Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ceux qui déclarent que la fin de l’opération Barkhane est un échec du Président Macron et une défaite pour la France, au même titre que ceux qui ont comparé Bamako avec Kaboul se trompent lourdement. Ils font de la politique de bas étage. D’abord, ne confondons pas le départ précipité des Américains de l’Afghanistan qui s’en vont « la queue entre les jambes » sous la protection de leurs ennemis avec le retrait français étalé sur six mois. Si la guerre en Afghanistan marque la défaite américaine, le retrait de la France au Mali n’est en aucun cas une défaite militaire !

 

TRIBUNE : Depuis son indépendance en 1960, le Mali a souvent été confronté à des difficultés : sécheresses et famines récurrentes, dictatures, coups d'état, irrédentisme touareg... et depuis quelques années islamisme djihadiste avec l'arrivée d'Al-Qaïda au Maghreb.

En 2013, les militaires français épaulent l’armée locale à la demande même des autorités maliennes. C’est le début de l’opération Serval. En 2013, c’est l’installation de la Mission intégrée des Nations Unies pour la stabilisation du Mali (MINUSMA), composée de 12 600 « Casques Bleus » chargés de stabiliser le Nord. En 2014, les Djihadistes progressent dans le pays. C’est le début d’une nouvelle opération française appelée Barkhane. Toutes ces interventions militaires n’ont rien pu empêcher : ni la progression des djihadistes ni les dérèglements politiques.

La junte militaire malienne a renversé un pouvoir adulé en son temps par le Président François HOLLANDE et surfe aujourd’hui sur un sentiment antifrançais qui se propage peu à peu. L’ancien président socialiste n’est pas très objectif et plutôt incongru quand il déclare qu’au Mali, Emmanuel MACRON aurait dû se retirer plus tôt…

 

 

La suite des opérations : un départ à six mois…

 

Le Mali était au cœur du dispositif antiterroriste français et européen au Sahel. Ce départ du pays va forcer Paris à accélérer cette réorganisation dans d'autres pays de la région, menacés par la contagion djihadiste, notamment dans le golfe de Guinée.

« Nous considérons que la lutte contre le terrorisme est quelque chose d'essentiel pour le Mali, pour le Burkina-Faso, pour le Niger et pour les pays côtiers », a assuré le président ivoirien Alassane OUATTARA.

« Les bases de Gossi, de Ménaka et de Gao vont fermer », a précisé en conférence de presse Emmanuel MACRON. Une fermeture qui prendra de quatre à six mois. D'ici là, « nous maintiendrons nos missions de soutien au profit de la MINUSMA » promet-il. Mise à part un possible renforcement de sa présence au Niger voisin, qui héberge déjà une base aérienne française et 800 militaires, Paris ambitionne de proposer ses services à d'autres pays d'Afrique de l'Ouest (Côte d'Ivoire, Sénégal, Bénin...) pour les aider à contrer la propagation des djihadistes vers le golfe de Guinée. N’oublions pas non plus que c’est à partir de ses anciennes bases du Moyen-Orient, que le terrorisme islamique s’est propagé en Europe ! Encore 2 500 à 3 000 soldats français devraient présents au Sahel, d'ici six mois, après le retrait du Mali, selon l'état-major.

 

 

La France devra sortir la tête haute…

 

Les 58 soldats français morts lors des opérations Servane et Barkhane n’ont pas donné leur vie pour rien. Le Président de la République a raison de récuser un échec français au Mali, ne serait-ce que pour leur mémoire.

De plus, si échec il y a, il n’est en aucun cas militaire. Les échecs dont on peut parler sont économiques et politiques et non spécifiquement français. La communauté internationale n’a rien vu venir : ni l’avènement d’une junte, ni l’intervention sournoise de la Russie dans le conflit. Une dimension supplémentaire vient de s’ajouter à la crise au Sahel. Avec l’arrivée ces derniers jours d’hommes en arme russes au Mali, des militaires selon Bamako, des mercenaires du groupe Wagner selon Paris et ses alliés. Le conflit dans la région, qui se nourrissait de tensions religieuses, communautaires, économiques et environnementales, devient également objet de rivalités internationales. Et les Chinois ? Bien vu l’artiste, ils sont de plus en plus présents au Mali : commerces en tout genre, coopérations économiques de toute nature, immigration chinoise rampante…

Bref, après l’ours de Sibérie, le tigre de l’Asie arrive !

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Chers amis de France Inter, et allez..., ce matin encore ce 20 février 2022, c'est le tour d’une députée LREM qui parle de son expérience de jeune parlementaire. Quelle « audace », cette interview d'une jeune députée LREM ! Bien entendu, j’aurais pu en rester là, être en colère ou pas, et ne rien vous dire... parce que certains d'entre vous (pas tous j’espère) allez prendre la remarque d’un quidam quelconque (comme moi qui signe ce papier) en vous disant : encore un criticailleur de journalistes, un criticailleur des rues et/ou des ronds-points (pour rester poli). 

 

BILLET : Que se passe-t-il... à/sur France Inter ?  Pourquoi si peu d'indépendance ? Où est le pluralisme qui respecte les auditeurs ?  Elle est où l'égalité du temps de parole en ce temps d’élection ?

Cousues de fil blanc, ces interviews, sur un ton feutré, comme celle de ce matin, 20 février 2022 : elles sont insupportables ! D’autant qu’elles n’apportent rien de rien, sinon de faire un peu de pub (copinage peut-être ?) à une avocate qui va retrouver (peut-être) la vie civile et son cabinet d’avocate, si j’ai bien entendu car, avec mon amie-amour,  je buvais mon café tout en regardant le ciel nuageux.

Les bras ne m'en tombent pas (cette expression est redevenue trop à la mode), bien au contraire, mes bras montent au ciel et je me dis en écoutant cette interview si pauvre, si petite !

Ô mon dieu, qu’est devenu France Inter ?

Encore un journaliste (en l’occurrence une) qui ne respecte pas ce si beau métier.  À « l'Huma », journal d’opinion, on peut comprendre qu'on privilégie des interviews de communistes mais sur France Inter ? Radio de tous (?) les Français, qu’ils soient noirs, blancs, jaunes, rouges...de toutes confessions...

 

Des médias qui n’ont pas les mains libres et sont inféodés aux politiques…

 

Bref, vous ne devez pas sortir souvent des studios et vos masques vous couvrent les oreilles, semble-t-il, sinon vous entendriez bon nombre d’auditeurs qui s’indignent de ces grosses ficelles et de ce genre d'interviews...

Bref, vous avez beau dire et répéter, presque chaque matin, « France Inter est la radio la plus écoutée de France », beaucoup d’auditeurs ne sont pas dupes et moins polis que moi.

Chers amis de France Inter, ce n'est pas une colère, c’est un constat !

Et loin de moi de critiquer tous les journalistes (de France Inter ou d’ailleurs...) mais vous devriez vous battre pour plus de pluralisme car même si vous vous en défendez, vous n’êtes pas libres et certains ne sont que les porte-paroles de l’AFP (ou d’agences équivalentes) et trop souvent les porte-paroles de LREM et du chef de l’Élysée. 

Ai-je eu raison de passer du temps pour vous dire cela ?

Malheureusement, je sais que comme vous le faites lors des émissions de 8h20 où vous claironnez « appelez-nous » même deux minutes avant l’interview alors que depuis 30 à 40 minutes, les auditeurs retenus pour l’antenne ont été choisis et que vous n’en passerez qu’un ou deux après avoir dit et répété aussi «ce matin il y a de très nombreux appels, appelez-nous vite, joignez le standard au 01 45 24 70 00 ». Là aussi la ficelle est grosse !

Par souci de non anonymat, je signe de mon nom Gérard Gaillard, auditeur régulier de France Inter.

 

Gérard GAILLARD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les plus machistes racontent que les femmes votent pour la beauté des hommes ! Aujourd’hui, cette affirmation est bien morte ! Les femmes se montrent politiquement responsables et briguent la plus haute fonction. On peut se poser la question du vote « genré ». Existe-t-il un vote plus féminin ? Il est certain que le vote transgenre s’oriente plutôt vers les partis politiques amis : plus à gauche qu’à droite.

 

TRIBUNE : Les sondages montrent déjà que les femmes s’abstiennent plus que les hommes. Aux dernières élections régionales avec un record de 66 % d’abstention au niveau national, ce sont surtout les femmes qui se sont abstenues avec des taux voisins de 85 %, selon les tranches d’âge !

Un désintérêt pour la vie politique ? Non, surtout par pragmatisme : les femmes veulent la certitude de l’utilité du vote. 85 % des femmes indiquent que le genre du candidat ne les influence pas, contre 76 % pour les hommes !

55 % des femmes sont intéressées par la campagne électorale contre 69 % du côté des hommes. Attention aux conclusions hâtives : nous sommes encore dans une précampagne, qui est plus une phase de sélection avant la phase de discussion des propositions de tous les candidats approuvés officiellement.

La droitisation du vote féminin est conforme à la hausse générale des intentions de vote sur le plan national. Marine LE PEN,  Eric ZEMMOUR et Nicolas DUPONT-AIGNAN captent près de 35 % du vote féminin.

 

La confiance des femmes en question…

 

Depuis plus de trente ans, les femmes font de plus en plus confiance à une femme pour gérer le pays. En 1984, elles étaient 55 %, aujourd’hui elles sont plus de 80 %.

Pour les droits des femmes et la lutte contre le sexisme, les femmes sont inquiètes à hauteur de 66 % vis-à-vis d’Eric ZEMMOUR, 47 % pour Jean-Luc MELENCHON, 41 % pour Marine LE PEN et 32 % pour Emmanuel MACRON…

 

 

On voit nettement une inquiétude à l’idée que le candidat ZEMMOUR arrive à l’Elysée.

Pour les femmes, le bilan du président Macron est jugé négativement dans tous les domaines, à l’exception des relations internationales. Sur la question du droit des femmes, érigé en grande cause du quinquennat, le jugement est très mitigé pour les françaises.

 

 

Les femmes et les enjeux déterminants de la campagne…

 

Le top 5 des enjeux les plus importants sont la santé 71 %, la sécurité 70 %, le pouvoir d’achat 65 %, l’éducation 64 % et la précarité 61 %. Immigration, impôts et chômage sont à plus de 55 % des préoccupations des femmes.

Si on cible les tranches d’âge, le top 3 pour les moins de 25 ans est le droit des femmes et le sexisme à 86 %, devant la santé à 73 % et l’environnement à 71 %.

Et pour les plus de 65 ans, le trio de tête est la santé à 81 %, la sécurité à 76 % et la précarité à 67 %.

Tous âges confondus, la santé sera sans nul doute un facteur discriminant pour départager les candidates et les candidats. Paradoxalement, l’environnement n’est pas une préoccupation majeure pour la plupart.

Les candidats qui seraient tentés par des chirurgies esthétiques afin de présenter une image jeune, sans rides, Botoxée à outrance, bref se « faire plus beaux », se tromperaient lourdement ! Les femmes votent pour des candidats, plutôt asexués mais avec des idées fortes qui les rassurent sur leur devenir et l’avenir de leurs enfants et de leur pays !

« La femme serait vraiment l’égal de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente… ». A méditer cette citation de Françoise GIROUD !

 

Jean-Paul ALLOU

 

NB : Les chiffres donnés dans cet article sont conformes au sondage IFOP du mois d’octobre 2021.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les réunions se suivent mais ne se ressemblent pas forcément pour l’égérie du Mouvement Conservateur. A la veille de son déplacement en terre icaunaise, mercredi 23 février à l’abbaye de REIGNY, c’est aux côtés de Jean-Frédéric POISSON, chef de file de VIA La Voie du Peuple, que l’oratrice, prêchant le programme de campagne de Reconquête !, aura chauffé à blanc une salle acquise à la cause d’Eric ZEMMOUR. Dans l’Yonne, son alter ego masculin ne sera autre qu’Antoine DIERS…

 

VERMENTON : Une abbaye cistercienne pour accueillir une rencontre publique des militants et partisans de « Reconquête ! » ne manque pas de symboles à plus d’un titre ! Ni de piquant !

C’est ici, dans ce haut-lieu du patrimoine architectural, site classé monument historique depuis 1921 que la coordination départementale soutenant la candidature d’Eric ZEMMOUR dans l’Yonne a finalement choisi de jeter son dévolu logistique afin d’y accueillir deux des ténors de la sphère souverainiste de l’union des droites : Laurence TROCHU, présidente du Mouvement Conservateur, et Antoine DIERS, directeur-adjoint de la stratégie de campagne et porte-parole de l’ex-polémiste, reconverti depuis en leader politique.

Un meeting, ouvert à celles et à ceux que la politique passionne mais uniquement par voie d’inscription, qui se déroulera ce mercredi aux alentours de 20 heures sans qu’il n’y ait besoin de passe vaccinal, comme simple formalité d’accueil.

L’ancienne responsable de « Sens Commun », fervente défenseuse d’une droite dure et conservatrice, issue des Républicains, s’est finalement ralliée à la démarche élyséenne de l’éditorialiste Eric ZEMMOUR le 04 décembre dernier. Au soir de la défaite d’Eric CIOTTI, coiffé sur le fil du congrès des Républicains par la modérée Valérie PECRESSE.

 

 

L’idée d’une Europe des nations où le respect de subsidiarité des pays est roi…

 

Favorable à l’idée d’une « Europe des nations qui se doit de respecter la subsidiarité propre à chaque pays », Laurence TROCHU est désormais la porte-parole du prétendant à la présidence de la République.

Si la veille, c’est aux côtés de  l’ancien candidat à la primaire de la droite en 2017 Jean-Frédéric POISSON qu’elle aura tenu meeting à Fontaine-Française en Côte d’Or (là aussi tout un symbole en termes de sémantique !), l’oratrice partagera l’affiche avec le médiatique Antoine DIERS, directeur adjoint de la stratégie de campagne d’Eric ZEMMOUR et porte-parole de « Reconquête ! ».

Tous les thèmes chers au candidat devraient être largement abordés lors de cette rencontre qui se tiendra dans l’une des salles de réception de cet édifice chargé d’histoire.

Rappelons que la coordination départementale de l’Yonne regroupe en son sein des représentants du parti Reconquête !, de VIA La Voie du Peuple, du Mouvement Conservateur et du CNIP, le Centre national des Indépendants et des Paysans.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Première aux tests PISA, référence pédagogique internationale, en lecture, mathématiques et sciences sur le continent européen, l’Estonie étonne par ses méthodes d’enseignement novatrices et…surtout très efficaces. Il n’en fallait pas davantage pour que la MFR Bourgogne Franche-Comté dépêche sur place 24 de ses directeurs d’établissement lors d’un stage immersif de cinq jours.

 

TALLIN (Estonie) : La neige, encore et encore, à perte de vue dans la proche périphérie de la capitale, la sublime Tallin, ville construite face à la Baltique en guise de carte postale. Mais, au copieux programme des réjouissances de ce lundi 20 février subissant des températures hivernales : la visite de l’Institut français d’Estonie, avant de se rendre au lycée de Viljandi.

Entre les incursions parmi le patrimoine culturel et touristique de l’un de ces pays baltes florissants et l’observation attentive des us et coutumes de la pédagogie qui fonctionne à merveille, les vingt-quatre responsables d’établissement des MFR Bourgogne Franche-Comté (Maison Familiale et Rurale) ne verront pas assurément le temps s’écouler. Malgré le dépaysement garanti !

 

 

Elu de Gron et directeur de la MFR du Sénonais, Stéphane PERENNES, joint par téléphone dès potron-minet ce lundi, témoigne : « Ce séjour qui s’inscrit dans le cadre du programme Erasmus repose sur une découverte théorique et pratique de l’enseignement local ».

Un enseignement dont la France devrait bien s’inspirer pour autant, l’Estonie caracole en tête des classements des principales matières étudiées (lecture, mathématiques, sciences) au niveau européen ! Un pays de l’OCDE où le contexte socio-économique possède l’impact le plus faible sur les performances des élèves. Quelles en sont les recettes miracles pour y parvenir ? Voilà ce que devrait donc découvrir la délégation régionale qui nouera aussi des partenariats utiles à l’avenir.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil