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Pédagogue, à l’écoute d’une assistance venue en nombre – plus d’une centaine de personnes comptabilisées à l’issue de cette séance prolifique en commentaires – l’ancien président de la Région Bourgogne Franche-Comté a évoqué les réussites de la gouvernance actuelle alors que les Grands Débats nationaux se déclinent sans relâche à travers l’hexagone. C’est à Monéteau que le président du groupe LREM au Sénat est venu rappeler les fondamentaux opérationnels de l’institution étatique. Via des exemples très concrets ayant pour items le budget, la retraite, les services publics, l’emploi ou encore la politique de la santé. En distillant quelques pistes de réflexions très intéressantes sur l’avenir de notre pays…   

MONETEAU : Orateur sachant manier le verbe avec aisance et dextérité, François PATRIAT s’est prêté au jeu de l’animation d’un énième épisode du Grand Débat en acceptant de se rendre dans la commune icaunaise au milieu de la semaine dernière. Un exercice de communication qui n’a pas pris au dépourvu le président du groupe LREM au Sénat tant il est coutumier de ces échanges riches et nourris avec nos concitoyens.

Si ce n’est avec les représentants de la sphère médiatique, puisque l’élu de Côte d’Or intègre le panel des personnalités politiques préférées de certaines chaînes cathodiques (BFM, LCI) où il est de bon ton de pouvoir véhiculer ses idées et réflexions pertinentes en seconde partie de soirée.

Là, en présence de l’édile local, Robert BIDEAU, vice-président du Département, et de la conseillère départementale Malika OUNES (également vice-présidente), le chef de file de la majorité présidentielle du terroir Bourgogne Franche-Comté a fait abstraction de toutes caméras et autres microphones pour endosser la vêture du maître de cérémonie d’un rendez-vous porté vers la pédagogie.   

Avant de balayer les grands sujets sociétaux du moment, François PATRIAT s’est dit ô combien satisfait de pouvoir être présent dans l’Yonne afin de participer à ce concept participatif et citoyen. N’éludant pas le schéma protocolaire inhérent à ces rencontres où chacun pouvait s’exprimer en toute liberté, l’élu de Côte d’Or profita de la circonstance pour réveiller les consciences civiques autour du droit de vote. Rappelant que chacun d’entre nous bénéficiait des services publics financés par le biais de nos impôts.

« Je considère en tout état de cause qu’il est difficile de critiquer le système étatique dans lequel nous vivons si déjà de facto on ne vote pas ! ».

Observant qu’un Français sur deux ne payait pas l’impôt, François PATRIAT s’est longuement épanché sur le nécessaire effacement de la dette. Celle-ci, astronomique, fruit d’un cumul établi sur plus de quatre décennies, s’élève à plus de 2 000 milliards d’euros. La charge de cette dette représente 37 milliards d’euros chaque année.

« L’ISF, c’est de l’impôt sur l’impôt ! »

Pour mémoire, le sénateur LREM précisa les orientations prioritaires du gouvernement. « Le Président de la République et le Premier ministre s’emploient à réduire la dépense publique pour remettre le budget de notre pays à l’équilibre. Tout en diminuant la fiscalité… ».

Rejetant toute idée de privilégier le retour de la planche à billets (un vieux serpent de mer qui aura eu comme conséquence principale de dévaluer la monnaie de l’époque – le franc – alors que le niveau de l’inflation s’envolait au-delà des 12 %), François PATRIAT répondit ensuite à l’une des doléances de la soirée, qui caractérise le point d’achoppement essentiel entre les « Gilets jaunes » et le gouvernement, c’est-à-dire la réintégration de l’ISF.

« Si ce dispositif fiscal fonctionnait bien et avait fait ses preuves par le passé, concéda l’ex-patron de la Région, d’autres pays européens l’aurait déjà adopté. Regardez en 1981 : l’ISF était en vigueur tandis que la France recensait 800 000 demandeurs d’emploi. Est-ce que le fait d’avoir ce système fiscal a permis d’augmenter le pouvoir d’achat des Français et de faire reculer le nombre de chômeurs ? ».

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Puis, le sénateur de renchérir sur ce même sujet et d’enfoncer le clou : « D’ailleurs, l’ISF n’a pas été supprimé ! Dorénavant, l’impôt est applicable sur le domaine de l’immobilier avec l’IFI et devrait rapporter une manne financière de 1,450 milliard d’euros. Je rappellerai enfin que la conversion de cet ISF a facilité l’injection de 9,5 millions d’euros dans l’économie française, tout en rassurant les investisseurs étrangers qui ont ramené des capitaux extérieurs dans notre système économique… ».

Suggérant une préconisation personnelle, François PATRIAT proposa alors de taxer à hauteur de 5 % les dividendes des actions boursières. Ce qui permettrait in fine de ramener dans la cagnotte de l’Etat une coquette somme qui excéderait plus de 6 milliards d’euros à l’année. Soit un gain beaucoup plus important que le fruit du seul ISF !

Quant au chômage, l’élu de Côte d’Or observe un net changement par rapport aux dernières évaluations. « Le gouvernement a réduit le taux de demandeurs d’emploi, le faisant passer de 10 % à 8 %. Je précise que la Bourgogne Franche-Comté se situe deux points en dessous de la moyenne nationale ce dont je suis très satisfait… ».

La France est l’un des pays les plus distributifs au monde…

La thématique de la retraite fit surface en toute logique parmi les débatteurs de cette soirée. Bon nombre d’interrogations du public se concentraient sur ce sujet ô combien intéressant. Le président du groupe LREM au Sénat ne manqua de piocher parmi les références historiques de notre nation pour tenter un comparatif astucieux entre les principes vertueux voulus en son temps par le Conseil national de la Résistance et notre système actuel.

« Quand on était en âge de faire valoir ses droits à la retraite à 65 ans en 1945, l’espérance de vie était plafonnée à 62 ans, argumenta François PATRIAT. Aujourd’hui, l’âge légal de la retraite se situe à 62 ans alors que cette même espérance de vie a dépassé les 80 ans ! ».

Le sénateur de Bourgogne détailla par la suite la quote-part distributive des dépenses de l’Etat, se référant à des exemples précis.

« Si l’Etat dépense mille euros, il faut savoir que sur cette somme initiale, 268 euros servent à financer les retraites, alors qu’un seul et unique euro est reversé pour le fonctionnement de l’Etat (35 euros destinés pour le chômage, 17 euros sont injectés pour l’aide au logement, 22 euros alimentent la solidarité…). Aujourd’hui, il nous faudrait un système de retraite plus équitable. Cela passe par la suppression des régimes spécifiques... ».

Précisant à l’assistance qu’il était inutile de faire un procès d’intention au gouvernement (« Nous vivons dans un pays où la tolérance zéro existe… »), François PATRIAT égrena les succès que le gouvernement a déjà mis en place depuis l’accession d’Emmanuel MACRON à l’Elysée. A commencer par la hausse de 6,5 % du SMIC, du jamais vu en de telles proportions depuis vingt ans. Cela méritait d’être dit, afin de rétablir quelques vérités…

 


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Parce que ce dispositif testé en France depuis novembre 2018 offre un maximum de simplifications et d’assouplissements à ses utilisateurs, qu’ils soient patients ou praticiens, le premier bilan chiffré s’avère déjà très positif après quelques mois. Avec 4,3 millions de souscription au niveau national. Et des objectifs d’environ 1,5 million de dossiers attendus pour la seule région Bourgogne Franche-Comté d’ici 2022. Un satisfecit que ne peut qu’exprimer le directeur général de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne, Patrick KAZANDJIAN…

AUXERRE : Satisfait de la tournure des événements, Patrick KAZANDJIAN se montre très optimiste quant à la pérennité et la fonctionnalité offertes par la nouvelle version du dossier médical partagé, le fameux DMP. Celui-ci ne cesse de croître en matière de création de documents depuis son apparition.

Rien qu’à l’échelle de son territoire de prédilection, le département de l’Yonne, le directeur de la CPAM a constaté que la barre des 15 000 exemplaires a été effacée des tablettes le 17 février dernier.

Sachant que depuis la publication de cette référence tendancielle, les statistiques sont orientées à la hausse. 60 000 nouvelles constitutions de ce système numérique faisant office de carnet de santé sont attendues d’ici le terme de l’année 2019.

« C’est simple, précise Patrick KAZANDJIAN, par rapport à la précédente expérimentation, le dossier médical personnel (ndlr : un dispositif qui ne restera pas dans les annales du fonctionnement sanitaire), nous avons déjà réalisé dix-sept fois plus de dossiers au niveau de l’hexagone ! ».

Elargir à tous les professionnels de santé la possibilité d’ouvrir un dossier…

Les raisons de ce succès s’analysent ainsi : le nouveau concept gagne en sobriété et efficience en ayant adopté le virage de la technologie avec des coûts maîtrisés dans sa phase de conception.

« Porté par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, le développement du DMP ne cesse d’évoluer depuis sa phase de lancement, survenu en novembre dernier, ajoute Patrick KAZANDJIAN. Nos équipes ont pris le taureau par les cornes pour en définir les contours opérationnels pragmatiques, tout en constatant les pratiques et les failles possibles du système. Ce qui permet d’adapter et de corriger la méthodologie à tout instant de manière positive pour ses utilisateurs… ».

Le dossier étant le plus souvent créé par les professionnels de santé (à forte majorité les pharmaciens), le souhait du directeur de la CPAM de l’Yonne est d’élargir cette opportunité à d’autres acteurs du milieu sanitaire. Afin que ceux-ci puissent devenir des opérateurs impliqués dans la réussite de ce dispositif. Faisant référence, notamment, aux infirmières et infirmier libéraux. Sans omettre les généralistes, directement concernés et à l’écoute de leur patientèle.

Autant de vecteurs opératifs qui devraient permettre in fine à la CPAM de l’Yonne d’atteindre son quota de nouveaux dossiers à créer d’ici la fin de 2019.


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Deux des principaux organismes institutionnels de notre territoire, l’Etat et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, viennent de confirmer ces jours-ci leurs soutiens aux projets de développement économique initiés par la structure défiSON. Instigatrice d’un programme d’envergure nationale ayant pour objectif de valoriser la filière des métiers de l’acoustique et du son, l’entité icaunaise envisage de créer un pôle de référence. Cet outil, adoubé par les laboratoires spécialisés de la filière technologique, serait unique en France…  

AUXERRE : Cette fois, c’est sûr ! La patience aura eu finalement raison d’une longue période d’atermoiement et de doute pour la structure icaunaise, porteuse d’un vaste projet favorisant l’émergence d’une nouvelle filière économique sur notre territoire.

Ce début d’année 2019 correspond à une période où l’optimisme n’est pas vain pour la structure organisationnelle de défiSON et de sa tête pensante, Serge GARCIA.

L’ouverture des portes de plusieurs organismes institutionnels de poids (l’Etat et la Région BFC) apporte une réelle bouffée d’oxygène à ce concept novateur, porté par des exégètes de la question, qui mérite amplement l’écoute et la découverte.

Concrètement, les services de l’Etat (SGAR, DIRECCTE, D2TR, Banque des Territoires, BPI…) inciteraient fortement à l’essor de ce programme, concocté par le bureau exécutif de défiSON. Les aides pouvant subvenir sous la forme de conseils et de financements.

La préfecture de la Région a également montré son réel intérêt à l’évolution positive de ce dossier. L’organisme a aussi informé la préfecture de l’Yonne de l’existence des nombreux projets liés à défiSON.

Du côté de la Région, le référent de la structure icaunaise sera désormais le Service Innovation et Filières. Une cellule stratégique importante dans l’organigramme de l’institution régionale qui accueillera son nouveau responsable au 01er avril. Quant au Service internationalisation et thématiques, il interviendra en appui au niveau de ses interventions.

Reste maintenant à convaincre les organismes institutionnels des territoires de l’Yonne d’adhérer pleinement à la philosophie et aux principes de développement vertueux d’un projet économique inédit aux ramifications nationales…


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Créatif de génie, l’artisanat représente une irrésistible passion pour Aymeric LUCZKIEWICZ. Même s’il a débuté sa jeune carrière en empruntant les chemins éclectiques de la mode et de la maroquinerie, le chef d’entreprise de Chablis a su bifurquer avec humilité et intelligence vers le secteur de l’agroalimentaire pour se révéler enfin aux yeux de tous. Il suffit de déguster la vingtaine de variantes de ses gougères faites maison et sa nouvelle production de crackers pour le constater avec délice. Pas étonnant que ses recettes à la saveur si authentique aient subjugué le jury des « Talents Gourmands 2018 » !

CHABLIS : Des œufs issus de poules élevées en plein air. Du beurre à la noble traçabilité. De la farine bio, bénéficiant des meilleurs labels. Du fromage, enfin, car il demeure la quintessence absolue de cette recette si typique par son originalité qui provient de productions IGP ou AOC. Le tout donne naissance à une gougère à la texture exceptionnelle. D’ailleurs, qui n’a jamais dégusté ce produit à la forte identité bourguignonne élaboré par PYNEAU PRUNUTZ ne peut savoir à quel point cet amuse-bouche est magnifié !

Travaillant avec une maîtrise scrupuleuse la rigueur de ses ingrédients hautement qualitatifs, le jeune artisan, Aymeric LUCZKIEWICZ, est en train de révolutionner à sa manière la fabrication de cet aliment à connotation festive. Son projet professionnel, lorsqu’il a l’a porté sur les fonts baptismaux au début de l’année 2018, visait tout bonnement à honorer le terroir en lui insufflant de la nouveauté. On peut dire depuis que le résultat a atteint toutes les espérances de ce créateur indéfectible.

Cette quête de l’excellence vient d’obtenir son Graal. Celui qui a été accordé par le jury de spécialistes de la quatrième édition des « Talents Gourmands 2018 », concours culinaire porté conjointement par le Crédit agricole Champagne Bourgogne et le Bottin Gourmand.

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Les épiceries fines de Lyon, capitale de la gastronomie, dans le viseur…

Lauréat de la catégorie « Artisanat des métiers de bouche », Aymeric LUCZKIEWICZ s’est vu remettre le premier prix. Un satisfecit pour ce jeune garçon nimbé par l’atmosphère de l’artisanat depuis son plus jeune âge.

Sa dotation de 3 000 euros en poche va lui permettre d’envisager la suite de l’aventure avec sérénité. Car, Aymeric possède bien d’autres idées en tête. Surtout pour valoriser du mieux possible les produits d’exception de notre terroir régional et ce, bien au-delà de nos frontières.

Prochainement, ses produits irrigueront le marché des épiceries fines de la capitale des Gaules, Lyon, référence internationale de la gastronomie. Les ultimes pourparlers sont en cours. Le jeune homme se dit très satisfait de la tournure positive des évènements.

Mais, sans en déflorer réellement les contours, l’artisan entrepreneur promet d’autres innovations pour cette année 2019. Dernièrement, il a développé un tout nouveau produit qui pourrait faire florès sur les tables des consommateurs bourguignons et d’ailleurs : une gamme de crackers de sa composition.

Précisons que l’appellation étrange de cette jeune entreprise est un hommage appuyé aux inventeurs de la gougère, Louis PYNEAU et Jean PRUNUTZ, deux rôtisseurs icaunais qui firent cette découverte culinaire en…1571, trente ans après la création de la pâte à choux par le pâtissier de Catherine de Médicis…


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Remarquable édition que ce quatrième rendez-vous valorisant les arts de la table où le jury d’experts et de professionnels aura éprouvé une extrême difficulté pour pouvoir départager les neuf finalistes de ce challenge régional. Présentés au fond de l’assiette, sous la forme de sachets ou contenus dans de petits récipients, les produits du terroir soumis à l’appréciation gustative de ces exégètes ès arts de vivre ont illuminé par leur texture et succulence cet évènementiel porté par le Crédit agricole Champagne Bourgogne et notre prestigieux confrère, Le Bottin Gourmand. Incontestablement, ce fut un grand cru. Y compris pour l’Yonne, qui possède après le plébiscite réservé à Aymeric LUCZKIEWICZ (PYNEAU PRUNUTZ) un brillant lauréat…

URVILLE (Aube) : Ce fut un régal pour les papilles. Mais, aussi pour les yeux. Les membres du jury n’adressèrent à l’énoncé des résultats définitifs que des éloges aux compétiteurs, réunis pour une circonstance bien particulière : décrocher l’un des précieux sésames mis en jeu lors de ces « 4ème Talents Gourmands », selon la catégorie respective.

Qu’il s’agisse de la discipline des « agriculteurs et viticulteurs », celle rassemblant les « artisans des métiers de bouche » ou l’ultime référence se rapportant aux professionnels « restaurateurs », l’épreuve était d’un excellent niveau. Aux dires de Michel DRAPPIER, président de ce comité restreint ayant à juger les prestations culinaires des candidats : « les produits à apprécier étaient tout simplement remarquables… ».

Et le responsable du domaine familial éponyme sait de quoi il parle. Lui qui gère aux côtés de son épouse Sylvie et de ses trois enfants,  la maison des champagnes DRAPPIER, lieu d’accueil privilégié de cette réception régionale.

C’est donc sur ce site viticole aux références architecturales historiques (l’un des centres monastiques de Bernard de Clairvaux il y a 850 ans) que put se dérouler dans un excellent climat de confiance et de sérénité cette remise de prix.

Sublimer les passions et la dextérité technique de chaque professionnel…

Constatant l’orientation proprement écologique des mets et recettes présentées par les candidats, le jury a su mettre en exergue le savoir-faire de chacun des participants. Ce que confirma Damien CONTAT, vice-président du Crédit agricole Champagne Bourgogne, lors de sa prise de parole. Il évoqua cet indispensable coup de projecteur à accorder à la notion de terroir et à la proximité.

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Bien sûr, les orateurs successifs eurent, avec sympathie et réelle émotion, une agréable pensée pour Pascal CAFFET, le professionnel de la chocolaterie (meilleur ouvrier de France et champion du monde des desserts) qui avait accepté initialement d’endosser la vêture de président de jury.

Mais, suite au sinistre qui devait ravager à l’automne certains de ses bâtiments, le professionnel dût se résoudre, la mort dans l’âme, à décliner l’honorable responsabilité. Son absence était dans toutes les mémoires…

 

Le palmarès qualitatif de cette quatrième édition  

La diversification de ses activités agricoles, par l’entremise de succulentes glaces concoctées depuis quelques mois à partir de ses produits, a permis à Matthias COLSON, du GAEC La Ferme de LABERGEMENT (Côte d’Or), de se distinguer. Le jeune homme a empoché le premier prix de la catégorie « Agriculteurs et viticulteurs ». Il devance ainsi Elsa BRULEZ, de la Ferme des Trois Vallons à Bragelogne Beauvoir (Aube) qui assure la production végétale et développe ses propres pâtes alimentaires. L’éleveur de volailles, Adrien RICHARD, de la société « Les Volailles d’Adrien » à Courcelles sur Aujon (Haute-Marne), complète ce podium.

A sa plus grande surprise, le chef japonais Takashi KINOSHITA (Château de Courban, près de Châtillon-sur-Seine en Côte d’Or) devance d’une longueur deux autres de ses confrères dans la catégorie « restaurateurs » : David ZUDDAS, chef à Dijon (« DZ Envies ») et Thomas MAYANCE, du Domaine de la Forêt d’Orient à Rouilly Sacey (Aube).

Enfin, il revient au jeune artisan Icaunais de Chablis, Aymeric LUCZKIEWICZ (SARL PYNEAU PRUNUTZ) de remporter la distinction suprême offerte par la catégorie « Artisans des métiers de bouche », devant Alexandre RIVALLAIN, confiseur de la maison GRAMM’S à Auxerre (les fameux pop-corn aromatisés à la française) et Marc DESARMENIEN, de la célèbre moutarderie FALLOT à Beaune.

Ses gougères généreusement parfumées et sa nouvelle gamme de crackers, commercialisées depuis peu, ont sublimé le jury.  


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