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A peine désigné par le suffrage électif, à l’occasion des Journées fédérales de Dijon les 12 et 13 octobre, le nouveau président national de la puissante fédération des professionnels de l’immobilier a rendu une visite plus que de politesse aux représentants de la FNAIM de l’Yonne, un département qui est rattaché au groupement Paris Ile de France. Une manière de prendre la température de la base et de se préparer à exercer ce futur mandat où il succèdera pour une durée de cinq ans au Dijonnais Jean-François BUET en poste jusqu’au 31 décembre…

AUXERRE : Très en verve au cours de son allocution officielle, le nouveau président de la FNAIM, Jean-Marc TOROLLION, s’installera dans le fauteuil national dès le 01er janvier 2018, avec un credo bien ancré dans la tête : il souhaite « bâtir la fédération des professionnels de l’immobilier de l’avenir ». Offensif, mais également ouvert au monde économique qui l’entoure, le successeur du bourguignon Jean-François BUET est diplômé d’une maîtrise de droit notarial et de l’ICH. Il exerce depuis 1987 à Grenoble en qualité d’agent immobilier et s’est investi dès le début de sa carrière dans le syndicalisme.

Le poids du numérique fera la différence dans le réseau du « Cube Jaune »

Profondément attaché aux métiers portés par la filière, l’ancien président régional de la FNAIM Rhône Alpes (2009/2012) a ensuite brigué un mandat national en 2013, s’imprégnant du rôle de président délégué de la fédération française. Le tremplin idoine pour gravir le dernier échelon, devant le conduire au poste suprême avec 58,40 % des votes obtenus à Dijon.

D’un naturel optimiste et plein d’espoir, Jean-Marc TORRILLION n’en est pas moins un garçon vigilant qui n’accorde pas de confiance particulière au gouvernement qui réfléchit à la refonte de la loi de 1955. Celle qui régit l’ensemble de la filière…

Evoquant la nécessité d’instaurer la démocratisation du bail numérique qui deviendrait un vrai service de l’Etat, le président de la FNAIM rappelait à l’assistance, composée d’une centaine de professionnels exerçant sur le territoire de l’Yonne, dont le président Stephan SIMPSON et son prédécesseur, Guy BRUGGEMAN, que « nul ne pouvait échapper désormais à la mutation numérique indispensable au modernisme de notre pays ».

S’arrêtant quelques instants sur la stratégie de communication qu’il souhaite initier dès sa prise de fonction, Jean-Marc TORROLLION a indiqué à son auditoire attentif que la mise en place d’un compte Facebook professionnel devenait inévitable. « Nous posséderons ainsi une force de frappe exceptionnelle qui ne cessera de se démultiplier par ricochet… ». Surtout, insista-t-il, « n’ayez pas peur de le faire ! ».

Le titre d’agent immobilier nous appartient et pas aux autres !

Dans un souci de stabilité, le président sortant Jean-François BUET poursuivra sa mission en dirigeant la structure nationale jusqu’au terme de l’année civile. Mais, signe d’ouverture et de transition sereine et efficace, son successeur sera aidé pour prendre plus facilement possession de ses nouvelles fonctions et bénéficier ainsi de ses conseils.

Le nouvel homme fort de la FNAIM s’attachera également à défendre mordicus le titre d’agent immobilier, parfois dévoyé. « Ce titre professionnel est à nous et pas aux autres ! », déclarera-t-il péremptoire, avant de confirmer qu’il fera tout pour protéger ce titre distinctif par rapport aux mandataires qui exercent une concurrence parfois exacerbée sur la filière.

Quant à la loi ALUR, qui sera mise en place, Jean-Marc TORRILLION a bien rappelé qu’il n’était pas question que le gouvernement impose une masse de règles complexes sans l’aide d’une réelle protection.

Syndicat patronal pesant plus de 50 % sur le marché de l’immobilier en France et ayant un poids considérable auprès des pouvoirs publics, la FNAIM souhaite accélérer le processus d’intégration de jeunes recrues motivées et compétentes.

« La formation, c’est un marqueur essentiel pour notre corporation, c’est aussi une question d’image qualitative. Les jeunes qui nous rejoignent doivent éprouver de la fierté à l’idée d’exercer leur métier sous le sceau du « Cube jaune », le logo identifiant la FNAIM… ».

Devant conclure ses propos sur les valeurs intrinsèques de l’organisme, le futur responsable de la FNAIM rappela que « cette profession d’agent immobilier est réglementée au même titre que l’ordre des experts-comptables ». Argument de référence dont il faudra se souvenir au cours de la prochaine mandature…


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Parce qu’il est indispensable de développer l’interactivité avec son environnement extérieur, la société de l’Yonne, pilotée par l’ingénieux entrepreneur auxerrois Antoine GODARD, spécialiste dans l’étude, la conception, la réalisation et l’installation d’espaces aquatiques, propose une nouvelle variante de tables sensorielles au design plus épuré et d’une grande simplicité d’utilisation, lancée depuis peu sur le marché. Fonctionnalité de l’ensemble : attiser l’éveil des personnes autistes ou celles atteintes d’un handicap…

AUXERRE : Société entrepreneuriale de l’Yonne, membre d’un réseau déjà implanté à l’origine au Canada, ESPACE d’EAU développe une nouvelle gamme de produits à destination des établissements publics et privés accueillant des personnes âgées, ou en situation de handicap moteur et cérébral.

Concept unique en France, issu de l’un de ses axes d’activité importants, la table sensorielle aquatique se destine plus spécifiquement aux personnes à mobilité réduite, voire aux autistes, ayant besoin de se mouvoir et de se repérer dans un environnement spécifique. Grâce au travail approfondi réalisé autour de certains sens comme le toucher, l’ouïe ou la vue.

Une version de la nouvelle table installée en Bretagne…

La troisième génération de ces tables qui interpellent de plus en plus les professionnels de santé et des milieux sanitaires offre une grande simplicité d’usage pour ses destinataires. Le but étant de posséder davantage d’interactivité à son contact et d’optimiser de fait le sens de l’éveil des patients.

Plusieurs spécialistes et équipementiers en mobilier sanitaire, à l’instar du groupe MANUTAN Collectivités (anciennement CAMIF Collectivités), se disent intéressés par la démarche créative de l’entrepreneur nord-bourguignon. Le dernier spécimen de la famille a été réalisé en partenariat avec NOKINOMO, un cabinet d'architecte spécialisé dans des projets très spécifiques. Il vient par ailleurs d’être installé dans un centre adapté à l’accueil d’autistes dans le Morbihan à Lorient.

D’autres établissements devraient suivre le même chemin tant les retours d’expérience accréditent déjà le côté avantageux pour ses utilisateurs.

Créée en avril 2010, la SARL d’Auxerre possède bien d’autres atouts dans son jeu, en modelant et en assemblant de la manière la plus réussie le verre silicate, le verre acrylique, l’inox, l’eau et la lumière.

Des chantiers à l’audace absolue pour ce touche-à-tout de génie…

Proposant un travail exclusivement sur mesure à un panel de partenaires à 98 % professionnels, ESPACE d’EAU compte parmi ses références grands comptes des géants de la grande distribution tels que le groupe CARREFOUR mais aussi des établissements bancaires (HSBC), des cabinets d’avocats à Paris et même la famille princière d’Arabie Saoudite !

Seul aux commandes de son outil de production, et ne comptabilisant plus le nombre d’heures effectuées de façon hebdomadaire (plus d’une centaine !), Antoine GODARD conçoit, fabrique et installe des murs d’eau ou des murs de bulles ayant comme finalité d’embellir un site à vocation professionnelle. Un important cabinet d’avocats de la capitale a investi une coquette somme d'argent à la conception d’un mur végétal, assorti à la présence d’un petit ruisseau, encastré dans sa salle de signature. Plus près de nous, au printemps, ESPACE d’EAU a équipé un bâtiment administratif pour HSBC d’un énorme mur d’eau placé au-dessus d’un parking sous-terrain, avenue Kléber à Paris. Coût du projet : 80 000 euros !

Les exemples de la sorte se multiplient avec une appétence particulière du jeune homme pour les chantiers les plus audacieux, et de plus en plus éloignés de sa base arrière : Andorre (conception en 2018 d’un agencement d’un casino), Espagne, Maroc, Belgique (avec en projet l’installation d’un système aquatique dans un nouvel hôtel 4 étoiles), Suisse où les dossiers abondent…notamment celui où il interviendra dans une clinique privée.

Une expérience à peine croyable en Arabie Saoudite !

Mais, la destination la plus originale avec laquelle Antoine GODARD a dû composée lors de fréquents séjours à l’étranger, c’est l’Arabie Saoudite. Choisi par une filière internationale du groupe de BTP OGER,l’entrepreneur d’Auxerre a réalisé sur place un aménagement de très grande importance pour l’un des membres de la famille royale.

Occupant une position privilégiée sur ce marché de niche où ne se concurrencent que cinq sociétés en France, le dirigeant de la SARL de l’Yonne profite de l’éclectisme de ses contrats pour laisser libre cours à une imagination fertile, côté créativité.

Parmi les milieux professionnels où son entreprise est le plus souvent sollicitée : le secteur médical, le tissu de l’agro-alimentaire, l’automobile, l’hôtellerie et la restauration, mais aussi les spas, les salons de coiffure (le groupe YSEAL dont le siège est implanté dans l’Yonne), des cabinets d’esthétisme, l’artisanat. Des agences de communication s’octroient aussi ses services inestimables afin d’habiller de grands salons internationaux : le SIRAH, le Mondial de l'Automobile, le Salon aéronautique du Bourget, le Mondial de la piscine et le fameux " Maison et Objet "…


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Pour l’heure, et encore en l’état de prototype prêt à inonder le marché planétaire, le devenir de la caisse enregistreuse a été dévoilé par les responsables du leader international dans la conception et la fabrication d’équipements dédiés aux espaces commerciaux. Le concept « BUTTERFLY », révolutionnaire et ergonomique à plus d’un titre, permettra à une opératrice d’assurer la gestion de trois clients de manière simultanée grâce à l’apport de la digitalisation et d’une bonne dose d’ingénierie…

MONETEAU : Fluidifier les files d’attente en responsabilisant de plus en plus le consommateur lors de son passage crucial aux caisses enregistreuses d’une grande surface n’est pas aussi simple à gérer pour le responsable d’un établissement commercial. Pourtant, le processus explicatif présenté par Régis CAO, directeur du marketing du groupe HMY France et de son chef de produits, Mathieu DAUVISSAT, devrait satisfaire à terme les attentes de ces dirigeants d’entreprises de la GMS qui redoutent toujours les heures de pointe, fatidiques au moral des troupes évoluant derrière les caisses.

Une nouvelle machine aux performances déjà éprouvées

Muni de scanner, de systèmes de caméras et d’appareils photographiques intégrés, « BUTTERFLY » ne représente pas l’archétype habituel de la caisse enregistreuse d’autrefois, voire de maintenant. Plusieurs clients peuvent y déposer en symbiose parfaite le contenu de leurs caddies sur un tapis roulant que le consommateur déclenchera lui-même. Les deux tapis se faisant face.

La caisse du futur ne supprime pas la présence de l’opératrice qui peut enregistrer en simultanée les courses qui défilent sous un imposant scanner collectant les précieuses données si utiles pour la salariée : les prix des articles.

Une fois, le premier client évalué grâce à la scrupuleuse vérification de l’appareil numérique, le second peut alors enclencher de manière tactile à partir d’un écran positionné sur l’appareil la piste qui acheminera ses produits sous le scan. Tandis que le troisième client alimentera à son tour la piste laissée vacante par la première personne, qui elle, sera en phase de règlement auprès de l’opératrice.

Pendant que se répète ce processus intelligent, et rapide, celle-ci pourra contrôler les systèmes digitaux de surveillance embarqués à bord de la machine lui permettant de détecter la moindre infraction, notamment le vol des articles, phénomène récurrent en sortie de caisse.

Pourvue d’un design impeccable, la caisse enregistreuse nouvelle génération est aujourd’hui placée dans les starting-blocks, prêtes à être commercialisée sur le marché. Mais, pas n’importe lequel dans un premier temps…

Prioriser la commercialisation vers le marché national

« Nous souhaitons vraiment que ce concept « BUTTERFLY » se démocratise en priorité en France, auprès du réseau des grandes surfaces, avant de le vendre à l’international, explique Régis CAO, en évoquant la future stratégie marketing lié au produit ; plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est (Corée du Sud, Japon…) mais également ceux de l’Amérique du Sud tels que le Brésil et l’Argentine veulent déjà miser sur ce produit et de manière très réactive. Idem de la part de la Turquie ! Or, nous attendons que les professionnels de la grande distribution française se manifestent et affichent leur plus vif intérêt vis-à-vis de notre nouvelle création… ». Ce qui ne saurait tarder puisque mi-novembre, plusieurs d’entre eux auront la faculté de découvrir sur le site de l’Yonne le dernier né de la gamme…

Malgré son appellation anglicisante, « BUTTERFLY » est bien le fruit d’une conception française. Quant à l’investissement consenti pour l’acquisition de ce type d’appareil, il n’est pas négligeable et se situerait dans une fourchette de prix oscillant entre 40 000 et 60 000 euros. La présence des atouts numériques et digitaux faisant l’attrait ultra moderne et sécurisant du produit explique en partie ce coût.

Présent depuis plus de cinquante ans aux côtés des entreprises qu’il accompagne, principalement celles du secteur alimentaire (Carrefour, Auchan…) mais aussi ADIDAS ou VODAFONE, HMY France n’a pas fini de surprendre les observateurs sur sa capacité à innover et à investir pour préserver sa place de numéro un européen sur ce segment très concurrentiel de l’agencement de magasins.

Ce gros faiseur à l’échelle mondiale réalise 500 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel via l’implantation d’une dizaine de sites industriels répartis sur tous les continents sauf l’Afrique. Il emploie plus de 4 000 collaborateurs dont 700 évoluent sur l’un des trois sites de l’Hexagone, celui de Monéteau…


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Détentrice à quatre reprises du plus prestigieux des trophées nationaux (1994, 1996, 2003 et 2005), l’AJ Auxerre entame la nouvelle campagne 2017/2018 avec certaines ambitions. Tout en considérant le réalisme de l’instant, compte tenu d’une multitude de blessures. Néanmoins, le moral est au beau fixe. Le club de Chamalières, pensionnaire de Nationale 3 (6ème), en fera peut-être les frais ce samedi 11 novembre dans une rencontre sans doute disputée dans des conditions climatiques plutôt hivernales selon les prévisions. Mais, l’accueil musclé du public, chauffé à blanc, et les velléités combatives des joueurs auvergnats n’altèrent en aucune mesure les motivations du coach bourguignon, Francis GILLOT, qui croit en la victoire…

AUXERRE : Entre l’AJ Auxerre et la Coupe de France, c’est une longue histoire d’amour. Auréolée de quatre valeureux succès obtenus face aux meilleures équipes de France. Bon nombre de supporters bourguignons se souviennent de ces instants magnifiques, gardant en mémoire le fruit des exploits sportifs de ces belles années vécues sous l’ère de Guy ROUX.

Ne pas sous-estimer l’adversaire et rester humble…

Or, à quelques heures d’un premier tour, qui emmènera l’équipe première à la périphérie de Clermont-Ferrand, Francis GILLOT qui a déjà soulevé le trophée avec les Girondins de Bordeaux en 2013, se prépare à vivre face aux footballeurs du FC Chamalières une rencontre délicate.

Il n’est jamais simple d’évoluer à l’extérieur, contre une équipe réputée plus faible sur le papier et qui donnera toutes ses tripes pour créer l’exploit retentissant, imputable à la « magie » et à la grandeur patrimoniale de l’épreuve.

« Ce match s’annonce complexe, analyse le coach bourguignon, avec ses chausse-trappes qu’il faudra savoir déjouer, un stade propice à l’effervescence chez les supporters adverses, et pourquoi pas des conditions météo dont il faudra s’accoutumer. Bref, nous avons à nous méfier, de ne pas sous-estimer l’adversaire et de rester dans l’humilité… ».

Malgré un effectif un peu  décimé pour cause de blessures, le retour de BARETTO ne pourra se faire d’ici Noël, l’entraîneur de l’AJ Auxerre comptera cependant sur le retour expérimenté de quelques valeurs sûres qui ont fait beaucoup d’efforts pour revenir à leurs meilleurs niveaux et intégrés le onze de départ. On pense notamment à DIALLO et à Mikaël TACALFRED.

« Ils devraient saisir leurs chances et essayer de se distinguer en marquant des buts : c’est l’essentiel aujourd’hui pour notre équipe. Peu importe la manière, il faut privilégier le résultat et gagner cette rencontre qualificative pour la prochaine échéance… ».

Le dilemme auvergnat du président…avec une préférence pour Auxerre !

Aller le plus loin possible dans cette mythique épreuve est pour l’heure le premier des objectifs de Francis GILLOT qui ne s’impose aucune contrainte psychologique sur le sujet. « L’importance du score m’est tout à fait égal : il faut l’emporter et poursuivre notre route, un point c’est tout ! ».

Reste que cette rencontre que l’on souhaite plaisante à suivre occasionne peut-être un petit dilemme pour le président de l’AJA, Francis GRAILLE, auvergnat pure souche. Sa connaissance de Chamalières montre que ce club est résolument sympathique et que le staff a d’ores et déjà prévu un après-match des plus conviviaux. Autour d’une potée ou d’un aligot ?


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Le renouvellement de la convention de mécénat entre la Fondation d’entreprise « AGIR en Champagne Bourgogne » et la Fondation régionale du Patrimoine favorise la poursuite d’une kyrielle d’actions positives en vue de sauvegarder et valoriser les richesses culturelles de notre territoire. Avec comme axiome prioritaire, la restauration d’un patrimoine, situé en zone rurale. Depuis l’origine de ce partenariat constructif, ce sont 216 projets qui ont ainsi été soutenus pour un montant global de 557 581 euros…

DIJON : Apparue en février 2013, la Fondation d’entreprise « AGIR en Champagne Bourgogne », portée par l’établissement bancaire régional, agit dans le cadre d’une cause citoyenne : la préservation des intérêts collectifs et durables au profit de la dynamique territoriale qui intègre à la fois les projets éducatifs, socioculturels, linguistiques, scientifiques et environnementaux.

Disposant de subsides financiers provenant entre autres des versements issus de la démarche « Cartes sociétaires », instaurée par le Crédit agricole de Champagne Bourgogne (Aube, Côte d’or, Haute-Saône, Yonne), cette structure devait tôt ou tard s’allier avec l’un des acteurs essentiels de la défense patrimoniale et culturelle en France, la Fondation du Patrimoine.

Un défi unique avec un vrai modèle économique

Partageant des valeurs communes, les deux partenaires instaurent très vite un schéma coopératif efficace entre leurs exécutifs. Au service du patrimoine et de ses richesses à extirper de l’oubli, et parfois si malmenées. Ce sont les zones rurales qui motivent en priorité l’engagement des deux signataires de cet accord.

« Nous souhaitons contribuer au développement économique de nos territoires par la valorisation du patrimoine en créant et en maintenant de nombreux emplois… ».

Les enjeux sont donc de taille. Mais, la volonté reste la même entre Vincent DELATTE, président du Crédit agricole de Champagne Bourgogne et président de la fondation « AGIR », et Guy BEDEL, délégué régional de la Fondation du patrimoine.

« Pérenniser cette diversité, créer de la valeur et réunir les énergies constituent un challenge unique que notre équipe de 26 bénévoles et trois salariés partage au quotidien, précise le président de la Fondation régionale du Patrimoine.

Le travail besogneux de l’organisme est colossal. Plus de 2 632 projets ont déjà bénéficié de la manne précieuse de ces acteurs dévoués à la cause culturelle. Qu’ils interviennent à La Charité sur Loire, à Belfort, à Sens ou à Lons le Saulnier. Certaines entreprises, notamment celles établies en Franche-Comté, n’ont pas hésité à s’engager au sein d’un club de mécènes afin de renforcer leurs capitaux. Plus de 1,75 million d’euros ont été collectés au service de ce combat perpétuel.

Plus de 4 000 emplois créés et préservés depuis 1996…

Le Crédit agricole de Champagne Bourgogne s’est appuyé sur l’un de ses instruments de paiement fétiche, la carte sociétaire, réservée à ses clients. Une somme minimale, un centime d’euro, est ainsi prélevé à chaque utilisation afin d’être reversé par la caisse régionale sur un fonds mutualiste qui vise à encourager les projets locaux.

Depuis l’origine de la Fondation du Patrimoine, survenue en 1996, plus de 28 000 projets ont été soutenus en France, engrangeant plus de 2,3 milliards d’euros  de travaux, soit un équivalent de 4 000 emplois créés ou maintenus dans le secteur artisanal du bâtiment en moyenne par an. Cela méritait bien une petite signature entre deux partenaires fiers de s’investir autour d’une noble cause.


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