Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La valorisation des déchets de la déconstruction est à l’ordre du jour des spécialistes de la filière du bâtiment. En diminuant leur empreinte carbone, les entreprises positionnées sur ce secteur veulent ainsi économiser les ressources naturelles. Une décision salutaire pour préserver la planète et faire progresser l’économie circulaire. Ce sera le thème de la visite de la présidente de la Région, conviée sur l’un des sites de la SAS MICHEL ce vendredi…

 

AUXERRE : A quoi peuvent donc servir des déchets issus de la démolition ? C’est une question que bon nombre d’entre nous peuvent légitimement se poser à l’heure du développement de l’économie circulaire et de la sauvegarde de la planète.

Une interrogation que, peut-être un jour au détour de l’inauguration d’un chantier traditionnel, est venue titiller l’esprit avisé de la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY ! Si cela n’a été fait, la représentante de l’exécutif régional recevra nécessairement les réponses adéquates lors de sa visite en terre de l’Yonne, vendredi 28 mai, sur l’un des sites de la SAS MICHEL à Auxerre.

Elle y découvrira, aux côtés de l’entrepreneur et président de la Fédération départementale du bâtiment Didier MICHEL, une paroi en gabions édifiée en matériaux de démolition concassée. Cette surface remplace un mur de soutènement en béton.

De manière générale, la gestion des déchets de la filière varie selon de nombreux critères : nature du bâtiment démoli, composants utilisés. Les traiter s’impose comme une priorité absolue pour la corporation car le secteur du bâtiment représente 19 % de la production de déchets issus du BTP. Soit 46 millions de tonnes par an ! Pour mémoire, les déchets ménagers correspondent à un volume annuel de seulement trente millions de tonnes…

 

 

 

Or, il s’avère dans le détail que 49 % de ces détritus sont issues de la seule démolition. Leur revalorisation oscille entre 48 et 64 % selon la typologie des matériaux à recycler. Dont 60 à 80 % pour la spécificité de la démolition.

Aujourd’hui, l’ADEME s’est engagée sur un projet baptisé « DEMOCLES », une démarche collaborative fédérant une quarantaine d’acteurs, qui vise à développer le tri et le recyclage de ces déchets particuliers : plâtres, moquettes, produits ouvrants, etc.

Sensibilisée par cet item propre au développement durable, l’un de ses chevaux de bataille, la présidente de la Région devrait être tout ouïe à l’écoute des professionnels de la filière.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Que ce soit dans la capitale de l’Aube ou sur les anciennes terres des ducs de Bourgogne, l’exercice s’est répété par deux fois, à quelques jours d’intervalle. Il est vrai que cette pratique oratoire, coutumière pour le staff de l’établissement financier, a du bon. Non seulement, elle satisfait les journalistes qui peuvent apprécier dans leurs moindres détails les arcanes fonctionnelles de ce poids lourd de l’économie régionale. Mais, en outre, elle offre l’opportunité de tâter le pouls côtés tendances et innovations…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’exercice sied à ravir à l’héritier intellectuel de Jacques KERMARREC. Dans les pas de son prédécesseur qui savait le manier avec une similaire dextérité, Emmanuel VEY, directeur général du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, sait trouver les mots justes pour expliquer le contexte dans lequel se meut aujourd’hui son établissement.

Une situation qui n’a rien de sibylline à ses yeux tant le devenir économique semble plutôt probant à bien des égards, après cette crise sans précédent vécue par l’humanité.

2020 met en exergue ce sentiment de mission accomplie pour le responsable de l’entité financière mutualiste. Malgré le profil en dents de scie de la sphère économique et de tous ses acteurs. Un terme linguistique pourrait résumer cela à lui tout seul : la présence.

Présent le Crédit agricole au  plus près de son territoire de prédilection ? Au-delà des mots, ce sont des images défilant à rythme soutenu lors de la diffusion d’un clip vidéo qui l’attesteront à travers moult exemples. Le tout servi par un générique qui en dit long sur la question, introduit par la voix du regretté Charles AZNAVOUR : « You are the one for me, for me, formidable ! ».

Alors sont-ils si formidables ces fameux professionnels de la banque au presque sortir de la crise sanitaire ? Au vu des séquences visuelles proposées, le premier financeur de l’économie territoriale n’a, certes, pas à se voiler la face à l’énoncé de son bilan.

Douze mille exploitations agricoles, installées en Champagne-Bourgogne, ont bénéficié de la pléthorique offre de services de la structure bancaire à l’identique des collectivités, entreprises et autres particuliers. La solidarité a été poussée à son paroxysme, entre altruisme et générosité, puisque des aides se sont concentrées en faveur des EPHAD mais aussi de deux cent cinq associations qui ont pu profiter pleinement de subsides accordés dans un souci solidaire par l’établissement.

« On ne s’est jamais senti plus utile durant cette période en soutien des activités économiques de notre clientèle, lâche Emmanuel VEY, bien conscient que le premier « bancassureur » de la région a assuré grave, comme le dirait la jeune génération. Et justement, puisqu’il faut évoquer la jeunesse, parlons-en ! Celle-ci n’aura pas été oubliée par le staff décisionnel du groupe. Entre recrutements en nette progression, malgré l’atonie de la situation, et l’accueil de jeunes entrepreneurs, à la tête de start-ups aux contours dynamiques au sein du fameux concept iconoclaste, « Village by Crédit Agricole », un réseau d’accélérateurs de compétences et d’initiatives qui booste les talents : que dire de plus ?

 

 

Des mesures d’accompagnement répondant aux réels enjeux…

 

Si ce n’est, comme le réaffirmera le quinquagénaire directeur général, doublement diplômé d’un MBA obtenu à la Chicago Booth GSB et d’un DEA en économie internationale à Paris Sorbonne, que le Crédit agricole a su démontrer son appétence à l’adaptabilité et à la transformation afin de pouvoir réagir au mieux face à un contexte si spécifique.

Renforçant ainsi la méthodologie inhérente à cette banque qui puise ses ressources dans le sens de la relation à l’autre. Ainsi, dans les faits, plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) ont été consentis par l’organisme financier pour un montant de plus de 400 millions d’euros. Des mesures d’accompagnement répondant à la hauteur des véritables enjeux.

Reports d’échéances de crédits aux entreprises, mise en œuvre de dispositif contractuel inédit de soutien (le geste mutualiste assurance), aides apportées aux métiers de la viticulture et de l’agriculture : le Crédit agricole Champagne-Bourgogne n’a pas ergoté sur les moyens.

8 800 clients professionnels ont pu en bénéficier au moment le plus opportun de leur existence. Près de 2,6 millions d’euros ont répondu aux attentes de plus de 630 clients pour le dispositif de soutien mutualiste.

L’accélération de la digitalisation aura été effective parmi les priorités avec un global de soixante millions de connexions enregistrées sur le site de la banque !  

« Le monde ne s’est pas arrêté du fait de la pandémie, souligne Jean-Yves REMILLET, président de l’établissement régional, nous avons proposé des solutions clefs en main et un accompagnement personnalisé aux artisans, commerçants et professionnels des quatre départements où nous agissons au quotidien : l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne… ».

 

 

Une performance économique réussie malgré un contexte hors normes…

 

Autre preuve relative à ces propos : l’enveloppe de 617 000 euros qui aura été débloquée au profit de 74 structures accueillant un public de seniors. Un fonds de solidarité de 20 millions d’euros, porté par la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement (CASD) au plan national, a favorisé la lutte contre l’isolement des personnes âgées.

Dans l’arborescence des résultats financiers de cette année écoulée, le Crédit agricole Champagne-Bourgogne tire incontestablement son épingle du jeu.

Sa solidité financière s’est confirmée. Quant à la continuité de service, rien n’a pu l’en empêcher. Pas même ce satané virus, sorti de nulle part. Les équipes, mobilisées à distance (1,4 million d’euros investis pour équiper l’ensemble des collaborateurs en ordinateurs portables et en téléphone) ont été fonctionnelles jusqu’au bout pour répondre aux attentes et besoins des 600 000 clients.

L’indice de recommandation client est en nette hausse. Près de 23 000 prospects se sont mués en une véritable clientèle nouvelle au terme de cette année si exécrable pour le moral et la joie de vivre.

Avec un résultat net s’élevant à 74,1 millions d’euros, la Banque verte peut donc envisager l’avenir avec sérénité. Le produit net bancaire conforté à 329,1 millions d’euros rappelle que la performance économique a été solide en dépit d’un environnement hors normes.

Reste l’avenir et les perspectives évolutives, tant en 2021 que pour les exercices suivants. Ce sera l’objet du second volet de cette introspection journalistique au cœur de la Banque verte, celle qui dit « agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société »…Ce qui ressemblerait à la vérité, au vu des chiffres avancés !  

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle l’aime ce territoire de l’Yonne, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté ! Et ses colistiers de la liste « Notre Région par cœur » le lui rendent bien ! Tous lui accordent leur entière confiance pour la voir renouveler son bail à la tête de l’institution qu’elle gouverne avec une main ferme contenue dans un gant de velours depuis six ans. Une photo de famille où l’on retrouve des visages connus du sérail politique. A l’instar de Nicolas SORET en chef de file, d’Isabelle POIFOL ou du sortant Gilles DEMERSSEMAN…

 

AVALLON : Satisfaite de se retrouver en un si beau cadre un tantinet bucolique et patrimonial, la présidente de l’exécutif régional ? Visiblement, oui ! Elle n’était d’ailleurs pas la seule à partager cet avis, lors de la présentation officielle de la liste « Notre Région par cœur » qui pourrait peut-être, si les suffrages lui reviennent favorables, la conforter durablement dans son rôle suprême : celui de « patronne » réélue de la vénérable institution.

La candidate socialiste, originaire de Franche-Comté, ne s’est nullement sentie étrangère dans le territoire le plus septentrional de sa contrée de prédilection. Elle y a retrouvé des figures connues et reconnues qui suivent avec passion ses combats depuis tant d’années. Des silhouettes familières qui la poussent à reprendre le leadership des forces de gauche (PS, PC, PRG et société civile) pour une seconde mandature consécutive.

 

 

Fustiger la folle course des alliances trompeuses…

 

C’est dans ce positionnement fédéraliste que s’est présentée celle qui fait nourrir de grands espoirs à toute une frange de citoyens qui se reconnaissent en ses valeurs, fondées sur l’humanisme et l’écoute. Même si la lutte sera âpre au bout de compte, sachant qu’aucune élection n’est jamais gagnée d’avance…

Fédéralisme, c’est l’un des mots clé de cette réunion de campagne. Peut-être l’une des rares qui sera organisée avec la présence d’un public d’aficionados en quantité restreinte car il semblerait que ces échéances électorales proposées dans un contexte sanitaire exceptionnel se fassent sans débats. Hormis, sans doute, ceux conçus sur les réseaux sociaux. Mais, est-ce vraiment la tasse de thé en matière de communication de Marie-Guite DUFAY ?

Fustigeant la folle course aux alliances de ses adversaires (allusion à peine voilée à la liste des Républicains et à son chef de file Gilles PLATRET qui a conclu des accords avec Debout la France et un mouvement écologiste), la présidente de l’exécutif a rappelé l’identité idéologique propre à la liste qu’elle conduit : une liste de gauche, point barre !

Seul bémol pour l’élue bisontine, elle aurait voulu un rassemblement comprenant toutes les grandes composantes de la gauche, unissant socialistes, communistes, radicaux et…écologistes sous la même bannière.

Mais, rétifs, ces derniers ne se rallieront pas à son projet, préférant faire cavalier seul, du moins pour le premier tour de ces élections se déroulant en deux épisodes, les 20 et 27 juin.

 

 

 

« Les Verts désirent vivre leur radicalité, explique la présidente sortante. Puis, se voulant rassurante auprès de l’assistance, « mais les ponts ne sont pas coupés pour autant : je ne désespère pas trouver un accord de principe en vue du second tour… ».

Pourtant, se serait-elle fait un peu prier pour conduire la liste, Madame la présidente ? Ses propos surprennent les observateurs de la sphère médiatique qui assistent à sa prise de parole.

« Je n’avais pas envie d’y aller, souligne-t-elle, mais je me suis sentie une responsabilité au niveau des forces de gauche… ».

Qualifiant son bilan de réussi (« nous avons fait du bon travail » martèlera-t-elle à maintes reprises), Marie-Guite DUFAY évoqua la dure réalité de cette fusion entre ces deux régions voisines qu’étaient autrefois la Bourgogne et la Franche-Comté. Un contexte d’harmonisation difficile qui fut réalisé dans l’intérêt des habitants.

 

 

 

La Région n’a pas à rougir de ses engagements…

 

Réalisant une analyse introspective des six années de mandature écoulée, la présidente de l’exécutif passa en revue les aspects régaliens de l’organisme institutionnel. Avec ce seul credo : harmoniser davantage vers le haut !

Au-delà de la crise sociétale imprimée par les Gilets jaunes ou celle, plus dangereuse inhérente à la COVID, la Région a dû s’employer à trouver des parades efficientes mais nécessaires pour en juguler les effets désastreux sur la vie économique.  

« On a utilisé différents leviers pour développer les programmes de formation, explique l’intéressée qui revendique cette agilité et cette réactivité dans l’action. Nous avons mis en place des filets de sécurité pour protéger tous les acteurs du tourisme et de l’évènementiel mais aussi les étudiants ».

L’élue régionale rappellera en aparté comment elle a pu négocier l’achat de masques protecteurs dès les prémices de la crise pour les besoins des départements sans omettre l’anecdotique mésaventure de Bâle et de son tarmac où lui furent réquisitionnés par l’Etat lesdits masques !

Parmi les autres arguments positifs évoqués : le doublement de la rémunération des stagiaires, la création du fameux ticket de mobilité pour les salariés résidant en campagne et devant se rendre en zone urbaine pour y travailler, les gestes envers les agriculteurs dont les récoltes furent anéanties par les vagues de chaleur successives.

Reste l’emploi, parmi ces principaux items. Là aussi, la Région sous l’ère DUFAY a su se doter de nouveaux jalons qui forcément seront confortés dans le programme que la liste « Notre Région par cœur » entend bien développer en cas de réélection. C’est le cas notamment de l’hydrogène, des biotechnologies, de la métallurgie, de la mécanique, de l’horlogerie, de l’agroalimentaire.

 

 

Toutefois, la présidente n’en dira pas plus sur la stratégie à venir. Se promettant de revenir dans les huit territoires départementaux afin d’expliquer la méthodologie lui permettant d’amplifier le travail aux côtés de sa nouvelle équipe.

Une liste où se retrouvent des personnalités emblématiques de la politique départementale, à commencer par le premier d’entre eux qui ouvrira le ban en accueillant l’élue régionale, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET.

A 40 ans, ce dernier portera l’étendard de la gauche aux côtés de quelques indissociables partisans de cette union sacrée, gage de victoire par le passé.

Ainsi, n’est-on pas surpris de retrouver Isabelle POIFOL, ancienne adjointe à la culture de la Ville d’Auxerre sous le mandat de Guy FEREZ en seconde position, le nouvel édile d’Avallon, Jamilah HABSAOUI qui entre de plain-pied dans ces joutes régionales en quatrième de liste, le communiste et syndicaliste Patrick BLIN ou le conseiller régional sortant Gilles DEMERSSEMAN qui aimerait poursuivre l’aventure aux côtés de sa présidente. Histoire de solidifier un peu plus les liens que Marie-Guite DUFAY entretient avec l’Yonne ?

 

 

La liste « Notre Région par cœur » :

1) Nicolas SORET

2) Isabelle POIFOL,

3) Patrick BLIN,

4) Jamilah HABSAOUI,

5) Gilles DEMERSSEMAN,

6) Nathalie LABOSSE,

7) Christophe BEN ALI,

8) Sylviane TOULON,

9) José DA SILVA,

10) Béatrix ZEPPA,

11) Dominique BOURREAU,

12) Véronique CARRERE,

13) Sylvain QUOIRIN,

14) Joëlle GUYARD.

   

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Cette fois, c’est sûr : l’équipe du MUSEO Parc entrevoit enfin le bout du tunnel ! Après avoir connu des hauts et des bas, côté humeur, tant les incertitudes et les fausses joies s’étaient accumulées au cours de ces dernières semaines. Une première fois annoncée, puis remisée sous le manteau, la réouverture du site touristique de Côte d’Or est enfin acquise pour ce mercredi 19 mai. Mais, sous certaines conditions…

 

ALISE-SAINTE-REINE : L’impatience est non feinte parmi les collaborateurs qui travaillent au succès de cette aventure entamée il y a déjà plusieurs saisons. D’ici quarante-huit heures, ce haut lieu du tourisme régional ouvrira ses portes après de longs mois de fermeture.

Une réouverture attendue par beaucoup mais qui devra se conformer aux consignes sécuritaires en vigueur, eu égard à la pandémie de la COVID-19 et à l’application stricto sensu des inévitables gestes barrières.

Dès mercredi, petits et grands auront la faculté de pouvoir s’immerger dans cet univers consacré aux Gaulois en découvrant une exposition spécifique pour les enfants dédiée à leurs habitudes alimentaires. Elle sera agrémentée de différents ateliers (cuir, argile, cuisine –décidément très en verve ! -, verrerie et mosaïque).

Une exposition temporaire sera visible jusqu’à fin juin. C’est un nouvel éclairage informatif qui expliquera que les Romains étaient amateurs, entre autres, de la chair de flamants roses ! Plus sérieusement, les férus d’archéologie auront le loisir d’apprécier une collection de pièces uniques retrouvées sur le site, théâtre de la fameuse bataille où Jules César vainquit le célèbre chef gaulois.

La technologie et la magie du 3D plongeront les visiteurs dans l’univers d’une ville antique. Un voyage virtuel insolite pour mieux s’imprégner de l’urbanisme et de la vie quotidienne des habitants de l’époque.

 

 

Des nouveautés à la pelle qui se découvriront durant tout l’été…

 

Quant à l’exposition permanente, elle ne sera pas accessible pour le moment, étant toujours en travaux. Toutefois, un espace de découverte sur l’histoire d’Alésia sera aménagé dans l’atrium afin de livrer quelques clés à la compréhension du lieu.

Côté nouveautés, signalons un jeu, décliné sous la forme d’un « escape game » baptisé la « Furie d’Alésia ».

Les participants se glisseront dans la peau d’un journaliste enquêtant sur un certain nombre d’énigmes à résoudre sur la cité gallo-romaine, mettant en scène le Gaulois EBERIUS.

Un programme alléchant de nouveautés (Festival Image Sonore, la nouvelle scénographie, organisation d’un week-end de sports antiques, spectacle de la reconstitution de la célèbre bataille…) étoffera les journées estivales. Nous y reviendrons plus en détails dans un autre article.

Enfin, pour les amoureux de la nature, profitez de votre séjour pour contempler les 35 moutons qui paissent sagement aux abords des bâtiments.

Ils sont issus de la race « romane » dont les brebis sont réputées pour être maternelles et câlines. Un clin d’œil appuyé à l’environnement que la direction met en exergue depuis des années avec une multitude de partenariats pour protéger les oiseaux, les insectes et la végétation.

 

En savoir plus :

 

Compte tenu des règles sanitaires, il est fortement conseillé de réserver sa visite à l’avance sur le site www.alesia.com ou par téléphone au 03.80.89.95.20.

Possibilité de restauration à emporter avec le restaurant Le CARNYX.

Tarif réduit durant la période de fermeture de l’exposition permanente à 6,50 euros pour les adultes et 8 euros avec la visite des vestiges.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le dossier du contournement sud de la ville d’Auxerre irrite au plus haut degré, le parlementaire de l’Yonne. A cause du temps perdu dans sa phase de réalisation. « On nous mène en bateau depuis 2012, claironne le député Les Républicains. Ce dernier est excédé par cette situation d’attentisme où l’Etat et la Région se renvoient l’ascenseur sans que les choses n’évoluent vraiment…

 

AUXERRE : Celles et ceux des observateurs qui ont pu assister la semaine dernière à la conférence de presse du candidat de la droite républicaine aux régionales, l’édile de Chalon-sur-Saône Gilles PLATRET, de passage à l’abbaye Saint-Germain, ont pu le constater de visu : Guillaume LARRIVE était un brin irrité à l’évocation du fameux projet de contournement de la zone sud de la ville.

Un projet qui s’éternise depuis des lustres et qui ne semble pas encore bien calé dans la répartition de son financement par ses instigateurs. En l’occurrence, l’Etat, la Région, le Département et la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois !

Selon le schéma originel de l’enveloppe budgétaire consacrée au projet, l’équation la plus plausible serait la suivante : l’Etat prendrait à sa charge 27,5 % du montant des travaux, la Région Bourgogne Franche-Comté et le Conseil départemental en assureraient 25 % tandis que le reliquat s’élevant à 22,5 % incomberait à l’organe communautaire auxerrois. Mais, derrière cette répartition exprimée en pourcentages, rien ne serait encore définitivement tranché par ces organismes.

Ce qui a provoqué le courroux du député de la première circonscription, qui debout face à un auditoire attentif à ses propos, est parti bille en tête lors de sa prise de parole en dénonçant l’aspect saugrenu de la situation.

« J’en ai marre, a précisé avec véhémence Guillaume LARRIVE, il aura fallu l’alternance à la municipalité d’Auxerre pour que ce projet remonte enfin à la surface. Que de temps perdu ! On le sait : le sujet clé de ce dossier, c’est le financement. Et aujourd’hui, les services de l’Etat et ceux de la Région rechignent à financer une partie de ce contournement… ».

 

 

Que l’Etat et la Région versent 35 millions d’euros !

 

Réclamant davantage de clarté dans ce dossier de plus en plus ambigu, le parlementaire de l’Yonne souhaite du concret dans les actes.

« Ne parlons plus de pourcentages mais exprimons-nous en valeur absolue, en millions d’euros ! ».

Les 9,9 kilomètres de tronçon à réaliser au sud de la capitale de l’Yonne afin d’assurer cette déviation supposeraient une enveloppe budgétaire de 125 millions d’euros. Peut-être un peu plus, à hauteur de 130 millions.

« Je demande à l’Etat de débloquer 35 millions d’euros pour la réalisation de cet ouvrage, ajouta Guillaume LARRIVE, et que la Région Bourgogne Franche-Comté en fasse autant ! ».

Une somme que Gilles PLATRET s’engagerait à reverser au nom de la collectivité territoriale s’il était élu au soir du 27 juin. Histoire de noyer de manière définitive cet antépénultième serpent de mer qui caractérise depuis bientôt dix ans ce fameux dossier de contournement !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil