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« Rassemblés au service de la population… ». C’est la base line de ces deux courants politiques qui tenteront de ravir à la droite les deux sièges âprement disputés lors des échéances électives du 27 septembre dans l’Yonne.

JOIGNY : Porter un projet fondé sur les valeurs d’égalité et de solidarité est le leitmotiv majeur de cette union qui n’est pas de circonstance. Tant les points de convergence sont nombreux entre les représentants de la gauche traditionnelle et les aficionados à la cause écologiste.

En lice pour ces sénatoriales 2020, c’est en abattant la carte de l’union que les deux candidats et leurs suppléants tenteront de convaincre les grands électeurs du bien-fondé de leur politique lors de cette brève campagne.

Parmi les choix préférentiels en matière de stratégie qui seront dévoilés à la presse lors d’un exercice coutumier organisé ce samedi à Joigny figureront les moyens financiers et législatifs dont ont besoin les élus locaux pour agir en faveur de la transition écologique et sociale.

Conseiller communautaire du Serein et édile de la localité d’Etivey, Gilles SACKEPEY se lancera dans la bataille aux côtés de sa suppléante Gaëlann BUREAUX, citoyenne écologiste.

 

 

Le second candidat ayant été adoubé par cette union des forces progressistes est l’une des figures charismatiques de la défense environnementale dans l’Yonne, Florence LOURY.

Qualifiée pour le second tour des municipales d’Auxerre avec son coreligionnaire Denis ROYCOURT, la conseillère communautaire de l’Auxerrois fera équipe avec Dominique BOURREAU, maire de Villeneuve-la-Guyard et conseiller au sein de la CC Yonne Nord.

Le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de l’Yonne Mani CAMBEFORT a déjà confirmé qu’il apporterait son total soutien à ces deux candidats.

 


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Construite dans le prolongement de la section Sens-Est-Maillot et de la rocade Nord-Ouest, la déviation sud de Sens poursuit sa phase deux sans encombre depuis la reprise du chantier le 15 avril. Cette voie de 14 kilomètres permettra d’assurer la liaison de la RD 660 entre les giratoires de Gron et en sortie de l’A19. Elle sera mise en service en 2022…

SENS : Plus trente ans plus tard, le projet poursuit sa route. Le projet de déviation de la RD 660, initié à la fin des années 80, avait pour objectif de soulager le centre-ville de Sens et de réduire le bruit à l’intérieur de la ville et dans les traversées des bourgs de Paron et de Subligny.

Une entreprise de longue haleine dont une bonne partie a été dédiée aux négociations avec les propriétaires pour l’acquisition des terrains ainsi qu’au réaménagement des parcelles.

« Je suis arrivé à Gron en 2000. Le maire adjoint de l’époque M. GUIBELIN m’avait dit : d’ici 2005, on aura la déviation. Elle a vingt ans de retard, mais elle va bien arriver » plaisante Gauthier PAJONA, adjoint à la mairie de Gron en charge des travaux, de l’urbanisme et de la voirie.

Cette rocade fut déclarée d’utilité publique le 18 septembre 1996 et la construction de la première section reliant la RD 606 à la RD 72 à Gron, alors pris en charge par l’Etat, s’est achevée en 2002. Mais en 2006, la RN 60 est déclassée par décret du 05 décembre 2005. Cela entraîne un transfert de la maîtrise d’ouvrage et du financement des travaux au département de l’Yonne. Ce que déplore Patrick GENDRAUD, président du Conseil Départemental, vue l’ampleur de l’ouvrage.

 

 

L’un des projets les plus lourds supportés par le département

 

Hormis les procédures foncières et le temps alloué aux sondages archéologiques, le montant des travaux pris en charge par le département en raison du désengagement de l’Etat a été particulièrement contraignant. Mais ces travaux, qui doivent relier la RD 660 et la sortie de l'A19, devenaient une nécessité.

« Quand on a été conduit à prévoir les investissements routiers, j’ai tout de suite pensé à la déviation de Sens pour diverses raisons » explique Patrick GENDRAUD. Des ouvrages d’art construits en amont, dont le pont de Collemiers, qui se dégradent, une bande de roulement inutile, « c’était un peu ce que j’appelle du gâchis » estime le président qui souhaitait « une utilisation plus rationnelle des deniers publics ». Il s’agissait tout bonnement de terminer la déviation.

 

 

D’un montant total de 30 millions d’euros, dont plus de 11 767 067 euros dédiés à la phase II, la construction de la déviation sud est un chantier de très grande envergure à l’échelle locale et même nationale.

« Le chantier global représente plus qu’une année de budget » précise Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil Départemental de l'Yonne (9 millions en 2019 et 26 millions en 2020).

Le Département a financé ce chantier pour un montant de 16,5 millions d’euros. La Région Bourgogne-Franche-Comté et le Grand Sénonais ont contribué financièrement à sa réalisation à hauteur de 22,5 % chacun.

 

Une seconde phase dans les délais

 

Lancée au début de l’année 2020, la seconde phase de construction de la déviation sud trouve son rythme de croisière en dépit de la période de confinement pendant l’épidémie de SRAS CoV-2.

« On a avancé dans le rythme prévu initialement, on est même allé un peu plus vite grâce à l’entreprise et aux partenaires mais aussi grâce à l’implication des maires » affirme Vincent JUNG, directeur de l’ingénierie routière au Conseil départemental.

Les travaux sur cette portion de 7,2 kilomètres, menés par l’entreprise EUROVIA, ont démarré par le terrassement. Aujourd’hui, la société assure la création de 14 kilomètres de tranchées drainantes larges de 50 cm. Le planning prévoit également l’exécution de la couche de forme traitée dès le 15 septembre. La couche de grave bitume (couche de structure) sera posée dans la foulée. Puis, la réalisation de l’ouvrage d’art n°6, un pont qui permettra le franchissement de la RD 660 par le rétablissement du chemin d'exploitation, débutera en novembre et durera environ six mois.

Les travaux se poursuivront en 2021 toujours dans le respect de l’environnement. Vincent JUNG a précisé que l’extraction de plusieurs dizaines de milliers de tonnes avait été évitée par respect pour l’environnement. L’excédent de matériaux est un maximum réutilisé sur place ainsi que sur d’autres projets locaux. Une nouvelle couche de roulement, les marquages, la signalisation et la pose d’autres équipements, la rocade sera finalisée en fonction des conditions météorologiques. Le giratoire de Gron sera également refait.

Floriane BOIVIN

 

 


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Mise en ligne le 20 mai dernier, à la sortie du confinement, la plateforme « J’veux du local » n’a d’autres vocations que de soutenir les initiatives issues de notre terroir. Même si aujourd’hui, ce dispositif numérique s’étend à la quasi-totalité des départements de Bourgogne Franche-Comté. Le site accueille déjà 170 producteurs dûment référencés. Il répertorie également une quarantaine de marchés et lieux de vente. D’autres impétrants frappent à la porte…

AUXERRE : Apparu initialement en Saône-et-Loire, le site interactif départemental assurant la promotion des producteurs du terroir s’est petit à petit installé dans le paysage consumériste régional.

Avec brio, si l’on s’en réfère aux commentaires élogieux du président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne Arnaud DELESTRE.

Lors de la plénière de ce jeudi 10 septembre, le responsable de la chambre consulaire icaunaise a fait un état des lieux du concept soutenu par le Département.

A ce jour, l’outil accueille 170 professionnels. Ils y sont répertoriés par une nomenclature alphabétique ou par typologie de filières. Une quarantaine de marchés et lieux de vente complètent cet inventaire astucieux qui a pour objectif de guider le consommateur vers les producteurs du cru.

Des chiffres qui devraient augmenter au fil des prochaines semaines tant le potentiel est important. Environ 160 autres producteurs, hors secteur viticole, devraient enrichir la base de données. Bientôt, artisans, commerçants mais aussi restaurateurs qui s’approvisionnent en produits de proximité figureront en bonne position sur ce portail informatique.

 

Les drive-fermiers voient leurs chiffres s’envoler…

 

De son côté, le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté a favorisé la reconnaissance de ce support en inondant le territoire d’une vaste campagne de communication. A grand renfort d’affichage 4X3, d’encarts publicitaires dans les médias papier et numériques ou de slogans publicitaires sur les ondes.

Seul voile au tableau sur la portée exacte de ce site : la fréquence réelle des internautes qui le visitent. Aucun chiffre n’a été divulgué sur ce point au cours de cette présentation.

A contrario, Arnaud DELESTRE a été plus prolixe sur le regain d’activité enregistré par les trois drive-fermiers de l’Yonne. Ceux-ci ont connu une multiplication par trois ou quatre du nombre hebdomadaire de paniers achetés durant la période de confinement. C’est dire le succès de la formule qui sied très bien à l’état d’esprit des consommateurs icaunais.

Et même si depuis le 11 mai (terme du confinement) l’activité s’est quelque peu étiolée ; la part de fréquentation de ces moyens de commercialisation reste environ deux fois supérieur à celle qu’elle était auparavant. Encourageant !

 

 


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En accueillant le premier colloque d’envergure consacré à la mobilité électrique, la Maison de l’Entreprise a entamé la nouvelle saison sous de très bons auspices. D’une part, le public, composé d’industriels et décideurs, a répondu favorablement à cette invitation (180 inscrits). D’autre part, le plateau d’intervenants était de tout premier choix autour d’une thématique capitale de l’avenir automobile…

AUXERRE : Initialement prévue au mois d’avril, la manifestation dût être reportée en dernière minute aux calendes grecques pour cause de coronavirus. Au grand dam  du trio d’organisateurs, les chevilles ouvrières de ce concept : Florence POULAIN, Jean-Marc DENIS et Claude VAUCOULOUX.

La mort dans l’âme, l’ossature directionnelle de la Maison de l’Entreprise avait dû ronger son frein en annulant sine die l’événementiel, espérant un horizon meilleur et dégagé de toutes ses aspérités sanitaires pour remettre l’ouvrage sur la table.

Cela fut chose faite ce jeudi 10 septembre dès 8h30 sur le site auxerrois. Où il régnait une certaine fébrilité quelques minutes avant d’officialiser ce rendez-vous d’importance sur le parvis.

 

 

Réfléchir ensemble à la transition de la mobilité…

 

Signe de réussite : l’animation aura été très mobilisatrice auprès des chefs d’entreprise qui s’inscrivaient en nombre pour suivre son déroulé.

Il est vrai que le sujet concernait réellement celles et ceux qui entreprennent. La place de la mobilité professionnelle n’étant pas une mince affaire à gérer dans les entreprises. Sans omettre les flux financiers qu’elle peut engendrer dans la constitution d’une flotte à titre d’exemple.

 

 

 

Alors, forcément réfléchir de manière participative et collective aux rêves et aux réalités offerts par ces automobiles d’aujourd’hui et de demain (électrique, hybride, hydrogène…) ne pouvait que faire mouche auprès de ce public très ciblé : les entrepreneurs.

Micro en main, le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX pouvait lâcher les chevaux à bride abattue avec la verve habituelle qu’on lui connaît en ouvrant de manière officielle ce colloque. Un rendez-vous auquel prenait part en qualité d’observateur le président de l’Agglomération et maire d’Auxerre Crescent MARAULT, sensibilisé par ces items.

 

 

Après métro/boulot/dodo, place à écolo/bobo/vélo ?

 

Pléthore d’interrogations étayaient les propos introductifs du délégué général de la Maison de l’Entreprise. Comment les sociétés feront-elles face à ces enjeux inéluctables que représente la transition énergétique ?

Les solutions sans carbone préconisées avec l’usage de l’électrique, de l’hybride et de l’hydrogène n’apparaissent-elles pas déjà trop obsolètes ? Voire « ringardes » comme le soulignera avec un zeste d’humour Claude VAUCOULOUX en faisant référence à une possible téléportation et ses risques éventuels en mentionnant le film « La Mouche » !

 

 

Lui succédant sur la scène de l’amphithéâtre, Jean-Marc DENIS insista sur les raisons de ce colloque de rentrée. Une réunion qui raviva les souvenirs d’autrefois (ce n’est pas si loin que cela !) où les animations à l’air libre et sans à avoir à supporter les contraintes des masques protecteurs égayaient les calendriers évènementiels de notre territoire. Avec accolades et embrassades de surcroît !

Néanmoins, le désir de valoriser le territoire mais aussi une filière automobile en plein tsunami post-COVID (référence à la sous-traitance) supposait une réaction visible et palpable de la part des trois organismes ayant décidé de porter ce projet : l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro.

Avoir maintenu la manifestation et la proposer après moult atermoiements en cette période de rentrée est déjà une réussite en soi…

 

 

  


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Et trois années supplémentaires à la clé ! C’est la durée de renouvellement de cette convention paraphée par l’établissement bancaire régional et la Burgundy School of Business (BSB). Un partenariat fécond à bien des égards entre ces deux entités. Il permet d’accompagner les jeunes gens dans leurs parcours pédagogiques supérieurs par le prisme de l’alternance en les immergeant dans les rouages de l’entreprise…

QUETIGNY (Côte d’Or) : De larges sourires étaient affichés par les deux signataires de cette convention lors de la prise de vue qui a immortalisé le prolongement de ce partenariat entre la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté-Pays de l’Ain et la BSB !

Des sourires qui n’avaient rien de circonstanciel tant la réussite de cet accord se révèle probante depuis ses origines. Entre les deux structures, c’est une histoire sérieuse qui vire désormais au durable.

A l’instar des nombreux partenariats qui ont déjà été initiés par la banque mutualiste auprès des écoles de son territoire pour nouer de nouvelles collaborations. On pense en particulier aux accords signés avec l’IFAG à Auxerre, l’ESEM de Besançon, voire des établissements implantés dans la Nièvre.

Dans le cas présent, ce partenariat reconduit avec la BSB Dijon évoque une longue antériorité de confiance et de réciprocité. Un vrai « mariage » dédié à la cause estudiantine ayant débuté il y a déjà une décennie. Grâce à une chaire de microfinances, un item de pointe qui avait placé sur la même orbite les deux futurs partenaires à l’époque.

De ces relations fructueuses naîtra une étroite osmose entre ces deux structures qui privilégient le marché de l’emploi et de l’alternance. Profitant de l’ouverture de la gouvernance de l’école à d’autres acteurs hors de son sérail, Bruno DUCHESNE, directeur général de la Banque Populaire BFC Pays de l’Ain a eu l’opportunité de pouvoir y siéger en qualité d’administrateur.

 

 

Renforcer sa marque employeur auprès des étudiants : le challenge de la banque

 

Autant dire que son soutien à ce partenaire majeur de l’éducation et de la vie étudiante régionale (BSB dispose également d’une antenne pédagogique à Lyon) lui est acquis.

Considéré comme un acteur historique de la BSB, l’établissement bancaire régional gagne ainsi en visibilité pour placer sous la lumière ses nombreuses offres d’alternance (une cinquantaine pour cette rentrée 2020) et d’emplois qui sont proposées au terme de cette expérience dans le milieu de la finance. Sans  omettre ses prêts étudiants, il va de soi !

Outre cette première intégration dans la vie active par le biais des études, les jeunes apprenants de niveau Bac + 3 et Bac + 5 bénéficient d’une sérieuse formation pratico-pratique qui vaut toutes les études de cas réalisées parmi les salles obscures de l’enseignement. Une réalité professionnelle « augmentée » au contact de l’ingénierie financière, des services commerciaux, des ressources humaines, de la communication, de l’audit !

Le Graal se révèle dans toute sa splendeur peu de temps après pour les étudiants. Avec la transformation de ces stages immersifs de six mois en emploi qui devienne pérenne dans la plupart des cas.

Ainsi, sur la cinquantaine d’alternants accueillis sur les pôles bancaires de Chalon-sur-Saône et de Besançon la saison écoulée, une vingtaine d’entre eux ont pu trouver chaussure à leurs pieds en venant gonfler les effectifs de l’un des plus gros employeurs du territoire avec près de deux mille collaborateurs.

Leur profil : ils sont chargés d’affaires, conseillés en patrimoine, intervenants sur les marchés.

Il n’est donc pas étonnant que 96 % des étudiants qui fréquentent les cours de la BSB trouvent un emploi dans les six mois après l’obtention de leurs diplômes !

 

 


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