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On se pincerait presque le derme tant l’image qui nous est proposée là, se veut rarissime dans le landerneau de la politique icaunaise. Des élus, certes de droite, mais tous unis et parlant d’une même voix sans l’once d’une attitude politicienne néfaste, au service d’une noble et juste cause. La nécessité de se voir doter un jour (quand ?) d’un nouvel établissement scolaire, un lycée, qui viendrait désengorger les infrastructures de Sens, archi bondées au niveau de ses effectifs et de ses classes. Quand les élus de LR, du RDPI (Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants) ou du RN sont sur la même longueur d’ondes, en somme. Et ce n’est pas une légende de Noël !

 

VILLEBLEVIN: On peut ne pas partager les mêmes idées politiques et finalement se retrouver sur la même ligne de défense (ou d’attaque constructive selon les cas) d’un projet, surtout lorsque ce dernier doit agir dans l’intérêt général des citoyens. A quelques jours de la fête de la Nativité (Noël pour les  incultes !), le miracle a eu lieu ou presque au foyer communal de la localité quasiment la plus septentrionale de notre territoire, située à quelques encablures de la Seine-et-Marne limitrophe. Certes, il ne s’agissait que de représentants politiques estampillés de la droite républicaine et souveraine, mais tout de même, cela n’arrive pas tous les jours dans le sérail icaunais !

Déjà, sur le carton d’invitation médiatique, adressé quelques jours auparavant par le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, on pouvait s’y reprendre à deux fois au niveau de sa lecture pour bien assimiler ce qui allait se tramer dans la bourgade du nord de l’Yonne un peu plus tard.

Non seulement, le nom du parlementaire et porte-voix du Rassemblement national y figurait en pôle-position mais en outre il était assorti des patronymes de Grégory DORTE, le premier vice-président de la majorité départementale (LR/UDI) de l’Yonne, de la conseillère départementale Dominique SINEAU et du président de la Communauté de communes Yonne Nord, Thierry SPAHN. Manquait à l’appel, sur le papier, le sénateur de l’Yonne et proche de la gouvernance étatique en sa qualité d’ancien ministre, Jean–Baptiste LEMOYNE, qui se sera greffé entre-temps sur ce rendez-vous qualifié d’historique par le représentant de la formation bleu marine.

 

 

Une réunion non partisane, sans clivage et pas artificielle…

 

Bref, on l’aura compris la future manifestation qui allait se vivre devant une trentaine d’élus et membres des autorités éducatives et administratives autorisées (curieusement, il manquait à l’appel les représentants des lycées JANOT et CURIE de Sens, retenus dans le même laps de temps par une réunion dite extraordinaire !), présentait des arguments nécessitant un long déplacement depuis la capitale de l’Yonne vers VILLEBLEVIN, même passé les horaires respectables pour jeter un journaliste sur la route, soit à 19 heures !

Bon, c’est sûr, pour les puristes de la petite phrase et de l’envoi de banderilles acerbes mais bien contenues, il y aura quelques moments croustillants à se mettre entre les oreilles avec certains protagonistes plutôt amusé par les circonstances, et ce dès le début de la prise de parole explicative !

Péremptoire, Grégory DORTE balancera tout de go dès que le micro lui fut tendu « qu’il n’avait pas voté Marine LE PEN » lors des dernières présidentielles ! Réplique instantané d’un Julien ODOUL, arborant un complet sombre et cravate bleu foncé, « c’est vrai qu’avec Grégory, nous nous sommes souvent frittés par le passé et que nous ne partageons pas les mêmes idées ! ».

Une manière concrète et courtoise de marquer les territoires politiques respectifs de chacun, sous le trait de l’humour, avant de revenir à des choses nettement plus sérieuses. Grégory DORTE et Julien ODOUL étaient à l’origine de cette rencontre, façon pose de jalons initiaux afin de bien cerner la problématique.

L’énoncé du problème revenait au député qui rappela en guise de préambule les choses suivantes : « En mars dernier, nous avons interpellé le gouvernement et la Région Bourgogne Franche-Comté sur la nécessité de construire un nouveau lycée dans le nord de l’Yonne. Afin d’anticiper la croissance démographique de notre territoire et de renforcer son attractivité, de répondre aux enjeux liés à la surpopulation scolaire des lycées de Sens, et de favoriser l’accès à un enseignement de qualité et de proximité, nous avons décidé d’organiser une réunion d’information avec l’ensemble des élus concernés et les autorités éducatives et administratives… ».

 

« Circuler, il n’y a rien à voir ! » : la réponse de la Région…

 

Observant l’absence de débats sur le sujet au sein de l’hémicycle régional qu’il côtoie pourtant très régulièrement, Julien ODOUL reprocha à la Région BFC de ne pas avoir provoqué de discussions à propos de ce projet prometteur et porteur d’avenir pour le nord de l’Yonne.

« Nous sommes tous convaincus de la pertinence de ce dossier, projet à la fois d’éducation et d’attractivité, mais aussi social et qui prépare les années à venir de ce secteur géographique. Depuis trop longtemps, nous sommes les parents pauvres de la Bourgogne Franche-Comté en termes d’investissements et de transports. On semble vivre comme dans un no man’s land ! Est-ce imputable à notre éloignement avec Dijon ? Ou à notre proximité relative avec l’Ile-de-France ? On a un vrai souci sur l’avenir de ce territoire… ».

Comme à son habitude, le numéro cinq du Rassemblement national ne fut pas tendre avec l’exécutif régional à qui il demanda des comptes. « Il n’y a rien de pire que d’étouffer un débat et de museler une discussion… ». Une petite flèche que le parlementaire eut le plaisir de décocher en direction de Marie-Guite DUFAY !

« Comment expliquer que ce soir, opportunément, il y ait une réunion du Conseil d’administration des lycées de Sens en même temps que notre réunion d’information, s’interrogea dubitatif mais un brin ironique Julien ODOUL, je le regrette, naturellement, tout comme je regrette l’absence de la Région et de ses représentants que nous avons sollicités plusieurs fois déjà ! Invités à prendre part à cette rencontre, la réponse a été très claire : « Circuler, il n’y a rien à voir ! ». ».

 

 

Le SRADDET contredit les arguments démographiques de la Région

 

Côté arguments, dont ceux avancés par les acteurs bloquants de ce projet (le ministère de l’Education nationale, le rectorat et la Région BFC) – chacun se renvoyant la balle sans vouloir trop se mouiller selon le député de l’Yonne -, la démographie est en ligne de mire.

Principale théorie dont la Région se fait écho : la perte du nombre des élèves d’ici une décennie dans l’Yonne, selon les courbes statistiques fournies par le rectorat. Des arguties que Julien ODOUL balaie du revers de la main.

« D’autres arguments en contradiction avec ceux annoncés par la Région sont à prendre en compte, souligna l’orateur, ils émanent de la Région elle-même, dans le cadre du SRADDET (Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) avec une perspective d’évolution en 2050 des données démographiques. Que dit le SRADDET ? Il affirme que la Région Bourgogne Franche-Comté vivra une évolution positive de sa population à horizon 2050 de l’ordre de 13 %. Soit dans les faits pour le département de l’Yonne de 60 000 habitants supplémentaires. Des personnes qui s’installeraient en priorité dans le nord du département, du fait de la proximité avec la région francilienne… ».

Une perspective sérieuse qui pourrait être applicable d’ici 25 ans, avec une hausse tangible de la population importante, dont des jeunes gens en âge de fréquenter des établissements scolaires donc des lycées, il va de soi.

Partant de ce postulat, les élus ayant provoqué ce rassemblement informatif ce jeudi invitèrent chacun des acteurs de la scolarité et institutionnels à se poser les bonnes questions pour élargir l’offre pédagogique de ce territoire, en privilégiant les investissements – l’édification d’un nouveau lycée au nord de Sens afin de résoudre en parallèle la problématique des trajets et celle des journées interminables de cours pour certains élèves – mais aussi en réduisant la voilure au niveau de la surcharge des effectifs en classe à Sens. L’une des grosses difficultés à l’heure actuelle dans les deux lycées sénonais, ayant provoqué la grogne et des remous dès la rentrée de septembre chez les syndicats d’enseignants.

Consensuel jusqu’au bout des ongles – ce n’est pas si souvent lorsqu’il expose ses idées ! (« Il se Macronise » plaisantera même Jean-Baptiste LEMOYNE à son endroit !)-, Julien ODOUL rappela en guise de conclusion ce « nécessaire besoin de rallier toutes les parties prenantes au-delà des étiquettes politiques » afin d’offrir une vie scolaire de proximité et de qualité digne, au nord de l’Yonne. Comme un cadeau de Noël, en somme !

 

Thierry BRET

 

 


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Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


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« Qui c’est qui est très gentil ? Les gentils ! Qui c’est qui est très méchant ? Les méchants ! Qui a tous les premiers prix ? Les gentils. Qui roupille au dernier rang ? Les méchants... ». C’est un peu la définition légitime des « risque-tout » (les entrepreneurs) face à leurs éternels opposants, les « risque-rien » (les bureaucrates).

Question simpliste mais ô combien cruciale après coup que l’on aurait pu poser machinalement au numéro un de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) François ASSELIN, en déplacement à Auxerre – le deuxième depuis huit ans en territoire de Bourgogne du nord cette semaine -, est-il un adepte des chansons de Michel FUGAIN et de son fameux « Big Bazar » ?!

« Les gentils, les méchants ». Le titre a été diffusé très largement sur les ondes radiophoniques en 1972. Déjà un constat brûlant et cruel de la société de l’époque, toujours dans le prolongement des « Trente Glorieuses » et juste avant que ne survienne le premier choc pétrolier de 1973, fatal à l’économie hexagonale. Avec sa célèbre maxime publicitaire : « En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées ! ».

« Les gentils, les méchants ». Dans la bouche du patron des patrons de la CPME, cela se transforme en la formule suivante : « les risque-tout » et les « risque-rien » ! On aura compris aisément que les risque-tout sont celles et ceux qui se lèvent tôt le matin, créent de la valeur ajoutée dans le pays, génèrent de l’emploi et du chiffre d’affaires même au tréfonds des provinces de l’Hexagone en prenant le maximum de risques et en sacrifiant leur existence familiale, permettent de maintenir le cap de cette nation aux pieds d’argile dans un contexte géopolitique de plus en plus complexe au niveau économique, bref, celles et ceux qui entreprennent sans regarder la montre et compter les heures qui les séparent d’un hypothétique week-end de labeur !

 

Les congés payés pendant les arrêts maladies : inadmissible pour la CPME

 

Remonté tel un coucou helvétique qui n’est pas prêt de s’arrêter, François ASSELIN qui ne pratique pas la langue de bois lors de ses interventions orales s’insurge au nom des milliers d’adhérents du premier syndicat patronal de France contre la bureaucratie cocardière de ce pays, en déshérence administrative. Pleine de contradictions et d’envies malignes d’empêcher le système économique de tourner rond. La dernière en date qui a suscité le lancement d’une pétition au sein de la Confédération : les congés payés acquis pendant les arrêts maladies.

On explique les faits. La CPME est résolument opposée à l’acquisition de congés payés pendant les arrêts-maladies, qui découle d’arrêts récents de la Cour de cassation, pris en application d’une directive adoptée à Bruxelles en 2003 avec l’aval du gouvernement français de l’époque.

« Sur le fond, précise-t-on à la CPME, découpler travail effectif et congés payés est profondément choquant. C’est la valeur travail qui est ainsi attaquée. De surcroît, il est parfaitement injuste qu’un salarié absent pendant une longue période bénéficie d’autant de congés qu’un salarié présent à son poste. Par ailleurs, la rétroactivité qui permettra aux salariés de se retourner contre leur employeur et de réclamer des congés payés au titre de leurs arrêts-maladies des trois dernières années est inadmissible… ».

 

 

Une décision qui révulse profondément François ASSELIN et ce dernier en a fait part aux deux cent cinquante participants de la CPME de l’Yonne – il n’y avait pas que des entrepreneurs issus de la Confédération - : cela risque de coûter plusieurs milliards d’euros chaque année aux entreprises françaises, grandes ou petites, et de condamner certaines PME, ce qui est totalement inacceptable. Dans les faits, les choses ne peuvent rester en l’état.

« Le gouvernement doit comprendre l’indignation des chefs d’entreprise et agir. Il en a les moyens, précise François ASSELIN qui possède ses entrées dans les hautes sphères du pouvoir tricolore, à l’Elysée comme à Matignon.

 

 

7 % de chômeurs et des entreprises qui peinent à recruter !

 

Une CPME qui prend aussi toute sa part dans la consultation lancée par l’Etat concernant le sempiternel serpent de mer de la technocratie française : la simplification administrative. Une arlésienne qui pollue celles et ceux qui ne comptent pas leurs heures pour tenter de faire tourner leurs boîtes qui croulent déjà sous une avalanche de normes, tricolores – elles sont au nombre de 400 000 pour faire simple ! – et européennes, il va de soi !

La baisse de l’activité n’arrange rien avec la chute des carnets de commandes. Quant à l’aspect social, il est omniprésent. Tant au niveau des recrutements difficiles à résoudre que des arrêts maladies qui explosent !

« Les entrepreneurs se sentent dépossédés de leur autorité de chef !, lâche tout de go la figure  patronale des Deux-Sèvres à la tête d’une société positionnée dans le bâtiment et le gros œuvre. Les relations sociales nous échappent et on ne les comprend pas… Mais, une entreprise, c’est un lieu de travail où il faut bosser ! ».

Pas de langue de bois, avons-nous dit ! Autre sujet d’incompréhension pour le représentant de ce syndicat : « on est dans un pays où il y a 7 % de chômeurs et on a des entreprises qui ne trouvent pas de salariés à recruter ! ». Un casse-tête chinois ou une autre configuration de l’opposition entre les « risque-tout » et les « risque-rien », termes que François ASSELIN assène régulièrement dans ses propos ?

 

La gifle de trop aux commerçants et aux artisans !

 

Quant à la campagne actuelle de l’ADEME proposant une drôle d’alternative consumériste – l’apologie de la décroissance qui fait pousser des cris d’orfraie aux commerçants et artisans totalement stigmatisés -, la CPME n’y va pas par quatre chemins. Elle exige le retrait sine die de ces spots qui sont largement diffusées aux heures de grande écoute sur les chaînes télévisées de l’Hexagone.

Explications : « L’ADEME et le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, à grand renfort de fonds publics, ont lancé une campagne de communication faisant, sous couvert de consommation responsable, l’apologie de la décroissance, en prônant une renonciation à l’acte d’achat. Les commerces sont explicitement visés avec un message qui se veut humoristique d’un soi-disant « dévendeur » dont la mission est de faire fuir les clients d’un magasin de bricolage, d’électroménager ou d’habillement.

Une telle campagne à l’approche des fêtes de Noël est une véritable gifle aux commerçants qui subissent l’inflation de plein fouet et s’inquiètent d’une activité économique qui donne des signes de ralentissement. Stigmatiser les commerçants est particulièrement malvenu lorsque l’on sait les difficultés que rencontre ce secteur qui multiplie pourtant les initiatives pour limiter son empreinte carbone. Et que dire de ces industriels français, pleinement engagés dans la transition écologique, qui se battent au quotidien pour faire vivre et dynamiser le made in France ? ».

On appelle cela se tirer une balle dans le pied. A l’heure où l’Etat parle de réindustrialisation à outrance et d’attractivité des territoires à tout crin, le responsable de la CPME ne comprend pas le sens de ces messages donnés à la population.

« Les gentils, les méchants » était l’un des tubes de 1972. Plus de cinquante ans après, le morceau pourrait faire florès à l’audimat de notre France contemporaine confrontée à cette même problématique qui couve depuis longtemps entre les « risque-tout » et « les risque-rien »…

 

Thierry BRET

 


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« Le travail, c’est la santé » chantait l’amuseur public numéro un de la variété française, le regretté Henri SALVADOR, en 1965. Une chanson de potache, à ne pas prendre au sérieux et à mettre entre toutes les oreilles des citoyens dans la France de De Gaulle, qui eut un succès retentissant en pleine période des « Yéyés » et avant que ne s’abatte sur l’Hexagone la déferlante pop de la perfide Albion ! Si le titre ne figure plus depuis très longtemps dans les playlists des radios FM qui programment de manière très artificielle et numérique, logiciels oblige, leur contenu musical en 24X24 ; le second couplet de ce morceau sympathique, lui est aujourd’hui totalement d’actualité !

« Rien faire, c’est la conserver… ». On a l’impression désormais que ce leitmotiv, ode au farniente, à la détente et à la paresse, est devenu l’apanage de millions de personnes en France, et ce depuis quelques années. Ces travailleuses et ces travailleurs, comme l’aurait dit l’égérie de Lutte Ouvrière Arlette LAGUILLIER du temps de sa superbe, qui aujourd’hui éprouvent un ras-le-bol généralisé avec ce terme, limite grossier, synonyme de contraintes, d’enfermement, d’ennui, de non-reconnaissance, de pénibilité… : le travail !

Bref, ce mot semble sortir tout droit d’un autre temps, et d’un autre monde, avec ses qualificatifs qui procurent du stress, de la sinistrose et de l’urticaire (quand ce n’est pas une autre pathologie) à bon nombre de nos compatriotes lassés de vivre cela dans leur quotidien. Productivité, rentabilité, profit, implication, horaires…

 

A l’origine du mal : la COVID-19, les confinements et le télétravail !

 

Le pire, c’est que ce ressenti anti-travail continuel qui secoue la France (mais pas que) telle une tempête de force 9 depuis un long moment ne touche pas que la nouvelle génération et ses fameux milléniums, comprenez par-là, celles et ceux qui ont vu le jour dans les années 2000 ! Même les seniors s’y sont mis avec enthousiasme, et ce dès la petite cinquantaine – rappel pour mémoire et selon les critères de l’INSEE tout individu ayant dépassé le cap fatidique des 45 ans intègre de facto cette « sinistre » catégorie dans laquelle on accepte d’être jetée tel un vieux Kleenex usagé à se débarrasser dans la bonne poubelle pour rester dans l’esprit écolo ! – et quittent à tour de bras en démissionnant pour un désir d’autre chose leurs postes de cadre à responsabilités, quand ils ne se font pas débarquer de façon inopinée à cause de la limite d’âge par une DRH toujours condescendante et bienveillante !

L’origine de tous ces maux est souvent identifiée avec la crise sanitaire, celle de la COVID-19, qui a bouleversé le monde au début de l’année 2020. Certaines et certains en regrettent même encore les bienfaits des confinements successifs  qui auront permis de goûter aux joies du repos forcé mais salvateur, loin des crises de nerf d’un supérieur obséquieux à la limite du burn-out et glapissant ses ordres dans les bureaux, à la limite du harcèlement, parce que cela existe bel et bien dans l’univers parfois un peu trop doré et propret que l’on veut bien se faire du monde professionnel…Et ce, tout secteur corporatiste confondu.

 

 

Les sombres perspectives des seniors, déjà qualifiés de vieux !

 

Alors, oui, c’est un constat qui ne cesse de s’amplifier parmi les observations officielles, confortées par les études des cabinets spécialisés dans la sociologie qui moulinent des tonnes de données à n’en plus finir qui, in fine, ne changeront rien ni à la situation, ni à l’équation  : le rapport des Français avec le travail évolue en grande profondeur, c’est désormais une évidence avec lequel il faudra bien composer. On oserait même dire que cela ne semble être que le début, au vu de l’accélération du processus et de son inexorabilité.

Si les jeunes générations désirent davantage de flexibilité, de moments à eux avec des plages de détente et de liberté, les plus vieux – pour éviter ce terme de « senior », employé à toutes occasions par les adeptes du marketing de bas étage qui nous conditionne et qui nous hérisse le poil nous autres actifs de plus de 45 ans ! – espèrent eux de la reconnaissance, du pouvoir d’achat, de la prise de responsabilité, de la progression de carrière, de l’assouplissement, aussi, dans leur rythme de travail intense qui peut frôler la sinécure chronique et la perte de repères.

La réforme de la retraite à 64 ans va donc créer, mais tout le monde s’en fout dans les soupentes de la technocratie hexagonale, une génération de personnes désabusées et fatiguées, des gens usés par 43 ou 44 années de labeur, pour certaines vécues dans la très grande pénibilité, à courir tous les jours après on ne sait quoi, perclus par les douleurs rhumatismales et avec le moral en berne, au fond des chaussettes de ne pouvoir vieillir correctement…sans souci ni pression.

        

Une France du travail à deux vitesses !

 

C’est sûr, les initiatives portées par l’Etat et ses opérateurs publics à l’instar de Pôle Emploi se multiplient à tous les étages (des forums, des colloques – ils ont le mérite d’exister !) pour optimiser la valeur travail auprès de la population !

C’est bien normal si la France veut regagner tout ce qu’elle a perdu en matière de productivité – celle-ci est d’ailleurs très faible à l’échelle mondiale -, le retour à l’industrialisation optimale et même au travail à temps complet puisque notre pays, selon la toute récente étude publiée cette semaine par REXECODE la situe dans les limbes des classements européens, occupant l’avant-dernière place derrière la Finlande !

Les Français travaillent de moins en moins, c’est une certitude avec une durée moyenne de 124 heures de moins par rapport aux ténors de l’Union européenne. Il serait peut-être judicieux d’analyser la situation de près et surtout de remédier à cela dans un pays où existent les RTT, les arrêts maladie, les congés parentaux, les vacances, etc. si l’on veut reprendre notre lustre d’antan, lors des années glorieuses, tant dans le privé que le public.

Nonobstant, un sacré bémol apparaît pourtant : les professions libérales, les commerçants, les artisans, les entrepreneurs indépendants sont parmi ceux qui bossent le plus dans leur quotidien à l’échelle européenne. A croire qu’il y aurait donc une France à deux vitesses dans le monde professionnel, avec celles et ceux qui triment avec plus de 70 heures par semaine, les avantages et la sérénité en moins ! Un aspect égalitaire avec le reste du monde professionnel déconcertant.

« Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os… ». Sacré Henri ! Et si ta chanson était vraiment prémonitoire…

 

Thierry BRET

 


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Puisque l’on parle de mobilité en évoquant la liaison sud d’Auxerre et son projet de contournement, on reste dans la métaphore itinérante, au Conseil départemental de l’Yonne. La phrase est signée de son président, Patrick GENDRAUD, qui résume parfaitement la situation si l’hémicycle lui refusait l’autorisation de signer la convention de financement de la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat, lors de cette session. C’est simple : « le train ne passerait pas une seconde fois ! ». Un acte qui aurait été irresponsable de la part de l’assemblée !

 

AUXERRE: C’est presque une formule digne du Far-West qui est employée-là par le président de la vénérable institution départementale ! « Mes chers collègues, précise Patrick GENDRAUD, à Sens, il y avait des ponts mais pas de bande de roulement, mais on est quand même parvenu à réaliser la déviation de la ville - chiffrée au final à 20 millions d’euros au lieu des 30 millions d’euros initiaux soufflera Christophe BONNEFOND -, on est là pour réfléchir ensemble à celle d’Auxerre, même si cela a été un vrai parcours du combattant et avec l’aide supplémentaire (ce n’est pas si souvent !) de l’Etat : je veux donc vous entraîner dans la réalisation de cette belle LiSA ! ». Puis de rajouter : « Le train ne passera pas deux fois… ».

Il faut croire que certains élus de l’Yonne ne possèdent pas du tout la même perception « ferroviaire » que le président en chair, puisqu’ils se sont abstenus au moment du vote. Pour planter le décor, il s’agissait de donner l’autorisation à ce dernier de pouvoir signer la convention de financement relative à la section RN6/RN151, sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat. Avec ce particularisme qui mérite d’être signalé : l’Etat a déjà injecté la somme qui lui incombait !

Du côté du Département qui est appelé au projet comme financeur, l’enveloppe s’élève sur cette section à trente millions d’euros. Ce qui n’est pas rien, tout de même.

 

François BOUCHER dégaine le premier !

 

Et, curieusement, parmi les commentaires, une fois que Patrick GENDRAUD fera circuler la parole – « ce qui est respectable dans cet hémicycle, c’est que chacun puisse s’exprimer » -, c’est une voix, sortie des rangs de la majorité, qui alluma la mèche de la contradiction à ce projet dont on ne voyait pas le bout après moult atermoiements et péripéties avec la Région et l’Etat.

L’édile de Migennes François BOUCHER ne se fit pas prier pour dégainer le premier en s’interrogeant sur les sommes colossales consacrées à la réalisation de ce contournement qui le plonge dans l’inquiétude et le questionnement.

« Est-ce que vraiment nous avons les capacités financières d’aller au bout de ce projet-là ? lance-t-il dans le micro placé devant lui, est-ce que vraiment cette infrastructure va développer et rendre plus attractif notre département de l’Yonne ? Je ne le pense pas… ».

On entend les mouches voler dans la salle plénière où le temps semble se suspendre. Mais, très vite François BOUCHER enchaîne avec d’autres arguties : « L’argent public étant rare, il serait judicieux de demander aux autres financeurs (Etat, Région, Agglo, Ville) d’augmenter leur part de financement. Du fait du ZAN, on va détruire des terrains agricoles et on va être contraint de redonner des terres pour développer nos villes. Il y a quand même quelque chose qui m’interpelle dans ce projet : il risque d’être pesant sur nos finances publiques, voire sur nos autres actions… ».

 

 

 

Le maire d’Escamps Yves VECTEN en rajoute une couche…

 

Toutefois, même s’il s’interroge sur le bien-fondé de l’infrastructure, le maire de Migennes n’ira pas, au plan comptable (c’est-à-dire le vote) contre le choix positif de la majorité départementale dont il est l’un des représentants.

Qu’importe ! Dans la foulée, c’est Yves VECTEN qui lui emboîte le pas ! Un Yves VECTEN qui ne fera pas dans la demi-mesure pour montrer son opposition verbale au projet.

« Le financement est beaucoup trop important, d’autant plus qu’il n’y a pas la déviation de Saint-Georges en considération dans ce projet ! Donc, je suis complément défavorable, à cette réalisation qui n’incite pas à avoir moins de véhicules sur nos routes et fait tout pour favoriser les déplacements… ».

Mais, au moment du scrutin, Yves VECTEN se rangera dans le camp des… abstentionnistes sans aller plus loin dans sa décision. A l’instar des autres élus de l’opposition dont Cédric CLECH et Frédérique COLAS.

D’ailleurs, Patrick GENDRAUD, dans ses confidences lâchées en public – l’homme aime dire ce qu’il pense tout haut sans langue de bois -, n’en serait pas loin de partager, en partie, ces avis. Surtout au niveau du coût global de la future opération.

« Il faut être réaliste, renchérit-il, mais il existe quand même une belle opportunité alors que jadis on l’a laissé passer avec le projet autoroutier « Troyes Auxerre Bourges ». Cette fois-ci, deux projets étaient dans la balance au niveau régional, le contournement de Besançon et celui d’Auxerre. Et compte tenu de l’origine de la présidente de la Région – Marie-Guite DUFAY est franc-comtoise – je ne vous dit pas quel dossier avait sa préférence ! On a dû se battre pour faire fléchir la Région ! ».

 

 

Les origines bisontines de Marie-Guite DUFAY !

 

Une petite remarque qui ne laissera pas insensible l’élue socialiste et ancienne conseillère régionale, Frédérique COLAS qui retoquera le président GENDRAUD en employant un trait d’humour : « les origines bisontines de la présidente n’apportent pas de préférences sur les politiques et les financements qu’elle mène à la Région. Ni, j’espère, celles du président de notre assemblée départementale sur notre territoire, avec la magnifique route qui relie Beines à Chablis ! ». Et le président de répondre du tac au tac mais avec le sourire « Je suis né à Paris dans le XVIème arrondissement ! ».

Puis, un tantinet agacé, il déplorera la position arcboutée de l’institution régionale qui reste campée sur le montant de son investissement à la réalisation du projet. Soit 25 millions d’euros, pas un sou de plus !

« Je ne suis pas devin, ajoutera-t-il en substance, mais il est vrai que le coût de l’infrastructure augmente régulièrement. Aujourd’hui, on nous annonce au total 148 millions d’euros de travaux. Mais, ce sont des estimations. J’espère que nous n’atteindrons pas ces sommes… ».

Partisan du désenclavement utile d’Auxerre – « des riverains de la ville voient passer tous les jours des dizaines et des dizaines de poids lourds devant chez eux, c’est insupportable ! », Patrick GENDRAUD a donc réussi à fédérer une large majorité d’élus départementaux derrière ce projet. Un concept urbanistique qui permettra à termes de créer des voies douces dans le cœur de la ville d’Auxerre et de le végétaliser. Comme il est stipulé dans le cahier des charges du Projet de Territoire, voulu par Crescent MARAULT.

Le mot de la fin reviendra au vice-président Christophe BONNEFOND : « Certains parlent de désinformation en disant que cela va attirer plus de trafic à l’avenir, c’est faux ! Car, le kilométrage de cette déviation sud est plus long, et dans ce cas-là, les poids lourds passent ailleurs… ».

On ne demande qu’à voir à l’usage !

 

Thierry BRET

 

 


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