Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

De l’aveu, même, de la présidente Marie-Guite DUFAY, ce n’est pas un scoop ! Au vu du contexte imputable à la crise. La construction du budget de la Région Bourgogne Franche-Comté n’a donc pas été facile. Conséquence : si celui-ci est adopté lors de la séance plénière cette semaine à Dijon, les habitants du territoire et les partenaires de l’institution ne doivent pas s’attendre à des miracles financiers. Mais, plutôt à une orientation budgétaire devant faire face aux contraintes inflationnistes et énergétiques, sous le sceau de la « prudence » et du « volontarisme » avec en sus, un gel radical des dépenses sur les nouveaux investissements…

 

DIJON (Côte d’Or) : On la sent déterminée jusqu’au bout des ongles, la responsable de l’exécutif régional. « Notre marque de fabrique n’est pas de baisser les bras, glisse-t-elle en préambule et se voulant rassurante lors de la conférence de presse d’avant session qui réunira deux jours durant les élus régionaux dans l’hémicycle dijonnais mercredi et jeudi. Nous sommes là pour penser et porter le développement de notre économie dans nos territoires et le bien-être de nos concitoyens… ».

Pourtant, les visages des trois interlocuteurs – Michel NEUGNOT et Nicolas SORET l’accompagnent pour cette conférence - faisant face à un panel exhaustif de la représentation médiatique régionale font plutôt grise mine. Les jours de fête d’entre Noël et Nouvel An sont déjà oubliés et loin derrière nous. Il faut vite revenir à la dure réalité d’un quotidien, morose et incertain, plombé par une inflation galopante et un coût des prestations énergétiques sans commune mesure. Autant de paramètres conjoncturels, plus ou moins prévisibles indexés au contexte international qui impactent par effet gigogne l’élaboration du budget de la Région.

 

S’appuyer sur l’Etat pour faire pression sur la SNCF…

 

Soumis au vote durant la séance plénière qui débute ce mercredi et annonciateur d’échanges dans l’hémicycle que la présidente ne souhaite pas trop houleux mais constructif, le budget de la Région marque le pas. Une orientation sous le prisme de la « prudence », le maître mot de cette explication de texte que Marie-Guite DUFAY répètera à maintes occasions comme un fil d’Ariane justificatif.

« Nous sommes comme un ménage qui voit ses dépenses explosées, souligne-t-elle, et qui n’a pas les recettes en face. Donc, ce ménage doit réduire son train de vie. Nous allons forcément, dans ce budget, prendre des mesures de ralentissement qui vont porter essentiellement sur les investissements ».

Mais, pouvait-il en être autrement au plan comptable lorsque l’on sait que l’excédent des dépenses inflationnistes et énergétiques s’élève à 130 millions d’euros alors que les recettes supplémentaires n’en ont rapporté que vingt millions ?

Posant tout haut les questions (avant d’en apporter les réponses), la présidente socialiste de l’exécutif régional déroule le fil de ses idées, se faisant pédagogue pour que chacun comprenne la nécessité de proposer un budget « volontariste » le plus adapté possible à la situation.

« Nous ne pouvons pas déséquilibrer nos ratios, nos fondamentaux, observe-telle, d’autant qu’à date, je n’ai pas la réponse à toutes les interrogations que je pose à mes interlocuteurs importants sur le bouclage de ce budget, à savoir l’Etat et la SNCF… ».

Mais, que l’on ne s’y méprenne pas ! Lorsque Marie-Guite DUFAY cite l’Etat dans ses propos, « ce n’est pas à lui de combler les déficits qui sont les nôtres, ce n’est pas du tout ça le sujet ! ».

Non, elle fait référence à la représentation étatique afin que cette dernière l’aide à faire pression sur la SNCF, notamment sur l’important volet des mobilités à la charge de la Région.

« Les coûts de l’énergie ont explosé de façon dramatique, poursuit-elle, et l’envolée de l’inflation fait que la convention passée avec la SNCF parce que nous avons un réseau ferroviaire important doit être renégociée. Même si notre budget s’élève à deux milliards d’euros, il n’en demeure pas moins un petit budget par rapport aux autres régions de l’Hexagone… ».

 

 

Un exécutif en plein brouillard de l’aveu de la présidente…

 

Conséquence, les excédents des dépenses sont difficiles à lisser, de l’avis de la présidente. Un démarrage de négociations avec la SNCF se formalise ces jours-ci afin de trouver des solutions appropriées pouvant réduire la facture énergétique. C’est le souhait de Marie-Guite DUFAY qui veut ainsi s’appuyer sur l’aide de l’Etat pour faire baisser structurellement les charges imputables au coût de l’énergie, du fait de l’exploitation des trains.

Il s’agirait d’aborder ces négociations à partir d’un processus « moins absolu » et beaucoup plus favorable à la SNCF, en matière d’ouverture à la concurrence, ce qui fit l’objet d’un vote de l’assemblée régionale, pour 2026 – pour des raisons techniques, cette libéralisation du marché s’effectuerait même à partir de 2027 -, rappelait la présidente. Une ouverture à la concurrence qui serait donc repoussée pendant la durée du mandat de la majorité actuelle si une nouvelle convention était négociée, entraînant de facto la baisse considérable de ces charges énergétiques, la rendant plus progressive et étalée dans le temps.

A date, la négociation démarre pour la présidente qui avoue être « dans le brouillard » compte tenu de l’inéluctable explosion des dépenses.

Les choses ne se dérouleront pas comme d’habitude, visiblement. D’ordinaire, le budget se vote en bonne et due forme en janvier et au mois de juin, une décision modificative permet d’ajouter ou de soustraire des éléments complémentaires au budget initial. Ce qui ne sera pas le cas, cette année a déjà prévenu Marie-Guite DUFAY.

Le brouillard qui entoure l’exécutif régional devrait cependant se lever petit à petit et éclaircir la ligne budgétaire de la Région d’ici là, compte tenu de l’évolution des négociations avec l’Etat, et la SNCF. Rendant le budget du printemps beaucoup plus important au niveau de l’enveloppe que ce qu’il n’est aujourd’hui.

Mais, c’est au niveau des investissements que la présidente socialiste de la Bourgogne Franche-Comté a placé le curseur. En agissant avec « prudence », une fois de plus.

« Je précise à tous nos partenaires, les entreprises, les porteurs de projets du territoire que nous n’engagerons aucune dépense d’investissement entre le mois de janvier et le mois de juin. Sauf coup parti, c’est-à-dire qu’il y a des travaux effectués dans les lycées, principale compétence de la Région et que nous n’arrêterons pas les chantiers… ».

Le message destiné aux partenaires habituels qui sollicitent la manne financière de la Région est on ne peut plus clair au final : « ne venez pas chercher de financement entre janvier et juin ! ». La suspension des règlements d’intervention est donc actée par la présidente.

Y verra-t-elle plus clair au printemps ? Oui, assure-t-elle. Précisant en corolaire que son administration travaille à l’élaboration d’un plan pluriannuel d’investissements qui confèrera à l’exécutif une lisibilité optimale sur ses capacités d’intervention. Un plan qui sera soumis au vote de l’hémicycle en juin. Et qui permettrait à la Région de reprendre les investissements qu’elle a sciemment ralentis à partir d’un budget vert et solidaire.

Quant au milliard d’euros (927 millions avec exactitude) dédié au fonctionnement – culture, sport, solidarité territoriale avec les collectivités, la politique des quartiers -, il ne sera pas impacté par ce ralentissement.

   

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’histoire est un éternel recommencement. Nous avons du mal à en tirer les leçons. Connaître l’histoire, c’est éviter les pièges de l’avenir. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Général de GAULLE serre la main à nos alliés soviétiques, au grand dam de l’opinion internationale. Dans son discours à Strasbourg en 1959, le même général évoqua « l'Europe, de l'Atlantique à l'Oural », dans une formule marquante visant à briser le duopole de la « Guerre froide » entre Washington et Moscou… Le sens des invasions a toujours été de l’Oural à l’Atlantique (suivez mon regard) !

TRIBUNE: Je laisse au lecteur le soin de mesurer les analogies possibles entre Louis XVI – Versailles – Marie-Antoinette – la représentation nationale et Emmanuel MACRON - l’Elysée – Brigitte – l’Assemblée Nationale ! C’est criant de vérité…

Sous Louis XVI, la représentation du pouvoir se joue à Versailles. De là, partent les rumeurs, les éloges et les calomnies. De plus, on retient beaucoup plus les anecdotes concernant le goût du roi pour la serrurerie et les soit-disantes frasques de Marie-Antoinette ! Dans l'historiographie, la monarchie de la fin de l'Ancien Régime est soumise à un préjugé défavorable car on la mesure à l'aune de son échec. Désacralisée, vilipendée, la monarchie de Louis XVI aurait été à bout de souffle et ne pouvait qu'échouer dans tout désir de réformes.

 

Un peuple assommé par les taxes en tout genre…

 

La France est dans une situation de crise économique et la royauté est confrontée à une crise financière importante : les dépenses pour la guerre d'Amérique ont pesé très lourd dans le budget du royaume. Les dépenses de la cour à Versailles sont très importantes et de plus en plus impopulaires. Pourquoi financer la guerre américaine ? La France adhère-t-elle aux idéaux du Nouveau Monde ? Pas plus qu’avec l’Ukraine aujourd’hui… On souhaite surtout contrarier et déstabiliser les Anglais (les Russes d’aujourd’hui), sous l’impulsion de deux idéalistes, La Fayette et de Rochambeau. N’oublions pas l’amitié légendaire de La Fayette et de Georges Washington, deux Francs-maçons notoires.

Pour la crise économique, les paysans sont assommés par les taxes en tout genre et doivent faire face, dans cette fin du XVIIIème siècle à de très mauvaises récoltes. Famine et pauvreté se répandent dans tout le royaume.

Louis XVI décide alors de faire un sondage, pardon de procéder à la récolte des cahiers de doléances : on demande au peuple d’indiquer leurs demandes. Résultats : moins d’impôts et de taxes, de quoi manger, moins de parties de la population nanties de privilèges… bref, avoir un toit, de quoi manger et se vêtir ! Le XXIème siècle a-t-il changé la nature des demandes du peuple ?!

Face aux crises et aux révoltes en province, Louis XVI convoque les Etats Généraux : les nobles, le clergé et le peuple, avec ses héros comme Robespierre et Mirabeau. Si le peuple est le plus représenté en nombre, il est minoritaire en nombre de voix. Louis XVI rejette toute idée de laisser le peuple donner son avis sur la conduite du pays. Cependant, il souhaite éviter une guerre civile qui se conjugue entre privilégiés (aristocrates et clergé contre le peuple). La guerre civile éclatera dans le grand ouest et particulièrement en Vendée.

 

 

D’étranges similitudes entre les deux périodes…

 

Qu’en est-il aujourd’hui ? Face à l’effondrement du Parti Communiste, à l’embourgeoisement des socialistes, le peuple est de moins en moins représenté dans l’hémicycle : moins de 4 % d’employés-ouvriers. Certains redoutent une guerre civile en France quand parfois ils affirment qu’elle a déjà commencé !

Louis XVI fit appel à deux conseillers marquants (Mc Kinsley n’existait pas) : Necker et Turgot. Des conseillers réformateurs, mais qui n’ont pas su apprendre au roi les bases de la politique. Louis XVI est un érudit mais il ignore tout  de l’organisation du royaume et veut diriger dans l’absolutisme le plus intégriste ! Les réformes de modernisation proposées vont également conduire à sa perte. Les origines de la Révolution sont aujourd’hui très contrastées et sujet à polémiques. Michelet penche pour une pauvreté accrue qui pousse à la Révolution, alors que Jaurès tient l’importante richesse de la France au XVIIIème, son injuste répartition et la prospérité des nantis, pour tenants de la révolte.

Les fake news vont bon train au royaume de France : lors de son procès, Marie-Antoinette est accusée d’actes de pédophilie vis-à-vis de ses enfants. Et surtout, c’est une étrangère, être «Autrichienne » : un crime de lèse français ! Une foule mécontente et affamée marche sur Versailles. Confrontée à la souffrance des malheureux, et à ceux qui réclamaient du pain, la reine aurait alors suggéré cette proposition choquante : « Qu’ils mangent de la brioche ». C’est une légende avérée. Rien ne le prouve, mais admettons que cette phrase fut réellement prononcée. Il faut savoir qu’à cette époque la « brioche » est un surnom donné au pain cuit dans les fours communaux par les plus pauvres. Au XVIIIe siècle, pour les Français, le pain n’est pas seulement un aliment de base. Il symbolise le sacré, l’espoir, la justice, la stabilité… Il rassure quand il est blanc. Il inquiète quand il devient noir et vient à manquer.

On pourrait continuer à l’infini les similitudes entre la vie sous Louis XVI et celle de notre président. Retenons un contexte actuel qui devrait permettre à Emmanuel MACRON de tenter d’anticiper les « révoltes » à venir ! Tout de même une bonne nouvelle : la guillotine a disparu et la peine de mort est abolie ! Bien heureusement ! Laissons le soin aux dirigeants de ce monde, de méditer la pensée de ce grand orateur grec du Vème siècle avant notre ère, appelé Isocrate : « Le premier devoir des rois, si leur patrie est malheureuse, est de porter remède à ses maux ; si elle est dans la prospérité, de l'y maintenir ; si elle est faible, de la rendre puissante. »

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’image est belle, le symbole l’est tout autant. Voilà une brochette pertinente d’acteurs institutionnels et économiques au service de notre territoire qui est réunie le temps d’un cliché photographique à conserver pieusement dans sa collection. Les représentants de la Chambre Economique de l’Yonne – l’association légitime des Chambres de Commerce et d’Industrie, des Métiers et de l’Artisanat et de l’Agriculture -, accompagnés du président du Conseil départemental, prennent la pose aux côtés d’une figure emblématique du sport hexagonal. Marc LIEVREMONT, héros et porte-voix de l’Ovalie…

 

VENOY : Ca plaisante fort dans la petite salle, faisant office de bulle d’oxygénation avant de se présenter sur la scène. C’est un grand soir pour le territoire de l’Yonne et les représentants du monde consulaire. Rassemblés sous le vocable de Chambre Economique départementale, ils prônent à l’unisson, comme les cinq doigts de la main, les vertus de l’attractivité territoriale en tirant tous dans la même direction.

Au service d’un intérêt commun.

« Un pour tous et tous pour un », plagiant ainsi les propos écrits par Alexandre DUMAS dans sa fameuse saga de cape et d’épée, faisant intervenir dans le feu de l’action de célèbres mousquetaires.

Président de l’institution tripartite – la CCI, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, la Chambre d’Agriculture -, organe peu connu du grand public, Jean-Pierre RICHARD le rappellera avec cette dose d’humour qui le caractérise lors de sa prise de parole sur la scène de la salle des fêtes quelques minutes plus tard : les trois chefs de file que sont Arnaud DELESTRE (CA), Thierry CADEVILLE (CCI) et lui-même (CMA) peuvent se comparer aux nouveaux « Athos », « Porthos » et « Aramis » de la place !

 

 

De véritables bretteurs de l’économie, possédant peut-être en guise d’atouts une fameuse « botte de Nevers », qui leur permettrait de porter haut la dynamique d’un département qui ne manque pas d’atouts, au demeurant.

Pour les encourager sur ce chemin de l’initiative et de la réflexion, le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, se place en première ligne. Pas comme un pilier pratiquant le rugby – sa silhouette longiligne le positionnerait volontiers sur l’une des ailes – mais comme le porte-étendard de tout un mouvement mutualisé favorable à la promotion sans faille de notre territoire. Ici et ailleurs. Dans les frontières naturelles de ce département mais aussi au-delà, d’autant que l’exécutif icaunais mise beaucoup sur le programme « Terre d’Exploits 2024 », porté autour de l’avènement des Jeux Olympiques de Paris, pour y parvenir.

Que dire de la présence scénique de l’ex-sélectionneur de l’équipe de France de rugby ? Cinquante minutes durant, avec une verve presque intarissable et soutenue, Marc LIEVREMONT livrera une conférence de haute intensité oratoire en faisant le parallèle entre les valeurs intrinsèques du sport – du sien, en particulier, c’est-à-dire le rugby- et le milieu de l’entreprise. Le tout entrecoupé de petites vidéos, devant rappeler l’humilité, la force de la ligne de front, la camaraderie, l’état d’esprit, la loyauté. Du petit lait à boire tiède pour les amoureux du ballon ovale comme pour celles et ceux qui y ont vu des passerelles communes entre la discipline fleurant bon le Sud-Ouest et l’entrepreneuriat.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il est comblé, Gaëtan MUGUET. A 44 ans, le chef de l’excellente adresse, « A La Maison », a vécu une année radieuse en 2022. Surtout au niveau des réservations de la part d’une clientèle désireuse d’en savoir plus sur les potentialités gastronomiques offertes par cet établissement à la typicité évidente. Ouverte le 08 avril dernier, l’enseigne ne désemplit pas depuis. Il est vrai que la cuisine mitonnée aux petits oignons par le chef et son épouse, Nadia, a de quoi séduire les épicuriens. Finement élaborée tout en étant traditionnelle…

 

AUXERRE : « Très dur, j’ai connu une année difficile… ». Sans ambages et un peu à brûle-pourpoint, le chef du restaurant « A la Maison » Gaëtan MUGUET résume le sourire aux lèvres et à sa manière, mais avec beaucoup de lucidité, la saison écoulée.

Un exercice professionnel ayant débuté, il est vrai, à partir du mois d’avril, date de l’ouverture de cet établissement qui depuis surfe sur la vague du succès.

Celui qui est passé par de belles tables de l’Auxerrois – « Le Saint-Pèlerin », « Le Saint-Fiacre », « Les Rosiers » -, pur produit de l’excellence pédagogique du CIFA de l’Yonne, a décidé de se projeter dans de nouvelles aventures culinaires qui lui permettent d’effectuer un retour aux sources, à savoir la cuisine traditionnelle. Mettant ainsi un terme à une expérience professionnelle qui lui avait permis de cuisiner italien, gérant les intérêts de la pizzéria des Cordeliers.

« Très dur, reprend le garçon, ces huit premiers mois à la tête de ce nouvel établissement ont été éprouvants, du fait de la quantité de travail à fournir… ».

La rançon de la réussite, n’est-ce pas ?

 

Trouver de vraies pépites pour rendre un projet optimal…

 

Un paradoxe, alors, c’est certain. Nadia et Gaëtan ont dû faire face à énormément de demandes, une clientèle avide de goûter sans modération à la succulence des mets – les recettes sont succulentes ! - et soucieux de profiter d’un cadre peu commun, décoré avec élégance et soin de part et d’autre des deux salles de restauration, comme si elle partageait de bons moments avec des amis à leur domicile.  

La complication de trouver les bons produits dans le contexte économique que l’on connaît mais surtout de pouvoir s’appuyer sur le personnel adéquat, en phase avec l’esprit de cette maison, ne fut pas aussi simple à gérer en cette année 2022 pour le couple de gérants.

« Le challenge a été dur à relever, souligne le chef un peu dépité, c’est très difficile d’être un entrepreneur de nos jours… ».

A l’instar de l’ensemble de la corporation, il est délicat de tomber sur des perles rares, à la motivation exacerbée, pour étoffer une équipe. Pourtant indissociable à la pérennité du restaurant.

 

 

« Je suis content que les gens reviennent dans mon établissement, précise-t-il alors que la vitrine auxerroise gagne en notoriété, mais je ne suis pas satisfait de mon travail aujourd’hui. Parce que je n’ai pas encore réussi à trouver mon équipe et cela me pénalise beaucoup dans ce que je voudrais réaliser dans ma perception de la cuisine. Je n’arrive pas à proposer à mes clients ce que j’aurai envie réellement de leur préparer… ».

Un brin perfectionniste, notre interlocuteur ? Oui, assurément ! Mais, c’est cela l’âme d’un grand chef qui ose remettre sur le métier son ouvrage pour atteindre le but suprême. Frustré de ne pouvoir apporter la qualité de service qu’il souhaiterait imposer dans la salle, Gaëtan MUGUET ronge son frein, intérieurement, en attendant des jours meilleurs.

Des jours qui pourraient prendre la forme de deux recrutements, derrière les fourneaux avec l’arrivée d’un chef expérimenté qui le seconderait et d’un maître d’hôtel ayant à sa main la bonne gestion de la salle et du service. Des « pépites » synonymes de plus-values, en somme.

 

Concilier les plaisirs professionnels à la vie familiale…

 

Un Gaëtan MUGUET opiniâtre, qui au-delà de la cuisine, raisonne en parfait entrepreneur qu’il est, pour solutionner ce nœud gordien qui une fois tranchée lui permettrait de vivre sa belle aventure en parfaite quiétude.

« Il faut que cette expérience nouvelle nous procure bonheur et joie, concède-t-il, et qu’avec Nadia, mon épouse, nous vivions pleinement ce projet sans que cela soit un calvaire où la vie familiale serait tronquée en permanence comme pour beaucoup de restaurateurs… ».

Quant au plaisir de recevoir, d’accueillir, d’échanger comme si l’on se rendait … « A la Maison », toujours intact dans sa tête,  il n’a pas de prix. Tant mieux. Car il serait dommageable pour la gastronomie auxerroise qui a déjà perdu dans un passé récent quelques belles vitrines de la restauration que le couple MUGUET ne tire pas avantage de cette indéfectible envie de bien faire…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’évènement ne passe pas inaperçu parmi la caste exponentielle des initiés de l’univers crypto. De l’Hexagone comme de l’Europe, d’ailleurs. Puisque les organisateurs, les dirigeants de la société MUGI – le siège social est implanté à Toucy dans l’Yonne et commercialise la marque METIS MINING – s’attendent à une convergence identitaire internationale de la part des suiveurs de cette opération, première du genre, accueillie dans l’antre d’AUXERREXPO. En provenance de Belgique, du Luxembourg, d’Espagne, d’Italie, voire de l’île Maurice, les amateurs de crypto-monnaies se donnent rendez-vous le 21 janvier pour la grand-messe du CRYPTOx’R !

 

AUXERRE : « Il s’agira surtout de démystifier et de vulgariser ce que sont les crypto-monnaies et leurs intérêts pour les celles et ceux qui s’intéressent aux actifs numériques… ». Ainsi s’exprime Maxime CHERY, l’une des pierres angulaires de la jeune structure « MUGI METIS MINING », start-up qui se développe à la vitesse grand « V » autour de solutions matérielles adossées à l’écosystème des « blockchains » et portée sur les fonts baptismaux depuis juin 2019 sur le territoire de l’Yonne.

Avec ses quatre autres acolytes dont la très communicante Fanny VIAUT (COMMUNIK & VOUS), le jeune homme à la tête bien remplie dirige un concept ultra novateur, faisant figure de véritable « OVNI » dans le landerneau entrepreneurial icaunais qui a pourtant reçu l’appui de plusieurs organismes tels la BPI ou la Région Bourgogne Franche-Comté. La French Tech apporte elle aussi sa contribution financière en guise de soutien à la pérennisation de ce modèle économique vertueux qui possède déjà son lot d’indécrottables aficionados.

METIS MINING est le nom de code de cette société novatrice, voire révolutionnaire. Une enseigne devenue emblématique, dont la renommée a largement dépassé les frontières du territoire le plus septentrional de Bourgogne.

Une grande première dans l’Yonne soutenue par la Ville d’Auxerre…

 

Les observateurs devraient s’en apercevoir à l’heure « H » ce samedi sous le coup de 14 heures au parc des expositions auxerrois. Le cofondateur de la start-up a décidé de réunir les passionnés de bitcoin et de cryptos lors d’un salon placé sous le sceau de la vulgarisation et de l’explication de texte, histoire de raccrocher aux wagons toutes celles et tous ceux qui voudraient en connaître davantage sur cet écosystème en pleine expansion. Tel un univers parallèle qui n’aurait pas fini sa croissance avant d’atteindre son plein zénith…

Si cet écosystème des crypto-actifs peut sembler être de l’hébreu, voire de l’araméen, pour le commun des mortels, ce rendez-vous, baptisé « CRYPTOx’R » tombe à point nommé pour en vulgariser l’essentiel. Une manifestation d’envergure hexagonale, mais pas que, qui pose donc ses jalons à Auxerre mérite que l’on s’y intéresse de près d’autant que les amateurs de crypto-monnaies sont beaucoup plus nombreux en France qu’on ne peut le penser !

 

 

Les férus de « NFT », de finances décentralisées, de « tokenisation » devraient y trouver leur compte- c’est le cas de le dire !- au vu du plateau de spécialistes et d’esthètes en la matière qui feront le déplacement en terre de l’Yonne, capitale nationale le temps d’une journée de rencontres et d’échanges instructifs. Mais que l’on ne s’y méprenne pas, le principe fondamental de ce rendez-vous à haute valeur ajoutée pour l’Auxerrois – l’Agglomération a apporté son soutien à la réception de cet évènementiel – sera la vulgarisation à outrance destinée aux néophytes, béotiens et autres « ignares » de la spécialité ! Une initiative rare en province, se plaît à le préciser le très pédagogue, Maxime CHERY.

Cinq grandes tables rondes seront proposées lors de ce salon. Une trentaine d’intervenants, experts en la matière, y participeront pour éclairer de leur lumière un public en quête d’informations.

 

 

 

En savoir plus :

 

Salon CRYPTOx’R

Samedi 21 janvier 2023

Parc des Expositions AUEXRREXPO

1 rue des Plaines de l’Yonne à Auxerre

A partir de 14 heures jusqu’à tard dans la soirée.

Entrée : 30 euros, tarif étudiant 15 euros.

Programme

14h00 – ouverture des portes

14h30 – mot de bienvenue de Maxime CHÉRY, cofondateur & CEO de Mètis, et des élus de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois

15h00 – 15h45 – Table ronde sur les protocoles Blockchain, BTC & co… Pour comprendre l’essentiel à cet écosystème et des technologies mobilisées

16h00 – 16h45 – Table ronde sur le Mining et la transition énergétique. Les actifs numériques, freins ou accélérateurs de la transition énergétique ?

17h00 – 17h45 – Table ronde sur la régulation. Fantasmes & controverses : cryptomonnaies, blanchiment et régulation…

18h00 – 18h45 – Table ronde sur la Finance Décentralisée (DEFI) & les NFT. Finance décentralisée (DEFI) versus centralisée (CEFI), un nouveau paradigme ?

19h00 – 19h45 – Table ronde sur l’univers des Metaverses et du Gaming. Du jeu vidéo aux metaverses : espaces des innovations futures ?

20h00 – mot de clôture

20h30 – Cocktail offert à tous les participants et visiteurs

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil