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Les fidèles de la fameuse manifestation n’ont pas été déçus par le caractère atypique de la soirée. Pour sa « rentrée des classes », l’opération de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, « Tous les Vingt du Mois », se délocalisait du côté de Saint-Bris-le-Vineux, à la découverte de la « Ferme de Claire ». Idéale suggestion pour constater qu’entre les fromages de chèvre, fabriqués par Claire GENET, et les excellents blancs du domaine de Jean-Louis et Jean-Christophe BERSAN, l’amour était à l’unisson !

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Quelle saveur, quelle subtilité en bouche, quelle rondeur au palais ! Les épicuriens (et ils auraient eu tort de s’en priver !) s’en sont donnés à cœur joie à la « Ferme de Claire » pour la traditionnelle séance de dégustation concoctée par la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, ce jeudi. Une animation que les habitués fréquentent sans modération depuis sa lointaine création, survenue en octobre 2017.

Pour mémoire, cette opération, judicieusement nommée « Tous les Vingt du Mois » - en filigrane le jeu de mot entre la date et le noble produit à tester ! – a pour objectif de mettre à l’honneur des établissements et des vignerons locaux, tout en créant une manifestation ludique sur l’Auxerrois. En moyenne, ce sont de 150 à 250 personnes qui y participent ; les cinq ans d’existence furent d’ailleurs célébrés comme il se doit au « Biarritz » à Auxerre fin août.

 

 

Pour cette séance de reprise, après la période estivale, l’évènement était accueilli à la « Ferme de Claire » - Claire GENET et son concept de chèvrerie très prisé des amateurs de cet onctueux fromage – où les tables étaient à l’extérieur afin de profiter de salvateurs rayons de soleil, dans une ambiance des plus conviviales. Dégustation de fromages de toute sorte – notamment la belle production régulièrement primée dans les plus grands concours nationaux de la profession –  servis sur planchette et de vins du terroir, en l’occurrence ceux du domaine des BERSAN, Jean-Louis et Jean-Christophe, que l’on ne présente plus, constituait le gros du programme.

Mention bien, au niveau de l’originalité et des surprises à Claire GENET, qui a proposé une course avec les chèvres, fous rires garantis !

Pour les puristes de la bonne chère, cette occasion de retrouvailles permit de visiter de fond en comble la chèvrerie qui s’inscrit dans l’écosystème ULTERIA. Une activité de la JCE ludique et pédagogique en même temps, on en redemande dans le landerneau !

 

Thierry BRET

 

 


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Forcément, au niveau du symbole, cela a de la consistance. D’autant que la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) de l’Yonne possède à son actif un catalogue de près de deux cents adhérents dans le sérail. Un soutien des milieux économiques qui n’est pas pour déplaire au président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT. Au travers de la signature de cette convention de partenariat, il voit ainsi concrétiser l’avancée de sa technopole « Aux_R Green Lab », qui se positionne en qualité d’incubateur incontournable sur l’innovation et la RSE…

 

AUXERRE : Il y a de la légitimité dans l’air ! Et surtout un soutien de poids indéfectible, du moins sur le papier et sans aucun doute dans les actes, de la part d’une frange de l’entrepreneuriat de notre territoire, incarnée par la CPME, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne.

La griffe apposée par Baptiste CLERIN, président de l’honorable syndicat patronal au bas du document co-signé par le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT, fait office de valeur référentielle intéressante pour l’avenir de la technopole « Aux_R Green Lab » en plein essor depuis le début de l’année. Un pôle volontairement implanté à l’écart du cœur de ville – il l’a été d’ailleurs par l’ancienne municipalité, soit dit en passant ! -, qui a pour vocation d’accueillir des startups ayant pour faculté de se développer par le prisme de l’innovation et du développement durable. « Vert » comme l’appellation originale du site !

Alors, formaliser, lors d’une réunion de présentation du site assuré par la communicante Clara PERRET, directrice du lieu, cette envie d’élargir le cercle de ses soutiens sonnait comme une évidence pour la gouvernance de l’Agglomération auxerroise. D’une part, la CPME, du fait de sa posture, représente un relais idoine afin de promouvoir l’ensemble de ce réseau technopolitain élaboré par l’institution communautaire. D’autre part, le mouvement patronal des PME/TPE de l’Yonne est l’un de ces maillons nécessaires, par le biais de la diversité de ses multiples actions, permettant la valorisation de cet endroit névralgique où le mot d’ordre s’inscrivant à son fronton se nomme désormais l’innovation.

 

Il y a de la réciprocité dans l’air avec ce partenariat !

 

Par cet acte fondateur, un partenariat n’est jamais innocent dans les faits, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de notre territoire s’engage à valoriser la marque « Aux_R Green Lab » lors de ses nombreuses manifestations et filières (Club des Femmes, etc.) qu’elle développe depuis plusieurs saisons. Tout en apportant une indissociable expertise à la technopole pilotée par Clara PERRET en matière d’innovation. Un item qui résonne aux oreilles de Baptiste CLERIN comme ce dernier devait le rappeler lors de son intervention.

Côté pratico-pratique, les deux partenaires échangeront leurs liens Internet afin de se renvoyer mutuellement l’ascenseur au niveau de la communication ; tous deux se consulteront à minima une fois l’an, dans le cadre du comité stratégique technopolitain, organe qui de facto associe l’ensemble des partenaires afin de fixer les grandes orientations à venir. On susurre dans les alcôves qu’elles seraient déjà en nombre !

 

 

 

Déjà une réunion de présentation aux membres de la CPME le 04 octobre…

 

Pour l’Auxerrois, cette signature représente plutôt une bonne pioche avec une CPME qui demeure le premier syndicat patronal de l’Yonne – l’organisme représente 112 branches professionnelles en son sein – potentiellement interpellé par les recherches et les travaux de la technopole.

Comme le confirmera Baptiste CLERIN, « nous sommes toujours dans un état d’esprit collaboratif et d’échanges vis-à-vis de ces initiatives, donc quand l’Agglomération de l’Auxerrois ou toute autre collectivité initie des projets en matière de développement économique, nous sommes foncièrement pour ! ».

Quant au sujet de la RSE, longuement évoqué par les signataires du jour, il s’inscrit dans les gênes des nouveaux partenaires ; la CPME y accordant une extrême importance. « On va vous solliciter très régulièrement, lancera en guise de boutade le successeur d’Olivier TRICON.

Dès le 04 octobre sera initiée une réunion avec l’ensemble des indépendants, commerçants, artisans par la CPME pour faire connaître le site technopolitain auxerrois ; une excellente entrée en matière pour communiquer davantage sur les projets novateurs liés à la RSE et autres facettes qui sont déployées dans cet écrin de réflexions, implanté tout proche de la nature.

Second cerise sur le gâteau, Baptiste CLERIN et Emmanuelle MIREDIN (secrétaire générale de la CPME 89) souhaitent installer le pôle RSE propre à la RSE dans ces locaux pour y réunir des adhérents du mouvement patronal et pour y inviter des acteurs publics facilitant la mise en forme de ces démarches favorables à l’environnement. Des demandes spécifiques, sur la ressource en eau notamment, ont été faites par les entrepreneurs adhérents de la CPME en attente de solutions et de bonnes pratiques.

Un excellent sujet de réflexion pour augure de la plus belle des manières ce partenariat naissant…

 

Thierry BRET

 

 


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Ouvrant le bal des festivités commémorant les 800 ans de l’affranchissement d’Auxerre, trois conférences étaient proposées à l’Abbaye Saint-Germain. Se succédant à la tribune, l’historien Patrice WAHLEN, l’avocat honoraire Jean-Louis ALLIOT et le numismate Éric VANDENBOSSCHE ont rappelé tour à tour le contexte historique de l’époque, les clauses de la charte signée en 1223 et de celles l’ayant précédée, ainsi que les monnaies en circulation au XIIIe siècle. Une belle entrée en matière pour découvrir qui était la comtesse Mathilde de Courtenay et son rôle majeur dans l’émancipation de la cité.

AUXERRE : On ne triche pas avec l’Histoire et il faut bien reconnaître qu’avant ce week-end, nombreux étaient ceux pour qui le nom de la comtesse Mathilde de Courtenay n’évoquait au mieux, qu’une artère tranquille, aux portes du centre-ville, juste derrière l’Arboretum ! La séance de rattrapage aura duré tout le week-end et il y avait urgence, semble-t-il, si l’on en juge par l’affluence record enregistrée ce vendredi soir à Saint-Germain. Pas tous les jours que des conférences se jouent à « guichet fermé » et faute de pousser les murs, il a fallu rajouter des sièges !

Mais qui était Mathilde ? Pour la patronne de Guédelon, Maryline MARTIN, venue ouvrir les débats, « un personnage absolument incroyable, une femme moderne comme je pense qu’il n’y en a aucune dans la salle… ». Rappelant qu’à l’âge de sept ans, elle signait un premier traité donnant autorisation aux moines de l’Abbaye de Reigny d’utiliser l’eau de la Cure pour leur moulin. Arrière petite fille du roi capétien Louis VI le Gros, fille de Pierre II de Courtenay, héritier du trône de Constantinople, « c’est du lourd, du très lourd… prévient Patrice WAHLEN, l’historien médiéviste bien connu, rappelant que les comtés de Nevers, d’Auxerre et Tonnerre ne faisaient alors pas partie de la Bourgogne : « l’Auxerrois ne sera vraiment bourguignon qu’à partir de 1435, n’étant jusque-là qu’une sorte d’état tampon au caractère « francilien », entretenant des relations avec le domaine royal et la Bourgogne… ».

 

 

Mathilde est une étape importante dans un long processus…

 

Avant l’affranchissement de tous ses habitants, Auxerre était sous la tutelle d’un régime féodal reposant sur un partage du pouvoir entre l’évêque, « maître absolu et éminent », le comte, « qui devait hommage à l’évêque », l’abbé de Saint-Germain, « pour la partie extra muros » et, plus anecdotique, le duc de Bourgogne, « qui possédait l’enclave dite Seigneurie du bourg Saint-Gervais, aujourd’hui quartier de la gare… ». Un schéma tripartite mis à mal par une explosion démographique et commerciale sans précédent, « boostée par la proximité d’Auxerre avec les célèbres « foires de Champagne », qui étaient autant de lieux d’échanges internationaux… ».

Une époque qui vit l’émergence d’une bourgeoisie marchande réclamant plus de droits et la modification de ce système féodal freinant la liberté de commercer : « d’où l’importance de ces traités, de ces chartes, qui vont faire craquer une grande partie de ce carcan… ». De l’incendie ravageur que connaitra Auxerre en 1188, naîtra une première charte promulguée par Pierre II de Courtenay, avec notamment l’exemption de la « mainmorte », du nom de ce droit dont jouissait le seigneur, de s’emparer de la succession de ses sujets à leur mort. Suivie en 1194, d’une seconde charte modérant et plafonnant taxes et autres servitudes. Autant d’avancées que la comtesse Mathilde reprendra dans la charte de 1223, d’où ces mots de l’ancien professeur d’histoire : « ce qui me gêne un peu dans certaines formulations de presse, c’est qu’on laisse entendre qu’avant, il n’y avait rien et qu’heureusement, telle Zorro (sic !), Mathilde arrive sur son grand cheval… ».

Pas de quoi pour autant briser l’aura de la « Noble Dame », saluée pour avoir élargi et consolidé les libertés personnelles existantes, avec notamment un affranchissement de tous les Auxerrois, serfs compris et l’officialisation des douze bourgeois à qui l’on confiera la ville, précurseurs d’une future municipalité : « une étape fondamentale d’un très long processus, mais Mathilde n’en n’est ni à l’origine, ni à l’aboutissement… ».

 

 

Une des rares femmes du Moyen-Age à frapper la monnaie…

 

Pas de quoi pour autant refroidir l’enthousiasme de l’ancien avocat et conseiller municipal Jean-Louis ALLIOT qui, tout en privilégiant dans son discours le cadre juridique de la charte de 1223 plutôt que son contexte historique, ne pouvait cacher son admiration pour la comtesse de Courtenay : « je trouve extraordinaire qu’une grande aristocrate vienne dire que le servage est une infamie, alors que nous sommes six-cents ans avant la déclaration des Droits de l’Homme de 1789… ».

S’interrogeant toutefois sur la genèse de ces différentes chartes, « sont-elles la conséquence d’émeutes à Auxerre en 1188, comme on en a connu à Sens, où on a tué l’abbé, on ne sait pas… ».

Insistant sur le fait qu’à travers ces différentes chartes, était reconnu le pouvoir royal : « avec Pierre de Courtenay, le texte fait autorité et la souveraineté royale pouvait s’imposer à l’Auxerrois, permettant aux bourgeois de saisir la cour du roi… ».

Retraçant les différentes monnaies en cours dans le paysage auxerrois aux XIIe et XIIIe siècles, le numismate Éric VANDENBOSSCHE a rappelé pour sa part, que bien avant Marguerite de Bourgogne, la Comtesse Mathilde de Courtenay fut une des rares femmes du Moyen-Age, à frapper monnaie à son nom dans son atelier de Nevers. Une monnaie qui dit-on eut grand succès, même si elle n’hésita pas à en modifier la composition : « il est vrai qu’à la fin de sa vie, l’on y trouvait beaucoup plus de cuivre que d’argent… ».

Mais on sait depuis longtemps que « l’agent ne fait pas le bonheur », contrairement à la liberté des hommes !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Occupation de terrain ! On se croirait dans l’univers rugbystique – normal, deux maillots de l’équipe du XV de France étaient offerts aux personnes présentes à l’issue d’un quizz relatant l’historique de la Société Générale – mais c’est bel et bien de banque dont on parle. En endossant la vêture de nouvelle directrice de l’agence locale, Sevda KOKEN, une ancienne de BNP Paribas et de KOLB, entend bien conquérir de nouvelles parts de marché. Comme dans un match de l’ovalie, en somme !

 

JOIGNY : Ils affichent de larges sourires, les heureux gagnants d’un soir ! Deux couples de clients, fidèles aux valeurs traditionnelles de la Société générale qui apprécient le nouvel univers se présentant à eux. Un cadre à l’estampille de la SOC Grand-Est devrait-on dire après les dernières fusions entre les deux filiales qu’étaient la KOLB et le Crédit du Nord, deux entités régionalistes de la puissante maison mère, l’une des valeurs sûres du CAC 40.

Normal, les clients invités à cette cérémonie de présentation de la nouvelle équipe – Sevda KOKEN transfuge de la KOLB d’Auxerre hérite du poste de directrice de l’agence de Joigny à l’estampille de sa nouvelle bannière représentative et succède à Bruno GARCIA faisant valoir ses droits à la retraite – ont reçu en guise de lots pour avoir répondu positivement aux questions d’un quizz retraçant les grandes étapes de la Société Générale deux maillots de l’équipe de France de rugby.

Derrière ces aspects festifs d’un soir – une fin d’après-midi dirons-nous – se cache la volonté intrinsèque de la nouvelle direction de marquer déjà son territoire. Tant sur le JOVINIEN que sur le MIGENNOIS, voire même la Puisaye, un autre terrain de chasse de la structure bancaire.

 

 

Une agence de six personnes tournées vers les particuliers et les professionnels

 

Ayant fait ses gammes à Joigny où elle débuta au sein de la BNP Paribas en qualité de conseillère commerciale, la jeune femme, membre de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre, effectue donc un retour en force dans la localité. Elle y retrouvera d’ailleurs d’anciens clients qui fréquenteront la vitrine commerciale de la nouvelle entité après les rapprochements survenus en début d’année.

Forte de six personnes, l’agence bancaire a même vu la création d’un nouveau poste dédié à la clientèle de professionnels au 01er juin. Une volonté d’optimiser ce secteur d’activité en profitant des acquis des ex-collaborateurs de la KOLB, davantage baignés dans la culture bancaire pour les entreprises.

« Avec ce point commercial, nous souhaitons être plus proches de la clientèle de cette vaste zone de chalandise, précise Sevda KOKEN, tout en dynamisant la conquête de nouveaux clients… ».

Régionaliser la stratégie de la Société Générale au plus près de ses cibles à l’échelle du quart Grand-Est est un sujet de motivation pour la nouvelle équipe qui posera in fine sur la photographie presque de famille !

 

Thierry BRET

 

 


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Toujours prompt à réagir au moindre frémissement de l’actualité, le président du groupe Rassemblement National de Bourgogne Franche-Comté Julien ODOUL souhaite que des sanctions tombent à l’encontre du premier vice-président de la Région et premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de Côte d’Or, Michel NEUGNOT (à date, ce dernier est suspendu à titre conservatoire de cette dernière fonction par sa formation politique). Explication de texte…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il a effectué sa rentrée politique il y a quelques jours en invitant ses aficionados et partisans lors d’une rencontre conviviale accueillie à Cézy (plus d’une centaine de personnes) ; le voici qui déboule à la vitesse grand « V » dans les projecteurs de l’actualité régionale en réagissant au contentieux opposant l’un des bras droits de la présidente de la Région, le socialiste Michel NEUGNOT (premier vice-président de l’organe institutionnel en charge notamment de la mobilité et des transports) à l’élu du conseil communautaire de Nevers Agglomération, Mahamadou SANGARE (voir l’article publié dans nos colonnes à ce sujet).

Une curieuse affaire où des paroles auraient été prononcées par l’élu régional à la célèbre moustache, liées à un « baobab » plutôt incriminant pour qualifier le conseiller municipal de Nevers…une affaire en cours où toute la lumière doit être faite après enquête.

C’est justement sur le principe de la « vérité qui se doit d’éclater » que Julien ODOUL est intervenu hier, communiqué de presse à l’appui, pour exiger des explications autour de ce différend et surtout la prise de sanctions immédiates contre le premier vice-président de l’institution régionale.

« Les atteintes à la dignité de Mahamadou SANGARE sont choquantes et inacceptables, écrit le porte-étendard du RN régional, au-delà des divergences politiques, je lui apporte mon soutien ainsi que celui des élus du Rassemblement National… ».

 

 

Une motion pour exiger le retrait du vice-président de la Région

 

Suspendu temporairement par le bureau national du Parti Socialiste, le premier fédéral de Côte d’Or Michel NEUGNOT, pour sa défense, nie toujours avoir prononcé ce terme « baobab » qui aurait été adressé à l’élu de la Nièvre, selon des témoins.

Mais, de cela, Julien ODOUL et sa formation n’en ont cure.

« Le soutien aveugle et obstiné de la présidente à son vice-président est une marque de déshonneur et de discrédit pour la majorité régionale, ajoute-t-il quelques lignes plus loin.

Puis, menaçant, il poursuit « si le Parti Socialiste ne sanctionne pas Michel NEUGNOT pour ses propos à caractère raciste, le groupe RN déposera lors de la prochaine assemblée plénière du 20 octobre une motion pour exiger le retrait de sa vice-présidence de la Région Bourgogne Franche-Comté… ».

C’est sûr : pour la reprise des travaux de la Région après la trêve estivale, il devrait déjà y avoir du sport dans l’hémicycle régional, du fait de cette affaire de « baobab ».

Les élus en profiteront peut-être pour méditer sur un fameux proverbe bantou : « il est plus facile d’arracher un brin d’herbe dans le pot de fleur de son voisin qu’un baobab dans son propre jardin ! ».

 

Thierry BRET

 


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