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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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L’exercice se définissait comme un contact participatif avec les habitants de la capitale de l’Yonne. Articulé autour d’une vingtaine d’items indissociables du quotidien, un questionnaire a circulé via de multiples canaux (Facebook, e-mail, papier…) avant d’atteindre sa cible. Celle qui compose les strates de la citoyenneté. Plus de deux cents réponses ont permis aux instigateurs de cette enquête, les représentants de la majorité présidentielle (AGIR, LREM et MoDem) de récolter de précieux renseignements sur les attentes des Auxerrois à l’aune des municipales. Une somme d’indicateurs devant nourrir leurs réflexions…

AUXERRE : Problématique du stationnement en centre-ville, désir d’une démocratie participative renforcée avec les élus ou souhait de voir booster le commerce de proximité représentent le lot de réflexions, parmi tant d’autres, émis par les Auxerrois se prêtant au jeu de cette enquête d’opinion.

Adressé il y a plusieurs mois, le questionnaire instruit par les formations proches de la majorité présidentielle, AGIR La Droite constructive, le MoDem et La République en Marche ainsi que des représentants de la société civile aura recueilli plus de deux cents réponses en un laps de temps relativement court.

Distribué sur les réseaux sociaux, par courrier ou remis à la main, ce document contenait une vingtaine de thématiques. Celles-ci englobaient la sécurité, l’environnement, la propreté, le commerce, le sport, l’économie ou la culture. Analysées, les informations ont été restituées lors d’un point presse en présence de plusieurs ténors de la politique locale, dont deux soutiens inconditionnels aux valeurs de LREM Malikha OUNES et Nordine BOUCHROU, ainsi que le chef de file du MoDem dans l’Yonne, Pascal HENRIAT.

  

Circulation et stationnement : une sinécure à Auxerre ?

 

Si 35 % des personnes interrogées désirent une vraie réflexion autour de sujets qui engagent l’avenir de la ville, d’autres espèrent la recrudescence d’une démocratie plus orientée vers le participatif. Voire une évolution du rôle de l’élu qui pourrait optimiser la communication envers les citoyens.

La lutte contre les incivilités se dégage parmi les arguties prioritaires qui ressortent de cette lecture affinée de ce sondage. Il en est de même de ce besoin sécuritaire que réclament les habitants. Même la propreté de nos rues doit s’améliorer pour 29 % des personnes testées. Curiosité qui ne manque pas de sel : le cas des sempiternelles déjections canines. Elles apparaissent comme un fléau pour celles et ceux qui aiment flâner sur les trottoirs (20 %).

La présence des poids lourds en ville (24 %) nuit à la tranquillité des riverains. Amenant la récurrente question qui se rapporte à la fameuse déviation et son prolongement. Enfin, le stationnement figure en bonne place des priorités à traiter par une municipalité. « Nous ne savons plus où garer nos véhicules ? » constatent 36 % des sondés.

Le volet économique n’a pas été omis. Près de 20 % des testés aimeraient l’accueil plus significatif de nouvelles entreprises sur le bassin auxerrois. Tandis que le petit commerce indépendant trouve encore intérêt et gain de cause auprès de 24 % de ce panel.

Si 34 % de la population interrogée refusent l’idée de nouvelles taxes, 31 % indiquent que le patrimoine et sa réhabilitation constituent un cheval de bataille important dans la préservation des valeurs de la ville.

Le transport (surtout le ferroviaire) interpelle et interroge. 26 % des sondés se plaignent du manque de places assises sur certaines liaisons entre Auxerre et Paris lorsque les trains sont bondés (le dimanche soir).

Un item qui a pour résultante de se pencher sur la mythique électrification de la ligne Laroche Migennes-Auxerre et du devenir de ce nœud gordien ferroviaire, identifié par le passage à niveau de Jonches…

Quant à l’environnement, il occasionne des réponses pertinentes obtenues avec le retour de ces documents. 18 % aimeraient l’installation de panneaux solaires sur les toits des bâtiments publics de la ville. 19 % veulent lutter contre les ilots de chaleur. 19 % disent traiter leurs déchets verts alors que 6 % se disent fiers de la qualité du fleurissement de la cité.

Enfin, l’un des points sensibles de toute projection financière sur l’état de santé d’une collectivité, son désendettement, a également été abordé lors de cette compilation non exhaustive de résultats. La ville a vu ses dettes se réduire entre les deux échéances électorales. De 65 millions d’euros en 2014, Auxerre est passée aujourd’hui à 57,8 millions d’euros de dettes. Une diminution qui lui permet d’être classifier parmi les critères normatifs acceptables.

Gageons que l’ensemble de ces éléments statistiques représentatifs exprimés par une frange, certes minoritaire, de la population auxerroise serve à densifier les bases d’un futur programme porté par une équipe. Celui de cette union hétéroclite, née de la mouvance « la Renaissance » qui arborait les couleurs de la majorité présidentielle aux récentes européennes et qui perdure depuis ?


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Proposée sur une cadence bimestrielle, la formule offre une excellente opportunité pour les entrepreneurs de l’Yonne septentrionale de pouvoir se rencontrer en découvrant à chaque rendez-vous les spécificités des métiers exercés. La trêve estivale se situant derrière nous, la Communauté d'agglomération du Grand-Sénonais convie une trentaine de dirigeants ce mardi 17 septembre à la visite de la filiale française du groupe MATISA, un spécialiste des équipements de pose et renouvellement de voies ferrées…

SENS : Le site industriel de la zone des Sablons recevra dès 8 heures ce mardi matin  une petite délégation d’entrepreneurs et d’institutionnels, invités par la structure communautaire. Une reprise toute en douceur et de bel aloi, après environ trois mois de rupture imputable à la très longue pause estivale.

Mis en place au terme de l’été 2014, les « petits déjeuners d’entreprise » du Grand-Sénonais commémorent leur cinquième année d’existence ce mois-ci.

Compte tenu de l’appétence de ses participants à vouloir découvrir de nouveaux cadres professionnels, le schéma permettant d’entretenir un réseau relationnel efficient n’est pas prêt de s’interrompre visiblement. La demande est toujours forte pour y prendre part, sachant que le nombre de convives est à chaque fois limité pour des soucis logistiques.

D’autant que l’instigatrice de ces contacts privilégiés avec la sphère de l’entrepreneuriat, l’édile de Sens, Marie-Louise FORT, présidente de l’Agglomération, prend plaisir à y participer.

 

 

Des visites couplées à des échanges liés à l’actualité économique…

 

Avantage de ce processus d’échanges directs pour l’élue : tâter le pouls des milieux économiques et anticiper sur leurs divers projets. Les concepteurs de ce module d’expression et d’immersion en entreprise profitent aussi de ces retrouvailles pour y développer des thèmes de réflexion.

A titre d’exemples, le développement de la fibre optique, les aides apportées par BPI, les pistes menant à la formation supérieure ou l’insertion des travailleurs handicapés en entreprise ont représenté autant de sujets de discussion abordés au cours de précédentes rencontres.

En juin, dernier, dans les locaux du centre d’affaires, EUROPOLE, piloté par Thierry HOFFMAN, il fut même question des gens du voyage et la complexité de gérer ce type de dossier en cas de délogement lors d’occupation intempestive de terrains industriels par des caravanes.

On l’aura compris : il n’y aucun tabou sur les sujets d’actualité proposés en marge de la visite d’entreprise accueillante.

Parmi celles-ci, on peut citer CHEVILLON Imprimeur, ABA, TUBAUTO, CHAROT  ou encore FMC. On sait déjà que le calendrier du mois de novembre favorisera la découverte de la société CHEMETAL BASF.

Un article en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens

 

 


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La prévention au quotidien, c’est dans les gènes de l’assureur mutualiste ! Notamment vis-à-vis de l’un de ses publics phare : les seniors. La semaine qui vient de s’écouler l’a une fois de plus démontré. Accueillis au siège de l’enseigne régionale à Auxerre, de nombreux « cheveux d’argent » ont eu le loisir de pouvoir tester leurs aptitudes au Code de la route devant l’écran d’un simulateur automobile. Une petite merveille de la technologie dont le verdict est irréparable en cas d’erreur…

AUXERRE : En matière de sécurité routière, GROUPAMA Paris Val-de-Loire vient de mettre les petits plats dans les grands ! On connaissait historiquement l’appétence du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance en matière de protection des biens et des personnes. Mais, là, il est à noter que l’engagement éco-citoyen de la structure entrepreneuriale s’immisce un peu plus loin en cette période de rentrée.

La direction de l’établissement icaunais, pour mémoire une cellule décisionnelle bicéphale pilotée par le président des Caisses locales de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, n’a pas lésiné sur les moyens. Se dotant d’un simulateur, dernier cri. Coût de la manœuvre : un investissement de 21 600 euros.

« Nous l’avons touché il y a une quinzaine de jours, explique Pascal MAUPOIS, à l’occasion de la traditionnelle fête de l’agriculture portée par les Jeunes Agriculteurs de l’Yonne… ».

L’appareil de simulation se définit comme une excellente approche didactique pour découvrir les pièges et autres chausse-trappes de la route au détour d’un circuit, intégré initialement par un programmateur. De l’électronique pur jus dont raffolent les seniors !

Ces derniers ont eu toute la faculté de pouvoir essayer la judicieuse machine bourrée de cas pratiques. Histoire, non pas de se procurer des sensations virtuelles comparables à celles que peut éprouver Lewis HAMILTON dans le baquet de sa Formule 1, mais bel et bien en se faisant peur face à l’imprévisible : le risque potentiel d’accident.

 

 

On meurt trois fois plus sur les routes de l’Yonne qu’ailleurs…

 

Alcoolémie, vitesse, usage de stupéfiants, comportemental spécifique… : le bilan de la sécurité routière dans l’Yonne frise avec l’insupportable, voire le scénario catastrophe. Et ce de longue date. Conviant ses plus fidèles partenaires à s’exprimer sur ce type de manifestation (préfecture, Sécurité routière, gendarmerie nationale, police, sapeurs-pompiers, Département…), GROUPAMA déplore l’évolution endémique de cet état de fait.

Sachant que les statistiques demeurent néfastes également pour la caste des seniors, l’un des cœurs de cible de l’assureur mutualiste, avec des chiffres affolants qui représentent le quart des décès survenus sur le réseau routier de notre territoire.

 

 

 

Constat navrant sur l’exercice en cours : les forces de l’ordre observent que le nombre d’accidents de la circulation routière s’est légèrement tassé mais que les conséquences humaines sont plus lourdes à supporter.

Partenaire privilégié des opérations préfectorales en la matière, GROUPAMA a contribué au succès de cette déclinaison physique de l’accidentologie et de ses drames constatable aux abords des ronds-points de Charmoy et de Villefargeau. Les épaves de deux véhicules très abimés trônent en bonne place à la vision de chacun. Peut-être pour inscrire dans la mémoire subliminale collective les effets des risques encourus par les conducteurs en cas de non-respect des principes élémentaires du Code de la route ?

La méconnaissance des panneaux, le positionnement d’un véhicule aux entrées des ronds-points, la signalétique changeante, le risque de la faune sauvage en zone forestière mais aussi les distances de freinage ou la maîtrise de la vitesse ont été autant d’items abordés par les formateurs spécialisés lors de cette prise de contact avec les seniors.

 

Rien ne peut remplacer le départ d’un être cher…

 

Les sapeurs-pompiers du SDIS 89 procédaient de même dans leur atelier spécifique autour des gestes qui sauvent (que tous devraient connaître), de tests auditifs et visuels, de réflexions pédagogiques sur les évolutions inhérentes au Code de la Route (limitation de vitesse).

Cette recrudescence du nombre de morts sur les routes de l’Yonne (la barre fatidique et glaçante de la trentaine de victimes a déjà été dépassée dès cet été) impacte aussi les activités assurantielles de l’auteur de cette semaine sécuritaire. Et Jacques BLANCHOT de relever avec tristesse que les « aspects dérisoires de versement d’indemnités ne sont rien par rapport à la perte d’une vie d’un être cher qui vous est proche… ».

Des mots à méditer sur le sens de la vie et l’évitement des risques sur la route.

 

 

 

 


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Faire de la Bourgogne Franche-Comté, la première région de France à se positionner comme un leader mondial dans la conception industrielle du livre papier conçu sur mesure grâce à l’apport de la robotique représente l’objectif numéro un de la société coopérative de production nivernaise. Mais pour se faire, une levée de fonds de 2 millions d’euros est indispensable à l’essor de ce concept peu ordinaire. Si l’Elysée, via sa cellule « néo-médias », suit avec intérêt l’évolution de ce dossier, c’est surtout la Région qui entend prendre la main à propos de sa méthodologie économique et de ses financements. Marie-Guite DUFAY s’y est engagée lors de sa récente découverte du site…

CLAMECY (Nièvre) : Bluffée la présidente de la Région qui a pourtant l’habitude de s’immerger au cœur des processus industriels lors de ses visites à travers les huit territoires dont elle a la gestion ? Visiblement, oui. Elle le confirme en aparté : « c’est incroyable, je n’ai jamais vu cela ! Quel projet ! ».

Toutefois, rien à voir avec de la science-fiction. Ni de la pure utopie métaphysique !

Mais, il est vrai que la petite délégation institutionnelle qui a eu l’opportunité de découvrir les arcanes de cette société d’impression est restée admirative à l’issue de cette plongée de plus de deux heures dans le monde futuriste de l’édition de demain.

Produire de manière instantanée depuis une librairie, chez un buraliste, voire dans des écoles ou des universités, des livres sur support papier à la demande d’un lecteur ou client à l’aide d’un robot numérisé qui travaille comme un bras humain articulé possède quelque chose d’irréel en soi.

Certes, ce fameux spécimen, le robot baptisé astucieusement « Gutenberg One » (référence au célèbre père de l’imprimerie, cela ne s’invente pas !) n’était pas physiquement présent lors de cette visite à caractère officiel.

Ce jour-là, le précieux objet de toutes les convoitises, y compris celles des Américains et sans aucun doute des Chinois, bénéficiait d’une ultime appréciation technique chez son fabricant originel, la société alsacienne R&D TECHNOLOGIE à Saverne.

Mais, une chose est sûre : le robot qui devrait révolutionner le monde de l’édition et par excroissance celui du livre sera bel et bien visible le 27 septembre prochain lors d’un salon à Nevers. En attendant, le projet piloté par le directeur général de LABALLERY, Hubert PEDURAND, a pu être détaillé en long, en large et en travers afin qu’il soit perceptible pour chacun des interlocuteurs présents, avides d’en savoir davantage sur cette idée de génie. Pouvant à terme si elle était menée jusqu’au bout changer la face de la Nièvre mais aussi par effet gigogne de la Bourgogne Franche-Comté au niveau de l’emploi et de l’industrialisation.

 

La guerre est déclarée face à AMAZON…

 

Sur un segment de l’activité en pleine déconfiture depuis des lustres, l’initiative est porteuse de réelles espérances. 1 654 sociétés d’impression ont fermé leurs portes en l’espace d’une décennie en France, générant une perte d’emplois équivalente à 35 % ! Or, avec la solution technologique préconisée par Hubert PEDURAND, qui a d’ailleurs déposé le brevet mondial à l’INPI, il serait possible à brève échéance de pouvoir construire une quinzaine de ces fameux robots pouvant concevoir une vingtaine de livres à l’heure. Et de lutter plus efficacement contre l’hégémonisme de la méga plateforme AMAZON.

Le directeur général n’a pas manqué de le mentionner durant sa présentation : « Aucune imprimerie au monde ne peut rivaliser avec un tel processus. Mais, il faut le rendre accessible à tous au plus vite possible car la course est déclenchée avec les Américains et les Chinois… ».

 

 

Pragmatiquement, et en cas d’une levée de fonds immédiate pour financer le déroule du programme, la Bourgogne Franche-Comté pourrait se voir dotée de quinze robots. Cela dans un premier temps. 222 autres engins seraient ensuite dispatchés sur l’ensemble de l’Hexagone pour équiper libraires et buralistes. Ceux qui sont installés dans les agglomérations bénéficiant du programme de développement Cœur de Ville. Bref, les distributeurs de la filière.

Car, c’est sur ce maillage précis de la distribution de proximité que souhaitent s’appuyer les dirigeants de la structure pour étayer leur projet.

« Dans l’absolu, n’importe qui pourrait passer dans une librairie pour y faire éditer un livre personnel –on va peut-être découvrir de nouveaux talents littéraires et pourquoi pas la relève de Saint-Exupéry ! – ou se faire publier un livre dont les stocks seraient épuisés… ».

 

 

Solliciter des subventions ou requérir au leasing pour convaincre les libraires…

 

Côté estimation financière, cent mille euros seraient alors nécessaires au libraire pour se doter de la prodigieuse technologie. Le leasing, voire d’autres moyens qui prendraient la forme de subventions aideraient à se munir de l’incontournable appareil.

In fine, la France pourrait devenir avec l’essor de ce procédé révolutionnaire la première puissance mondiale à pratiquer l’auto édition. Mieux, vu sous un prisme local, la Bourgogne Franche-Comté officierait en qualité d’antichambre de la révolution numérique autour du livre papier ! Proposant une solide alternative industrielle originale qui posséderait un modèle économique bien à lui.

L’Etat s’est dit intéressé à soutenir l’initiative et à l’aider à se développer. Aujourd’hui, une enveloppe budgétaire globale de 4,2 M d’euros est vitale pour que le procédé puisse voir le jour de façon pérenne. Notamment, les deux premiers millions d’euros en vue de l’installation sur le site de LABALLERY de ces quinze robots à la mission de vérité.

Cinq années de recherche et développement ont servi à concevoir le bras articulé « Gutenberg One ». Celui-ci imprime la couverture et le corpus de l’ouvrage. L’appendice a été éduqué aux gestes des techniciens d’un atelier d’impression. Puis, l’assemblage de l’ensemble ne peut être réalisé sans l’objet même de la dépose du brevet : c’est-à-dire la phase d’encollage de tous les éléments. Créant ainsi la première imprimante 3D munie de colle au monde !

« Il nous aura fallu cinq ans pour arriver à ce résultat, concède Hubert PEDURAND, quand on sait que dix minutes suffisent pour fabriquer un livre de 400 pages grâce à ce système ! ».

 

 

Le Canada et les Antilles se disent prêts à acheter le matériel

 

A terme, l’efficience de ce marché pourrait s’appuyer sur près de cent mille robots en activité. Parmi les projets, créer une manufacture dans la Nièvre (à Clamecy par exemple) ce qui satisferait l’élue locale, Claudine BOISORIEUX, sur le volet de la plus-value apportée à l’emploi n’est pas exclu.

Soutenu par BPI Bourgogne, aidé par la Région, le concept technologique « Gutenberg One » sera-t-il le procédé révolutionnaire qui marquera de son empreinte le monde de l’édition du XXIème siècle ?  

L’avenir devrait le préciser d’ici peu. Marie-Guite DUFAY réunira tous les acteurs du développement industriel en octobre prochain à Dijon pour analyser les potentialités de financements et d’aides existantes.

Une chose s’avère déjà très probante : l’international se  passionne par cette curieuse trouvaille. Le Canada se dit très intéressé pour acheter ces futurs robots. Quant aux deux territoires des Antilles, la Guadeloupe et la Martinique en tête, ils sont dans les starting-blocks pour acquérir une centaine de robots dès l’automne 2020. Soit un équivalent de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires qui s’amoncelleraient dans la besace de LABALLERY. Sachant que 65 % des investisseurs convaincus par la pertinence du concept sont des insulaires…

 

 


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