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Puisque l’on parle de mobilité en évoquant la liaison sud d’Auxerre et son projet de contournement, on reste dans la métaphore itinérante, au Conseil départemental de l’Yonne. La phrase est signée de son président, Patrick GENDRAUD, qui résume parfaitement la situation si l’hémicycle lui refusait l’autorisation de signer la convention de financement de la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat, lors de cette session. C’est simple : « le train ne passerait pas une seconde fois ! ». Un acte qui aurait été irresponsable de la part de l’assemblée !

 

AUXERRE: C’est presque une formule digne du Far-West qui est employée-là par le président de la vénérable institution départementale ! « Mes chers collègues, précise Patrick GENDRAUD, à Sens, il y avait des ponts mais pas de bande de roulement, mais on est quand même parvenu à réaliser la déviation de la ville - chiffrée au final à 20 millions d’euros au lieu des 30 millions d’euros initiaux soufflera Christophe BONNEFOND -, on est là pour réfléchir ensemble à celle d’Auxerre, même si cela a été un vrai parcours du combattant et avec l’aide supplémentaire (ce n’est pas si souvent !) de l’Etat : je veux donc vous entraîner dans la réalisation de cette belle LiSA ! ». Puis de rajouter : « Le train ne passera pas deux fois… ».

Il faut croire que certains élus de l’Yonne ne possèdent pas du tout la même perception « ferroviaire » que le président en chair, puisqu’ils se sont abstenus au moment du vote. Pour planter le décor, il s’agissait de donner l’autorisation à ce dernier de pouvoir signer la convention de financement relative à la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat. Avec ce particularisme qui mérite d’être signalé : l’Etat a déjà injecté la somme qui lui incombait !

Du côté du Département qui est appelé au projet comme financeur, l’enveloppe s’élève sur cette section à trente millions d’euros. Ce qui n’est pas rien, tout de même.

 

François BOUCHER dégaine le premier !

 

Et, curieusement, parmi les commentaires, une fois que Patrick GENDRAUD fera circuler la parole – « ce qui est respectable dans cet hémicycle, c’est que chacun puisse s’exprimer » -, c’est une voix, sortie des rangs de la majorité, qui alluma la mèche de la contradiction à ce projet dont on ne voyait pas le bout après moult atermoiements et péripéties avec la Région et l’Etat.

L’édile de Migennes François BOUCHER ne se fit pas prier pour dégainer le premier en s’interrogeant sur les sommes colossales consacrées à la réalisation de ce contournement qui le plonge dans l’inquiétude et le questionnement.

« Est-ce que vraiment nous avons les capacités financières d’aller au bout de ce projet-là ? lance-t-il dans le micro placé devant lui, est-ce que vraiment cette infrastructure va développer et rendre plus attractif notre département de l’Yonne ? Je ne le pense pas… ».

On entend les mouches voler dans la salle plénière où le temps semble se suspendre. Mais, très vite François BOUCHER enchaîne avec d’autres arguties : « L’argent public étant rare, il serait judicieux de demander aux autres financeurs (Etat, Région, Agglo, Ville) d’augmenter leur part de financement. Du fait du ZAN, on va détruire des terrains agricoles et on va être contraint de redonner des terres pour développer nos villes. Il y a quand même quelque chose qui m’interpelle dans ce projet : il risque d’être pesant sur nos finances publiques, voire sur nos autres actions… ».

 

 

 

Le maire d’Escamps Yves VECTEN en rajoute une couche…

 

Toutefois, même s’il s’interroge sur le bien-fondé de l’infrastructure, le maire de Migennes n’ira pas, au plan comptable (c’est-à-dire le vote) contre le choix positif de la majorité départementale dont il est l’un des représentants.

Qu’importe ! Dans la foulée, c’est Yves VECTEN qui lui emboîte le pas ! Un Yves VECTEN qui ne fera pas dans la demi-mesure pour montrer son opposition verbale au projet.

« Le financement est beaucoup trop important, d’autant plus qu’il n’y a pas la déviation de Saint-Georges en considération dans ce projet ! Donc, je suis complément défavorable, à cette réalisation qui n’incite pas à avoir moins de véhicules sur nos routes et fait tout pour favoriser les déplacements… ».

Mais, au moment du scrutin, Yves VECTEN se rangera dans le camp des… abstentionnistes sans aller plus loin dans sa décision. A l’instar des autres élus de l’opposition dont Cédric CLECH et Frédérique COLAS.

D’ailleurs, Patrick GENDRAUD, dans ses confidences lâchées en public – l’homme aime dire ce qu’il pense tout haut sans langue de bois -, n’en serait pas loin de partager, en partie, ces avis. Surtout au niveau du coût global de la future opération.

« Il faut être réaliste, renchérit-il, mais il existe quand même une belle opportunité alors que jadis on l’a laissé passer avec le projet autoroutier « Troyes Auxerre Bourges ». Cette fois-ci, deux projets étaient dans la balance au niveau régional, le contournement de Besançon et celui d’Auxerre. Et compte tenu de l’origine de la présidente de la Région – Marie-Guite DUFAY est franc-comtoise – je ne vous dit pas quel dossier avait sa préférence ! On a dû se battre pour faire fléchir la Région ! ».

 

 

Les origines bisontines de Marie-Guite DUFAY !

 

Une petite remarque qui ne laissera pas insensible l’élue socialiste et ancienne conseillère régionale, Frédérique COLAS qui retoquera le président GENDRAUD en employant un trait d’humour : « les origines bisontines de la présidente n’apportent pas de préférences sur les politiques et les financements qu’elle mène à la Région. Ni, j’espère, celles du président de notre assemblée départementale sur notre territoire, avec la magnifique route qui relie Beines à Chablis ! ». Et le président de répondre du tac au tac mais avec le sourire « Je suis né à Paris dans le XVIème arrondissement ! ».

Puis, un tantinet agacé, il déplorera la position arcboutée de l’institution régionale qui reste campée sur le montant de son investissement à la réalisation du projet. Soit 25 millions d’euros, pas un sou de plus !

« Je ne suis pas devin, ajoutera-t-il en substance, mais il est vrai que le coût de l’infrastructure augmente régulièrement. Aujourd’hui, on nous annonce au total 148 millions d’euros de travaux. Mais, ce sont des estimations. J’espère que nous n’atteindrons pas ces sommes… ».

Partisan du désenclavement utile d’Auxerre – « des riverains de la ville voient passer tous les jours des dizaines et des dizaines de poids lourds devant chez eux, c’est insupportable ! », Patrick GENDRAUD a donc réussi à fédérer une large majorité d’élus départementaux derrière ce projet. Un concept urbanistique qui permettra à termes de créer des voies douces dans le cœur de la ville d’Auxerre et de le végétaliser. Comme il est stipulé dans le cahier des charges du Projet de Territoire, voulu par Crescent MARAULT.

Le mot de la fin reviendra au vice-président Christophe BONNEFOND : « Certains parlent de désinformation en disant que cela va attirer plus de trafic à l’avenir, c’est faux ! Car, le kilométrage de cette déviation sud est plus long, et dans ce cas-là, les poids lourds passent ailleurs… ».

On ne demande qu’à voir à l’usage !

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est light, la brochure 2024 ! Sur la forme, même si la qualité du papier en couché brillant est de belle facture, elle étale ses arguments oniriques sur un cahier de quatre pages, uniquement. Volonté de respecter les engagements de la RSE, oblige ! Sur le fonds, a contrario, elle est des plus réussies ! Dévoilant au premier coup d’œil, les destinations et les journées spectacles ainsi que leurs prix, proposées en grande majorité par autocar. Il n’y a pas à dire mais 2024 regorge de suggestions des plus alléchantes avec les enseignes du groupe PROCARS dont ALBA Voyages et Cars MATHIEU !

 

VENOY : Envie de se dépayser l’existence ? De se ressourcer à l’autre bout de la planète ? De se détendre vers des destinations plus européennes et accessibles en termes de budget ? Voire de se distraire une journée, peut-être un week-end en visitant un lieu magnifique ou bien assister à un spectacle de belle qualité ? La plaquette 2024, éditée par ALBA Voyages et ses partenaires de transport (ProCars, ProCars Champagne, ProCars Icaunais, ACKERMANN Voyages et Cars MATHIEU) apporte les réponses adéquates pour celles et ceux qui aiment profiter de la vie en découvrant de nouveaux horizons. Et en préservant leur confort !

L’art du tourisme procure de très belles sensations, il semblerait à la lecture du document dévoilé devant plus de 250 personnes, à Venoy mais aussi à Charny, que les envies de bouger donneront des ailes l’année prochaine aux amateurs de circuits touristiques ! Prioritairement en autocar, mais pas que !

Parmi les nouveautés incontournables de ce catalogue 2024 figure le séjour de rêve proposé au Cambodge, le pays des dieux ! Un séjour à biffer d’ores et déjà sur son agenda pour les veinards qui auront la possibilité de s’extérioriser du côté de Phnom Penh, du 04 au 15 mars prochain. Un voyage à vivre, non pas en autocar et pour cause au vue de la distance avec la France, mais en avion ! Sur le même registre, les aficionados de la structure spécialisée dans les voyages finement ciselés auront repéré les vols pour se rendre en Corse ou en Egypte, autres lieux gorgés de soleil !

 

Une clientèle de retraités mais aussi d’entreprises et de collectivités…

 

Profitant d’un après-midi très agréable à faire saliver les férus de beaux paysages, de patrimoine et gastronomie exotiques, le dirigeant de la structure ProCars, Frédéric JOUY et les équipes des différentes filiales qui travaillent à ses côtés ont minutieusement décortiqué les fiches produit de ce catalogue à partir d’un diaporama, où la part belle est faite aux excursions et circuits à travers l’Europe (Lac Majeur, Pays-Bas, Belgique, Autriche…) mais aussi l’Hexagone avec ses typicités à l’instar de l’Alsace, la Bretagne, le pays de Montbéliard, la Vendée ou encore la Provence.

Au vu de la fréquentation de ces deux séances explicatives, l’envie de partir n’a donc pas faibli parmi la clientèle, une population majoritairement de retraités. Mais, aussi de comités d’entreprises et de collectivités. Il est vrai que le menu est propice à des besoins de s’oxygéner et d’oublier quelque peu la grisaille persistante en terre de l’Yonne et de rêver de carnaval de Nice, de réveillon du Nouvel An en Alsace dans le décorum féérique de Strasbourg, de la Touraine et de ses promenades au bord de la Loire, des plages du D Day en Normandie.

« Les transports collectifs restent très prisés des touristes, explique Frédéric JOUY, cela offre l’opportunité de découvrir les sites pittoresques au plus près sans fatigue et sans trop de déambulation… ».

 

 

Même le car qui transporte les joueurs de l’AJA était là !

 

Des cars à la qualité optimale qui garantissent le confort de leurs passagers. Des véhicules que le public a pu admirer après coup en se rendant sur le parvis de la salle des fêtes qui accueillait l’évènement. Celui, tout d’’abord, qui transporte à chaque déplacement les professionnels de l’AJ Auxerre durant leur périple à travers la France (la société est partenaire du pensionnaire de Ligue 2), et un exemplaire de la catégorie « grand tourisme », à l’aménagement cosy (velours sur les sièges, cuir, climatisation) et toilettes.

Satisfait de cette présentation du renouvellement de ses offres touristiques et culturelles (le volet spectacle et visite de sites prestigieux n’est pas mal du tout avec le château de Versailles, le zoo de Beauval, le domaine de Chantilly – ah, le restaurant du célèbre VATEL ! -, la découverte du Tréport mais également les spectacles « Hollyday on ice » ou celui de Michel SARDOU), Frédéric JOUY concluait son exercice oratoire en présentant l’ensemble des conseillères. Sous les applaudissements nourris du public, comme l’aurait suggéré le regretté Jacques MARTIN !

 

Thierry BRET

 

 


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Sur le papier, l’idée est bonne. Excellente, même car il est grand temps de remettre enfin « l’église médiatique », si décriée dans notre société, au centre du village ! Par les temps qui courent, et Dieu sait que les turbulences de l’actualité n’ont de cesse de faire trembler nos équilibres vitaux, il est plus sûr de s’informer correctement auprès de sources fiables plutôt que de pratiquer la politique de l’autruche, en s’enfouissant la tête dans le sable ! Surtout, avec ce qui se passe dans le monde ou à côté de chez nous, mais cela ne nous regarde pas ! On dirait un sketch des « Inconnus » !

On ne compte plus, en effet, le nombre de nos compatriotes de tous âges et de toutes conditions sociales qui aujourd’hui ont remisé dans les oubliettes leurs téléviseurs et annulés leurs abonnements à leurs quotidiens et magazines pour se couper de tout. Du monde en général !

Certains de nos concitoyens sont devenus aussi sourds, muets et aveugles que le fameux personnage de « Tommy », le mythique opéra-rock des WHO, dans lequel le cinéaste Ken RUSSEL met en scène le chanteur du groupe pop britannique, Roger DALTREY, dans un rôle de polyhandicapé, hermétique à tout ce qui l’entoure. Une vision cinématographique déjà prémonitoire en 1975 sur les aversions des futurs habitants de la planète Terre vis-à-vis de l’information ?

A leur décharge, il est vrai que les nouvelles sont tellement anxiogènes de jour en jour que parfois il serait bon de les oublier de manière définitive…en appuyant sur le disjoncteur !

 

Un concept plus que louable sur le papier !

 

Alors, proposer l’organisation des Etats Généraux de l’Information (EGI) afin de mieux prendre le pouls de la population hexagonale afin d’établir un diagnostic pertinent sur le poids et le rôle de la sphère médiatique sur notre environnement est tout naturellement une idée à laquelle on ne peut que souscrire. Ce n’est pas tous les jours d’ailleurs qu’il nous est permis de s’interroger sur ces organes de presse qui accompagnent notre existence dans les bons et les mauvais jours d’une actualité intensément éclectique.

On doit d’ailleurs l’idée initiale au Président de la République, Emmanuel MACRON. Par un beau jour de juillet (2023), depuis l’Elysée, le chef de l’Etat a décidé de lancer l’initiative, au demeurant louable, à la manière des « Grands Débats » où les citoyens étaient invités à venir s’exprimer en totale liberté comme le chante si bien Gilbert MONTAGNE, sur la thématique choisie. Des Etats Généraux de l’Information, pourquoi pas !

L’appellation claque bien dans le vent avec son sigle (EGI). Le bien-fondé de l’évènementiel tombe plutôt à pic afin d’établir une analyse précise sur les enjeux de l’information. Et puis, il y a aussi le volet des préconisations à apporter afin de booster à l’avenir des actions concrètes qui pourraient se déployer aux niveaux européen, national, voire régional ou il ne faudrait pas les oublier au niveau départemental.

En amont du grand jour, on se frotte les mains en lisant l’énoncé de l’équation et en se disant chic : enfin, on va réconcilier les Français avec la presse et leurs médias. Sachant que ces Etats Généraux spécifiques se déroulent selon un axe de réflexion devant courir jusqu’à l’été 2024, avec d’autres rendez-vous, appelant à la délibération des propositions ou encore à leur restitution, devant se faire dans un lieu universitaire de prestige, La Sorbonne à Paris !

Même le Conseil économique, social et environnemental (CESE) – une institution intellectuelle de référence en France dans bien des domaines qui produit des avis auxquels il faut donner lecture et crédits – a apporté sa caution morale à l’exercice. C’est simple, l’organisme est partenaire de ces EGI. En outre, aux termes de ce planning nous menant jusqu’à l’été 2024, il compilera réflexions et analyses au sein d’un avis, établi par sa commission Education, Culture et Communication.

 

 

 

54 % des Français se méfient du traitement de l’actualité par les journalistes

 

Vu de notre basse-cour locale, on a aussi crié cocorico ! Pourquoi ? Parce que cette première Agora autour de l’information – petit mémo pour celles et ceux qui ne maîtrisent pas les us et coutumes de la Grèce antique, l’Agora était la place publique dans les cités hellènes qui accueillaient les débatteurs de la chose civile et politique – se déroulait dans cette bonne vieille ville d’Auxerre, capitale de l’Yonne, à quelques encablures de Paris, quand on veut bien s’en souvenir pour y organiser des évènements nationaux ! En son antre logique et légitime pour recevoir les foules, à savoir le parc des expositions de Centre France Parc Expo, AUXERREXPO ! Avec un décorum plutôt réussi au niveau de l’atmosphère.

D’ailleurs, toutes celles et ceux qui souhaitaient apporter leur contribution autour des nombreux items abordés lors de cette journée spéciale, c’est-à-dire les citoyens lambda, les étudiants, les scolaires, les milieux économiques, les retraités, les élus, les femmes et les hommes qui composent notre microcosme étaient les bienvenus à ce raout alléchant et pertinent dans sa configuration.

Parce que tous les Français ont vraisemblablement un avis sur la presse et ses diverses variantes, sachant que dans le même temps seront diffusés sur les ondes les résultats de la traditionnelle enquête proposée par NPA Conseil et Harris Interactive sur nos concitoyens et l’information.

Un chiffre à retenir, tout de même, extrait de cette étude poussée dans ses commentaires : plus de 70 % des habitants de ce pays se disent intéressés par l’actualité nationale et internationale. Mais, pour se faire un peu l’avocat du diable, ajoutons que 54 % des Français estiment que la plupart du temps, il faut se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité (sic) selon le baromètre Kantar !

 

 

Mais où était le grand public invité à débattre ?

 

54 % des Français pensent que « la plupart du temps il faut se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité » selon le dernier baromètre Kantar

Enfin, même les représentants de la presse étaient conviés à assister à cette manifestation devant mettre leur métier à l’honneur ! Le contraire eut été étonnant !

Mais, c’est là que le bât a blessé dans ce rendez-vous, pourtant riche en interventions et ponctué de témoignages parfois déconcertants, surtout quand on apprend que les jeunes générations sont interpellées par les métiers du journalisme afin de devenir « influenceurs » sur les réseaux sociaux – on ne doit pas parler du même travail, c’est sûr ! - ; de grand public, il n’y avait point ou tellement peu depuis l’estrade surplombant la scène !

D’ailleurs, les références de la presse nationale ayant fait écho de l’acte un de cette « tournée des popotes » de l’information n’ont pas été tendres dans leurs manchettes après coup avec cet état de fait.

Hormis les journalistes de la sphère parisienne et francilienne, venus en nombre (peu de représentants de la presse régionale et départementale à signaler hormis la PQR locale), le grand public pour lequel cet évènement citoyen a été créé en amont était cruellement absent de ces débats. Un comble !

Bref, cette impression de l’entre soi était donc très tenace au terme de la matinée de ce rendez-vous qui aurait pu (dû) déboucher sur une vraie consultation avec les Français. Serait-ce imputable à un défaut de communication en amont ? Ou d’un réel manque d’information autour de l’évènement ! La copie est à revoir avant l’acte II…

Thierry BRET

 


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Ironie du sort ou item pertinemment choisi au vu de la brûlante actualité de ce trimestre, la paix dans le monde a concentré toutes les réflexions et travaux des participants de l’annuel Congrès international de la Jeune chambre économique, à Zurich. Un copieux plat de résistance, assorti de thèmes et animations nettement plus légers qu’ont pu vivre quelques représentants du club d’Auxerre.

 

ZURICH (Suisse) : Hasard du calendrier ou clin d’œil, tout en subtilité, propre au contexte géopolitique du moment, la paix dans le monde s’est donc naturellement invitée parmi les sujets majeurs au niveau des réflexions de ces retrouvailles mondiales de la JCI chez les Helvètes ! Il est vrai que les incubateurs de talents et de créativité, tels qu’ils aiment à se définir en rejoignant la structure associative, provenaient de cent six pays différents cette année. Plutôt une bonne note, en matière d’optimisme et d’espoir.

Des Bourguignons avaient donc effectué le déplacement – en très petit nombre, certes ! - dans le joli pays du gruyère et du chocolat. Notamment, cinq membres de la JCE Auxerre qui demeure l’un des clubs les plus attractifs et dynamique de la région, voire de l’Hexagone, selon les dires !

Au-delà de l’aspect festif et convivial comme il est de coutume de pratiquer au sein de la structure, et des visions pittoresques offertes par la plus grande ville de Suisse en nombre d’habitants et de banques, bordée de son lac, les JCE dont la France avait envoyé une centaine de représentants, profitaient de ces quelques jours de travaux pour peaufiner leur savoir sur des choses parfois plus terre à terre, comme la RSE, la nécessité de rencontres internationales mais aussi l’IA (Intelligence artificielle), un sigle circulant désormais dans toutes les bouches et toutes les langues.

 

 

Un rendez-vous comprenant une Coupe du monde de football !

 

Côté ludique et sportif, il était même question de l’organisation d’une Coupe du monde de football made in JCE qui permit à nos Français de se distinguer, en terminant sur la troisième marche du podium après s’être débarrassés en petite finale de coriaces Japonais. Pour l’anecdote, ce sont les Allemands – et au bout du compte ce sont toujours qui gagnent ! – qui levèrent le trophée en dominant les adeptes du ballon rond des Pays-Bas.

Bref, autant de beaux souvenirs que garderont longtemps en mémoire Régis PROTTE, Adrien et Clément BAILLY, Baptiste CHAPUIS, Yannick ROBIERE (le futur président de la JCE Auxerre) et Clémentine SENECA, trop heureux d’avoir pu participer à pareille fête universelle…

 

Thierry BRET

 

 


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Il y a toujours d’agréables surprises lors du traditionnel Concours des Vins du Grand Auxerrois, accueilli dans les salles de  réception du lycée des métiers Vauban à Auxerre, cette année. D’excellentes dans les verres, parmi l’importante quantité d’échantillons de crus à déguster (263) mais aussi des plus désagréables en bouche et au nez sur certaines productions à la sélectivité un peu hasardeuses ! En revanche, la présence de Blanche LOISEAU, émérite cheffe de « Loiseau du Temps », marraine de l’évènement, fut une bénédiction !

 

AUXERRE : Elle a de l’humour à revendre, la fille de l’inoubliable Bernard ! « Etre marraine d’un concours d’une filière professionnelle – la viticulture – qui est un métier d’hommes n’est pas pour me déplaire… ».

Rires et applaudissements parmi l’assistance, à peine prononcés ces quelques mots. Banco ! La petite phrase introductive de la restauratrice, aux commandes côté cuisine du nouvel établissement à l’estampille de l’enseigne LOISEAU et cogéré avec sa sœur, Bérangère, en Bourgogne Franche-Comté (« Loiseau du Temps », inauguré au printemps dernier à Besançon) ne passera donc pas inaperçue. Elle aura eu le mérite de donner le « la » de l’énième Concours des Vins du Grand Auxerrois, concocté par le BIVB (Bureau interprofessionnel des Vins de Bourgogne) ce week-end à Auxerre. Un rendez-vous que n’aurait manqué sous aucun prétexte les aficionados de ces manifestations sympathiques mais très sérieuses où il s’agit de sélectionner que les meilleurs des productions vineuses présentées.

 

 

Une amatrice avertie mais pas une œnologue !

 

C’est en maîtresse de cérémonie que la viticultrice de Chitry, Elodie CHALMEAU, ouvrira le bal de cette manifestation gustative matinale en accueillant la marraine de l’édition 2023, une Blanche LOISEAU qui reconnaîtra avec humilité de « ne pas être une œnologue de métier mais une amatrice avertie » !

Satisfaite de participer à ce rendez-vous où furent goûter une multitude de vins de belle facture dans leur ensemble, Blanche LOISEAU reçut un accueil très chaleureux de la part des membres du jury – ils étaient soixante-trois personnes aux origines diverses et variées, entre amateurs et professionnels -, avant qu’elle ne soit intronisée parmi la Confrérie des 3 Ceps dans les règles de l’art du folklore bourguignon.

La fille cadette du regretté Bernard LOISEAU gardera un bon souvenir de cette journée, avant de repartir vers Besançon où depuis le 21 avril dernier, elle régale derrière ses fourneaux les épicuriens de la place, avec des produits typiques de son terroir de prédilection, la Bourgogne Franche-Comté.

 

Thierry BRET

 

 

 


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