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C’est une première initiative qui réchauffe le cœur. Même si un sentiment de colère sourde transparaît derrière les propos des différents interlocuteurs. Maître de cérémonie de cette action protestataire qui en appellera d’autres et ce dès le 17 mars, triste anniversaire du premier confinement, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN se satisfait de ce cri du cœur lancé par les artistes. Le public a entendu le message en étant présent, nombreux, à ce rendez-vous…

 

AUXERRE : L’attente synonyme de déprime et d’angoisse est devenue totalement insupportable pour les représentants de la filière artistique. Prise aujourd’hui entre le marteau et l’enclume. Celui de l’immobilisme intolérable qui réduit tous les espoirs à néant au quotidien et ce désir profond de vouloir travailler à tout prix.

Pas la moindre date à se mettre sous la dent et à biffer sur les agendas qui symboliseraient un semblant de reprise des activités culturelles. Pourtant, bon nombre de leurs représentants continuent de travailler sans relâche aux répétitions de leur prochain spectacle.

Besogneux, poussant le sens du professionnalisme jusqu’au bout des ongles, ces femmes et ces hommes qu’ils soient comédiens, techniciens, metteurs en scène, accessoiristes, régisseurs, preneurs de sons ou autres ne savent plus à quels saints se vouer dans ce contexte de crise absolue qu’ils n’avaient jamais rencontrés jusque-là.

 

 

 

Alors quand l’un de leur porte-étendard, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN s’empare du micro pour demander à la foule de moins en moins éparse sur le parvis de l’édifice culturel de prendre la parole et de s’exprimer : les applaudissements fusent de toute part.

Un cri du cœur public pour démontrer aux yeux de tous que les artistes ne sont pas morts et relégués parmi les dernières pages des quotidiens, dans la rubrique des avis d’obsèques.

 

 

 

Un retour à une existence quasi normale au 15 avril ? Une plaisanterie pour le directeur du théâtre…

 

Certes, les situations des uns et des autres sont très disparates au plan économique. Interrogé à ce propos, Pierre KECHKEGUIAN se veut transparent : « C’est sûr, l’intervention de l’Etat n’est pas négligeable avec le financement des institutions culturelles et le report de l’année blanche. Cela nous permet pour l’heure d’amortir le choc. Mais, pour combien de temps encore si la situation à laquelle nous sommes confrontés avec ces fermetures qui s’éternisent perdure ainsi… ».

Sans ambages, le responsable du complexe théâtral dénonce cette absence de réalisme de la part de la gouvernance. Un non-sens qui crée ce ras-le-bol généralisé, se traduisant dans les faits par cette mobilisation importante (environ deux cents personnes) sur la place François Mitterrand.

Pourtant, le porte-parole du gouvernement Gabriel ATTAL a bien signifié à qui voulait l’entendre il y a vingt-quatre heures face aux médias que « la France pourrait reprendre une existence quasi-normale à la mi-avril… ».

 

 

Des arguments qui n’ont pas convaincu le directeur du théâtre auxerrois. Il enchaîne : « Ces propos me font marrer ! Et quand bien même, si cela se réalisait, on ne pourrait jamais rouvrir les lieux culturels au 15 avril ! ».

L’absence de projection, l’ignorance de ce que l’on fera demain pour survivre pèse sur les épaules. Que veulent-ils exactement celles et ceux qui battent le pavé sous un salvateur rayon de soleil ?

« Nous voulons connaître une date butoir, une simple balise qui nous permettrait de prévoir la réouverture de nos établissements dans des délais raisonnables, lâche Pierre KECHKEGUIAN, de manière à la coordonner, à la structurer et surtout à la financer… ».

Bref, cela se nomme tout bonnement dans la vraie vie l’art de l’anticipation. Un antagonisme supplémentaire qui oppose le milieu artistique aux choix stratégiques du gouvernement ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’exercice, second du genre en l’espace de dix-huit mois, se voulait fédérateur entre les organisations professionnelles réunies sous le même toit. Par les temps qui courent, concevoir une conférence de presse avec un panel aussi représentatif et éclectique que celui qui fut proposé ce 26 février à Dijon ne pouvait qu’interpeller la caste médiatique. Bingo pour les instigateurs de ce rendez-vous oratoire ! Nombreux furent les journalistes présents, alléchés par ces prises de parole successives qui auront permis de mieux appréhender les réalités économiques actuelles…

DIJON (Côte d’Or) : Un succès ? Non, un plébiscite ! Il est à mettre à l’actif des huit organisations professionnelles régionales, unies comme les cinq doigts de la main, autour de ce grand oral qui devait prendre la forme d’une rencontre ouverte avec la presse.

Le nombre de confrères ayant effectué le déplacement des quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté pour ne pas en perdre une miette était plutôt conséquent pour ce genre d’exercice. Sans doute moins excitant que des joutes politiques en période électorale mais beaucoup plus intéressant de surcroît quant à sa finalité informative.

L’animation accueillie dans l’un des salons de l’Holiday Inn, situé dans le Parc de la Toison d’Or, n’avait d’autre objectif que de balayer de la manière la plus exhaustive les points essentiels d’une actualité riche et marquée par l’omniprésence néfaste de la crise sanitaire.

Exemples à l’appui, étayant leurs propos de chiffres et de pourcentages, les intervenants inféodés à l’esprit d’initiative et volontaires dans l’action prirent à tour de rôle la parole.

Ils brossèrent de manière plus ou moins succincte selon les interlocuteurs un tableau pertinent et révélateur de la situation réelle vécue sur le terrain par leur corporation.

Bref, une belle brochette de personnalités, issues de la sphère entrepreneuriale qui aura fait fi du pathos habituel pour aborder ce style de rendez-vous au bilan forcément très délicat compte tenu de l’âpreté d’une conjoncture atone.

Plutôt que de se lamenter sur leur sort, douze mois après le début de la pandémie, ces leaders institutionnels et du monde de l’entreprise ont su véhiculer des messages d’espérance et d’optimisme. De confiance, aussi, eu égard aux interventions salvatrices de l’Etat et de la Région, saluées de façon unanime.

 

Une crise sociale plus qu’une crise économique…

 

Le fil d’Ariane légitime de cette causerie de près de deux heures se nommait la relance économique de nos territoires. Une relance à laquelle souscrit l’ensemble de ces organisations, à savoir le MEDEF, la CPME, la FFB, la CAPEB, l’UNICEM, la FNTR (fédération des transports routiers) ou encore la CMAR BFC, c’est-à-dire la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de notre contrée.

Sans omettre, il va de soi, la Fédération régionale des Travaux Publics, initiatrice de cet échange interprofessionnel de bel aloi.

Introduisant les débats, Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC, fit part à maintes reprises de sa satisfaction de se retrouver en présence d’un tel aréopage corporatiste pour évoquer la situation économique du moment.

Heureux de l’initiative, il insista lourdement sur un point fondamental à ses yeux. Un credo qui revint en boucle dans son discours : « La relance économique passe par son application sur les territoires… ».

 

Au-delà du contexte anxiogène et de son impact délétère sur les collaborateurs de ces milliers d’entreprises, représentées par ces organisations, le patron de la société Roger MARTIN craint plus que tout autre chose les effets de la foudre dévastatrice, celle de la crise sociale se faisant menaçante, au cours de ces prochains mois.

« Nous sommes davantage dans une crise sociale qu’économique, devait-il souligner, or, grâce à la solidarité qui existe entre nous, et en se créant des opportunités nouvelles en matière de travail, nous allons sortir de cette ornière… ».

 

 

Préserver l’emploi et les entreprises en instaurant la confiance sur l’avenir

 

Toutefois, le président de la FRTP régionale, même s’il s’accorde à dire que son secteur n’est pas le plus à plaindre en ces instants difficiles, s’est montré très inquiet devant cette incertitude totale qui se présente devant nous.

Entre ces périodes successives de stop and go qui sont préjudiciables à la hausse du moral de nos concitoyens et une morosité latente qui ne cesse de s’étendre sur le territoire, Vincent MARTIN a aussi démontré toutes les failles du télétravail lors de ses explications.

Ce système encouragé par la digitalisation possède, certes, ses vertus mais il ne doit pas se généraliser à outrance dans le milieu professionnel.

L’une des grandes préoccupations du patron des travaux publics régionaux est la progression des attitudes dépressives, inhérentes au manque de libertés, et sources d’une  hausse croissante de l’accidentologie sur les chantiers.

Rassurer les collaborateurs, instaurer une ambiance sereine autour d’eux, faire montre d’empathie sont autant de solutions déclinables sur les chantiers d’aujourd’hui. A l’instar des autres organisations qui devaient s’exprimer, tous ont à cœur de soutenir l’emploi et de préserver les entreprises en ces durs moments de la vie. C’est peut-être cela, la meilleure définition de la relance vu par le prisme de l’économie…et de ses acteurs.

 

En savoir plus :

Ont participé à cette conférence de presse

Vincent MARTIN, président de la FRTP BFC,

Jean-Philippe RICHARD, Président du MEDEF BFC,  

Georges GRENIER, Président de la FNTR,

Bernard LABOREY, Président de la FFB BFC,

Louis DEROIN, Président de la CPME BFC

Francis VOELIN, Président de la CAPEB BFC.

Christophe BAUDUIN, Président de l’UNICEM BFC

Et Manuela MORGADINHO, Vice-Présidente de la CMARBFC.

 

Thierry BRET

 


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Les acteurs de l’insertion professionnelle l’intéressent. Tout autant que les managers et autres dirigeants des structures entrepreneuriales des secteurs privés et publics. A la tête de son cabinet de formation, Loïc CHEVALLARD agit en qualité de coach impliqué, s’engageant vers des voies novatrices qui lui permettent de désamorcer des situations complexes, voire inextricables. Sa méthode : provoquer le déclic au niveau des consciences.

CHEMILLY-SUR-YONNE : Les conflits qui éclatent en entreprises ne possèdent plus de secrets pour ce coach de l’Yonne. Il offre en effet l’opportunité aux managers de pouvoir renforcer la cohésion sociale et l’engagement qu’il soit individuel ou collectif dans un contexte très anxiogène.

Celui que les entrepreneurs de l’Hexagone traversent à l’heure actuelle du fait de la pandémie ne manque pas de piquant, convenons-en !

Invité à partager ses retours d’expériences et à prodiguer d’utiles conseils auprès de l’Institut des Dirigeants, un atelier pédagogique initié par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, le responsable d’ADN Potentiel utilise des outils qu’il a su développer au fil du temps. Notamment dans les domaines complémentaires que sont les neurosciences et la psychologie humaine.

D’ailleurs, sa ligne directrice professionnelle n’est autre que cette formule dont il a fait son leitmotiv : « être un déclencheur de déclics pour managers ». Il nous livre en quelques réponses ses réflexions sur son entreprise et ses projets…

 

 

Des projets pleins la tête dont la rédaction d’un ouvrage…

 

Pourquoi avoir nommé votre entreprise, ADN Potentiel ?

A la naissance, nous avons tous une mémoire cellulaire et génétique. C’est-à-dire un potentiel. Nous pouvons l’activer, le faire évoluer dans le temps comme notre ADN, à l’aide de facteurs internes (notre vécu) et externes. Soit l’environnement dont les managers que nous avons eu dans notre vie peuvent jouer un rôle clé s’ils sont inspirants.

Quels sont les services que vous proposez ?

Il s’agit d’apporter une meilleure compréhension des profils des équipes, avec une communication et un management adaptés. Il faut aider l’entrepreneur à identifier le potentiel des candidats, en créant des conditions favorables à leur plein épanouissement. En les fidélisant, on se prémunit de situations potentiellement conflictuelles.

Regardons vers l’avenir. Quels projets allez-vous encouragé en cette année 2021 ?

Dans le cadre du développement de l’activité, j’ai recruté une collaboratrice afin de m’accompagner dans ma stratégie de communication. Cela présage de belles perspectives pour la suite avec la mise en place de nouveaux partenariats. Parallèlement, je prépare avec la complicité d’un co-auteur un livre sur l'entreprise et le management aux côtés d’autres experts et d’universitaires.

Cet ancien manager commercial grands comptes intervenant dans la formation est aussi un passionné par la transmission des savoirs. Les relations humaines et la dimension stratégique au sein des organisations l’interpellent tout autant.

L’idée d’entreprendre lui est donc venue de son entourage professionnel. Des dirigeants, des partenaires l’ont fortement incité à créer sa propre entreprise, au vu de ses interventions qualitatives, ses ateliers et formations assurés en afterwork.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 


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La peur n’est jamais bonne conseillère. Chacun le sait. Or, elle nous est devenue si familière dans ce contexte très particulier de crise sanitaire. Un peur qui a envahi petit à petit, et à grand renfort de messages anxiogènes et de déclarations parfois disparates, notre espace vital. Jusqu’à nous rendre parano ! Médecin anesthésiste réanimateur à Marseille, porte-parole du Collectif REINFOCOVID, Louis FOUCHÉ se livre dans une interview vidéo-filmée à un entretien empli de bon sens et d’humanité sur la transformation de la colère froide en réel courage pour surmonter nos peurs…

TRIBUNE: Regroupant des médecins, des soignants mais aussi des chercheurs, des entrepreneurs, des parents, des hauts-fonctionnaires, des citoyens, des artistes…le Collectif REINFOCOVID souhaite dans sa démarche déontologique apporter de la beauté et de la culture autour de lui.

Ce groupement travaille à l’heure actuelle sur quatre points clés pour essayer de sortir les gens de cette peur chronique qui transpire en nous par tous les pores de notre épiderme.

Combattre la peur, toutes les peurs, que ce soit la peur du virus, de perdre son travail, de fermer boutique, des effets de la  crise économique suppose obtenir des réponses objectives sur la question.

Pour Louis FOUCHÉ, le témoin de cette tribune, c’est clair : « il s’agit de tâter le réel, de revenir à la réalité et surtout de s’approcher du vrai sans être coincé dans une panique irrationnelle que les peurs savent si bien mettre en place... ».

Le second point de cet exposé est d’ouvrir l’espace du  débat démocratique et scientifique pour chercher ce qui nous semble le plus juste, le vrai. Le troisième de ces éléments est de tenter d’infléchir la politique sanitaire actuelle en optant pour une politique sanitaire qui soit plus juste et plus proportionnée. Enfin, il sera judicieux de (re)faire la société dans une posture de non-violence.

Au nom du bon sens, de la raison et de  l’humanité.

 

En savoir plus :

 

 

//odysee.com/@Reinfocovid:2">https://odysee.com/@Reinfocovid:2

 

https://www.facebook.com/collectifreinfocovid

https://www.youtube.com/channel/UCe01AmJ3e7cUPIbRzPaDKfw

https://www.youtube.com/channel/UCljXEDaSZVZ4x5tRRkAH7WA

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https://twitter.com/ReinfoCovidOff

 

Retrouver l’intervention de Louis FOUCHÉ sur :

 

 https://youtu.be/_QYzinZXFdc

 

Hadrien ACELA

 

Interview vidéo réalisée par Daniel BOUKEZ


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Le moment revêtira sans aucun doute d’une grande solennité. Enfin, une prise de parole en présentiel afin de brosser les grandes lignes stratégiques d’une relance économique que tout le monde espère avec impatience sur nos territoires. Les travaux publics en Bourgogne Franche-Comté souhaitent annoncer la couleur pour 2021. Celle de la verte espérance, synonyme de reprise des activités et de carnets de commandes abondamment garnis ? On ne peut que le souhaiter pour une filière dans les starting-blocks !

DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est peut-être pas le fait du hasard. Mais, choisir le jour de la Saint Nestor pour organiser la première grande conférence de presse de l’année permettant à la filière des travaux publics et à tout un aéropage de personnalités du sérail économique de pouvoir s’exprimer sur la relance ne manque pas d’interpeller les observateurs que nous sommes à plus d’un titre.

Certes, aux antipodes de la fête qui honore le saint du jour, à l’existence obscure qui le conduisit sur une croix et au supplice de la crucifixion au IIIème siècle de notre ère, intéressons-nous plutôt aux valeurs symboliques de ce prénom aujourd’hui totalement désuet qui magnifie pourtant l’esprit de la sagesse et de la longévité.

De la sagesse et de la longévité : ne serait-ce point-là l’essence même de ces décideurs de la vie entrepreneuriale qui auront l’opportunité de s’exprimer lors de ce rendez-vous, porteur d’espérance ?

De la sagesse, il en aura fallu une sacrée dose pour que ces chefs d’entreprise de ce secteur clé de notre économie ne sombrent pas dans le marasme ambiant quotidien.

Pour assurer la longévité de leur outil de travail, ils n’ont eu de cesse durant des mois de multiplier les efforts afin de préserver l’emploi malgré une baisse d’activité tutoyant les 25 % de pertes. Et des carnets de commande dont les contenus se sont étiolés comme la neige fondant au soleil au fil des mois de cette maudite année 2020.

 

 

Les entreprises des TP sauront répondre à la relance économique…

 

De la sagesse, il en aura été aussi question lors de l’annonce du fameux plan de relance gouvernemental dévoilé par le Premier ministre pour que les entrepreneurs lèvent le voile de la sinistrose qui les enveloppait pour regarder enfin devant soi. 

Néanmoins, les choses ne vont pas aussi vite qu’il le faudrait. Mais, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics Vincent MARTIN n’a jamais changé d’un iota son message à destination de ses adhérents, de ses partenaires institutionnels ou des collectivités.

Pour lui, c’est clair : la relance ne peut s’envisager que par les territoires et les entreprises de travaux publics de notre contrée sauront y répondre en participant activement.

L’exercice oratoire auquel il nous convie, ce fameux vendredi 26 février jour de célébration des Nestor, lui donnera l’opportunité ainsi qu’aux représentants des plusieurs organisations professionnelles (MEDEF, FFB, CPME, CAPEB, UNICEM, FNTR, Chambre des métiers et de l’artisanat) d’esquisser les perspectives de la relance telle qu’elle pourrait se concevoir au fil de ces prochaines semaines.

Souhaitons que les informations qui y seront délivrées soient suffisamment encourageantes et ambitieuses sans être départies de cette sagesse et de cet esprit de longévité allant de pair avec ce retour en grâce des travaux publics et de l’économie…

 

Thierry BRET

 


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