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Le candidat de Debout la France à présidentielle 2022 était de passage dans l’Yonne à la rencontre de ses militants et sympathisants. Après une halte à Villeblevin, et avant de se rendre à Foissy-les-Vézelay, le souverainiste a tenu un point presse à Auxerre pour y présenter son dernier opus où il évoque les grandes lignes de son programme.

 

AUXERRE : C’était également une journée pour convaincre quelques maires supplémentaires de signer pour son projet et lui permettre de viser ainsi les 500 parrainages. Ce qui de l’aveu même de l’intéressé, est loin d’être gagné. Tableau en main, le candidat a fait ses comptes. Il lui manque encore près de la moitié des seize signatures que lui avaient octroyées les maires de l’Yonne en 2017. Une frilosité qu’il attribue à la publication des noms, aux intercommunalités et à un ras le bol généralisé de la chose politique : « d’élections en élections, les maires parrainent de moins en moins. Aujourd’hui, je ne vois même pas comment Eric ZEMMOUR peut imaginer être candidat ! Quant à Marine Le PEN… je vois venir une espèce de bombe démocratique ! Imaginez un Jean-Luc MELENCHON à 10 % dans les sondages, qui n’aurait pas ses 500 signatures ! ».

Nicolas DUPONT-AIGNAN reste mutique quant au nombre exact lui restant à décrocher et se veut prudent : « je pense que l’on va y arriver, mais je peux aussi échouer ric-rac ! ». Mais celui qui entame sa quatrième campagne présidentielle sait bien que le résultat de l’élection dépendra aussi de la mobilisation électorale : « on peut tout promettre, les gens ne nous croient même plus, après vingt ans de promesses trahies ! Un pays dont les habitants ne croient plus en rien ne peut se redresser. La seule condition, c’est de redonner confiance ». Appelant pour cela les Français à se rendre en nombre aux urnes : « Secouez-vous ! Libérez-vous ! Relevez-vous ! Si vous ne votez pas, vous n’en sortirez jamais… »

 

Un treizième mois pour tous financé par la baisse des cotisations sociales…

 

Faisant fi des sondages qui le créditent de 2 à 5 % des intentions de vote, le député de l’Essonne vient de sortir aux éditions L’Archipel un livre de propositions chiffrées : « Où va le pognon ? » où il affirme expliquer concrètement comment mettre en œuvre financièrement ses idées et récupérer au passage les cent milliards d’euros qui selon lui, sont gaspillés par la puissance publique chaque année. Un plan de bataille s’articulant autour de trois priorités : récompenser le travail, aider les entreprises qui relocalisent sur le sol français et rouvrir 20 000 lits supplémentaires dans les hôpitaux, soit un établissement de santé de plus par département, notamment dans les zones désertifiées.

Sur le premier point, 20 milliards d’euros seraient ainsi affectés à l’augmentation des salaires pour une majorité de Français, sous la forme d’un 13ème mois pour tous, financé par une baisse des cotisations salariales.

Autre cheval de bataille, la lutte contre la fraude sociale et les fausses cartes vitales qui circuleraient dans le pays, estimées selon l’ancien maire de Yerres à 1,8 million de cartes surnuméraires, avec à la clé un préjudice qui atteindrait 20 milliards d’euros. Le candidat mise aussi sur un patriotisme économique en baissant de moitié l’impôt sur les sociétés pour toute entreprise réinvestissant ses bénéfices sur le territoire français : « assez de baisser les charges non ciblées faisant des cadeaux aux entreprises qui délocalisent, à l’instar du CICE ».

 

 

Créer des filières pour assurer la survie de l’économie…

 

Reste à convaincre les consommateurs à privilégier dans leurs achats le « made in France » et pour y parvenir Nicolas DUPONT-AIGNAN souhaite la création de filières : « aujourd’hui, le produit est trop cher pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas de filières, pas de grande échelle, nous sommes quasiment dans le sur mesure… ». Des filières qu’il aimerait voir renaître également en matière agricole, pour la survie financière des producteurs : « on a voté deux lois EGALIM, elles ne marchent pas, c’est un tissu de bureaucratie ! On peut tout à fait instaurer un prix garanti, sur le lait notamment, avec des quotas et contrôler les importations…. Qu’on ne me dise pas qu’il est impossible de recréer quelque chose qui soit à la fois européen et organisé… ».

L’occasion pour le candidat souverainiste de tirer à boulet rouge sur l’Europe : « on cumule une technocratie, un déséquilibre législatif exécutif et une organisation européenne tentaculaire, on ne contrôle plus rien ! ». Et d’appeler à la renégociation des traités pour redonner plus d’autonomie aux parlements nationaux : « troisième voie entre le FREXIT et l’Europe telle qu’on la subit aujourd’hui… ».

Comme disait le Général : « vaste programme ! »

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Il veut comprendre, le maire de Migennes ! Connaître toutes les pièces du dossier pour tenter de démêler les fils ténus de cet imbroglio économico-industriel qui se joue depuis 48 heures dans sa ville. Le pire des scenarii au plan humain se concrétise avec à l’horizon ses funestes conséquences : la perte de 400 emplois. Impensable pour le président de la communauté de communes…

 

AUXERRE : Il est atterré François BOUCHER. Et c’est peu de chose de le dire à l’issue des informations qui ont fait l’effet d’une bombe dans le sérail institutionnel. Le projet de fermeture du site automobile BENTELER dans sa localité, Migennes, le laisse perplexe.

Une décision inique de la part de l’équipementier d’Outre-Rhin qui l’agace profondément. A l’instar de l’ensemble des élus de l’hémicycle départemental qui, en session plénière ce vendredi matin, sont partagés entre surprise, colère et indignation.

L’Yonne de la sous-traitance automobile paie un lourd tribut à la mondialisation et aux changements de paradigme de la transition énergétique qui se profilent.

« Nous rentrons vraiment dans une crise sectorielle très importante, lâche le conseiller départemental lors d’une prise de parole sur le sujet au beau milieu de la matinée, je vous le prédis : cette crise-là sera pire que celle observée en 2008… ».

Il y a quelques jours, c’était AUTOMOTIVE LIGHTNING à Saint-Julien-du-Sault. Aujourd’hui, c’est au tour de BENTELER à Migennes d’être confronté aux affres de la dure loi concurrentielle de l’économie. Une concurrence exacerbée par les prix de la main d’œuvre pratiqués par l’Espagne ou le Maroc. Ce que dénonce avec véhémence François BOUCHER.

« Le pire fléau à l’heure actuelle côté concurrence pour nos industries, c’est l’Espagne, souligne l’élu de Migennes, il faut que les constructeurs de la filière automobile fassent tout leur possible pour éviter que tout le monde ne parte s’installer là-bas ! ».

 

 

« On a le portable du directeur de MUTARES… »…

 

Un constat amer et difficile à admettre alors que l’Etat français ne cesse de parler de réindustrialisation à gogo. Seraient-ce déjà trop tard pour les filières traditionnelles ?

« On en a assez de cette Europe à bas coûts, clame le conseiller départemental furibond, beaucoup de députés et de parlementaires devraient faire remonter ces informations à Bruxelles ! ».

Et au passage d’exiger que les états membres de l’Union européenne réajustent le SMIC afin d’uniformiser les salaires. Oui, d’accord, mais quid de la pesanteur inconsciente des charges sociales qui briment les entreprises françaises au quotidien, les empêchant de recruter ?

« On essaie d’avoir un contact direct avec l’éventuel repreneur de ce site industriel, ajoute François BOUCHER, on possède le numéro de portable du directeur de MUTARES (une holding allemande qui acquiert des sociétés de taille moyenne éprouvant des difficultés financières) afin de découvrir toutes les pièces de ce dossier afin de mieux l’analyser et y faire face… ».

Par le terme « on », le président de la CC du Migennois fait allusion à son homologue du Jovinien, Nicolas SORET, vice-président de la Région en charge de l’économie et de l’emploi. A la manœuvre depuis vingt-quatre heures sur cet épineux dossier.

 

Curieux marchandage autour du site de Migennes…

 

Il se dit même dans les alcôves que BENTELER qui ne veut plus de représentation physique dans l’Hexagone donnerait de l’argent à l’éventuel repreneur qui rachèterait la boutique ! Sachant que de 15 à 20 millions d’euros sont nécessaires pour moderniser les lignes de production du site icaunais. Un drôle de marchandage.

« Avec Nicolas SORET, conclut François BOUCHER, on étudie la possibilité de lever des fonds dans le cadre des aides économiques inhérentes aux différents plans de relance. Nous sommes en train de regarder cela attentivement, au millimètre près… ».

Lundi 22 novembre, le préfet de l’Yonne réunira en début d’après-midi tous les acteurs pouvant influer sur l’évolution de ce dossier où 400 emplois sont sur la sellette. Dont ceux de 120 foyers !

Attentif à la situation, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a confirmé en fin de séance que les élus icaunais rédigeront une motion afin de montrer leur total soutien avec les salariés et leur rejet de cette fermeture, un texte qui sera voté lors de la séance publique du 10 décembre.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une catastrophe inéluctable pour l’emploi et l’attractivité de l’Yonne. Avec quatre cents postes à la clé qui pourraient être menacés si rien n’est fait pour sortir de ce guêpier qui frappe de plein fouet l’une des références industrielles de l’automobile. Un coup de massue que la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY a dû mal à encaisser. Et pour cause : l’équipementier allemand n’avait pas prévu de fermer le site…

 

MIGENNES : A l’annonce de la fermeture de l’usine BENTELER, intervenue ce jeudi matin à l’issue d’un comité social et économique extraordinaire, le sang de Marie-Guite DUFAY n’a fait qu’un tour.

Demandant au vice-président en charge de l’économie et de l’emploi Nicolas SORET de prendre attache dès que possible avec l’équipe de direction et les salariés, la présidente de l’exécutif régional a décidé de réagir le plus vite possible face à une situation qu’elle a qualifié d’inacceptable.

L’enjeu est de taille. Ce sont quatre cents emplois qui sont ainsi dans la balance. Celle des pertes et profits. Alors que l’équipementier allemand avait confirmé mordicus à l’élue régionale ne pas vouloir fermer le site de Migennes ! En outre, aucun plan de sauvegarde de l’emploi n’avait été envisagé.

D’où l’étonnement de la présidente régionale à la découverte de cette information matinale. Elle qui évoque sa relation avec la direction du site il y a de cela quelques jours encore pour finaliser une possible offre de reprise.

« La Région s’était engagée à accompagner, aux côtés de l’Etat, tout repreneur afin de garantir la pérennité du site et des emplois, ajoute-t-elle.

 

 

Que l’Etat déclenche le dispositif « Choc industriel »…

 

A ce titre, Marie-Guite DUFAY s’est rapprochée de l’Agence Economique Régionale (AER) afin qu’elle puisse redoubler d’efforts dans la recherche d’un possible repreneur d’ici l’ouverture du PSE, le Plan de sauvegarde de l’emploi.

« J’ai interpellé la ministre déléguée chargée de l’industrie, précise la présidente, en la sollicitant pour qu’elle déclenche immédiatement le dispositif « Choc industriel »… ».

Un processus propre au programme « Territoire d’industrie » qui offre la possibilité de bénéficier d’un accompagnement renforcé de la part de l’Etat afin d’aider prioritairement tout projet de développement économique sur le territoire. Pour l’heure, on ne connaît pas encore la réponse d’Agnès PANNIER-RUNACHER.

Toujours est-il que la présidente apporte son soutien aux salariés et demeure à la disposition des organisations syndicales et des élus locaux. Exigeant de l’Etat à l’heure où celui-ci clame haut et fort le principe de relocalisation industrielle, de reconquête et de souveraineté économique qu’il agisse en connaissance de cause au plus vite. « C’est le moment de prouver qu’après les discours il y a des actes ! ».  

 

Thierry BRET

 


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Voilà une filière économique qui fait la une de l’actualité cette semaine ! Celle des travaux publics, incarnée par sa puissante fédération régionale en Bourgogne Franche-Comté. Son président, l’entrepreneur Vincent MARTIN, a joué les faiseurs de roi à Paris au nom de la FNTP lors du Salon des Maires, honorant l’un des siens. Tout en donnant le coup d’envoi de la semaine spéciale qui présente la corporation autour de ses nombreux métiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le secteur est en pleine effervescence. Le plan de relance est passé par là. Les projets structurels ne manquent pas, noircissant au passage les carnets de commandes des entrepreneurs ravis, après la période de crise sanitaire. Néanmoins, ces derniers peinent à se doter des bonnes compétences côté effectif. Faute de candidats !

L’objectif de la Semaine des Travaux Publics en Bourgogne Franche-Comté est précisément de pouvoir répondre à ces besoins. Comment ? En suscitant des vocations parmi les jeunes (et les moins jeunes) susceptibles de se former afin de grossir les rangs des collaborateurs de la filière.

Des webinaires, des démonstrations ont été assurés au sein des centres de formation, prouvant à qui voulait l’entendre que les TP étaient toujours sur le devant de la scène au niveau des offres d’emploi. Plus de trois cents postes sont à pourvoir en effet à date dans la contrée territoriale qui est la nôtre.

 

 

 

Une promotion que les représentants de la Fédération nationale ont même assuré en haut lieu, à Paris lors du Salon des Maires de France. C’est là, sous les ors de cette respectable institution d’édiles que le président de la FRTP BFC Vincent MARTIN a remis une distinction à l’un de ses pairs, l’entrepreneur Francis PENNEQUIN pour la réalisation de travaux visant à aménager les abords du château de la commune Longvic en Côte d’Or, mise à l’honneur.

Organisatrice des victoires de l'investissement local (jury), la Fédération nationale des Travaux Publics a par l'entremise de son représentant régional en Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, décerné le Prix Coup de Cœur de la soirée à son confrère Francis PENNEQUIN, à la tête de son entreprise éponyme à Marsannay-la-Côte.

 

Thierry BRET

 

 


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Structure originaire de Dijon, la plateforme en ligne à destination des personnes en situation de handicap en matière de mobilité et de logements rejoindra d’ici peu le pôle de partenaires que compte l’agence de développement touristique de l’Yonne. Une série de webinaires proposera prochainement de l’information sur les offres de services déclinées auprès des voyageurs ayant une problématique physique…

 

PREHY : C’est un pas supplémentaire qui vient d’être franchi pour optimiser l’accueil des personnes victimes d’un handicap dans la pratique d’activités touristiques. Une pratique qui ne cesse d’augmenter dans l’Hexagone depuis plusieurs années. 

L’agence de développement économique Yonne Tourisme va entériner très prochainement un nouveau partenariat allant dans ce sens. Le futur partenaire se nomme TOOLIB.

C’est une start-up de Côte d’Or qui offre depuis sa plateforme numérique des alternatives heureuses permettant aux personnes à mobilité réduite de se déplacer et vivre en toute simplicité, y compris dans leur désir de voyager à la découverte des richesses patrimoniales et culturelles de notre beau pays.

L’information a été confirmée par la présidente de l’organisme, Isabelle FROMENT-MEURICE, vice-présidente du Conseil départemental en charge du développement des affaires culturelles et touristiques.

Une nouvelle annoncée lors d’un point avec la presse concocté lors du Salon des professionnels du tourisme spécialistes dans la gestion des groupes accueilli dans l’une des salles de réception du Domaine BROCARD. La convention de partenariat unissant ces deux composantes devrait faire l’objet d’une signature officielle entre ses acteurs d’ici peu.

 

 

Une structure déjà présente sur le Salon des seniors…

  

TOOLIB n’est par ailleurs pas une entité inconnue des Icaunais. La structure dijonnaise était présente lors du Salon des seniors organisé au parc des expositions d’Auxerre en octobre. Une excellente opportunité pour elle d’avoir pu présenter sur son stand son concept autour de l’adaptabilité des logements et des meublés (ainsi que les gîtes) à la problématique du handicap. C’est par le biais d’une rencontre informelle sur ce salon avec les responsables de l’agence Yonne Tourisme que ce nouveau partenariat a fait tilt dans les esprits.

D’ici peu, des webinaires seront proposés aux professionnels de la filière tourisme de notre territoire afin que TOOLIB puisse expliquer dans les moindres détails le contenu de ses offres et prestations de services.

Une information riche et sans doute nécessaire pour faciliter la venue en parfaite sérénité de ces personnes atteintes d’un handicap dans tel ou tel lieu d’hébergement de l’Yonne. Tout en ayant la connaissance de la typologie d’appareils et de dispositifs proposés sur place devant rassurer cette catégorie de clientèle autour d’équipements spécifiques, de lits médicalisés, etc.

 

Thierry BRET

 

 


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