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Sous un agréable soleil printanier se déroulait vendredi après-midi sur le parvis du siège social de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment la seconde séance d’approvisionnement en solution hydro-alcoolique. Un geste salvateur apprécié par les bénéficiaires qui souhaitent la reprise de leurs activités. Mais pas à n’importe quel prix…

AUXERRE : Séquencée en trois dates, la distribution de produits hydro-alcooliques aux adhérents du syndicat professionnels des artisans de la filière du bâtiment (CAPEB) a rencontré une nouvelle fois le succès ce vendredi 17 avril. Deux jours après le rendez-vous initial qui s’était déjà déroulé dans des conditions similaires au même endroit.

Ce sont au total trois cents récipients de cinq litres de ce précieux liquide qui seront remis in fine aux professionnels de la corporation. L’ultime séance est prévue le mardi 21 avril après-midi, de 14 h à 17 h.

Les responsables du syndicat ont donc convié leurs adhérents qui s’étaient préalablement inscrits à se munir de ce précieux auxiliaire indispensable à la sécurité afin d’assurer la continuité de leurs chantiers.

 

 

 

 

Une commande avait été générée en amont auprès de la société « AMH Labo » basée à Fontenoy pour pouvoir satisfaire les besoins des chefs d’entreprise qui le désiraient.

Ce geste symbolique permet d’entrevoir la reprise des activités. Même si certaines structures sont opérationnelles et honorent tant bien que mal quelques travaux auprès de particuliers dans le domaine de l’électricité, de la maçonnerie ou de la plomberie.

 

 

Des masques aux abonnés absents, des fournitures devenues de la denrée rare…

 

Toutefois, la majeure partie des artisans ne dispose pas des outils nécessaires (gel, masques) pour assurer la protection optimale de leurs salariés. 

« Il serait important d’en bénéficier au plus vite afin de respecter les mesures de sécurisation, a déclaré le président de la CAPEB 89 Jean-Pierre RICHARD qui a rappelé que « son organisme favorisait aussi les démarches administratives parfois complexes dans le souci d’accompagner ses adhérents ».

Autre particularisme qui empêche les entrepreneurs de travailler convenablement : l’observance de la distanciation sociale (de un à deux mètres entre les personnes). Une chose qui est impossible à respecter pour les collaborateurs exerçant leur métier sur un échafaudage.

Quant aux livraisons de fournitures, l’inquiétude grandit. Les importations de carrelage et de céramique en provenance d’Italie ne franchissent pas la frontière transalpine à l’heure actuelle. Il en est de même des composants électriques qui proviennent de Chine. Ces éléments sont devenus aujourd’hui de la denrée rare, difficile à se procurer dans les meilleurs délais.

 

 

 


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Ce jeudi s’est tenue par le biais d’une audioconférence la première réunion du Comité du bâtiment, des travaux publics et de la construction sous l’égide de la préfecture de l’Yonne. Un rendez-vous essentiel car il a permis d’évaluer quels étaient les chantiers privés et publics pouvant être potentiellement relancés à brève échéance…

AUXERRE : La mobilisation des acteurs publics et économiques de notre département est totale. Elle sert à optimiser la reprise des chantiers après plusieurs semaines d’interruption liées au coronavirus.

Ce jeudi a eu lieu la première séance de travail souhaitée par la préfecture de l’Yonne pour faire toute la lumière sur ce qu’il était possible d’envisager dans les meilleurs délais.

Les principaux acteurs de la filière ont été invités à s’exprimer avec le représentant de l’Etat, Henri PREVOST, pour identifier les chantiers prioritaires, publics et privés, qui pourraient reprendre à court terme. Dans le respect des gestes barrières et des recommandations sanitaires du moment, il va de soi.

 

 

Participaient également à cet échange par liaison téléphonique les représentants des principaux maîtres d’ouvrage et ceux de l’UD-DIRECCTE.

Le recensement des principaux chantiers qui ont été interrompus a débuté en date du 04 avril.

Précisons qu’un guide des bonnes pratiques a été validé pour ce secteur il y a peu. Il émane de la concertation nationale entre le gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du bâtiment et des travaux publics.

Ce document rappelle les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires adéquates afin de protéger les personnels de la filière.

 

En savoir plus :

http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises

https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/covid19-conseilsbtp.pdf

 


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Alors que la quasi-totalité des unités de production sont à l’arrêt partout en Europe, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, appelle au redémarrage progressif de l’activité. Un sursaut vital pour l’industrie automobile dont les usines pourraient reprendre petit à petit leur fonctionnement.

PARIS : Si l’est un des secteurs économiques qui ne sort pas indemne de la crise sanitaire actuelle, c’est bien celui de l’automobile. L’effondrement du marché est abyssal. En l’espace d’un mois, celui de mars, la production s’est délitée à hauteur de - 72,2 % dans l’Hexagone. Soit une chute de - 34 % en moyenne établie au cours du premier trimestre 2020. Son appareil industriel est à l’arrêt à 85 % ! Du jamais vu…

Le phénomène contagieux du coronavirus ne pouvait pas plus mal tomber pour ce pan essentiel de l’économie mondiale. Depuis la fin 2019, le secteur de l’automobile est en proie à un retournement de cycle avec une baisse du marché qui avoisinait déjà 6 % avant le début de la pandémie. 

Une reprise d’activité, même modeste soit-elle, fait déjà figure de grande nécessité pour les spécialistes. Ceux, entre autres, du Comité stratégique de la filière qui était réuni il y a peu par audioconférence pour examiner l’étendue du désastre. Une réunion numérisée qui accueillait la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER.

L’amorce du retour au travail est dans le viseur. Sachant que toutes les entreprises de la corporation sont désormais mobilisées pour mettre en application dans leurs usines et bureaux des protocoles sanitaires très stricts permettant d’assurer la sécurité des salariés. Certaines profiteront du retour d’expérience des dispositions qui ont été adoptées sur les sites industriels de Chine. Là-bas, le redémarrage s’est effectué avec réalisme et succès.

Hormis les unités de production, les professionnels du secteur entendent protéger les activités de logistique, livraison et ventes. Des travaux de mise en place de mesures de protection, auprès des collaborateurs comme de la clientèle, sont en cours.

 

 

Un signal fort des pouvoirs publics est attendu…

 

Attentive aux propos de ses interlocuteurs, Agnès PANNIER-RUNACHER a rappelé que le gouvernement ferait en sorte de créer progressivement les conditions indispensables au redémarrage du secteur via les autorisations de circulation des véhicules de transport, y compris au niveau des différents pays européens.

Dès que le contexte sera favorable, les livraisons de véhicules pour alimenter les réseaux de concessionnaires reprendront. Avant que ne rouvrent enfin lesdites vitrines commerciales qui accueilleront de nouveau la clientèle dans le respect des exigences sanitaires voulues par l’Etat.

 

 

 


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Silencieux depuis plusieurs semaines, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) s’est accordé du temps. Un espace nécessaire pour mûrir sa réflexion avant de prendre la plume et de s’adresser à ses adhérents par lettre interposée. Voici les morceaux choisis de ce message qui vient du cœur et qui exprime ce désir fou de reprendre le sens de l’existence là où on l’avait laissée avant le début de cette pandémie, digne du pire des scénarii de films de science-fiction de seconde zone…

AUXERRE : Hormis une opération solidaire qui lui aura permis de montrer le bout de son nez lors d’une distribution de solutions hydro-alcooliques concoctée avec le concours de la FFB et du restaurant « BBY » il y a quelques semaines, on n’était depuis sans nouvelle du charismatique responsable de la CPME de l’Yonne.

Suspendu aux décisions gouvernementales et à l’évolution de l’épidémie qui ne cesse de se propager dans l’Hexagone, le chef d’entreprise à la tête d’un domaine viticole à Chablis s’est enfin décidé à rompre le silence. De la manière la plus directe qu’il soit, c’est-à-dire scripturale.

Il vient en effet de transmettre un long courrier à ses adhérents afin de les réconforter et de les saluer face aux épreuves qu’ils traversent. Et surtout qui les empêchent de se voir et de travailler ensemble.

« Dans ce contexte compliqué, écrit-il, comment réagir alors que beaucoup de chefs d’entreprise ont dit à leurs collaborateurs qu’ils pouvaient travailler de chez eux avec leur téléphone et leur ordinateur tandis que d’autres seraient en chômage partiel… ».

Rester positif tout en s’assurant de la sécurité inconditionnelle de ses collaborateurs et sans perdre de vue que l’entreprise doit rester prospère est devenu un problème kafkaïen quasi insurmontable.

« C’est là tout le paradoxe, poursuit Olivier TRICON, être confiné pour se protéger de toutes les personnes qui nous entourent au quotidien tout en continuant le travail pour faire fonctionner l’économie relève de la magie ! Même si tout doit être mis en œuvre en termes de barrière sanitaire… ».

Le président du syndicat patronal des TPE et PME pense que s’il y a un bénéfice à cette crise, « ce serait celui de la prise de conscience de nos concitoyens à l’égard de ces entreprises qui produisent des biens indispensables à leur consommation, créent de la richesse et de la valeur, sans omettre l’emploi… ».

Bref : sans l’engagement et l’audace de ces personnes, l’engrenage vertueux de l’économie s’arrêterait immédiatement. Comme c’est le cas, du moins partiellement  en France, depuis la mi-mars.

 

Une indemnisation de 1 250 euros aux indépendants, commerçants et artisans…

 

Réagissant aux prises de position de son président national, François ASSELIN, le chef de file de la CPME de l’Yonne rappelle que ce dernier défend auprès du gouvernement une vision du travail basée sur la sécurité des collaborateurs, des entrepreneurs et des entreprises, personne morale.

« Oui, expose-t-il, la sécurité est une priorité absolue. Nous voulons faire travailler nos salariés mais en étant sûr que nous ne mettons pas en péril leur santé et pas au prix de charges supplémentaires disproportionnées pour nos entreprises… ».

La situation est, on ne peut plus claire. Quant à la sécurisation des dirigeants, il souligne que les instances nationales de la CPME souhaitent que soit reconnue une obligation de moyen, et non de résultat en matière de santé et de sécurité.

 

 

« Notre syndicat a réfléchi à l’indemnisation des chefs d’entreprise. Nous avons obtenu une somme de 1 250 euros qui vont être versés aux indépendants, commerçants et artisans, hors charges sociales et fiscales… ».

Toutefois, Olivier TRICON précise qu’il est aussi indispensable de travailler à la protection de la personne morale.

« Nous nous battons aujourd’hui pour que des outils soient mis à la disposition des entrepreneurs afin de les aider à surmonter la crise. Nos revendications portent également sur l’annulation des charges sociales et fiscales… ».

Un axe stratégique plus favorable qu’un simple report qui favoriserait le retour opérationnel des entreprises dans de bonnes conditions.

« Je vous conseille aussi d’utiliser toutes les opportunités possibles pour maintenir la trésorerie, ajoute-t-il en faisant allusion aux aides consenties par l’Etat, la Région, les réseaux bancaires, BPI France, etc. ».

Toutefois, le président de la CPME insiste auprès de son lectorat : « Si j’ai une demande à vous faire, et vous savez que c’est assez rare de ma part, c’est celle de payer vos factures afin de ne pas mettre en difficulté vos fournisseurs… ».

 

Des liens étroits noués au niveau local…

 

Au plan départemental, la CPME travaille de concert avec les différentes institutions ayant attrait à l’économie. Ainsi, elle fait entendre sa voix auprès de l’URSSAF, la DIRECCTE, la préfecture, la Région, les communes.

« Cette concertation se fait en lien avec des spécialistes qui nous accompagnent : experts comptables, avocats, assureurs, les chambres consulaires. Le but étant de vous écouter, de vous informer et de vous accompagner dans toutes vos démarches… ».

Une fois sortie de ses épreuves, Olivier TRICON qui aura l’immense plaisir à retrouver tous ses adhérents, espère un monde entrepreneurial plus solidaire et  plus fort après tant d’adversités. Un désir à partager par tous…

 


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Nos politiques sont en panne de créativité ! Ils cherchent des solutions pour l’après crise. Sans pouvoir se mettre d’accord sur les méthodes d’investigation, de travail, de résolution de problème, de démarche… Ils nous rebattent les oreilles avec les bonnes vieilles méthodes du passé qui, devenues obsolètes, ne leurrent que celles et ceux qui manquent d’imagination…

TRIBUNE : La planète se voile la face en peignant, inconsciemment la dystopie du monde de demain. A la manière de nos grands-mères, nos dirigeants rapiècent de vieux pantalons usagés, décrépis et irrécupérables !

A l’échelle de l’Europe, ils sont incapables d’inventer l’avenir. Les gouvernants reprennent les vielles solutions économiques et sociales d’hier. Les responsables européens nous parlent d’instaurer un plan « Marshall ». Mais, quel est le rapport avec 1945 ?

Faut-il inonder l’Europe (Etats, entreprises) de crédits ? Pour acheter quoi et surtout à qui ? Pour aggraver les déficits commerciaux ? Une politique de l’offre est aujourd’hui tout aussi vouée à l’échec qu’une politique de la demande ! Aucune d’entre elle ne pourra contenir une évolution forte du chômage. Seule une nouvelle méthode de répartition des richesses semble urgente face à la stagflation (récession et inflation) qui menace.

Faut-il injecter des capitaux en masse pour relancer l’économie ? Une soi-disant solution miracle pour la relance, vaine théorie keynésienne, qui n‘a jamais prouvée son efficacité. Mais hélas, elle a aujourd’hui la faveur de nos politiques pseudo-libérales !

Alors, est-ce qu’il faut revenir à Friedman avec la théorie monétariste et le laisser-faire, prêche contre Keynes et la « non-intervention » de l’Etat dans l’économie ! Cela ne peut pas marcher.

Les contribuables, sur pression de l’Etat, ont sauvé les banques après la crise de 2008 ! Nous ne pourrons pas rééditer l’exploit !  Quelles seraient les solutions efficientes pour faire face à une situation inédite dans notre histoire ? Un environnement tumultueux qui cumule une crise sanitaire, sociale, financière et économique. Il ne trouve aucune équivalence donc aucune solution passée dont on pourrait s’inspirer.

 

Inventer l’avenir, c’est imaginer ensemble le monde que l’on souhaite…

 

Techniquement, on retrouve de la stagflation. C’est-à-dire un surendettement global (Etat, entreprise, particulier…), une pauvreté grandissante (600 morts de froid chaque année), une immigration non maîtrisée, un environnement naturel en pleine déliquescence… Les risques de fascisme et de totalitarisme ne sont peut-être pas si loin.

Le locataire de l’Elysée est clair dans ses aspirations pour les Français, lorsqu’il affirmait il y a peu : « La Coupe du monde est réussie quand elle est gagnée ». En conséquence, seule la victoire compte…pour les vainqueurs !

Or, la richesse des uns devient le résultat de la performance individuelle alors que la misère et la pauvreté des autres illustrent leur incapacité à s’adapter et à devenir riche !

Pire encore : le monde voulu par notre président se résume à cette injonction : « Il faut que les jeunes aient envie de devenir milliardaire… ».

Encore faut-il avoir un échantillon personnel à présenter ! Une subtile stratégie encore appelée « mythe de la performance » qui dépolitise les problèmes et évacue toute question de justice sociale.

Inventer l’avenir, c’est se projeter demain. Imaginer ensemble le monde que l’on souhaite, afin de décliner les actions à mener, sans aucune référence aux solutions du passé.

Alors le moment présent, dans l’action, deviendra la valeur actualisée du futur. Nos capacités créatrices sont mises à rude épreuve : quelle place pour l’individu, quelles valeurs doivent prédominer (au lieu de la sempiternelle itération de « liberté-égalité-fraternité » qui hélas demeure trop souvent lettre morte) ?

Quelle est la place de la France dans le concert européen ? Quelles doivent être les formes de solidarité et d’équité entre les peuples ? Peut-on imaginer une économie de partage, sans croissance et sans déficit budgétaire ? Oui, bien sûr !

Mais en associant les forces vives de ces spécialités : scientifiques, économiques, sociologiques…afin d’éclairer et d’affirmer la volonté du peuple !

On ne peut plus confier les clefs du pouvoir à une seule personne, élue par une minorité de citoyens qui jouerait notre avenir à pile ou face : « pile je gagne, face tu perds ! ».

Souvenons-nous de la citation de l’économiste David CAYLA : « Les économistes me font penser aux conquistadors qui dévastèrent des civilisations entières au nom de la quête des cités d’or…».

Jean-Paul ALLOU

 


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