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Il se frotte les mains avec une exquise jubilation, Magloire SIOPATHIS ! Comment pourrait-il en être autrement puisque l’arrivée d’un nouvel investisseur sur sa commune contribuera inéluctablement à conforter l’essor économique de celle-ci ! Introduit depuis peu sur le marché continental, en Belgique et désormais dans l’Hexagone, le promoteur immobilier américain « TRAMMELL CROW COMPANY » entend bien faire fructifier son business du côté de l’Yonne. Près de onze hectares de parcelles viennent de lui être vendues sur la zone d’AuxR_Parc. Objectif : y accueillir des entreprises positionnées sur la distribution, l’industrie et la logistique.

APPOIGNY : Nom de code : TCC. Un acronyme, connu et reconnu dans le monde entier, sous le vocable angliciste suivant, « TRAMMELL CROW COMPANY ». Fondée en 1948 – un bail dans le monde des affaires et de la promotion immobilière internationale ! -, l’entité américaine possède à son actif une sérieuse carte de visite que nul ne peut ignorer lorsqu’elle se présente à soi !

Qu’on en juge ! Cette filiale de « CRBE Group » – un mastodonte de l’immobilier et du foncier dont le siège est localisé à Dallas – a acquis depuis ses lointaines origines la « bagatelle » de 2 900 bâtiments évalués à 75 milliards de dollars US et plus de 665 millions de mètres carrés, destinés à recevoir des acteurs de l’économie.

Ceux qui proposent aux quatre coins du globe ou presque des activités dans la distribution, la logistique et l’industrie mais aussi dans la santé, les sciences de la vie, voire des projets de bureaux. Employant à date plus de sept cents collaborateurs, la structure a le vent en poupe. Près de 20 milliards de dollars de projets sont en phase de réalisation !

 

Un investissement de 5,9 millions d’euros TTC bénéfique à l’Auxerrois…

 

Au vu des chiffres énoncés, débourser la somme de 5,9 millions d’euros TTC, soit l’acquisition de près de onze hectares de parcelles (10,9 ha avec exactitude) sur le sol d’Appoigny ne représente in fine que bien peu de choses pour cette structure désireuse de poursuivre son expansion européenne.

La filiale de « CRBE Group » a décidé de confier la direction de ses activités en France et en Belgique à Jean-Marc BLANC, qui travaillera en harmonie avec Ian WORBOYS, directeur général et responsable de la logistique européenne.

C’est ce même personnage, clé de voûte de l’entreprise venue d’Outre-Atlantique, qui était présent, ce lundi 05 décembre en terre icaunaise, pour déposer son paraphe symbolique au bas du document officiel contracté avec la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois.

Aux côtés du président-maire Crescent MARAULT mais aussi de Magloire SIOPATHIS, conseiller départemental et maire d’Appoigny et de Nordine BOUCHROU, adjoint à l’urbanisme de la Ville d’Auxerre, le dirigeant américain s’est donc réjoui de signer les trois promesses de vente, équivalentes à environ 109 000 mètres carrés de terrain cédés.

 

 

Des bâtiments bénéficiant de la certification internationale BREEAM…

 

Dans l’absolu, les trois bâtiments – un total de 45 000 mètres carrés - qui s’élèveront de terre devraient accueillir plusieurs entreprises dans les mois à venir. Equipés de panneaux solaires, ils répondront aux normes qualitatives de la certification internationale, BREEAM (Building Research Establishment Assessment Method).

Un standard britannique qui permet d’évaluer les performances environnementales des édifices et leur limitation de Co2. Des critères vertueux afin de protéger la qualité de vie des riverains. 

Une incontestable plus-value pour Magloire SIOPATHIS qui ne peut que se frotter les mains avec ce nouvel acteur de l’économie s’installant dans cette zone d’activité qui compte désormais sept parcelles de terrain vendues.

Quant à TTC, elle lorgne désormais sur d’autres destinations européennes pour y optimiser ses activités immobilières dont l’Espagne, la Grande-Bretagne, la République tchèque, l’Allemagne et la Pologne…

 

Thierry BRET

 

 


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Ce fut une matinée amplement garnie pour les adhérents de la coopérative régionale YNOVAE, accueillis dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel de ville de Joigny. Président du conseil d’administration de la structure, Laurent PONCET eut le privilège de donner le top départ de ce rendez-vous au programme copieux, comprenant la présentation des rapports moraux et financiers avant que ne se soit donnée la parole à l’un de spécialistes du climat et de l’énergie, le conférencier Clément ORY.

 

JOIGNY : Clin d’œil judicieux et sympathique à l’histoire, celle de la structure du jour dont les salons de l’hôtel de ville accueillaient les nombreux représentants en milieu de semaine dernière, c’est ici même, en 1990, que furent posées les premières pierres de l’assemblée constitutive de la CEREPY, entité qui en se regroupant avec CAPSERVAL, porta sur les fonts baptismaux la coopérative YNOVAE. Une structure forte aujourd’hui de ses 844 adhérents qui possède un poids certain parmi les milieux agricoles du territoire icaunais.

S’installant au pupitre afin d’en ouvrir la partie informative ouverte à tous – l’épisode strictement statutaire aura précédé en huis clos pour le conseil d’administration -, Laurent PONCET, fidèle à ses habitudes salua l’ensemble des participants (nombreux, il est vrai) avant de distiller quelques informations pratiques concernant le déroulé de la matinée.

Une feuille de route s’articulant entre les présentations des rapports moraux du directeur Jean-Luc BILLARD – un long exposé tiré au cordeau avec pléthore d’éléments informatifs à connaître sur la vie et les perspectives de la coopérative – et ceux du directeur administratif et financier de la structure Pascal POTET, où chacun des chiffres d’affaires évoqués par l’orateur fut analysé à la loupe pour en appréhender toute la quintessence. On ne pourra regretter pour les observateurs extérieurs que ces travaux n’aient pu débuter réellement à l’heure du fait d’un trop long séjour des participants au point d’accueil café et viennoiseries compris ! Mais, il faut bien que l’utile se conjugue aussi à l’agréable et de la meilleure manière qu’il soit : cela fait aussi le jeu du terrain relationnel !

 

L’adaptabilité au service des associés coopérateurs…

 

Curieuse campagne que celle qui aura couru sur les saisons 2021/2022. De l’aveu de Laurent PONCET, il aura fallu pour les professionnels de la filière se montrer agile, anticipateur, clairvoyant avec plus qu’une dose de sang-froid afin d’éviter les écueils imputables aux crises diverses et variées !

« Il a fallu aux équipes silos adapter des plages horaires spécifiques pour permettre de préserver au maximum la qualité des récoltes afin de répondre aux exigences de nos clients industriels, souligna le président, du fait d’une météo plus qua capricieuse… ».

Entre l’ajustement des normes d’agréages, une augmentation des transferts silos, le travail du grain ou l’augmentation des coûts, les équipes d’YNOVAE – l’appellation rappelle toujours au plan de son lyrisme le nom d’une divinité païenne de jadis ! – ont dû faire montre d’adaptabilité pour arriver à leurs fins.

Signe annonciateur de ce qui allait se passer par la suite, c’est au sortir de la moisson de l’été qu’une certaine élévation des prix applicables sur les engrais (déjà prohibitifs pour les observateurs à l’époque) allait préparer les professionnels à la flambée des prix actuelle. Une hausse s’accompagnant d’une obligation de mise à jour de la réglementation sur les engrais.

Au terme de 2021, le Conseil d’administration et son président devront alors se positionner sur l’arbitrage des investissements de la campagne en cours, en accord avec la politique permettant de disposer d’installations fiables et performantes. La marque de fabrique de cette coopérative qui a toujours eu pour principe de respecter les fondements coopératifs dans le cadre d’un outil collectif au service de l’intérêt général de ses associés coopérateurs.

 

Conjoncture internationale et inflation pèsent sur les marchés…

 

Considérant que l’exercice écoulé fut un tournant dans l’existence de la coopérative, Laurent PONCET aborda ensuite les facteurs humains de la structure. D’autant que celle-ci a vécu de nombreux départs en retraite avec des collaborateurs qui étaient un peu la mémoire collective de la maison.

« Nous avons choisi avec Jean-Luc BILLARD de faire confiance à une équipe de jeunes, motivés, et compétents, prêts à faire tourner l’entreprise dans les années à venir ». Prometteur et encourageant, à la fois ! Tout comme le retour au poste de directeur commercial de Georges LEMINEUR (un ancien de la CEREPY de 1990 à 1998) dès le mois de janvier.

Fait essentiel de la saison analysée par Laurent PONCET : l’acquisition par YNOVAE de la SAS RUZE, un négoce familial que dirigeait jusque-là Sophie RUZE et qui a rejoint l’escarcelle de la coopérative en complétant les activités de la filiale SENOGRAIN sur le territoire.

Se référant à la conjoncture internationale, l’orateur ne pouvait décemment ignorer les conséquences économiques de la guerre en Ukraine, menée par Moscou.

« En une seule journée – le 24 février 2022 -, la tonne de blé a atteint des records à plus de 340 euros la tonne ! » s’estomaqua Laurent PONCET. Avant de poursuivre, « on aurait pu se satisfaire de tels prix mais lorsque l’on pense que c’est le prix des bombes, du sang et des larmes, comment s’en réjouir… ».

Point de fixation pour les inquiétudes : le prix de l’énergie qui s’envole avec la hausse du gaz naturel à plus de 40 % et le baril de pétrole qui flirte avec les cent dollars US.

Continuant dans sa phase analytique, Laurent PONCET mettra l’accent sur les besoins de trésorerie considérables à trouver pour couvrir les appels de marge lors des ventes qui sont opérées sur le marché et le manque d’attractivité de la plus-value générée par les productions sous cahier des charges. A ce propos, le président d’YNOVAE sera très clair : «  il ne faudrait pas que cela se traduise par un désintérêt pour ces contrats… ».

 

Inverser la tendance de régression de l’agriculture nationale…

 

Un peu plus tard, le porte-parole d’YNOVAE aborda le rôle de l’union SEINEYONNE, « un formidable outil qui n’est pas assez connu et reconnu par les adhérents des deux coopératives – YNOVAE et 110 Bourgogne – alors que la valeur des services qui y est apportée est d’excellente qualité ». Notamment dans la commercialisation, le service agro-alimentaire ou encore l’informatique.

D’ailleurs, devait ajouter Laurent PONCET, SEINEYONNE a vocation à s’élargir et créer de nouveaux chantiers collaboratifs, une réflexion est d’ailleurs en cours au moment où se rédigent ces lignes.

Avant de conclure son intervention, le président de la coopérative agricole eut quelques mots sur la future campagne avec une moisson 2022 s’étant déroulée sous des conditions météorologiques plus clémentes et de manière précoce que la saison dernière.

« Le résultat est dans l’ensemble un peu en recul en termes de volumes ; les colzas sont très satisfaisants, les blés auraient pu mieux faire avec une qualité bien présente, les orges d’hiver sont hétérogènes et sans soucis particuliers de qualité à l’inverse des orges de printemps qui, elles, ont des rendements très faibles avec un excès de protéines… ».

Quant aux semis récents de la récolte 2023, ils se sont déroulés dans des conditions optimales.

Renouer avec la souveraineté nationale qu’elle soit alimentaire ou énergétique permettrait de sortir le pays de l’ornière. C’est ce que confirmera dans un dernier élan oratoire ostensiblement plus véhément Laurent PONCET : « au plus haut niveau, l’état de prise de conscience a eu lieu avec des positions allant dans le bon sens. Pour autant, il reste encore du chemin à parcourir pour contrer les bandes d’hurluberlus antitout que l’on a pu voir attaquer récemment des réserves d’irrigation, des élevages, des trains de céréales, des plateformes d’expérimentation ! Cela en toute impunité avec le soutien d’élus de la République qui font honte à leur mandat en se prétendant au-dessus des lois… ». Dont acte !

Gageons qu’en 2023, YNOVAE, au sein de l’entité SEINEYONNE, mettra un point d’honneur à répondre présent pour continuer à produire des céréales en qualité et quantité suffisantes en s’adaptant aux contraintes des changements climatiques.

« Il est grand temps d’inverser la tendance de régression de notre agriculture…et qu’elle regagne la place mondiale qu’elle n’aurait jamais dû quitter, lâchera Laurent PONCET avant de s’effacer définitivement de la lumière des projecteurs.

 

Thierry BRET

 


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L’évènement est ouvert à tous. A celles et à ceux qui ont l’âme pétri d’une indéfectible envie d’entreprendre, il va de soi ! Le cadre, tout d’abord, est prestigieux : la très belle demeure – un magnifique château - construite au XVIIème siècle par une comtesse favorite de l’un des espions de Louis XV ! Le rendez-vous, ensuite, offrira l’opportunité au club d’affaires de Chablis – l’un des trois DYNABUY de l’Yonne – de mieux se faire connaître aux entrepreneurs du cru en proposant moult animations et conférences…

 

PERCEY : Y verra-t-on planer au détour des salles obscures la silhouette fantomatique du mystérieux Chevalier d’Eon, ambigu personnage ayant sévi dans la contrée à l’époque de Louis XV ? Y parlera-t-on d’espionnage puisque cet élégant édifice fut jadis la propriété d’une comtesse qui était régulièrement visitée par cet encombrant ami ? Peut-être !

Quoi qu’il en soit, l’actualité relationnelle et économique de la semaine vivra un moment intense avec cet anniversaire peu commun, célébré par l’une des trois entités structurelles de DYNABUY dans l’Yonne, celle du Chablisien et de ses adhérents devant souffler la première bougie de leur existence ce jeudi 08 décembre en début de soirée.

 

DYNABUY, un réseau d’affaires qui progresse dans l’Yonne…

 

Un club d’affaires, de plus en plus implanté dans le landerneau, qui tisse progressivement son maillage professionnel avec les objectifs de faire connaître ses activités – ce sera le cas immanquablement ce 08 décembre puisque plus d’une centaine d’invités sont attendus au château sis entre Saint-Florentin et Tonnerre -, de pratiquer des échanges constructifs permettant d’offrir de nouvelles opportunités de business, de capitaliser sur le retour d’expérience de ses membres et d’être recommandé par ses adhérents afin de faire fructifier le chiffre d’affaires.

Bref : du pur réseau dans toute sa logique opérationnelle qui s’établit déjà et de belle manière dans les deux autres clubs que compte l’enseigne DYNABUY à Auxerre et à Sens.

Ajoutez-y à cela un zeste de convivialité, une once de bienveillance en saupoudrant le tout d’un sentiment d’amitié, et vous disposez là d’un cocktail réjouissant à déguster sans modération pour les jeunes (et les moins jeunes) entrepreneurs et cadres qui veulent aller de l’avant !

 

 

 

Le patron de SIMON et CIE comme conférencier d’un soir…

 

Jeudi en début de soirée, outre la présentation du réseau dans les moindres détails par l’incontournable Patrick CENDRE qui en est la pierre angulaire dans notre département, les membres des trois clubs et leurs invités auront le plaisir d’écouter Christophe BERTRAND, dirigeant de la très belle société « SIMON ET CIE » localisée à Avallon – elle a repris en 2021 la structure « OLMIPLAST » et ne compte plus les distinctions honorifiques hexagonales pour saluer ses initiatives – lors d’une conférence consacrée à l’un des sujets inéluctables qui est dans l’air du temps parmi les préoccupations managériales : « la transition écologique d’une entreprise via la RSE ».

On notera aussi, si leurs agendas respectifs le permettent, la présence du président de la Communauté de communes Serein et Armance, Yves DELOT – l’édile de Saint-Florentin fut longtemps le PDG de la société CONIMAST et connaît très bien la sphère des décideurs économiques – ainsi que le maire de la commune de Percey, Daniel BOUCHERON.

En sus, l’organisation de cet évènement titille les papilles des convives en promettant surprises et animations, proposées tout au long d’une soirée qui favorisera les relations à l’autre afin d’offrir la possibilité à DYNABUY d’être en pleine lumière dans ce cadre patrimonial très esthétique qui brille d’ordinaire de mille feux grâce à Nathalie et à Fernando, ses nouveaux propriétaires…

 

En savoir plus :

 

Soirée anniversaire du club d’affaires DYNABUY Chablisien

Le jeudi 08 décembre 2022

Au Château de Percey à partir de 19 heures.

Informations et réservations obligatoires sur la référence Facebook du club.

 

Thierry BRET

 


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Il est pleinement rassuré, le président de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT) de l’Yonne. A l’issue de la 22ème rencontre annuelle permettant à l’ensemble de ses homologues de l’Hexagone de pouvoir échanger avec le président du groupe La Poste, Philippe WAHL à Paris, il a le sentiment que les mesures prises en matière d’accompagnement dans l’entreprise portent leurs fruits. Des mesures qu’il qualifie d’indispensables pour que cette structure référente des Français ne connaisse pas le sort de certaines entreprises publiques ou privées…

 

TOUCY : C’est au siège de La Poste, dans la capitale, que se sont déroulées il y a quelques semaines les Rencontres annuelles des présidents des CDPPT. Les fameuses Commissions départementales de Présence Postale Territoriale qui jouent un rôle prépondérant en étant l’indéfectible lien établi entre un groupe entrepreneurial que l’on ne présente plus et les collectivités.

A l’instar de ses collègues responsables desdites commissions, le conseiller régional Gilles DEMERSSEMAN devait assister à ces travaux étalés sur deux journées en sa qualité de président de la CDPPT de l’Yonne. Un organe institutionnel qu’il préside depuis quelques mois déjà mais dont il connaît en vieux routier de la chose publique depuis fort longtemps les moindres rouages organisationnels.

A Paris, l’élu de l’Yonne a eu l’opportunité de suivre les échanges des dirigeants de cette instance capitale pour la territorialité que représente La Poste. Dont Philippe WAHL, le président du groupe postal très attentif aux témoignages de chacun des intervenants, venus des quatre coins de l’Hexagone.

Or, selon Gilles DEMERSSEMAN qui effectue le bilan de ce qu’il a entendu durant deux jours de travail, « les décisions prises sont plutôt rassurantes pour l’exercice 2023 ».

 

 

Le sentiment de désengagement de l’Etat dans les territoires doit s’arrêter…

 

Même si les engagements annoncés lors de cette réunion entre le groupe postal et l’Etat n’étaient pas encore totalement aboutis, il n’empêche que l’Etat a bien décidé en revanche de maintenir à niveau les enveloppes budgétaires consenties aux commissions devant exercer sur les zones départementales. Une information importante, pour Gilles DEMERSSEMAN, d’autant qu’il était un moment question de les rogner quelque peu de leurs précieux subsides.

« Une décision qui s’avère très positive, expliqua-t-il en marge de la réunion trimestrielle du bureau de la CDPPT de l’Yonne accueillie dans l’un des très esthétiques et cosy salons de l’hôtel de ville de Toucy, il a été entendu par l’Etat que ce sentiment de désengagement dans les territoires devait s’arrêter et que les commissions départementales telles les CDPPT représentaient des outils importants pour assurer le maintien d’activité de ses services aux personnes sur le territoire, qu’il soit urbain, rural et périurbain… ».

Toutefois, le maintien en l’état de ces enveloppes budgétaires, au vu des tendances conjoncturelles du moment, correspondent in fine à une baisse, comme devaient le préciser les présidents des CDPPT à Paris !

Réaction de Gilles DEMERSSEMAN : « malgré tout, c’est tout de même un bon résultat que l’Etat ait décidé de les maintenir en référence au contexte actuel ; cela aurait pu être pire ! ».

 

 

Diversifier  les activités de La Poste pour compenser la baisse inéluctable du courrier …

 

Quoi qu’il en soit, le président de la CDPPT 89 estime sur un plan purement stratégique que « la nécessité est désormais de diversifier le plus possible les services de La Poste afin de maintenir le personnel dans l’emploi ».

Avec ses propos, il vise en priorité les facteurs – un de ces personnages professionnels toujours très appréciés de la population en France – car la chute drastique du courrier s’est encore vérifiée à l’annonce des chiffres qui furent présentés lors de ces rencontres parisiennes.

« Nous devons compenser ce manque d’activité par de nouveaux services déclinables auprès de la population, ajouta Gilles DEMERSSEMAN, ce qui suppose de prendre en compte les besoins d’accompagnements des personnels et d’en informer les usagers le plus largement possible… ».

Une évolution de l’entreprise, aujourd’hui, irréversible…

 

Thierry BRET

 


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C’est une plongée spectaculaire sur la médecine ultra performante en termes de technologies et approches humaines, proposée ce soir-là dans l’un des salons de l’hôtel Ibis Style à Auxerre. Un rendez-vous instructif comme sait les concocter si bien le KIWANIS Club local, club service ayant pour adage la formule suivante, « Servir les enfants du monde ». Invitant trois des praticiens qui interviennent au « C3 », les membres de la structure ont disséqué les évolutions thérapeutiques usitées au Centre de Consultations Chirurgicales…

 

AUXERRE: Hippocrate et Ambroise PARE n’en croiraient pas leurs yeux si ces deux figures emblématiques de la médecine revenaient sur Terre ! La chirurgie a connu des progrès technologiques surprenants au fil de ces dernières années, des innovations scientifiques qui permettent aujourd’hui de pratiquer des interventions en ambulatoire, sans trop de contraintes pour la patientèle.

Localement, le Centre de Consultations Chirurgicales C3 – le bâtiment a été érigé non loin de la clinique Sainte-Marguerite – accueille des professionnels de santé qui n’ont qu’un mot à la bouche : celui de l’innovation ! Une innovation qui se traduit concrètement dans les moyens technologiques qui y ont été investis depuis une année. Une stratégie payante dans l’optimisation relationnelle avec les patients.

Il suffisait d’observer les visages surpris et admiratifs des adhérents du club service auxerrois, le KIWANIS, à l’origine de cette conférence pour bien appréhender l’intérêt d’une telle présence sur le territoire icaunais.

 

 

La genèse d’un projet très novateur…

 

Auxerre, et n’ayons pas peur des mots pour l’écrire, dispose avec ce centre atypique d’une unité de soins d’excellence. Un lieu de référence où la robotique et l’intelligence artificielle s’y distinguent au service de l’humain, souffrant de pathologies nécessitant des interventions chirurgicales.

Pour l’évoquer, trois des praticiens de cet établissement qui s’est forgé une solide notoriété dans le sérail. Dont le docteur Yvan LE CONIAT, chirurgien orthopédiste et traumatologue ou encore le docteur Julien SAKAT, chirurgien viscéral et digestif.   

Retraçant la genèse de ce concept très prometteur – l’investissement autour de ce centre a nécessité plus d’un million d’euros -, les médecins livraient leurs commentaires, slides à l’appui, lors de cette présentation devant déboucher sur les inconditionnelles interrogations.

Rappelons que le KIWANIS Auxerre, présidé depuis le 01er octobre par Lucile BEAULIEU – elle-même exerce une activité professionnelle dans le sanitaire mais…au centre hospitalier ! – organise bon nombre d’actions sociales ayant attrait avec l’univers médical.

 

 

Dès 2018, des prouesses technologiques reconnues à l’échelle hexagonale…

 

Lors de la précédente mandature, celle de Jean-François FINANCE, le club auxerrois avait remis une enveloppe de 12 000 euros sous la forme d’un don au service hématologie du centre hospitalier de Dijon.

Précurseur, le centre auxerrois l’a été dès 2018 avec la réalisation de la première biopsie sur prostate ciblée par voie périnéale. Une méthodologie révolutionnaire qui fera mouche puisque quatre ans plus tard, toutes les biopsies sur cet organe se réalisent ainsi. Moyennant un investissement de 190 000 euros par machinerie !

Sur le même registre, qui offre de nouveaux cocoricos à l’établissement auxerrois et permet de réduire la durée d’hospitalisation des patients fréquentant le service urologique : la chirurgie par robot assisté ou l’utilisation du laser pour soulager la prostate.

Le centre envisage l’avenir avec un réel optimisme. En développant les téléconsultations dans les spécialités de l’endocrinologie. En proposant des hospitalisations sur une demi-journée permises grâce à l’apport de ces technologies de pointe mais aussi en s’agrandissant avec une aile qui favoriserait la réadaptation de la patientèle. Bref, affirmer que la relocalisation de la médecine et sa modernisation dans la capitale de l’Yonne est en bonne voie n’est pas une gageure !

 

Thierry BRET

 

 


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