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Dix-neuf députés dont celui de la première circonscription de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE, évalueront au cours de ces six prochains mois l’impact réel de la loi du 07 août 2015, relative à la nouvelle organisation territoriale de la République. Ce texte législatif, devenu fameux, est connu sous le vocable de loi NOTRe. Objectif de cette démarche analytique : préparer un toilettage en profondeur d’un texte qui est loin de faire l’unanimité parmi les élus de proximité…

AUXERRE : Depuis le mois de mars, l’Assemblée nationale s’appuie sur une mission d’information pour évaluer les conséquences exactes de la loi NOTRe applicable dans notre pays au 07 août 2015.

Composée de dix-neuf élus, cet organe accueille dans ses rangs, le député Icaunais Guillaume LARRIVE (LR). Désireux de faire entendre la voix des maires de l’Yonne, le parlementaire s’est fendu il y a quelques jours d’une lettre, agrémentée d’un questionnaire afin de prendre le pouls des édiles nord-bourguignons.

Persuadé qu’il est indispensable de corriger le contenu de cette loi, Guillaume LARRIVE souhaite récolter le maximum de témoignages de la part des élus locaux. Comme voix d’expression, ces derniers disposent d’un questionnaire articulé autour d’une dizaine d’interrogations. Ils sont invités à retourner leurs commentaires auprès de la permanence de l’élu de l’Yonne.

Une dizaine de questions fondamentales sur les attentes des élus…

Le document répertorie des éléments pertinents sur la création de la « grande région » Bourgogne-Franche-Comté. Avec en toile de fond, son utilité précise pour les communes qui en dépendent.

Dans sa quête prospectiviste, Guillaume LARRIVE veut savoir si les élus sont favorables au remplacement des actuels conseillers régionaux et conseillers départementaux par un seul élu, le conseiller territorial.

Un peu plus loin, le regard que peuvent porter les personnes interrogées sur la communauté d’agglomération ou la communauté de communes (sa taille, ses compétences, son mode de fonctionnement, ses ressources financières…) devrait lui fournir suffisamment de réponses afin d’en définir les axes d’amélioration.

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Car, c’est bien de cela qu’il s’agit au détour de ce sondage d’opinion auprès des maires de notre territoire. S’interrogeant sur la pertinence des communes nouvelles qui ont été créées depuis l’entrée en vigueur du texte, Guillaume LARRIVE aborde avec évidence le volet de la fiscalité et des dotations d’Etat. Surtout en incitant ses interlocuteurs à s’exprimer sur les changements qui leur semblent prioritaires.

Faut-il un statut spécifique de l’élu local ? Quels points doivent être améliorés en vue de faciliter l’exercice du mandat de maire ?

Le questionnaire du député Les Républicains déroule un certain nombre de problématiques tangibles que, par ailleurs, les élus ont fait mention lors des séances locales du Grand Débat.

Faire des propositions utiles aux territoires…

Enfin, dans cette collecte d’impressions pratico-pratiques, le membre de la Mission de l’Assemblée nationale conclut sa recherche par les relations avec les services de l’Etat (préfecture, sous-préfecture, trésorerie, services techniques, gendarmerie, police…) ainsi que les autres services publics qui peuvent s’apparenter à Pôle Emploi ou à la Caisse d’allocations familiales.

En 2015, Guillaume LARRIVE s’était prononcé contre ce texte de loi. Il se méfiait de l’instauration de très grandes régions, des regroupements de communes à marche forcée, des transferts de compétences obligatoires et de la remise en cause de la proximité.

« J’espère que la mission de l’Assemblée nationale pourra faire des propositions utiles à nos territoires, précise-t-il, en liaison avec les travaux du Sénat, afin que des corrections puissent être adoptées dès cet automne… ».

Un sentiment qu’il n’est pas le seul à partager dans la sphère des élus de proximité en attente de modifications…

 


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Conduits par le président départemental de leur formation politique, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, une dizaine de représentants du mouvement AGIR 89 ont eu l’heureuse opportunité de pouvoir s’immiscer au plus près des arcanes du Parlement européen en milieu de semaine. Ce fut un voyage express à Strasbourg sur une journée, non dénuée d’intérêt pour ces élus de l’Yonne. Sur place, ils ont été accueillis par la députée européenne Tokia SAIFI, vice-présidente de la commission du commerce international. Instructif…

STRASBOURG (Bas-Rhin) : Salle H -1 1. Localisé parmi le dédale de bureaux ergonomiques permettant la tenue de micro conférences, l’espace d’accueil réservé à AGIR 89 aura permis au petit groupe en immersion au sein du Parlement européen de se faire une réelle opinion de cet incroyable organisme qui nous régente.

A la veille ou presque (le 26 mai) de futures échéances électorales, déjà jugées comme capitales pour l’avenir du Vieux Continent, plusieurs élus de la jeune formation, issue des Républicains, désiraient en connaître les rouages tactiques et surtout les lignes maîtresses au niveau de ses fonctionnements.

Car si les Européennes qui nous reviennent tous les cinq n’ont jamais passionné les foules en France, au plan électoraliste, il n’en est pas toujours de même dans d’autres contrées. Notamment auprès des peuples des nouveaux états membres qui ont une autre estime de ces rendez-vous quinquennaux, synonymes de dotations et de subventions financières en tout genre.

Une découverte dans cet antre du fédéralisme entre les 28 états membres (même si l’un d’entre eux, la Grande-Bretagne tergiverse depuis quant à ses modalités de divorce avec une sortie de plus en plus chaotique !) s’impose.

Une guide à la référence européenne aiguisée : Tokia SAIFI…

C’est sans doute avec cet état d’esprit, empli de curiosité, que Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président départemental de l’Yonne de la formation politique initiée par le ministre de la Culture Franck RIESTER il y a quelques mois, a souhaité la mise en place de ce déplacement dans les hautes sphères européennes.

D’autres personnes de son mouvement s’y sont ralliées avec plaisir. Et peu importe la distance, et les kilomètres à parcourir dès potron-minet, pourvu qu’il y ait l’ivresse devant un cénacle de députés, bataillant ferme autour d’un texte portant sur la réforme du transport routier.

Le groupe d’élus de l’Yonne a eu également l’opportunité de pouvoir échanger avec l’une des figures emblématique de cette assemblée européenne, la députée Tokia SAIFI, présente depuis 18 ans sur les bancs de cet hémicycle qui accueille 751 représentants.

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L’ancienne Secrétaire d’Etat en charge du développement durable dans les trois gouvernements de Jean-Pierre RAFFARIN siège parmi les représentants du PPE (Parti Populaire Européen) et les Démocrates-Chrétiens. Toutefois, elle lâchera à ses interlocuteurs très attentifs à ses propos liminaires sur le mode de fonctionnement de l’institution qu’elle ne repartirait pas pour un nouveau mandat en 2019.

« Je continuerai à faire de la politique en France en étant très attachée aux grands principes européens, conclut la vice-présidente de la Commission du commerce international à Strasbourg.

Avant que ne débute réellement la campagne des Européennes 2019, les élus Icaunais de la « droite constructive », tels qu’ils se définissent depuis novembre 2017, ont voulu en apprendre davantage sur cette instance parlementaire et ses modes opératoires. Histoire de mieux se forger une opinion qu’ils ne manqueront pas de distiller autour d’eux au plus près de leurs ouailles…


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S’appuyant sur l’expertise de l’ADEME, le Syndicat départemental des énergies de l’Yonne (SDEY) décline ce vendredi 29 mars une manifestation à destination des collectivités de notre territoire et de leurs élus. Objectif : expliquer les impacts liés au changement climatique sur nos sociétés. Y compris sur le volet de l’économie.

AUXERRE : Mobiliser les acteurs locaux passe souvent par des séances pédagogiques, permettant de mieux approfondir les sujets. Celle que propose aujourd’hui le Syndicat départemental des énergies de l’Yonne (SDEY) ne possède d’autres objectifs que de leur présenter les leviers mis à leur disposition en matière de démarches climat-air-énergie.

Utile, cette formation va se décliner tout au long de la journée en plusieurs temps forts. D’abord, la matinée est consacrée à une meilleure compréhension des impacts imputables au changement climatique sur nos sociétés. Les objectifs des Plans climats successifs seront ainsi rappelés. A l’instar des chamboulements comportementaux qui sont attendus parmi les domaines indissociables de notre existence : l’agriculture, la santé, le développement territorial, l’économie et la solidarité, l’indépendance énergétique.

Autant de bouleversements qui imposent une double réponse de la part des pouvoirs publics et des acteurs du territoire. La réduction des impacts sur l’environnement, dont les effets des émissions de gaz à effet de serre, et une meilleure adaptabilité à ces changements, deviennent de véritables règles d’or à suivre de près.

De la théorie au cas pratique sur le terrain…

L’après-midi se vivra de manière tangible, à partir d’exemples précis. La thématique appropriée sera la transition écologique et énergétique. Toujours accompagnés des techniciens du SDEY, les élus auront la faculté de découvrir la cuisine centrale de Charny-Orée de Puisaye.

Cette cuisine centrale fournit les repas du collège et de l’EPAHD. Le bâtiment, labélisé BEPOS (bâtiment à énergie positive, grâce à une production locale d’énergie) a été construit avec des matériaux bio-sourcés et à faible impact environnemental.

Le projet intègre un volet « formation » à destination des agriculteurs locaux (30 % des denrées alimentaires utilisées sont produites localement) ainsi qu’un volet sensibilisation et de lutte contre le gaspillage.

Ensuite, la recyclerie de Toucy (« La Californie ») offrira un autre aspect de ce thème autour du développement de l’économie circulaire. Là, les élus apprécieront la conjugaison du développement social et environnemental au service de la transition énergétique et écologique.


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Ces quatre mouvements politiques, proches ou en soutien de la majorité présidentielle, feront liste commune lors de la campagne des Européennes 2019 à l’échelle nationale. Au niveau de notre territoire, leurs représentants départementaux ont choisi de se positionner sur une stratégie similaire. Engendrant de facto la signature d’une charte de valeurs réciproques en faveur d’une Europe forte…

AUXERRE : Le leitmotiv est simple. Alors que le Vieux continent semble être à la croisée des chemins dans bien des domaines qu’ils soient sociaux ou économiques, les forces politiques de progrès entendent bien relever le défi. Et aller de l’avant en apportant leur lot de réformes au service des citoyens.

Ce ne fut donc point une surprise que d’assister il y a quelques jours à une conférence de presse, réunissant plusieurs cadres et acteurs emblématiques de la politique icaunaise. Tous étaient rassemblés derrière le projet incarné par le président de la République, Emmanuel MACRON, lancé à l’échelle de l’Europe, et baptisé : « Renaissance ».

Outre les représentants des quatre formations signataires de cette charte de partenariat (Patrice José TAMPIED AZURZA- LREM, Pascal HENRIAT -MODEM, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI -AGIR et Elodie ROY - Mouvement des radicaux), l’ancien Secrétaire général de la CFDT et conseiller municipal de Villeneuve-sur-Yonne, Jean KASPAR, se joignit à eux.

Initiateur et rédacteur de la charte de partenariat, ce dernier occupe également la fonction de conseiller politique de La République en Marche.

Dans l’absolu, les leaders charismatiques de ces formations progressistes feront campagne de manière conjointe pour les futures échéances européennes du 26 mai.


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Récemment, la journaliste non adepte de la langue de bois Élise LUCET consacrait dans son émission, « Envoyé spécial », un reportage aux personnes qui ne possèdent pas de logement. Le magazine « Télé Z » résume leur situation en quelques phrases lapidaires : « Un travail mais pas de toit. Ils ont un CDI ou un CDD et pourtant, leurs revenus ne leur permettent pas d’obtenir un logement. Contrairement à leurs collègues qui, le soir venu, regagnent leur domicile, eux vivent au bureau, dans un parking, une voiture ou chez des amis pour les plus chanceux… ». Un cruel dilemme que vivent des milliers de nos concitoyens…

TRIBUNE : On n’a jamais résolu la question du logement en France. Pourquoi ? La première cause, bien sûr, est à la fois imputable au monstrueux égoïsme et à l’inconscience phénoménale des classes dirigeantes depuis des siècles. En fait, depuis les origines de l’humanité, sauf, probablement au cours de la Préhistoire. Les hommes, alors, étaient tous à la même enseigne, vivant ensemble dans une caverne. En tout cas, c’est certainement la seule époque de l’Histoire où régnait l’égalité entre les hommes, avec un logement unique pour tous et de la nourriture à partager.

Depuis, la situation s’est dégradée. Un bel exemple illustre le mépris des classes dirigeantes pour le logement des « gens de peu », du « peuple des abysses », des « sans dents » : des millions de visiteurs se pressent chaque année au château de Versailles.

On visite la chambre du Roi, de la Reine, éventuellement de magnifiques écuries, mais personne ne se pose la question du logement de ce personnel qui était au service de la Cour. Les historiens estiment que cette population représentait environ trois mille individus. Où logeaient-ils ? Où dormaient-ils ? Oui, personne ne se pose jamais la question.  La réponse est pourtant simple et sans équivoque : il n’y avait pas de logements attribués au personnel de la Cour. Ces serviteurs dociles dormaient là où ils le pouvaient, sous les combles, dans les escaliers, dans les écuries…

Aujourd’hui, la société française se dit républicaine. Partout, elle écrit : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Mais, cette devise ne s’applique pas vraiment au logement. De Versailles à la Vème République, on constate donc à travers l’histoire de notre pays la même indifférence pour ce droit primordial que représente l’habitat de la part de la classe politique pour « les gens d’en bas ». Cette même incapacité séculaire à résoudre cette question, pourtant élémentaire dans toute société qui se respecte et qui prône les vertus des droits de l’Homme.

De multiples raisons à l’envolée inexorable du foncier…

Après la Seconde Guerre mondiale, dans l’esprit de la reconstruction, l’Etat a créé le mouvement « HLM ». Ce n’était pas parfait, certes, tant le retard à combler était immense. Cela a suscité néanmoins un grand souffle d’espérance. Et puis, le soufflé est retombé. Platement et de manière irréversible. Pourquoi ? Tout simplement, horriblement, parce que pour des millions de Français, leur revenu ne leur permet pas de payer le loyer correspondant à un logement décent.

Il y a plusieurs raisons à cela. La première est le prix du foncier. Selon Alain DININ, un grand promoteur, la part du foncier, dans un logement, représente actuellement 30 % du prix du logement. Ce qui est proprement inadmissible !

Deuxième raison : elle réside dans la « décohabitation », c’est-à-dire que les ménages se sont disloqués et là où un logement abritait autrefois une famille, il faut maintenant deux lieux de résidence. Au total, on compte deux millions de familles monoparentales qui, dans 82 % des cas, sont constituées d’une mère avec ses enfants.

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Une troisième raison réside dans l’inexorable concentration urbaine, la cause principale du prix inflationniste du foncier. Là encore, on voit le poids de l’histoire. Richelieu disait déjà : « Paris périra de sa trop grande grandeur… ».

Quant à la quatrième raison, elle repose sur l’afflux de normes en tous genres qui augmentent fortement le coût du logement et de procédures d’urbanisme qui ont fini par former un véritable maquis.

Se résigner, non ! Il faut une politique volontariste !

La conséquence de tout cela est sans appel : en trente ans, le prix réel des logements a été multiplié par deux et les loyers ont fait un bond prodigieux de 30 % !

Va-t-on donc se résigner, abdiquer, démissionner, renoncer, capituler et laisser des millions de Français dans la détresse du mal logement, voire du pas de logement du tout ?

Va-t-on dire, comme un président de la République avouant son impuissance : « Le chômage, on a tout essayé ! » et jeter le manche après la cognée ?

Non, on ne peut pas, on ne doit pas abdiquer ! Il faut simplement avoir les idées claires, de la volonté et inscrire avec détermination son action dans le temps, c’est-à-dire ne pas changer de ministre tous les deux ans. La semaine prochaine, nous tracerons de nouvelles voies pour sortir de cette ornière sociétale qui n’a rien d’inéluctable…

Emmanuel RACINE


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