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L’opération, à 100 % altruiste, en appelle nécessairement d’autres. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute dans l’esprit de ce chef d’entreprise humaniste. Aider son prochain ne lui pose aucun problème. Y compris en prenant sur soi et son précieux temps de travail ! Quinze jours durant, Jérôme LECOMTE offrira ses services, en qualité d’opticien, au profit de l’association « Pour les Yeux du Monde ». Une immersion à bord d’un bateau hôpital, naviguant sur le Mékong, pour y prodiguer conseils, soins et interventions…

 

AUXERRE : Drôle d’équipage que celui-ci ! Ils seront sept praticiens et professionnels de santé à embarquer sur le navire affrété par la structure associative, « Pour les Yeux du Monde », dans cette belle aventure faite de solidarité et de générosité, sur le Mékong. Ce fleuve, l’un des plus longs de la planète, traverse plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est dont le Cambodge, étape privilégiée de cette expédition sanitaire importante.

Il est donc loin le temps du Kampuchéa – ancien nom donné à ce joli pays de l’Asie coincé entre le Vietnam et la Thaïlande par les Khmers Rouges – qui vivait sous un dictat totalitaire. Le Cambodge a repris ses droits dans son appellation et sait accueillir les millions de touristes de passage. Même ceux qui y pratiquent le bienfait lors de missions humanitaires, sous l’égide de la prévention.

 

Une opportunité altruiste à ne pas laisser passer !

 

Créée il y a une vingtaine d’années, l’association « Pour les Yeux du Monde » propose ses services sur le terrain en venant consulter les populations les plus défavorisées qui n’ont pas forcément accès aux soins. Son siège est à Saint-Jean-de-Luz. Cela ne l’empêche nullement de recruter parmi ses membres ophtalmos et opticiens, mais aussi infirmières et orthoptistes, voire spécialistes de la logistique, pour assurer ses bonnes œuvres caritatives et salvatrices. Deux cents adhérents composent à date la structure qui a ciblé deux pays du globe pour assurer ses opérations de dépistage autour des problèmes de la vue cette année, Madagascar et le Cambodge. Où se rendra d’ici quelques jours Jérôme LECOMTE, opticien auxerrois : il gère la destinée de la boutique « OPTIC 2000 », pour y vivre sa toute première mission à l’international.

« C’est en juin 2022 que j’ai rejoint l’entité associative, précise le professionnel de santé, une place s’est libérée dans ce projet cambodgien monté avec le concours du responsable national du pôle optique de l’association. Une opportunité que je n’ai pas laissée passer ! ».

 

La quête de partenaires pour optimiser les missions

 

Du 30 septembre au 13 octobre, Jérôme LECOMTE s’envolera aux confins de l’Asie du Sud-Est avec le fol espoir de pratiquer un maximum de dépistages et d’opérations (cataractes, glaucomes…) auprès des populations locales, invitées à se rendre à bord de ce bateau disposant d’un bloc chirurgical et devant effectuer de l’itinérance sanitaire sur l’un des dix plus grands fleuves du monde. En qualité de bénévole – sur la base du volontariat, il prend à sa charge les frais de transport et la nourriture -, l’opticien de l’Yonne lance un message auprès de potentiels partenaires (clubs services, entreprises…) qui seraient intéressés par la cause. Notamment dans le besoin de matériels ophtalmologiques. Le groupe ESSILOR, l’un des leaders intervenant sur les verres de lunettes, a intégré le club plutôt restreint des soutiens inconditionnels de ce projet.

De son côté, Jérôme partira au Cambodge chargé de dix kilos de montures dans ses valises ! Celles-ci proviennent de dons, de collectes, de récupérations offertes par ses fournisseurs habituels.

Durant ce périple, le bateau prévoit d’accoster non loin d’une école près de Phnom-Penh, la capitale, pour y ausculter de jeunes scolaires. De l’altruisme, jusqu’au bout des ongles, ou des lunettes selon le cas !

 

Thierry BRET

 


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Le spectre de la réforme des retraites, viendra-il hanter ces Jeux Olympiques de 2024 ? On est en droit de s’inquiéter de mouvements sociaux importants lors de leur organisation. « Pas de retrait de la réforme, pas de Jeux Olympiques à Paris ! », ont prévenu des militants de la CGT ayant envahi le siège du comité d'organisation de Paris 2024 à Saint-Denis. En guise de galop d’essai, nous attendions le comportement desdits syndicats lors de la Coupe du monde de rugby, accueillie en France depuis septembre. A date, rien n’est venu entraver le bon déroulement de l’épreuve !

 

TRIBUNE : Les syndicats en perturbateurs des Jeux de Paris l’été prochain ? A l’aide de mouvements de grèves, manifestations et autres blocages dans la capitale déjà engorgée ? Cette perspective est bien réelle ! D’autant que ces mouvements sociaux pourraient avoir le soutien du public, et ce pour deux raisons !

La première, c’est que les épreuves seront suivies sur des écrans de télévision, de téléphones portables et autres tablettes. La seconde est d’ordre pécuniaire. Depuis le 11 mai et l’ouverture de la deuxième phase de ventes de billets (à l’unité cette fois), les témoignages affluent sur les réseaux sociaux afin de dénoncer les prix exorbitants pour assister à la majorité des épreuves.

Un premier prix frisant les 700 euros pour des sessions d’athlétisme (680 euros), 500 euros pour la natation, 480 euros pour la gymnastique, l’escrime et le judo à guichets fermés. Sans compter les 2 700 euro minimum pour assister à la cérémonie d’ouverture sur la Seine.

Le tout dans un contexte inflationniste dominant ! Mais, pondérons notre propos ! Si vous souhaitez des places entre 24 et 180 euros, il convient d’être adepte de l’haltérophilie. De plus, il existe aussi des places gratuites : se trouver sur le parcours du marathon et du triathlon… Alors de quoi se plaint-on ?!

 

 

Ne pas ternir la célébration de l’universalisme par le sport

 

Pour les Jeux Paralympiques, 500 000 places seront disponibles à 15 euros. Ensuite, on en trouvera à 25 et 100 euros ! Nos sportifs vivent leur handicap avec beaucoup de pureté, d’humilité, et de force ! Ils ont tous les handicaps possibles mais à l’inverse de nombreux bienportants, certainement pas celui du cœur. On peut appeler les syndicats à mettre en retrait leur velléité revendicative lors de cette séquence des Jeux !  

En 2021, Emmanuel MACRON avait reçu les médaillés français des J.O. : « Si la France ramène une trentaine de médailles (en parlant de 2024), ce n’est pas assez… à la maison, il faudra faire beaucoup mieux ». « Beaucoup mieux », en parlant des stratégies du locataire de l’Elysée, c’est ce que pense aussi la majorité des Français !

Il n’y a pas de doute que les Jeux Olympiques et Paralympiques portent l’image d’une fête sportive de caractère mondial, avec l’idée d’un modèle de fraternité et de rencontre des peuples, mis en avant à l’occasion de chaque olympiade...

Espérons que rien ne viendra ternir cette magnifique manifestation sportive. « Si tu veux courir, cours un kilomètre. Si tu veux changer ta vie, cours un marathon » disait le regretté coureur tchèque, Emil ZATOPEK. Méditons cette phrase en souvenir de lui !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La Puisaye, c'est un peu la Corse de l'Yonne, m'affirma un jour Denis le boucher qui en était natif ! Moult hameaux, d'imposantes routes bordées d'arbres qui descendent et serpentent. Indéniablement, l'un des territoires icaunais les plus atypiques. Sa capitale, cité natale de sieur LAROUSSE, c'est Toucy. Moins de 3 000 habitants au compteur et un marché du samedi dont la réputation dépasse largement les limites de la contrée. Il a obtenu en 2018 une très jolie sixième place au concours des plus beaux marchés de France, organisé par TF1, excusez du peu !

 

TOUCY : Face à l'imposante statue du grand homme se tient un nouveau restaurant : « l'Ataraxie » (terme philosophique quelque peu lié à l'épicurisme...). Il est ouvert depuis juin dernier. Qui a dit qu'il ne se passait rien de nouveau dans l'Yonne, au niveau de ses tables ? Pas nous, pour sûr !

Antan ici, ce fut dix ans durant « Le Délice des Galets », créé par le sympathique chef auxerrois Eric GALLET et sa sœur, Valérie. Place à un jeune couple désormais,  avec un chef au joli CV étoilé, chez le franc-comtois Romuald FASSENET à Sampans (Jura), à la Côte-Saint-Jacques, la « Villa Madie » dans les calanques de Cassis...

 

Une mise en bouche agréable pour bien débuter le repas !

 

Le décor est couleur gris-taupe, à l'unisson de la mode actuelle. Faudrait pas plus sombre ! Heureusement de mini-lampadaires apportent une touche lumineuse bienvenue ! Et auparavant par téléphone, la réservation fut plutôt aimable ! L'assise est confortable et la mise de table harmonieuse. Sans philosopher nullement - ! - l'on se saisit du menu : la première formule est à 20 euros. Elle semble convenir aux maçons de la table voisine.

L'accompagnement de l'apéritif est délicieux, c’est une sorte d'allumette au fromage, façon baguette. C'est surprenant et change de la sempiternelle gougère. La mise en bouche au melon est fort bien assaisonnée. De bon augure pour commencer le déjeuner ! Le service est aimable mais semble...se chercher quelque peu !

 

 

 

 

Un bon point pour les entrées


L'entrée se compose de tomates de couleur (profitons-en, car  la saison se termine...), siphon de mozzarella, pesto aux herbes d'été. Elle est délicieuse et fraîche, en cette semaine de forte chaleur. Les tomates variées sont mûres et douces. Quant à l'assaisonnement, il est à point. Pour saucer, le pain semble un rien quelconque et pas à l'unisson de cette bonne cuisine. Mention spéciale pour l'autre entrée : un œuf parfait au caviar osciètre servi à 29 euros, accommodé avec une sauce délicieuse.

 

Des plats de résistance  à l’unisson…

 

En plat vient le tour du filet de turbot côtier à l'impeccable cuisson. Il est agrémenté d’une délicate poêlée de caviar de courgette et légumes estivaux. Un plat où tout est à l'unisson.

Le ris de veau, façon meunière, est parfaitement cuit. Il est lui aussi délicieux, peut-être le jus un brin trop réduit et légèrement trop salé. Mais, sans que cela ne rompe l'harmonie de cette belle assiette. Girolles et pommes de terre persillées sont proposées en accompagnement : ces dernières auraient mérité un léger poêlage pour un brin de croustillance.

 

 

Des débuts très prometteurs !

 

Quant au dessert, il est frais et de saison. L'un des credo de cette jeune maison ! Il est à base de nectarine et de pêche, avec sa délicieuse infusion glacée à la mélisse !

Point besoin d'être devin, pour comprendre que cette jeune table cultive une ambition certaine et méritée. Avec des débuts prometteurs. L'Yonne, on le sait, est une terre de bonnes tables : « L'Ataraxie » vient s'y ajouter !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : le pain est un peu quelconque. Si  le service est aimable, en revanche, il doit se positionner !

Les + : la très bonne cuisine de saison qui est proposée dans les assiettes.



Contact :

 

L'Ataraxie

07, Place de la République

89130 TOUCY

Tel : 03.86.44.83.67.

Ouvert tous les jours sauf lundi et mardi.



Gauthier PAJONA

 

 


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Elles sont 217 victimes de la modernisation technologique. 217 personnes qui auront peut-être un jour leurs noms gravés sur une stèle de marbre, blanc comme un linceul, sur l’autel du souvenir passéiste et du travail mémoriel que l’on sait tant cultiver en France ? Sur l’épitaphe, une formule toute trouvée sera inscrite : « disparu par perte et profit dans l’intérêt de la productivité au nom de la sacro-sainte prédominance technologique ! ».

Même Georges ORWELL n’aurait pas fait mieux dans « 1984 », ouvrage à lire et à relire, sans cesse, dont on pourrait méditer longtemps les théories.

 

Les premiers sacrifiés sur l’autel de la dérive technologique

 

L’information est donc tombée comme une lettre très discrète à La Poste avec un timbre facilitant l’envoi au ralenti : une société spécialisée dans la veille médiatique – c’est très inquiétant pour le devenir de ces métiers intellectuels et de réflexion -, originaire de l’Hexagone, malgré son appellation aux références anglicistes (« ONCLUSIVE »), a pris acte de se séparer cette semaine de 217 de ses collaborateurs, sacrifiés sous le sceau de l’adoption de l’intelligence artificielle.

Cette fameuse abréviation, « IA », dont on nous rabâche tant les oreilles depuis des mois et que l’on porte aux nues de la réussite absolue pour mieux révolutionner le monde du travail à grands coups de modernisme asocial s’avère être un…implacable cancer qui va ronger petit à petit et de manière incurable, la plupart des représentants de l’humanité…

Une humanité, tellement vulnérable et bien trop faible pour réagir devant l’inaltérable alors qu’il est encore temps de bouger et de dire stop à toutes ces dérives que l’homme, premier prédateur de l’homme, sait si bien inventer. Une vulnérabilité qui a atteint son paroxysme comme devant le réchauffement climatique, la dérive totalitaire des autocraties, l’absence de maîtrise de l’inflation voulue par les spéculateurs, la perte des libertés et celle des valeurs civiques qui se font égorgées au coin de la rue.

 

Un XXIème siècle de progrès et d’évolutions sociétales !

 

Les premières victimes en France ont donc chuté cette semaine, dans une relative et discrète indifférence médiatique, entre le voyage papal faisant halte au vélodrome de Marseille – il n’y a donc que les supporters de l’OM à croire encore au miracle alors que leur équipe vit une de ses pires crises entre dirigeants ! - et les fastes culinaires permettant aux monarques de Grande-Bretagne de rejouer les grandes eaux de Versailles en se sustentant richement à nos frais.

Mais, symboliquement, les « grandes eaux », ce sont sans doute les pleurs de ces 217 sacrifiés et de leurs familles dont les têtes sont tombées sur le billot du progrès et de la modernisation à tout crin, de la froide rentabilité et des économies à rationnaliser à tous les étages de la société, et surtout dans les moindres recoins de la vie entrepreneuriale. Mais, dans quel monde vit-on ?! Et, on ose parler de XXIème siècle et de ses évolutions !

La statistique fait froid dans le dos, car évidemment, sur ce sujet qui fait saliver d’aise tous ces petits génies de l’électronique, des « big data » et du numérique déshumanisés, le pire est devant nous. Comme l’inexorable fonte des icebergs et des glaciers devant disparaître d’ici une cinquantaine d’années.

 

 

 

La perte de plus de 300 millions d’emplois à moyenne échéance

 

Plusieurs études l’attestent : il est dit que l’intelligence artificielle remplacera 85 millions d’emplois d’ici 2025 de par le monde. Et, les spécialistes, tout de go, d’ajouter que cette même intelligence artificielle au cœur décharné et au sang de navet (!) devrait créer 97 millions d’emplois sur la même période, soit un différentiel en solde positif de 12 millions de jobs à ajouter dans l’escarcelle de la valeur ajoutée.

Oui mais…cela reste naturellement à prouver et ce ne sont pas les 217 premières victimes officielles de France qui diront le contraire lorsque d’ici quelques jours elles quitteront la tête dans les chaussettes et le moral en berne leur lieu de travail avant de se remettre sur le marché de l’emploi, en tentant de se reconvertir tant bien que mal selon les âges ou à défaut d’aller pointer au chômage jusqu’à percevoir le salvateur RSA, synonyme de précarité et de misère!

Dans l’absolu, toutes les projections réalisées par les plus grandes structures de l’économie américaine se rejoignent dès qu’elles anticipent l’avenir de l’emploi. Ce sont au bas mot plus de 300 millions de postes qui devraient être supplantés par l’intelligence artificielle d’ici une génération. Combien de temps, en fait, dix ans, vingt ans, un peu plus ou un peu moins avant que le couperet ne s’abatte sur les gorges offertes au sacrifice ?

Seul point de satisfaction qui pourrait redonner le sourire – il est plutôt jaune citron acide en vérité -, c’est le coup de booster apporté aux entreprises au niveau de la productivité. L’intelligence artificielle pourrait faire augmenter le produit intérieur brut mondial de…7 % !

A la bonne heure pour les multimilliardaires de la planète et autres spéculateurs qui s’enrichissent aux dépens des malheurs des autres et qui en verront les fruits en espèces sonnantes et trébuchantes, n’en doutez pas !

 

 

Deux emplois sur trois impactés par ce fléau technologique

 

Mais alors, quid de toutes ces personnes actives, vous et moi, aujourd’hui menacées par l’expansion inévitable de ces « chatGPT » et consorts de la même veine qui équivalent au quart de l’activité économique mondiale à supprimer ?

45 % des tâches administratives et des fonctions support ne seront plus effectués par des humains à l’avenir dans les entreprises. Cela fait peur ! L’automatisation des processus va gangréner progressivement des pans entiers de l’économie à l’instar des filières de l’industrie, des banques, des assurances, des services, du commerce, de la presse, des arts, de la musique, de la gestion, du droit, de l’agriculture, de l’automobile, de la mobilité, de l’énergie…La liste est loin d’être limitative, sic !

Deux emplois sur trois seront impactés par l’intelligence artificielle, d’après les projections émises par tous les spécialistes. Mieux que le réchauffement climatique, les coronavirus et les menaces belliqueuses des états impérialistes proches de déclencher la Troisième Guerre mondiale, voilà l’IA et son insidieuse déclinaison qui va détruire l’homme dans ce qui lui est le plus cher : son travail, auxiliaire nourricier de toute son existence, et de sa famille…

Tous les métiers dits « intellectuels », condamnés à disparaître, sont les cibles potentielles de ce nouveau fléau des temps modernes, véritable cancer de la société d’aujourd’hui et de demain.

Souhaitez-vous vous laisser guider avec un sourire béat à l’abattoir, sans protester comme des moutons de Panurge ? Il est grand temps de changer de paradigme, de revenir aux fondamentaux des valeurs humaines… et d’arrêter enfin ce jeu de massacre planétaire qui nous guette !

 

Thierry BRET

 

 


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Le 27 avril dernier, il effectuait un déplacement important dans l’Yonne, en prenant le temps de se poser au lycée de Sens et au collège de Pont-sur-Yonne. Le voici de retour dans la capitale de l’Yonne, ce jeudi, à l’occasion de l’inauguration du Parcours d’Accès Spécifique Santé (le PASS), dans l’amphithéâtre de l’IUT Auxerre. Satisfait de se retrouver en pareille circonstance, Pierre N’GAHANE, recteur de l’Académie de Dijon, ne peut que se « réjouir de la mise en forme de ce projet », prometteur pour le territoire icaunais…

 

AUXERRE : Il est très aimable et souriant, le recteur de l’Académie de Dijon. Un petit mot adressé à l’un des élus qu’il croise. Une franche poignée de main et un bonjour très courtois aux représentants de la presse, avant qu’il ne gagne son siège aux premiers rangs de cet amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre qui, dans quelques minutes, vivra l’avènement officiel de ce parcours d’accès spécifique aux métiers de la santé, le PASS dont les élus du cru attendent beaucoup.

On les comprend au vu de l’enjeu et de l’engagement de ses suiveurs. Cette grande première aura réuni tout un aréopage de personnalités du terroir et de professionnels de santé, aux alentours de 18 heures, ce jeudi après-midi.

En poste depuis mars 2022 en Bourgogne Franche-Comté, Pierre N’GAHANE est invité à la tribune pour y prendre la parole. Succédant ainsi aux deux parlementaires, la sénatrice Dominique VERIEN et le député André VILLIERS, et avant eux, la représentante du Conseil Régional Isabelle POIFOL-FERREIRA, qui avaient exposé leurs commentaires face aux invités. Il y avouera publiquement sa « relative surprise sur les caractéristiques du département de l’Yonne ».

 

L’effet de surprise, une fois les caractéristiques de l’Yonne analysées

 

Ne soupçonnant pas le caractère « rural » de notre territoire, pourtant le plus septentrional de Bourgogne et limitrophe à l’énorme poids lourd économique qu’est l’Ile-de-France, Pierre N’GAHANE n’imaginait pas que notre département ait autant de différences fondamentales et défavorables par rapport à la…Nièvre. « C’est un territoire sur lequel nous devons avoir une attention très particulière… ».

Un item que le haut fonctionnaire aura maintes fois partagé avec ses homologues et élus lors de ces immersions en terre icaunaise, « l’offre, en matière d’enseignement supérieure, est proportionnellement moins importante que dans la Nièvre ».

C’est donc ouvert à la création de nouveaux projets en lien avec l’Université de Bourgogne, permettant de renforcer les potentialités générées par l’enseignement supérieur, que Pierre N’GAHANE a assisté à ce grand rendez-vous inaugural, permettant à une trentaine d’étudiants de bénéficier d’une première année de santé, baptisée « PASS ».

 

Le plus faible taux d’espérance de France pour un 6ème de rejoindre la terminale !

 

« Nous souhaitons accompagner ces projets qui sont les bienvenus et qui possèdent de l’ambition, ajouta-t-il, nous sommes une académie avec des caractéristiques singulières : l’espérance pour un jeune qui rentre en sixième d’aboutir à la terminale est le plus faible de France. On se situe à 72 % en taux d’espérance… ».

A contrario, celles et ceux qui optent pour la voie professionnelle sont les plus importants de l’Hexagone, avec un taux de sortie le plus élevé six mois après avoir obtenu le diplôme. Les jeunes générations de notre contrée n’auraient donc pas la bosse des longues études supérieures ?!

« Est-ce une question d’ambition ou d’opportunité de l’offre disponible ?, s’interroge alors le recteur prenant son auditoire à témoin, c’est quelque chose qu’il faut regarder de près… ».

 

 

 

Un PASS porteur de réelle ambition et de nouvelles possibilités pour l’Yonne

 

 

Etrange paradoxe que celui-ci, en vérité. Pour autant, selon Pierre N’GAHANE, « l’initiative prise autour de cet accès au parcours spécifique de santé par le Conseil départemental de l’Yonne – le recteur se retourne alors vers Patrick GENDRAUD, président de l’exécutif icaunais et le préfet Pascal JAN assis au premier rang-, est prometteuse avec ses 33 étudiants inscrits dont huit viennent de l’Yonne… ».

Ce PASS représente aux yeux du recteur, un réel besoin d’attractivité pour le territoire d’accueil de ces nouveaux apprenants, que l’académie accompagnera dans la structuration de l’offre scolaire et universitaire.

Avec, pourquoi pas, selon lui – mais il n’en dira pas davantage dans ses propos – un élargissement de l’offre à envisager. Que l’Yonne dispose désormais de plus de possibilités en matière d’enseignement supérieur afin d’attirer des étudiants et de maintenir les siens sur son territoire, personne ne s’en plaindra !

 

Thierry BRET

 

 


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