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Par deux fois, le poète interprète icaunais, chantre de la chanson à texte, revisitera le répertoire extraordinaire du grand Georges lors de deux concerts donnés dans l’antre de la péniche cabaret d’Auxerre. Vingt-sept morceaux ciselés par le « Copain d’abord » à savourer sans modération…

 

AUXERRE : Le centenaire de la naissance du poète sétois ne pouvait laisser indifférent le troubadour Gérard-André. Une de ses pièces maîtresses parmi ses nombreuses références en sa qualité d’interprète.

Aussi, le public icaunais est-il convié à venir l’écouter sur l’estrade du bateau cabaret, « La Scène des Quais », ce mercredi 21 juillet et le lendemain, jeudi 22 juillet. Le propriétaire du théâtre de La Closerie sortira de sa tanière le temps de ces deux rendez-vous où vingt-sept poèmes seront mis en lumière par la patte experte du guitariste.

L’artiste ne sera d’ailleurs pas seul sous le feu nourri des projecteurs. Il sera accompagné du contrebassiste Jean-Marie POT avec lequel il s’est déjà produit lors de prestations similaires, consacrées au créateur du « Gorille » et de « L’Auvergnat ».

Parmi les chansons à écouter lors de ce récital dédoublé : « Je me suis fait tout seul », « L’orage », « Dans l’eau de la claire fontaine » ou « Saturne ». Le chanteur Gérard-André nous réserve plusieurs surprises lors de ce tour de chant. Notamment avec l’interprétation de titres peu connus comme « La Princesse et le croque-notes » « Clairette et la fourmi » ou les « Pensées des morts », texte inspiré de Lamartine.

 

 

En savoir plus :

Double récital de Gérard-André

Le mercredi 21 juillet et le jeudi 22 juillet à 20h30

Sur la péniche « La Scène des Quais »

Quai de la République à Auxerre

Renseignements utiles : prix des places 15 € et 13 € adhérents  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

www.lascenedesquais.fr, 06 61 48 61 11 Réservation règlement sur le site

 

Thierry BRET

 

 


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Le programme se nomme « Escales Estivales ». Eclectique dans sa configuration, il est accueilli dans les Maisons de la Jeunesse et des Sports (MJC), financé au titre du contrat de ville de l’Auxerrois. Une échappatoire ludique et instructive idéale pour les enfants et adolescents qui ne partent pas en vacances. Le préfet a rendu visite lundi un atelier hip hop à la MJC Saint-Pierre…

 

AUXERRE : Jusqu’au 14 août, « Escales estivales » propose une multitude d’animations ciblées vers le jeune public, désireux de découvrir des spécialités aussi diverses que le hip hop, le jardinage, la sérigraphie ou encore la poterie. Un copieux programme, décliné dans le cadre du concept « Quartiers d’été », qui est à l’initiative du gouvernement et ce, depuis l’été 2020.

Ayant débuté ce lundi 19 juillet, l’opération s’adresse plus spécifiquement aux enfants et aux jeunes des quartiers prioritaires de la politique de la ville. Dans le but de promouvoir ce concept, de le faire connaître auprès du plus grand nombre, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST s’est ainsi immergé, non loin de l’église Saint-Pierre, à la MJC portant le même nom.

 

 

Là, le haut fonctionnaire a été accueilli par Atalanta PANC-DUINA, directrice de l’établissement. S’en est suivie une visite détaillée des lieux en compagnie de la première adjointe à la Ville, Carole CRESSON-GIRAUD. Un parcours de visite atypique dans ce bâtiment chargé d’histoire puisque c’est un ancien monastère.

Le représentant de l’Etat prit le temps de se poser très discrètement dans cet espace patrimonial, attentif et curieux à la séance de hip hop qui se jouait devant ses yeux dans l’une des immenses pièces. Une « escale » particulière dans l’univers des danses urbaines.

 

 

Les subtilités du hip hop mobilisent l’intérêt général…

 

Une huitaine de fillettes esquissaient les premiers rudiments scénographiques de cette danse, comprenant de multiples variantes telles que la break dance ou l’afro-house. A la baguette de ce cours qui se voulait très sérieux : Kandé SISSOKHO, alias KHASSIUS KLEAN.

Patient, tout en subtilité et le sourire toujours affiché sur le visage, le « prof » inculqua les gestes élémentaires de la danse, beaucoup plus complexe qu’il n’y a paraît à la pratiquer sur le parquet.

En quelques paroles, Henri PREVOST rappela la finalité de l’opération. Et de ce soutien de l’Etat à travers ce programme afin de renforcer les activités et les services de proximité proposés aux familles des quartiers prioritaires. Une implication d’autant plus importante que chaque année, à pareille époque, c’est un enfant sur quatre qui ne part pas en vacances dans l’Hexagone.

 

 

L’an passé, et malgré la crise sanitaire qui battait son plein, le programme a su trouver son public. 600 000 jeunes de quartiers y ont participé. Avec cette irrésistible envie de recommencer cette année. Chose qui fut faite puisque l’Etat a pris la décision de reconduire le concept et de lui octroyer un budget s’élevant à 50 millions d’euros au niveau national. La dotation de ce « Quartier d’été » 2021 pour le seul territoire de l’Yonne dépassera 82 000 euros. Parmi les projets financés, ce fameux programme « Escales estivales », donc, très apprécié de ses jeunes bénéficiaires de par sa diversité…

 

Thierry BRET

 

 


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Le lifting prévu dès le terme de l’été vise à réhabiliter l’ouvrage d’art en lui permettant de retrouver son étanchéité. Un programme de rénovation et de consolidation de huit mois qui s’inscrit dans le cadre de l’OGS (Opération Grand Site) de Vézelay. Edifice au lourd passé cinématographique (la célèbre scène où l’on voit Louis de FUNES et BOURVIL fuir des soldats allemands accompagnés de leurs chiens), le pont Vauban de Pierre-Perthuis va se refaire une beauté avec le concours de l’Etat…

 

 

PIERRE-PERTHUIS : L’endroit est bucolique. Perturbé par une légère brise de vent à l’inspiration automnale qui souffle dans les arbres. Le clapotis de l’eau apporte une musicalité supplémentaire à cet espace naturel dénué de toute présence nuisible. Un agréable glouglou qui en ferait presque oublier la noirceur persistante du ciel. Par chance, aucune goutte de pluie ne s’abat sur le petit groupe qui s’approche de l’ouvrage d’art.

Habillés chaudement tels des gentlemen-farmers visitant leurs terres, ils s’arrêtent et contemplent le décor. Le premier des deux ponts, immense viaduc placé haut au-dessus de leurs têtes, les domine. Mais, c’est le plus petit de ces édifices facilitant la traversée de la Cure qui intéresse ces promeneurs qui n’ont rien de cueilleurs de champignons.

On y distingue le député de la circonscription, André VILLIERS, muni d’un solide parapluie au cas où ! A ses côtés, sa coreligionnaire de la Chambre haute : la sénatrice Marie-Agnès EVRARD. Elle profite de quelques instants de répit pour immortaliser l’endroit (magnifique de joliesse de surcroît) sur la fonction photographique de son IPhone. S’éclipsant quelques instants pour humer le charme champêtre de l’endroit, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST apprécie depuis le rivage la perspective de la construction.

 

 

Un pont à attribuer à Vauban ou pas ?

 

Ce pont de pierre aux origines si lointaines que nul des interlocuteurs présents, pourtant bien instruits sur le sujet, ne peut dater avec exactitude. L’un avance la date de 1770, faisant référence à un élément significatif visible sur l’une des pierres séculaires de l’ouvrage. Un autre parle de multiples constructions réalisées au fil du temps et de destructions successives imputables aux crues violentes. Bien sûr, il y a l’allusion ouverte à Vauban !

Illustre personnage, proche du Roi-Soleil (il en fera un maréchal de France), l’homme cumule à la fois les fonctions d’ingénieur, d’urbaniste, d’essayiste, de militaire, mais surtout d’architecte et de spécialiste de l’hydraulique. Alors qu’on lui attribue la paternité de ce petit pont ne serait pas en soi une forfaiture. Certains y croient dur comme de la…pierre !

En revanche, s’il est une date qui est fiable, c’est bien celle de 1924, année où le pont de Pierre-Perthuis fut porté au registre des monuments historiques. D’ailleurs, un an plus tard, l’ouvrage bénéficia d’un sérieux toilettage se rapportant à son étanchéité. Déjà. Preuve que les ravages du temps et l’usure imputable à la météo savent faire leurs œuvres.

 

 

Un reste à charge de 3 % pour la commune…

 

Emprunté jadis par les mules se rendant d’un rivage à l’autre de la Cure, le pont Vauban, puisque telle est son appellation retenue officiellement par les instigateurs du Plan de relance qui lui permet grâce à la DSIL (Dotation de soutien à l’investissement local) d’en financer les travaux, va connaître un exercice de restauration, long de plusieurs mois. Jusqu’au terme des travaux devant se conjuguer avec le printemps 2022.

D’un coût global de 300 000 euros hors taxes, le projet profite d’une manne financière conséquente, représentant 60 % du coût total des travaux. C’est-à-dire une enveloppe de 180 000 euros afin de restaurer et sécuriser cet édifice faisant figure de patrimoine référentiel dans la contrée.

Le chantier comprendra la dépose et la pose de pavage, l’étanchéité de la voûte, la reprise en pierres neuves, la réfection d’enduits…L’objectif est aussi de renforcer la construction, malmenée par les infiltrations d’eau. Parmi les autres financeurs, la Région et la DRAC interviendront à hauteur de 20 % chacune. Le reste à charge revenant à la commune. Il n’excèdera pas 3 % !

 

 

Un emblème architectural universellement reconnu grâce au cinéma…

 

Petit par sa dimension mais grand par sa célébrité ! C’est ce qui caractérise le mieux le pont Vauban. Choisi comme lieu de tournage d’une multitude de longs métrages, on peut l’admirer dans le classique « Mon oncle Benjamin » d’Edouard MOLINARO avec Jacques BREL, Claude JADE et Bernard BLIER en 1969 ; « La Révolte des innocents », téléfilm signé par Philippe NIANG en 2018 sans omettre la comédie culte par excellence, « La Grande Vadrouille » datant de 1966 avec les inoubliables DE FUNES et BOURVIL.

Entre 30 et 40 000 visiteurs, au minimum, admirent chaque année ce pont mythique qui aura aussi inspiré les spécialistes de marketing de HYUNDAI dans l’une de leur présentation publicitaire.

Il était naturel que cet ouvrage d’art profite d’une salvatrice cure de jouvence devant le faire perdurer dans le temps…

 

Thierry BRET

 


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Vingt-cinq printemps dans l’escarcelle et déjà une maîtrise quasi absolue de l’instrument, le bandonéon. A l’identique de la légende argentine, Astor PIAZZOLLA, éternel ambassadeur de ce tango popularisé aux quatre coins du globe. Ce sera lui la source inspirante du double récital que donnera la jeune femme au théâtre de La Closerie ce week-end…Entre suavité et exotisme.

 

ETAIS-LA-SAUVIN : C’est la meilleure manière de célébrer un anniversaire. Le centenaire de la naissance d’Astor PIAZZOLLA, incontestable maître de l’une des disciplines musicales fleurant bon l’esprit langoureux sud-américain, le bandonéon. Dans son dernier opus, enregistré en début d’année avec la Philharmonie de Paris, Louise JALLU propose de remarquables reprises de pièces sorties tout droit de l’imaginaire exacerbé du maître. Des œuvres intemporelles qu’elle ne manquera pas d’interpréter seule sur la scène du théâtre champêtre de Puisaye.

Car l’une des toutes meilleures pratiquantes du bandonéon de l’Hexagone se produira à deux occasions dans l’Yonne ce week-end ! Dans le décor sobre mais propice à l’onirisme de l’établissement, ouvert à toutes les cultures du monde. De quoi subjuguer les amateurs de jazz, de tango, de musiques aux influences sud-américaines.

Précisons que les deux récitals seront introduits par le compositeur Bernard CAVANNA. Outre la présentation de l’artiste, il expliquera en quelques mots l’importance du tango dans le cœur des hommes, sa modernité qui a su défier les affres du temps, et le caractère exceptionnel de cette affiche estivale…

 

En savoir plus :

 

Récital Louise JALLU à La Closerie

Samedi 17 juillet à 20h30

Dimanche 18 juillet à 16 heures

Réservation indispensable sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par le site http://www.lacloserie-spectacles.fr (PAF de 15€ et 11€ si adhérent)

 

Thierry BRET

 

 


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Le rendu de ce travail pédagogique est impressionnant. Digne d’un géomètre proche de l’expertise ! S’étalent sous les yeux des 150 personnes conviées à ce vernissage trente-deux planches plastifiées et résistantes aux intempéries ! Minutieusement étudiés à échelle équivalente, ces édifices religieux du canton livrent ainsi leurs ultimes secrets topographiques. Une prouesse éducative signée par les élèves et enseignants du collège Jean-Roch Coignet de Courson…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Sont-elles toutes dirigées vers l’Est les églises de la partie occidentale de notre département ? La plupart des trente-deux édifices implantés dans le canton de Vincelles regardent effectivement en direction de l’Orient. Mais, pas tous !

Serait-ce une référence à Jérusalem, ville sainte et berceau originel de la chrétienté ? Que nenni !

L’explication de ce positionnement spécifique du chœur du bâtiment spirituel (l’autel où se tient le prêtre) n’est pas d’ordre géographique. Mais bel et bien emprunt à de la pure symbolique. Puisque le soleil se lève à l’Est et que la lumière qui auréole de sa clarté irradiante le monde en chasse les ténèbres. D’ailleurs, tout monument religieux orienté à l’Ouest serait contraire à la bienveillance du catholicisme : le couchant représentant la mort…Mais, alors quid de la Résurrection ?!

 

 

Les collégiens se muent en jeunes topographes en herbe : déjà la vocation ?

 

Ont-ils poussé aussi loin leurs investigations intellectuelles les 63 collégiens de l’établissement de Courson-les-Carrières lors de leurs travaux pédagogiques ? Certainement, pas !

Mais, là n’était pas l’objectif initial de ce labeur besogneux, mené avec enthousiasme depuis plusieurs semaines en compagnie de leurs professeurs de technologie et d’histoire/géographie pour réaliser cette exposition unique en son genre.

Accueillis dans l’enceinte du site moyenâgeux à l’initiative de l’association des Amis du Château, les trente-deux panneaux offrent une vision inattendue mais très rigoureuse de ces églises dévoilées sur plan.     

On y voit grâce à l’adoption de coloris différents correspondant à une période temporelle précise la reconstitution historique des bâtiments à travers les siècles. Mieux que de la 3-D et les explications physiques, proposées par le grand ordonnateur de ce travail de fourmi, l’enseignant Fabrice THOMASSIN, en plus !

 

 

 

Scrupuleusement, les topographes en herbe, parfois accompagnés de leurs géniteurs, n’ont pas ergoté sur le temps de présence sur les lieux de leur réflexion pour annoter tels renseignements ou telles indications étayant le fruit de leurs travaux.

Résultat des courses in fine : un minima de deux heures par église aura été nécessaire pour effectuer les relevés du plan de l’édifice, du mobilier, des statues et des vitraux. Bref : les trente-deux églises se sont mises à nue sous le regard émerveillé et patient de ces jeunes pousses, ayant peut-être trouvé là leur vocation d’archéologue ou rêvant d’aventures renvoyant à la lecture toute en symbole du « Da Vinci Code » ou du très ésotérique auteur transalpin Umberto ECO (« Le Nom de la Rose ») !

On remarquera aux côtés de cette exposition étonnante les représentations iconographiques consacrées à l’église locale, portant le nom de Saint-Romain. Une série de clichés qui a été réalisée par les adhérents des Amis du Château, structure associative présidée par Félix MOREAU.

Ce dernier rappela que la présentation de ces travaux ne serait nullement éphémère et amenée à persister dans le temps. D’où le revêtement plastifié sur lesdits panneaux, ainsi protégés des aléas de la météo !

 

 

Un plan en format A3 offert aux trente-deux élus…

 

Après un travail proposé en 2010 sur l’illustre capitaine de l’armée napoléonienne, Jean-Roch COIGNET, natif de Druyes et ayant donné son appellation à l’établissement scolaire de Courson, une étude sur le chemin de fer reliant Clamecy à Toucy fut portée il y a trois ans à la connaissance du public en vertu de cette collaboration fructueuse qui perdure entre les Amis du Château et le collège voisin, dirigée par Mme VAISSE.

La passe de trois vient d’être vécue de très belle manière avec ce nouveau concept partenarial où les églises du canton sont à la fête. Tout comme les édiles de ces trente-deux localités, dont la plupart présents lors de ce vernissage, recevaient un plan de leur édifice en format A 3 des mains innocentes mais déjà expertes en relevés topographiques de ces jeunes élèves. Une cérémonie à laquelle participait le conseiller départemental Yves VECTEN bluffé par l’initiative visant à valoriser la qualité patrimoniale du canton dont il gère la destinée…

  

Thierry BRET

 

 


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