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Entre deux verres de rosé-pamplemousse et une trempette bien méritée dans la fraîcheur relative de la « Grande Bleue », la nouvelle est tombée au cœur de la touffeur estivale. Sans crier gare, de manière presque imperceptible pour le commun des mortels, trop préoccupés à s’adonner aux joies de l’hédonisme et au plaisir du farniente sur la plage. En provenance de nos voisins d’outre-Rhin, elle disait ceci en substance : l’Allemagne renonce à l’avenir à la commande de nouveaux trains fonctionnant à l’hydrogène !

Une véritable onde de choc que cette information, à première vue. Une incompréhension à la lecture des manchettes de la presse hexagonale qui s’en faisait l’écho par quelques entrefilets dès le lendemain. Comment cela était-il possible alors que l’on nous vante à toutes les sauces ici-bas les bienfaits émérites de cette technologie avant-gardiste, renouvelable et propre énergétiquement !?

 

 

Un coût d’exploitation trop onéreux à l’usage

 

Et ce, depuis des lustres, ne serait-ce que sur notre seul territoire de Bourgogne Franche-Comté qui en accueille l’un des éléments moteur (sans jeu de mot !) dans la région de Belfort avec la société ALSTOM, encouragée par les institutionnels et politiques du terroir.

Dans les faits, ce n’est nullement l’inventive technologie ayant fait ses preuves qui est remise en cause par le ministère des Transports de Basse-Saxe, devant s’exprimer face à la presse fin juillet sur le sujet. Si le côté technique ne fait pas défaut, à quoi alors imputer cette surprenante volte-face de l’une des compagnies ferroviaires régionales germaniques qui fut pourtant la première à avoir adopté l’hydrogène comme source d’alimentation de ses trains ?

Je vous le donne en mille : la réponse ne tient qu’en un seul mot, son coût ! Une raison plutôt malvenue en pareille circonstance et en période de crise économique alors que les prix des billets du transport ferroviaire grevant le budget des voyageurs ne cessent de s’envoler en version astronomique depuis longtemps.

 

 

Une flotte électrique à batteries au lithium six fois moins coûteuse mais...

 

A ce titre, l’Allemagne n’est pas la seule à avoir manifesté son désintérêt devant cette technologie pourtant qualifiée de si prometteuse au niveau du développement durable mais trop onéreuse au niveau de son exploitation. En France, on n’est pas en reste puisque du côté de Montpellier, dans l’Hérault, décision fut prise l’an dernier par la métropole de geler une commande de 51 bus à hydrogène et de la privilégier par une flotte électrique à batteries, six fois moins coûteuse. D’autant qu’en bout de course, et cela n’est précisé par personne que les surplus budgétaires de fonctionnement seraient immanquablement répercutés auprès des usagers de ces lignes lors de l’achat de leur titre de transport...On imagine aisément la note plutôt salée à la sortie !

Comment alors démocratiser de façon acceptable les transports collectifs (ferroviaire, bus…) et réduire le flux des véhicules « impropres » sur les routes de France et de Navarre (les thermiques évidemment !) si les tarifs appliqués pour les emprunter au quotidien deviennent ultra prohibitifs ? Un casse-tête chinois qui ne semble pas avoir été résolu pour l’heure par toute l’intelligentsia hexagonale qui fait des yeux de Chimène à l’hydrogène…

 

 

Une flotte diesel vétuste et polluante avec 4 millions de tonnes de CO2 rejetés

 

En Allemagne, le retour en grâce des trains électriques à batteries, fonctionnant au lithium (la belle affaire quant au niveau de son exploitation et des dégâts occasionnés à la planète pour l’extraire !) revient donc au goût du jour.

Ces trains sont plus compétitifs et permettront d’éliminer petit à petit les flottes de ces antiques rames diesel devenues trop poussives et polluantes au fil des ans.

Une flotte de trains à la vétusté éprouvée, circulant encore dans la plupart des pays de l’Union européenne et de ses régions rurales, afin de desservir de petites lignes qui aura rejeté dans l’atmosphère la bagatelle de plus de 4 millions de tonnes de CO2 ces dernières années !

Morale de l’histoire : la locomotion par hydrogène serait-elle déjà en manque d’oxygène pour pouvoir subsister !?

 

Thierry BRET

 


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Le 11 juillet 2024, l’Yonne verra la flamme olympique traverser son territoire au cours de plusieurs étapes lors d’une journée d’exception qui s’annonce déjà mémorable par son intensité, ses animations sans doute proposées par la vie associative et sportive, le possible engouement du public (?), son originalité visuelle. Mais, c’est sûr : les Jeux de Paris ont déjà débuté dans notre département avec cette vaste campagne d’affichage qui est placardée sur les abribus des villes principales. Histoire d’égrener peut-être le compte à rebours qui nous rapproche de l’évènement ?   

   

Lundi 

C’est un drame qui se joue à moins de 2h30 d’avion de Paris. Selon l'ONG « Human Rights Watch », plus d’un millier d’exilés d’Afrique subsaharienne ont été déportés par les forces de sécurité tunisiennes dans une zone militaire désertique bordant la frontière libyenne, sans eau ni nourriture. Déjà 27 migrants ont été retrouvés morts de soif et plus d’une centaine sont « portés disparus ». La conséquence d’une flambée de violences racistes abondée par les propos xénophobes du président Kaïs SAIED à leur encontre. Des naufragés de l’existence qui jusque-là, survivaient en travaillant dans les champs pour moins de 20 dinars par jour (environ 6 euros). Peu d’échos dans les médias, à l’exception d’un reportage diffusé le 03 août dernier, sur « France 2 », avec cet avertissement éloquent en préambule : « Attention, certaines images peuvent heurter les plus sensibles »… Combien de temps encore, continuerons-nous à regarder ces femmes et ces hommes mourir sous nos yeux, dans  l’indifférence et le silence ? Devenue au fil des années une destination touristique majeure du bassin méditerranéen, la Tunisie est aussi appelée « pays du jasmin », du nom de cette fleur blanche emblématique, symbole de pureté, de douceur de vivre et de… tolérance !

 

 

Mardi

Deux ans aujourd’hui que Kaboul est tombée aux mains des talibans. Une prise de pouvoir qui a entraîné le pays dans une crise économique et humanitaire sans pareil et fait de l’Afghanistan une prison à ciel ouvert où les droits et libertés des femmes n’ont depuis, cessé de diminuer. En décembre dernier, l’ancien ambassadeur de France à Kaboul, David MARTINON était l’invité des « Conversations de l’Abbaye » à Auxerre, louant le travail mené par le gouvernement d’alors pour organiser l’exfiltration du plus grand nombre possible de ressortissants Afghans. Omettant dans son discours d’évoquer ces centaines de supplétifs, anciens auxiliaires de l’armée française, restés sur place avec leurs familles, à l’issue du pont aérien mis en place. Abandonnés à leur sort, combien depuis ont été arrêtés, torturés, voire exécutés sommairement, pour cause de « trahison » ? Un tragique scénario qui n’est pas sans rappeler le massacre des Harkis « oubliés » par les autorités françaises au lendemain de l’indépendance algérienne. Lorsque l’Histoire bégaie, ce n'est jamais à son avantage…

 

 

Mercredi

De jeunes voyageurs en partance pour l’Islande bloqués à Orly, sans aucune alternative ni solution d'hébergement proposée, après s’être vu notifier par la compagnie Transavia l’annulation de leur vol juste avant le décollage… Des passagers Ryanair abandonnés à leur retour de vacances à Liège, faute d’avoir pu se poser à Beauvais avant la fermeture nocturne de l’aéroport… Des adeptes de la société autocariste FLIXBUS « oubliés » sur une aire d’autoroute, à l’image de cette personne en situation de handicap, dont le voyage entre Besançon et Paris s’est achevé près d’Auxerre… Autant d’anecdotes pour témoigner des « limites du low-cost » en matière de voyages et de la considération toute relative portée aux personnes transportées. Le pire est peut-être à venir, quand on sait qu’il y a quelques années, le patron de Ryanair, Michael O’LEARY, envisageait de supprimer trois rangées de sièges et des toilettes à l’arrière de ses appareils, pour y faire voyager debout une cinquantaine de passagers… Inventant de fait les premiers « wagons à bestiaux » volants !

 

 

 

Jeudi

C’était jour de rentrée ce jeudi à la Réunion. Un évènement qui justifiait sans nul doute le déplacement sur l’île du nouveau ministre de l’Education, Gabriel ATTAL, même s’il est permis de penser que faire plus de 22 000 kms pour un séjour n’excédant pas 48 heures mérite un zéro pointé en matière de bilan carbone ! Par-delà les discours et déclarations de circonstance, l’on retiendra surtout de ce premier voyage officiel, la bourde de l’ancien porte-parole du gouvernement au sujet de « l’immigration mahoraise » frappant la Réunion. Oubliant un peu vite que Mayotte appartenait à la France depuis 1841 et que l’île avait même statut de département depuis mars 2011 après un référendum organisé deux ans plus tôt. L’élève ATTAL a semble-t-il encore du pain sur la planche en matière d’histoire et géographie ! Si ses futures déclarations sont du même tonneau, l’on attend avec impatience et gourmandise un éventuel voyage en Corse…

 

Vendredi

 

Incontournables du paysage parisien, cher au cœur des touristes, les bouquinistes des quais de Seine sont sommés par la préfecture de démonter avant l’été prochain leurs célèbres boîtes vertes, au motif de sécuriser les abords du fleuve pour la cérémonie d’ouverture des prochains Jeux Olympiques. Sans que l’on sache encore si elles reprendront par la suite la place qu’elles occupent pour certaines, depuis 1859. De « vieilles dames » trop fragiles pour un déménagement qui risque bien de leur être fatal…

 

 

Samedi

Depuis Atlanta en 1996, la firme Coca-Cola a pris l’habitude tous les quatre ans, de déclarer sa flamme aux Jeux Olympiques. Cette année-là, pas moins de 125 millions de dollars furent ainsi consacrés à sa publicité, dont plus de 40 millions pour obtenir le droit d’être fournisseur exclusif des boissons vendues dans les enceintes sportives. Déjà partenaires des JO 2024, la firme d’Atlanta parrainera également le relais de la flamme qui sillonnera l’Hexagone. Une flamme prévue passer dans notre département le 11 juillet prochain, comme en atteste cette campagne d’affichage à l’ombre des abribus auxerrois. Votre idéal olympique, vous le préférez comment… ? « Light », « Cherry » ou « Sans sucre » !

 

 

Dimanche

Présenté en comparution immédiate le 11 août dernier devant le tribunal correctionnel de Tours, un homme de 23 ans est soupçonné d’avoir une semaine plus tôt mis le feu à une vingtaine de poubelles, occasionnant au passage l’incendie de treize véhicules et de quelques façades de maisons. Placé en détention provisoire, dans l’attente d’une expertise psychiatrique, il sera jugé le 20 septembre prochain… Une info des plus banales après les émeutes ayant embrasé tout le pays en juillet dernier, à ce détail près que le présumé pyromane, fils d’un major de police était lui-même policier-adjoint à Vierzon depuis quatre ans et devait entrer en septembre à l’école de Police de Rouen. Sans doute ce que l’on appelle avoir le « feu sacré » !

 

Dominique BERNERD

 


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Quelque 672 400 candidats ont finalement été reçus au baccalauréat 2023 après la session de rattrapage estivale, soit un taux de réussite de 90,9 %. Il est en baisse de 0,2 point par rapport à juin 2022. Après trois sessions perturbées par la COVID-19, l’édition 2023 se tenait pour la première fois conformément à la réforme de 2019. Elle se solde par un taux de réussite au baccalauréat général de 95,7 % (– 0,4 point par rapport à 2022), un taux de réussite au baccalauréat technologique de 89,8 % (– 0,8 point) et un taux de réussite au baccalauréat professionnel de 82,7 % (+ 0,3 point).

 

TRIBUNE : Le problème que pose la réussite au bac, c’est l’entrée à l’université. Le baccalauréat est devenu un permis pour apprendre et notre système éducatif n’a jamais été fait pour produire des jeunes opérationnels au travail. Ce constat vaut pour les collèges, lycées et autres universités. On peut noter des efforts réalisés, grâce notamment aux formations en alternance.

Quant aux nostalgiques de la trique et du bonnet d’âne, tous ceux qui pensent que leur bac est bien supérieur à celui d’aujourd’hui, ils se fourvoient dans des sentiers nébuleux. Dans les années qui précèdent 1980 (arbitrairement), le nombre de matières enseignées et les méthodes d’enseignement étaient bien plus limitées que celles d’aujourd’hui. En conséquence, on avait une connaissance plus profonde des éléments étudiés.

Pour feu le certificat d’études, on exigeait la connaissance des départements, des préfectures et chefs-lieux de cantons. Aujourd’hui, on exige de nos élèves, et ce depuis la communale, des connaissances qui couvrent un large spectre. Nous avons des bacheliers qui ont donc étudié un peu de géopolitique, la nature et l’écologie, la philosophie selon les critères les plus récents (ma génération s’est arrêtée à Platon, voir Spinoza…). Quant aux techniques liées aux découvertes de la robotique et de l’intelligence artificielle, elles sont naturellement abordées… Les jeunes doivent maîtriser l’informatique sous tous les aspects utilitaires, avoir quelques compétences en droit, ne serait-ce que pour se repérer dans leur environnement familial et scolaire…

 

 

Il faut des femmes et des hommes rationnels et compétents dans leur domaine

 

Hier, les parents attentionnés disaient à leur bambin qui se rendait à l’école : « attention quand tu traverses la rue et soit poli ». Point final ! Aujourd’hui, il faut toujours faire attention en traversant la rue et être poli, mais il faut ajouter : « ne parle pas aux personnes inconnues, si des personnes que tu connais se permettent de te toucher, si des camarades de classe te harcellent, si tu fais l’objet de rackets à la sortie de l’école ou dans la cour de récréation prévient tout de suite les profs et tes parents ! ».

Oui, plus rien n’est comparable et nos jeunes bacheliers en savent bien plus que nous quand nous avions leur âge. Mais attention, ce n’est pas non plus un blanc-seing pour écrire phonétiquement, comme dans la plupart des « SMS »…

Une réforme du bac ne s’impose pas forcément. Mais, elle doit s’inscrire dans un projet éducatif global. Quelle place donner aux arts et aux sports, quelles disciplines à prioriser ? Donner plus de liberté aux enseignants en ce qui concerne le mode pédagogique et les contenus de certaines matières…

Les professionnels de l’éducation savent ce qu’il faut  faire : les professeurs, les médecins et nutritionnistes, les psychologues, les éducateurs sportifs, et une oreille attentive auprès des parents. Dans cette réflexion, il convient d’écarter les technocrates de l’administration, les politiques et leurs affrontements idéologiques avec les syndicats… bref, il faut autour de la table, des femmes et des hommes rationnels, compétents dans leur domaine, apportant connaissance et expérience.

 

 

« Le doute est l’école de la vérité »

 

Alors prendre pour mesure d’urgence l’allongement de la durée du repas, c’est digne d’un normalien mais certainement pas d’un titulaire du certificat d’études primaires ! Quand on sait que certains incompétents de la chose publique ont trouvé comme solution, pour que les étudiants se mobilisent et viennent en classe jusqu’au bout de la saison, de faire passer le bac durant le mois de juin !

Trop simple, trop simpliste, épistémologiquement non cohérent avec les us et coutumes du ministère de l’Education… Bref, si les béotiens lambda se mettent à réfléchir…

Si Anatole FRANCE précisait « de toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure », je nous invite à méditer cette humble pensée de Francis BACON : « Le doute est l’école de la vérité… ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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D’une durée moyenne de quatre-vingt-dix minutes et proposé uniquement sur rendez-vous, le don de plasma fait figure de grand méconnu auprès d’un très grand nombre de nos compatriotes. Pourtant, tout aussi important que le prélèvement de sang, le geste est vital, voire irremplaçable pour des milliers de malades au quotidien. Dépendant à 65 % du plasma fourni par les Etats-Unis, la France veut remédier à cela en organisant à l’avenir plus de 3 000 dons journaliers.

 

DIJON (Côte d’Or) : Prendre le temps pour soi mais aussi pour les autres ! C’est le leitmotiv de l’Etablissement Français du Sang qui propose, via son antenne régionale en Bourgogne Franche-Comté, une opération de sensibilisation autour du don de plasma, l’un des dons souvent oubliés en France.

Liquide aux vertus insoupçonnées, le plasma contient des protéines et des anticorps d’un intérêt thérapeutique majeur pour la fabrication de médicaments. Mais, il n’y a pas que cela ! Le plasma est également précieux en dehors de la transfusion car il sert aussi à fabriquer des médicaments. C’est sur ce point que les besoins sont en très forte augmentation pour les patients, créant des tensions mondiales.

L’Hexagone doit faire face à un double défi : assurer sa souveraineté sanitaire et défendre son modèle éthique de non marchandisation du corps humain.

Pour le relever, elle a besoin de rendre publique cette problématique. C’est pourquoi l’EFS propose jeudi 24 août un premier webinaire consacré aux besoins des patients en médicaments dérivés du plasma et à ses enjeux mondiaux.

 

Des spécialistes pour répondre à toutes les interrogations

 

Ce webinaire sera présenté, côté EFS, par le Dr Fanny DELETTRE, directrice Biologie, Thérapies et Diagnostics et le Dr Christophe BARISIEN, responsable régional des prélèvements ainsi que les présidents des commissions médicales des CHU de Dijon et de Besançon, les professeurs Alain BONIN et Samuel LIMAT.

Durant 45 minutes, ces spécialistes répondront aux questions suivantes : pourquoi les besoins sont-ils de plus en plus importants créant des tensions internationales autour de l’approvisionnement en médicaments dérivés du plasma ? En parallèle, ils aborderont aussi les maladies soignées par les médicaments dérivés du plasma. Avant de poser comme équation la question suivante : comment donner son plasma participe à défendre le modèle éthique de non marchandisation du corps humain et à assurer la souveraineté sanitaire de la France en médicaments dérivés du plasma ?

Donneurs et patients partageront également leurs expériences. L’exercice s’adressera également aux donneurs de sang. Logique, car lors d’un don du sang, on récupère des globules rouges, des plaquettes mais aussi du plasma.

Webinaire sur le don de plasma de 18h à 18h45 jeudi 24 août.

 

Inscription sur https://urlr.me/4tRXp

 

Thierry BRET

 

 


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C’est le prélude à une passionnante saison sportive. Elle se terminera en apothéose à Paris, l’été prochain, avec l’accueil des Jeux olympiques. L’une des disciplines qui en est reine et réussie aux équipes de France qu’elles soient féminines et masculines se nomme le handball. Tout attaché, côté grammatical, car le mot est originaire d’outre-Rhin. Un sport qui possède ses aficionados dans l’Yonne, grâce au Handball Club Auxerrois, organisateur du « Trophées des Champ’Yonne ».

 

AUXERRE : Le rendez-vous tient d’ordinaire toutes ses promesses. Gageons qu’il en sera encore de même avec cette édition 2023 qui verra s’affronter sur le terrain du gymnase René-Yves AUBIN ce mercredi 23 août en fin d’après-midi la fine fleur des équipes féminines régionales. De celles qui tutoient avec accoutumance les sommets. Soit en division 1. Soit dans la classe inférieure, en nationale 2.

Une initiative que les responsables du Handball Club Auxerrois – le président Raphaël BESANCENOT en tête ! – se plaisent à réitérer chaque année, à pareille époque presque au sortir de l’été afin d’arrimer de nouvelles recrues, un nouveau public et des partenaires potentiels qui désirent encourager ce sport si spectaculaire et indécis tant les formations sont proches l’une de l’autre dans leurs championnats respectifs.

Le plateau 2023 est de qualité. La JDA Dijon, l’ES Besançon – deux des ténors de la D1, mais aussi Longvic – la Côte d’Or reste une terre de prédilection pour l’essor du handball qui fait appel aux universitaires -, et Fleury, localité proche d’Orléans. Du lourd et de la technicité. De la haute voltige, assurée, devant les cages adverses.

Innovation, cette année, l’entière gratuité de l’évènement. Un choix mûrement réfléchi par les dirigeants du club auxerrois qui veulent vulgariser à l’extrême la beauté et l’intensité de ce sport offrant le plus souvent de superbes joutes. En outre, l’évènement permettra de mettre en lumière l’esprit sportif en règle générale à travers de ses dignes représentantes. A apprécier sans modération…  

 

 

Le programme :

Date : mercredi 23 août à  partir de 17h00. 

Lieu : Complexe Sportif René-Yves AUBIN Auxerre

17h00 : ouverture du village handball 

18h15 : inauguration de neuf places du club, avec son nouvel habillage : ce sera l’occasion de remercier les partenaires dont la ville d'Auxerre, le Conseil départemental de l'Yonne, la région Bourgogne Franche-Comté et les partenaires privés.

19h00 : Match élite entre la JDA Dijon Handball et ES Besançon Féminin 

20h30 : Remise du trophée

21h00 : Match N2 : Fleury – Longvic

 

Thierry BRET

 

 


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