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L’univers musical de LED ZEPPELIN, de BLACK SABBATH ou de METALLICA ne possédait plus aucun secret pour cet intarissable connaisseur de hard-rock. Chargé d’affaires au sein de la société « PPG La Seigneurie », ce quadragénaire, connu et apprécié dans le milieu des deux-roues de notre territoire à l’instar de son milieu professionnel, est décédé la semaine dernière à l’âge de 47 ans. En vivant jusqu’au bout l’amour de sa passion motocycliste qu’il exerçait depuis son plus jeune âge. Thierry QUINONERO était le fils d’une autre figure emblématique du monde des affaires locales, Francis JOLLET, cheville ouvrière de la société APAVE, et de sa maman, Julijana...

AUXERRE : La vie ne fait que trop rarement de cadeaux. Quand ils sont là, il faut savoir les apprécier à leur juste valeur et ce, le plus longtemps possible. Père d’un petit Sacha, âgé de 8 ans, amoureux de sa compagne, Stéphanie, Thierry QUINONERO avait touché du doigt ce bonheur absolu. Celui que l’on croit à jamais éternel…

Hélas, une triste nouvelle est venue nous rappeler que « poussières nous sommes et que poussières nous repartirons de cette Terre… ». Un accident de moto est venu mettre un terme définitif à cette existence enjouée et clore tout ce qui l’accompagnait de réussite et d’espérance.  

Depuis, dans le sérail, étroitement soudé, du milieu motocycliste comme auprès de celles et ceux qui l’ont connu et côtoyé à titre personnel et professionnel, la douleur est sourde telle une meurtrissure impitoyable infligée dans les cœurs.

Lui qui aimait la vie, le hard-rock et les escapades sur deux-roues en se préservant toujours une sacrée dose de prudence, n’est plus. Seul ou lors de concentrations, ce mot constituait sa ligne de conduite lorsqu’il pilotait sa bécane.

Ce mercredi 25 septembre, le Ciel pleurera de toutes ses larmes pour accompagner cet adorateur d’exotisme et de voyages au bout du monde. Ses amis motards, venant des quatre coins de l’Hexagone, l’accompagneront pour lui rendre un dernier hommage.

Tout comme ses collègues et clients qui l’ont vu à l’œuvre chez son employeur, « PPG La Seigneurie » à Auxerre. Là, le sympathique garçon évoluait en qualité de chargé d'affaires. Ses clients, principalement des représentants de la filière peinture qu’ils considéraient comme de vrais amis (ceux-ci lui rendaient bien) témoigneront de cet amour partagé en lui rendant un dernier hommage.

Thierry était aussi le fils de Francis JOLLET. On ne présente plus dans le landerneau ce spécialiste du contrôle et de la prévention qui œuvre depuis des lustres au sein du bureau de vérification icaunais, APAVE.

Le Ciel pleure toute sa tristesse en cette sinistre journée de deuil. Il en sera de même dans les âmes et esprits éprouvés par tant de chagrin lors de ce funeste mercredi de septembre, aux alentours de 9h30 au funérarium ou en l’église de Monéteau (10h30). Thierry QUINONERO ne nous quitte pas : il est simplement passé dans la pièce d’à côté...


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Le talent des jeunes artisans n’attend pas le nombre des années pour pouvoir s’exprimer. Une épreuve sélective à l’échelle du territoire icaunais, relevant du concours du Meilleur apprenti de France de la filière boulangère, a rappelé que l’abnégation, le sérieux et le travail se récompensaient de la plus belle des manières. Grâce à l’obtention de précieux accessits, synonymes d’avenir...

AUXERRE : Certains se risquent dans l’aventure. D’autres, non. Ont-ils tort ? Sans doute ! Car, participer à une sélection départementale qualificative pour les finales régionales du concours des Meilleurs apprentis de France ne peut que procurer émulation et joie. Celle de se confronter à des candidats qui jaugent ainsi leur capacité technique, manuelle et intellectuelle lors d’un défi de belle envergure.

Olivier FAUVERNIER, Kebe ABDOULAYE et Tom SEMNONT ont-ils abordé de la sorte ce challenge professionnel qui les a amenés à concourir les uns contre les autres pour décrocher la lune ? Motivés, les jeunes gens ont eu à se confronter à un cahier des charges drastiques lors d’une compétition obsédante de huit heures.

Le cadre de ce concours, le Centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne (CIFA), ne pouvait que leur réserver le meilleur des accueils. D’autant que tous ces valeureux prétendants au sésame suprême et à la qualification régionale ont gagné leurs galons de futurs boulangers en fréquentant formateurs et maîtres de stage. Ceux qui exercent au sein de cet établissement ayant comme credo quotidien la pratique de l’excellence.

 

 

 

 

Des candidats prometteurs issus du CIFA de l’Yonne…

 

Président la cérémonie protocolaire de la remise des prix, Michel TONNELLIER, porte-étendard médiatique du fameux site éducatif, insista sur le volontarisme de ces jeunes gens qui n’hésitent pas à se remettre en cause pour approfondir leurs connaissances. Suivront-ils les pas de l’un de leur condisciple, le brillantissime Alexis PEZIN, couvert de bronze lors du concours MAF national de 2016 ? Peut-être !

Quant au directeur de la célèbre maison qui a su se distinguer par bien des égards sur d’autres registres (Défi gastronomique IRON Cook, Virtual Store, le restaurant d’application le Com des Chefs…), il n’a pas tari d’éloges sur le savoir-faire inculqué en cet antre. Celui de la maîtrise aboutie des moindres gestes techniques qui permettent aux futurs diplômés de pouvoir prétendre ensuite intégrer rapidement la vie active.

Tous issus du CAP, les trois candidats ont su retenir la leçon. Au vu de leurs appétissantes productions qui comprenaient pain de campagne, pain nutritionnel, création boulangère salée, brioche, pâte levée feuilletée base du croissant et des pains au chocolat ou encore baguette de tradition française.

Bravo, jeunes gens, vos prestations confirment votre talent : vous ne serez jamais dans le pétrin, foi de boulangers professionnels, membres du jury !

 


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Affluence des grands soirs lors de la soirée inaugurale de la Foire aux vins concoctée par l’enseigne de la grande distribution. Institutionnels, figures politiques et représentants des milieux économiques ou associatifs se sont conformés à la tradition : converger sur cet évènement festif où convivialité rimait avec originalité à déguster dans les rayons…  

AUXERRE : La file d’attente, de prime abord, en surprend plus d’un. Longue, elle s’étire jusqu’au beau milieu du parking de la grande surface commerciale. D’ailleurs, on ne pénètre pas dans cet antre de la découverte vineuse le temps d’un événementiel aussi facilement que cela. Service d’ordre, signature à apposer au bas d’un document, et le tour est joué ! Avec en sus, le plaisir de fouler le sol revêtu d’un tapis rouge…

Il est vrai que le public, muni de son invitation, intègre plutôt la catégorie des personnalités locales. Des VIP, en quelque sorte, certainement triés sur le volet. Elus, institutionnels, politiques, dirigeants d’entreprise, représentants associatifs, sportifs…le casting hétéroclite est impressionnant. Il ne fallait surtout pas être dans le wagon de l’oubli auprès des organisateurs et devoir manquer pareille fête.

L’accueil est sympathique. Sébastien CAMBUZAT fait office de maître de cérémonie. Logique, il connaît les lieux comme le fond de sa poche en sa qualité de directeur adjoint de la structure. Son dirigeant, M. CABRAL, n’est pas très loin, lui non plus. Affable, il noue des contacts utiles avec le flux des invités qui entre dans l’espace de toutes les réjouissances épicuriennes.

 

Une bulle d’oxygène appréciable pour découvrir de bons produits…

 

Tous deux ont à cœur que les choses se déroulent du mieux possible : pas si simple tant le nombre d’invités est important. Les allées entre les rayonnages s’obstruent très vite et faute de place, se mouvoir un verre à la main deviendrait presque un jeu dangereux requérant une certaine dextérité pour ne pas éclabousser ses voisins !

On croise volontiers le maire d’Auxerre Guy FEREZ, très détendu accompagné de son fidèle premier adjoint, Guy PARIS, en grande discussion.

Ainsi que bon nombre d’élus auxerrois et de l’Yonne, toutes obédiences politiques confondues, qui n’auraient en aucun cas boudé leur plaisir de participer à cette découverte viticole à l’ambiance rassérénée.

Vraie bulle d’oxygène, l’animation facilite la décontraction en permettant d’oublier, ne serait-ce que quelques heures, le quotidien et ses dossiers. Seul ne subsiste le plaisir de pouvoir déguster et apprécier à satiété la sélection de nectars de très belle facture choisie par le caviste du magasin.

Tous les convives attendent déjà avec relative impatience l’édition 2020 !

 


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Le dispositif de retour à domicile pour une meilleure prise en charge d’un patient souffrant d’une pathologie (insuffisance cardiaque, diabète) ou bénéficiaire d’un acte chirurgical s’étoffe. Son déploiement est étendu désormais à de nouvelles situations. Constituant ainsi un panel de nouveautés que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie promeut en cette période de rentrée. Deux nouveaux items élargissent ainsi ce programme instauré depuis 2010 : le PRADO AVC et le PRADO destiné aux personnes âgées…

AUXERRE: Un PRADO peut-il en cacher un autre ? C’est en substance l’interrogation dont on pouvait se targuer de poser à l’écoute des propos introductifs de la direction départementale de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie faisant un point sur cette actualité chaude.

Alors que le volet maternité de ce dispositif demeure le plus ancien et celui qui mobilise le plus grand nombre de bénéficiaires sur notre territoire, soit 1 437 personnes, PRADO (un acronyme signifiant « Programme de retour à domicile ») gagne en compétences. Ajoutant dans son escarcelle deux items supplémentaires : PRADO AVC et PRADO personnes âgées.

Cette dernière application concerne des patients de 75 ans et plus, qui profiteront de mesures d’accompagnement orchestrées avec le concours des services sociaux et ceux des établissements hospitaliers. Bref, il s’agira d’un véritable suivi médicalisé concocté au domicile du patient. Un angle à ne pas négliger ni pour le métabolisme ni pour le psychisme du sujet.

L’impact est même conséquent pour l’individu soigné, chiffres à l’appui à la lecture des expériences vécues autour des trois volets déjà existants : la maternité, la chirurgie et les pathologies chroniques (BPCO, pour bronchopneumopathie chronique obstructive ou l’insuffisance cardiaque).

Le taux de réadmission à l’hôpital chute de 50 % à 20 % pour le bénéficiaire de ce dispositif. Une tendance qui se confirme aussi lors d’un rapatriement express obligatoire au service des urgences.   

 

Un niveau de satisfaction élevé de la part des patients concernés…

 

Commentant ces informations, Thierry GALISOT, directeur-adjoint de la CPAM de l’Yonne, ne peut qu’acquiescer : « notre souhait est que cette patientèle puisse évoluer le plus longtemps possible dans son environnement domestique… ». Insistant de facto sur le devoir impératif de l’accompagner du mieux possible en y mettant les moyens nécessaires côté outils.

D’autres acteurs du segment sanitaire travaillent en étroite osmose avec la Caisse Primaire d’Assurance Maladie à propos de ce dispositif. C’est le cas de la CARSAT qui offre ses appétences à l’évolution sociale du dossier. Mais, ce l’est tout autant avec les professions libérales de santé comme le milieu infirmier. Les passerelles sont si ténues que la signature d’une convention a été rendue formelle il y a peu au plan national.

L’extension du programme prend corps avec le volet « AVC ». La CPAM a estimé qu’un groupe, comprenant 637 personnes, pouvait potentiellement être sujet à ce type de pathologie dans l’Yonne. Là aussi, l’organisme se montre pionner dans sa démarche d’accompagnement en créant ce dispositif novateur. Quant aux recours aux soins pour les patients hospitalisés après un AVC à domicile, il s’avère faible. Toutefois, le retour vers l’hôpital présente un taux élevé : il est évalué à 36 % dont 19 % vers les urgences.

Adepte d’une stratégie placée sous le sceau du volontarisme, la Caisse Primaire d’Assurance maladie possède avec le programme PRADO d’excellents retours. L’adhésion auprès du public est forte. Quel que soit le volet d’accompagnement.

Précisons que cette offre de suivi à domicile n’est valable que sur une période de six mois suivant l’hospitalisation.


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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