caracole au-delà de 7 % : les rêves sont permis !

 

 

Cibler les dix pays qui forment l’ASEAN…

 

Non seulement, en s’implantant avec l’aide d’un partenaire local, la nouvelle entité a pu assurer une liaison maritime régulière entre l’immense port de Ho Chin Minh, au sud de la péninsule, et l’Yonne. Mais, en outre, LOGI VIET France y a développé de l’emploi (une dizaine de collaborateurs) et un système d’information favorisant la gestion des flux maritimes.

D’ailleurs, cette dernière trouvaille intéresse la puissante Indonésie voisine qui vient de passer commande dudit concept.  D’autres nations sont potentiellement ciblées de même pour l’acheminement régulier de conteneurs : celles qui constituent l’ASEAN, ce marché économique commun de l’Asie du Sud-Est.

Le retour au pays du Dragon n’est pas prévu pour toute suite pour le chef d’entreprise de l’Yonne. D’autant, qu’une variante locale de la COVID fait des siennes en inquiétant quelque peu la sphère scientifique. Plus rassurant, en revanche, les affaires tournent à plein régime ! Il ne s’agit désormais que d’une question de patience…

 

Thierry BRET

 


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L’initiative est louable à plus d’un titre. Elle nous revient après un premier test réussi lors d’une période plus rigoureuse en matière de températures : celle des fêtes de Noël. Là, les frimas de l’hiver ne rendront pas transis de froid les visiteurs. Juin et juillet seront propices pour découvrir les œuvres de ces artisans-artistes en pleine possession de leurs capacités créatives. Juste pour le plaisir des yeux, voire plus si affinités…

 

AUXERRE : L’échoppe occupe une profondeur d’environ quatre-vingts mètres carrés. Vu de l’extérieur, sa vitrine offre dès le premier regard une alléchante représentation du savoir-faire de celles et ceux qui vont s’y installer pour un temps.

Celui-ci est très court, certes, puisqu’il s’agit d’un nouveau concept de boutique éphémère portée par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté. Une expérience qui est réitérée par l’organisme consulaire après le succès obtenu lors de la précédente initiative en décembre dernier. Judicieusement, l’Agglo se glisse elle aussi dans la brèche promotionnelle.

Mais, ce qui avait déjà poussé le public à la découverte de ces artisans-artistes au moment des fêtes, le principe demeure le même. En deux rotations mensuelles de cinq exposants, Auxerroises et Auxerrois (et ceux d’ailleurs il va sans dire !) sont invités à se précipiter dans ce commerce sans nom pour apprécier le travail mâtiné de talents de ces créatifs qui s’offrent ainsi une belle respiration en présentiel après ce long étouffoir de plusieurs mois, sevrés de tout contact.

La filière de l’artisanat d’art reprend du service. Pour le bien commun de tous. En proposant un patchwork de créations, uniques et stylisées. Un florilège d’objets hétéroclites qui ne demandent qu’à décorer les intérieurs de celles et ceux de ces consommateurs qui viendront visiter.

 

 

 

Un regain d’attractivité pour les artisans d’art et de la valeur ajoutée…

 

Derrière le concept, il y a les initiateurs. Chargé du développement économique au sein de la chambre consulaire, Thierry HUMBLOT, salué par le vice-président de l'organisme David MARTIN, est l’un d’entre eux. Son rôle ne s’est pas limité à gérer les aspects pragmatiques de l’opération où une trentaine de professionnels constituait l’ossature initiale. Une sélection en amont s’imposait. Afin de ne conserver qu’une dizaine d’exposants à répartir ensuite sur la période de deux mois à Auxerre selon certains critères prérequis.    

La Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois s’est également prise au jeu, celui de recréer un peu de vie dans cette rue commerçante du centre-ville, privée de l’afflux massif de clients. Histoire d’apporter un regain d’attractivité. Pour en parler, qui d’autre que le président de l’organisme communautaire Crescent MARAULT ?

« En ouvrant cette boutique éphémère, nous offrons à ces artisans d’art de la valeur ajoutée et mettons en évidence les richesses de notre patrimoine… ».

 

 

Pourtant de l’aveu même de l’édile d’Auxerre : au début de ce mouvement qui constituait à optimiser l’existence de ces boutiques à courte durée temporelle, il était plutôt perplexe ! Aujourd’hui, il désire communiquer plein pot autour de ce concept qui accueille cinq exposants. Qui sont-ils ?

Des spécialistes de la bijouterie, de la conception de mobilier à base de matériaux de récupération, de relooking de meubles, de luminaires. Ils et elles sont là jusqu’au 30 juin.   

La suite s’enchaînera très vite avec l’arrivée de la nouvelle série d’exposants dès le 02 juillet. Ce n’est que le prélude à d’autres animations estivales.

Du 03 au 25 juillet, de façon concomitante, le Centre culturel de Gurgy ouvrira ses portes comme ce fut d’ailleurs le cas à l’été 2020 pour y recevoir une demi-douzaine d’artisans-artistes.

Puis, à Coulanges-la-Vineuse, une exposition des métiers d’art sera accueillie, juste le temps d’un week-end, celui des 20 et 21 août. Un prélude aux Journées européennes du patrimoine initiatiques qui devraient se dérouler normalement en septembre et combler d’aise l’ensemble de ses participants. Un vrai souffle de liberté !

 

 

Les exposants :

Jusqu’au au 30 juin, on peut admirer les œuvres de G. Créé, bijoux et petits objets utiles ; Ô Cajou Nacré, bijoux et décora­tion en nacre ; Corvus Factory, meubles, luminaires et articles de décoration ; Atelier MJS Déco, restauration de meubles, objets vintage et bougies végétales et Manaia bijoux en pierres naturelles et rolls-on d’huiles es­sentielles.

A partir du 02 au 31 juillet, on découvrira Claire Grosjean, céramique ; Création et Elégance, maro­quinerie ; L’atelier La Bétonne­rie, mobilier et objets en béton ; Muroni Maroquinerie, sacs et ceintures et Recycling Stuff Shop, créations en papier recyclé.

La boutique sera ouverte du mardi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 19h. Durant les deux périodes, des ateliers et des dé­monstrations seront proposés, inscription auprès des artisans.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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