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Conscients que le partage de bonnes idées peut être la source d’une nouvelle dynamique opérationnelle sur le terrain, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, la Jeune Chambre Economique, le Centre des Jeunes Dirigeants et la BGE Nièvre Yonne ont pris soin de se consulter lors d’une rencontre informelle ce lundi 08 avril. Objectif : assurer une harmonisation de leurs calendriers événementiels tout en travaillant à la mutualisation de projets communs. Une première dans le landerneau départemental…

AUXERRE : L’union fait la force, précise la maxime. Surtout en matière d’animations événementielles sous le prisme de l’économie. Quatre représentants de réseaux entrepreneuriaux de notre territoire, le syndicat patronal de la CPME, le CJD, la JCE et la BGE se sont retrouvés de manière non officielle pour étudier les premiers jalons d’une convergence d’intérêt autour d’un double dénominateur commun : l’harmonisation d’un agenda annuel et la possibilité de créer des rencontres officielles.

Profitant d’un déjeuner, Amandine BENOIST (BGE Nièvre Yonne), Adrien BAILLY (Jeune Chambre Economique), Emmanuelle MIREDIN (CPME) et Philippe HERVE (Centre des Jeunes Dirigeants) ont échafaudé différentes hypothèses stratégiques leur permettant d’envisager une collaboration active entre leurs différentes structures. Celle-ci pourrait prendre forme de manière très aboutie dès la rentrée.

L’harmonie des agendas aurait pour première conséquence de ne plus brouiller les pistes entre ces quatre acteurs de la chose économique. En évitant un télescopage de manifestations arrêtées à des dates similaires.

Quant à la conception de projets communs (conférences, création d’un club des réseaux, opportunité de se doter d’un guichet unique…), l’idée n’est pas pour déplaire aux quatre interlocuteurs qui vont analyser avec grand intérêt cette opportunité à saisir.

Pour l’heure, le temps est à la réflexion. Les délégués territoriaux de la CPME, JCE, CJD et BGE ont décidé de maintenir les liens et de se retrouver très prochainement pour une extrapolation plus tangible de ces futurs projets en commun…


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Nos concitoyens ont appris que Tom ENDERS, président d’Airbus, venait de percevoir un parachute doré de 36 millions d’euros. Simultanément, le procès de Bernard TAPIE fait du bruit. Logique : le bouillant homme d’affaires, même amoindri par la maladie, a encaissé 450 millions d’euros d’indemnités dont 45 millions d’euros au titre du « préjudice moral ». Il fallait oser ! Mais, l’ancien patron de l’Olympique de Marseille ne s’est pas privé de le faire. Au même moment, et à l’issue de la mini-révolte des « Gilets jaunes », une substantielle augmentation de 100 euros a été chichement accordée à celles et ceux qui connaissent des difficultés à finir le mois. Ubuesque ! Déjà à une certaine époque, le regretté COLUCHE s’en inspirait : « Nous avions du mal à finir le mois. Chez nous, la fin du mois commençait le 02… ». Sans commentaire !

TRIBUNE : La liste de ces aberrations est loin d’être exhaustive. Deux ans plus tôt, Georges PLASSAT, président déchu de Carrefour, recevait un joli pécule de 14 millions d’euros alors qu’il mit en danger l’équilibre financier de ce leader de la grande distribution mondiale.

Il existe une étrange et triste similitude dans ces gifles données généreusement aux Français comme à des freluquets de cinq ans. La fin de mandat de Tom ENDERS coïncide avec la mise au chômage de 2 500 employés du groupe aéronautique. Induisant de facto que probablement dix mille personnes, voire davantage, vont rejoindre les rangs déjà bien garnis du Pôle Emploi, si l’on y inclut les sous-traitants de l’avionneur.

Quant au départ de Georges PLASSAT, il coïncidait également avec le licenciement irréversible de 2 500 collaborateurs du groupe Carrefour. On peut qualifier de scandaleuse ces deux affaires à l’inconstante similitude. Un mot convient mieux : c’est une insulte faite aux Français et à leurs voisins allemands. Airbus est une société franco-germanique dont on se glorifie, à juste titre, comme un succès de la coopération entre deux des pays les plus puissants du Vieux continent. Mais, le parachute doré perçu de manière amorale par Tom ENDERS est versé après un échec ruineux. Celui de l’Airbus 380, qui va coûter des milliards d’euros aux contribuables des deux cousins germains !

La défiance croissante envers les élites…

Or, ces sommes astronomiques étaient inscrites dans leur contrat. Donc, vous diront tous les juristes, il n’y a rien à dire, on ne peut rien faire. Mais qui a signé ces contrats en amont ?

Et, l’affaire Bernard TAPIE ? Qui a décidé de lui verser cette somme colossale de 450 millions d’euros ? On cherche et on trouve un comité d’arbitrage où siégeaient trois personnes : deux avocats marron, il n’y a pas d’autres qualificatif, et … un ancien président du Conseil constitutionnel, Jacques MAZEAUD.

Combien ces messieurs de bonne moralité et à la haute vertu ont-ils empoché pour rendre cet arbitrage ? 300 000 euros chacun ! Il ne faut donc plus s’étonner du fait que les Français n’aient plus confiance dans ce qu’on appelle abusivement leurs élites.

Puisque nous plongeons les mains avec dégoût dans la fosse d’aisance nationale, continuons d’en tirer quelques vils extraits. Lorsque le Grand Débat national a été lancé, on a proposé à un membre de cette caste élitiste d’en assurer la coordination.

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Il s’agissait de Chantal JOUANNO. Pour cela, elle devait toucher 180 000 euros environ. Or, on a découvert qu’elle percevait déjà une somme à peu près équivalente pour diriger le Comité national du Débat Public, organisme dont personne ne sait à quoi il sert. A part, évidemment, rémunérer ladite présidente !

Parallèlement, on découvrit que Jacques TOUBON, ancienne gloire de la Chiraquie percevait près de 200 000 euros pour diriger le Comité de défense des droits. Bien entendu, tout cela s’ajoute à ses nombreux revenus de retraite pour les noms moins nombreuses fonctions qu’il a occupées : député, ministre, conseiller d’État, et j’en passe et des meilleures…

Une longue litanie de faits insupportables pour les citoyens…

Mais ce n’est pas fini dans cette longue litanie de choses qui fâchent de plus en plus les citoyens de ce pays : Alain JUPPE vient d’être nommé au Conseil constitutionnel avec une rémunération de 160 000 euros annuels auxquels s’additionnent diverses indemnités.

Cette rémunération s’empile, comme dans le cas de Jacques TOUBON, à de multiples revenus et avantages copieux : retraite d’ancien Premier ministre, ministre tout court, inspecteur des Finances, maire de Bordeaux, maire adjoint de Paris…Circulez, il n’y a rien à voir comme l’a écrit le trublion de l’humour, COLUCHE.

Enfin, devant cette avalanche de subsides mirobolants que quelques nantis de la société perçoivent avec des félicitations, il est bon de rappeler que le salaire médian en France s’élève à 1 797 euros par mois !

« L’argent n’a pas d’odeur » disait l’empereur Vespasien ! Et deux mille ans après cette maxime, Joseph STIGLIZT, prix Nobel d’économie, s’est fendu d’un ouvrage dont le titre résume toute la sournoiserie de notre monde : « Le triomphe de la cupidité… ».

« Il y a en France quelqu’un qui est plus intelligent que Diderot, plus spirituel que Voltaire, plus vif que d’Alembert, c’est personne, c’est-à-dire tout le monde, c’est l’opinion publique... ». Une phrase dite par TALLEYRAND, l’un des hommes les plus subtils et les plus perspicaces de notre Histoire.

Comment tout cela va-t-il finir ? Nous devrions le savoir bientôt. Dès que le président de la République Emmanuel MACRON aura égrené mi-avril la liste des potentielles préconisations qu’il souhaite mettre en œuvre pour soutenir le pouvoir d’achat des Français et ainsi redistribuer l’argent qu’il leur revient. On peut toujours espérer : cela, c’est sûr, ne coûte rien…

Emmanuel RACINE


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Satisfecit pour les responsables de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ! Au premier avril, près de 19 000 Icaunais (18 944 personnes plus exactement) avaient déjà constitué leur DMP. Ce fameux dossier médical partagé qui intègre désormais les priorités de l’organisme en matière de communication. Considéré comme un carnet de santé numérique qui se substitue à l’ancien dossier médical personnalisé, ce document pourrait compter 1,5 million d’exemplaires parmi les assurés de Bourgogne Franche-Comté d’ici 2022…

AUXERRE : Le nombre de nouvelles ouvertures augmente chaque jour. Sur le territoire de l’Yonne mais aussi dans notre contrée. En effet, la Bourgogne Franche-Comté a enregistré en date du 01er avril un total de 282 135 documents. Soit un taux de couverture de 10 % des assurés sociaux de la Caisse primaire d’assurance maladie.

Des chiffres qui ne font que confirmer la progression légitime de ce procédé mis en exergue depuis la rentrée. Gratuit et confidentiel, le dossier médical partagé n’a d’autre objectif que de faciliter la prise en charge médicale. Il évite les prescriptions et les examens en double.

Rappelons que seuls les patients et les professionnels de santé y ont accès et peuvent en assurer son alimentation en données informatives. D’ici la fin de 2019, 522 000 dossiers devraient être répertoriés en Bourgogne Franche-Comté.

Il suffit de se connecter sur le site www.dmp.fr ou de télécharger l’application gratuite correspondante pour consulter et enrichir ce précieux document sécurisé qui est accessible sur l’ensemble du territoire national.

Précisions, enfin, que les départements du Doubs et de la Haute-Saône, avec un taux de 16,5 % de couverture, sont les plus avancés en matière d’enregistrement. A contrario, l’Yonne (5,6 %) et Territoire de Belfort (5,3 %) ferment la marche du peloton régional…


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L’impossible est donc devenu possible pour ce chantre de l’excellence à tout crin. En recevant les insignes de chevalier de l’Ordre national du mérite des mains du préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, le directeur du Centre interprofessionnel de formations d’apprentis de l’Yonne (CIFA) s’est vu récompenser de la plus belle manière que ce soit pour l’accomplissement et la réussite de son travail. Un succès qu’il a partagé aux côtés de son épouse, Jacqueline, et de ses parents. Ceux-ci ont assisté sous l’emprise de l’émotion, à cette cérémonie protocolaire qui réunissait moult invités de la sphère institutionnelle et économique de notre territoire…

AUXERRE : Dans sa prime jeunesse, la fratrie se composait de trois garçons. Un tantinet dissipé et peu inspiré par l’école. Au grand dam de leur maman qui ambitionnait pour eux la réussite au baccalauréat et le succès professionnel qui devait en résulter. Pas facile pour le jeune Marcel de l’époque de se passionner parmi un environnement scolaire qui le laissait de marbre.

Mme FONTBONNE rêvait de bac pour ses enfants. Mais, Marcel ne l’a jamais obtenu à son grand désarroi. Soucieux d’avoir le « dernier mot », comme il devait le confier lors de son allocution avec un zeste d’humour, et de combler un manque qui aurait pu virer à de la frustration parentale, c’est une toute autre distinction honorifique dont il lui a fait cadeau en public. L’Ordre national du mérite !

Institué le 03 décembre 1963 par le Général de Gaulle, il promeut toutes personnes, civiles et militaires, ayant rendu service à la nation française. Normal et légitime que l’un des plus jeunes directeurs de centre de formation de l’Hexagone d’alors, obtienne ce précieux sésame, convertissant ainsi sa soif inassouvie d’apprendre et ce désir de transmettre son savoir-faire à celles et ceux qui croisent son chemin.

Un pari fou et audacieux maîtrisé à la perfection…

Certes, Marcel FONTBONNE ne s’est pas fait tout seul comme ses deux frères qui eux-aussi ont brillamment réussi leur carrière. Contrairement aux propos teintés d’un humour sans bornes que tenait le regretté homme d’Etat et Premier ministre Raymond BARRE, lorsqu’il évoquait avec bonhommie ses débuts !

Le jeune Marcel connaîtra un parcours d’une rare fulgurance. D’un CAP obtenu en mécanique sur des engins de chantier à un DESS glané à la sueur de son front, après moult sacrifices personnels, lorsqu’il s’escrime à emprunter le sinueux chemin de l’enseignement prodigué par des cours du soir. Un pari fou et empli d’audace que le garçon maîtrisera à la perfection.

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Ses atouts s’imbriquent dans un caractère tenace et déjà bien trempé. Mais, Marcel FONTBONNE sait rester humble. Ne dérogeant jamais à cette règle ni à l’optimisme vertueux qui l’habite, créatif, ingénieux, ambitieux – dans le sens noble du terme-, courageux, le futur responsable du CIFA de l’Yonne tisse petit à petit cette toile qui va le propulser vers de plus hautes fonctions. Celles dont il a l’appétence et le profil pour les honorer dignement.

Au service du savoir et de la formation professionnelle…

Bien sûr, il y aura les rencontres. Elles vont ponctuer de moments intenses sa longue carrière, vécue dans le domaine des travaux publics, celui de la plasturgie, et enfin en immersion avec le transfert des compétences, du savoir et de la pédagogie.

Ancien directeur national du syndicat des industries et des matériaux de construction, Pierre PLATROZ aurait pu en témoigner. Présent à la cérémonie, il recevra un vibrant hommage sous la forme de remerciements nourris de la part du récipiendaire d’un soir.

A son contact, Marcel FONTBONNE gagne en confiance, en ingéniosité, en persévérance. En art du management puisqu’il lui sera donné un jour l’opportunité, grâce à Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, et à Michel TONNELLIER, président du CIFA, de conduire ses projets avec l’aide d’équipiers qui lui emboîtent le pas.

Logique que Marcel FONTBONNE ait dédié cette récompense à l’ensemble du personnel de l’établissement dont il a pris les rênes depuis bientôt sept ans.

Lui, qui préfère être catalogué parmi la caste des optimistes et acteurs plutôt que celle des pessimistes et spectateurs, peut entrevoir l’avenir avec sagesse et sérénité. Le développement pédagogique du CIFA lui doit beaucoup. Une petite pierre posée dans un univers en perpétuel mouvement qui ne demande qu’à croître.

A l’image de cette inspiration artistique de l’œuvre de GIACOMETTI (« L’Homme qui marche »), qui dans l’interprétation que Marcel FONTBONNE en a fait, se mue en deux figurines, le masculin et le féminin, qui se déplacent de concert. « Un apprenti qui est dans le mouvement va plus loin que l’esprit qui se cherche… ».

C’est sûr : Marcel FONTBONNE, quant à lui, a su trouver sa voie. Royale et faite de cette excellence dont il défend les valeurs chaque jour que Dieu fait…


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Dire qu’il ne se passe rien à la CPME de l’Yonne serait une pure gageure ! Un manque de respect vis-à-vis de celles et ceux qui, par le prisme de différents mandats, prennent sur leur précieux temps et de façon bénévole, un engagement pour défendre les intérêts des entrepreneurs et leurs outils de production. Lors de la récente assemblée générale, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne Olivier TRICON n’a pas ergoté, outre mesure, pour remettre, comme il en a l’habitude, les pendules à l’heure. Et à les régler avec exactitude à celle d’été !

AUXERRE : Par passion, par conviction, les membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne s’investissent dans la défense de leurs intérêts. Comment ? En multipliant la prise de mandats parmi les instances institutionnelles qui sont représentatives de notre société.

Une responsabilité quotidienne que le président du syndicat patronal icaunais met en exergue et encourage à chacune de ses interventions. Lors de la dernière assemblée générale de l’organisme, il n’a pas hésité à en remettre une couche sur le sujet. Rappelant que si certains mandats apparaissaient comme chronophages, ils n’en demeuraient pas moins fondamentaux au bon ordre de marche et à la progression sociétale de la CPME.

Réfutant la théorie infondée qu’il ne se passait jamais rien ou presque au sein de la confédération, Olivier TRICON a salué l’ensemble de ses pairs qui ont opté pour tenir ce type de missions essentielles.

« Dans beaucoup de cas, précisa le patron de la CPME départementale, c’est le chef d’entreprise qui est mis en défaut alors que les mandataires déploient toutes leurs forces, avec talents. Ils réussissent souvent à avoir gain de cause en faveur de l’entrepreneur. Même, si parfois quelques échecs sont à relever : mais, il faut en convenir cela représente un très faible pourcentage… ».

Une omniprésence et un travail assuré en profondeur…

Représentée aux prud’hommes, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne l’est aussi au Tribunal de Commerce. Dans la première instance, Olivier TRICON avoue que la mise en place de nouveaux juges, avec les formations qui en découlèrent, ont pris pas mal de temps en 2018.

« Prendre ses marques et suivre les parcours pédagogiques tout en étant opérationnel le plus rapidement possible ont supposé une mobilisation sans bornes de nos représentant. Au Tribunal de Commerce, nous suivons tous les ans les différentes possibilités d’y intégrer des juges issus de la CPME. Mais, nous travaillons de concert avec les représentants du MEDEF… ».

Poursuivant ce tour d’horizon, le responsable du syndicat patronal de l’Yonne évoque les relations établies avec la Chambre de Commerce et d’Industrie.

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« Nous sommes partenaires avec l’organe consulaire, explique-t-il, nous intervenons sur des actions très ciblées qui concernent le milieu de l’entrepreneuriat. Tels que les RIDY ou « Monte ta boîte ». Par l’intermédiaire des mandats que nous honorons au sein de la CCI, nous avons aussi des échanges réguliers et constructifs avec le président Alain PEREZ… ».

Reste la Chambre des Métiers et de l’Artisanat où les intentions demeurent identiques aux précédentes structures. « Nos représentants restent vigilants, observe le président TRICON, ils sont en éveil pour essayer de faire avancer les choses positivement… ».

Pour aller encore plus loin dans ce travail en profondeur qui apparaît comme indissociable des missions régaliennes de la CPME, Olivier TRICON vient de confier à l’une de ses adhérentes, Florence TROTTIN, la responsabilité de la commission des mandats. Cette dernière vient de répertorier la liste de tous les mandats envisageables et possibles par le syndicat patronal sur le territoire.

Une jauge de cinquante nouveaux membres en 2018…

Fort du travail de prospection qui a été réalisé avec brio par la secrétaire générale départementale du mouvement, Emmanuelle MIREDIN, le président TRICON s’est félicité de la venue de cinquante nouveaux adhérents parmi les effectifs.

Provenant de différentes strates de l’économie, ces jeunes impétrants constituent un remarquable vivier devant assurer à court terme le flux de représentativité dont le syndicat a besoin au détour de ces nombreux mandats à occuper.

   


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