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Ce n’est qu’un petit coin de ciel bleu dans la pénombre ambiante. Toutefois, il symbolise une lueur d’espoir et un retour progressif vers la normalisation. Surtout pour les restaurateurs qui, sur la base du volontariat, s’engagent  dans cette démarche en appliquant les règles sanitaires. Lundi, les professionnels du bâtiment pourront se sustenter d’un repas chaud dans l’un des dix-huit établissements signataires de ce protocole. Une première avancée constructive soutenue par les milieux économiques…

AUXERRE : Ca y est ! Les salariés du bâtiment, celles et ceux qui le désirent, pourront troquer dès ce lundi 15 février leurs camionnettes, servant de lieu de refuge au quotidien pour y avaler de manière expéditive leur repas de midi, pour un havre de paix en phase avec leurs besoins : une salle de restaurant chauffée !

L’ouverture de dix-huit établissements s’officialise après la signature d’une convention de partenariat entre la préfecture de l’Yonne et les instances économiques de notre territoire.

Une autorisation qui possède, certes encore ses limites et un certain nombre de contraintes eu égard au contexte sanitaire actuel. Mais, l’initiative vise à améliorer les conditions de travail de ces salariés qui se nourrissent tant bien que mal et sans confort dans l’habitacle de leurs véhicules utilitaires malgré les morsures incisives des températures polaires.

Cependant, le corps préfectoral se veut très clair au niveau de la bonne compréhension du message. Il ne s’agit aucunement de la réouverture des restaurants à l’ensemble de la population.

Cette autorisation d’accueillir une clientèle dans les établissements ne concerne stricto sensu que celles et ceux de ces professionnels de la filière artisanale du bâtiment qui disposent en outre d’une carte référence sur soi.

Moyennant quoi, celles et ceux qui souhaiteraient profiter de l’aubaine pour pouvoir resquiller en toute impunité en s’installant à la table de l’une de ces dix-huit maisons en seraient pour leur frais !

Les contrôles par les forces de l’ordre vont se multiplier avec verbalisation à la clé en cas de non-respect des consignes. Sachant, en parallèle, que les restaurateurs devront être en conformité au niveau de l’application des gestes barrières et des mesures ad hoc prévues à ce sujet.

 

 

Un dispositif qui ne s’élargira pas à d’autres secteurs professionnels…

 

Un autre secteur bénéficie de mesures similaires du fait de leur mobilité : les transporteurs routiers. Mais, le préfet Henri PREVOST a été formel dans ses explicatifs : il n’y a pas lieu d’être en l’état actuel des choses où la pandémie connaît toujours une virulence aigüe dans sa circulation de vouloir élargir ce dispositif à d’autres filières professionnelles. Par exemple, celle des VRP.

Eviter le brassage social demeure l’axiome référentiel de base à toutes initiatives qui verraient le jour. Par ailleurs, le représentant de l’Etat a lourdement insisté sur la conjoncture sanitaire lors de la conférence de presse qui dévoilait les arcanes de ce dossier.

« Nous n’en avons pas fini avec cette pandémie, devait-il souligner, ce coronavirus est toujours très agressif… ». Même si le taux d’incidence dans l’Yonne est désormais en dessous de la moyenne nationale.

 

 

Chez les acteurs du BTP, les choses se mettent en place avec une extrême prudence pour s’octroyer ce petit  supplément d’âme de liberté retrouvée. Une préconisation qui a déjà fait ses preuves dans le département de la Creuse, d’où a été imaginé ce concept limitant la présence autour de la même table de quatre convives seulement.

L’Yonne, a contrario, est l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à tester ce dispositif. Si son mode opératoire convainc les différentes instances partenaires, on peut supposer qu’il fera des émules chez nos voisins.

 

 

Les acteurs économiques saluent l’initiative en exigeant le respect des règles…

 

Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ a salué de manière positive cette expérience. Fier de cette signature, il a insisté sur la rigueur qui doit prévaloir à son succès. Rappelant que la réussite de l’opération ne pouvait se faire qu’en étant très rigoureux sur l’adoption des mesures de protection et son respect.

Plus circonspect dans ses analyses, le président de la Fédération départementale du Bâtiment (FFB) Didier MICHEL n’a pas voulu se voiler la face.

« Cette convention sera très dure à mettre en œuvre… ». Toutefois, c’est un premier pas prometteur qui répond à la problématique des regroupements de deux à trois salariés devant se nourrir dans la même camionnette. En filigrane, en prenant des risques de se transmettre la COVID.

Son homologue de la CAPEB, Jean-Pierre RICHARD, s’est félicité aussi au titre de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, du bel état d’esprit des signataires de cette convention qui pose des jalons favorables au retour d’un semblant « petit bout à la vie normale ».

Enfin, l’intervention du président de l’UMIH, Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière, Eric MOUTARD, a conclu ce tour de table des décideurs économiques. Une prise de parole en forme de condensé testimonial empli d’émotions et de véracité d’autant que le gérant du « Biarritz » a subi les affres de la maladie durant plusieurs semaines, dans des conditions physiques et morales très éprouvantes l’ayant conduit à son hospitalisation.

« Je n’accepterai aucune dérive de la part des professionnels de la restauration qui doivent se conformer à l’application stricto sensu des règles sanitaires dans leurs établissements. Il ne faut pas perdre conscience que cette pathologie peut nous affecter à n’importe quel moment de notre existence et que cela n’arrive pas seulement aux autres… ».

Ne pas jouer avec la santé reste donc le credo absolu de cette initiative qui a le mérite de se mettre en place dans l’Yonne comme celle initiée cette semaine par le CIFA et METRO Auxerre de former les professionnels de la restauration à la vente à emporter et à ses réglementations.

 

 

En savoir plus :

La liste des 18 établissements de l’Yonne s’engageant dans ce dispositif :

Le Marais à Appoigny

Le CBR à Auxerre

Le Biarritz à Auxerre

L’Authentique Burger à Auxerre

Le Frascati à Auxerre

O Barakoa à Auxerre

La Renaissance à Auxerre

Brasserie des Bords de l’Yonne (BBY) à Auxerre

La Farandole Gourmande à Auxerre

Aux Plaisirs de Puisaye à Bléneau

Le Syracuse à Chablis

La Clé des Champs à Champigny-sur-Yonne

Hôtel restaurant de l’Ecluse 79 à Chassignelles

L’Auberge Chevill’Yonne à Charny-Orée-de-Puisaye

Le Canard dans le Bocage à Egriselles-le-Bocage

Autour d’un verre à Joux-la-Ville

Le Petit Perrigny à Perrigny

Le Relais de Sainte-Colombe à Sainte-Colombe-sur-Loing

 

Thierry BRET

 

 


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Plus que jamais, la biodiversité est menacée. Chaque année, ce sont des milliers d’espèces qui disparaissent ainsi de la surface du globe. Comme en Australie lors des terribles incendies qui ont ravagé le centre du pays. La principale cause de ce désastre est imputable à l’homme. Ce nuisible qui ne respecte ni l’environnement ni les espèces animales et végétales qui y vivent. Mais, que serait donc l’homme sans la biodiversité ? Une question qui trouvera des réponses lors de la conférence-débat proposée par le Cercle Condorcet de Sens et la Ligue de l'Enseignement 89…

SENS : L’homme sera-t-il bientôt seul au monde face à son destin ? Au train où vont les choses dans la destruction massive des espèces animales et végétales qui ne cesse de s’amplifier, on peut penser que cette situation qui n’a rien de kafkaïenne se produira un jour ou l’autre.  

Biologiste, naturaliste, spécialiste de la protection des grands primates en Afrique et en Asie, Emmanuelle GRUNDMANN – elle est également journaliste-reporter – étayera de ses réponses éclairées toutes nos interrogations sur ce préoccupant sujet de société.

La présidente de l’association AWELY, structure qui cherche à réduire les conflits existentiels entre les hommes et les animaux partout sur la planète, sera l’exceptionnelle invitée du Cercle Condorcet de Sens, ce jeudi 11 février.

Un rendez-vous proposé de manière virtuelle sur ZOOM à suivre dès 18h30 pour mieux appréhender les grands enjeux de demain.

Auteure d’un ouvrage intitulé « Demain, seuls au monde ? » (Edition Calmann-Lévy), Emmanuelle GRUNDMANN, exégète de l’univers animalier, rappellera des évidences avant de nous faire comprendre la véritable valeur de la biodiversité.

Quid de la pollinisation des fleurs sans la présence bénéfique des abeilles ? Comment se nourrir de protéines animales indispensables à notre survie sans les poissons et autres crustacées ? Pourrons-nous soigner les maladies sans les thérapies médicamenteuses issues de plantes tropicales et du savoir botanique des peuples forestiers ? Comment recycler les monceaux de déchets que nous rejetons autour de nous sans les micro-organismes ?

Dans le contexte sanitaire du moment, ces questions méritent d’être enfin posées. Afin d’inverser la tendance et de placer la nature et ses espèces sur ce vrai piédestal qu’elles n’auraient jamais dû quitter…

 

 

 

En savoir plus :

 

Conférence débat organisé gratuitement par le Cercle Condorcet de Sens

Inscription obligatoire sur Zoom :

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

   

Thierry BRET

 


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Il est un peu plus de 16 heures en Chine alors que la pendule du salon officiel de l’AJA indique la demi-heure de neuf heures à Auxerre. Malgré le décalage horaire, on ressent une certaine fébrilité chez les signataires bourguignons de ce nouveau partenariat. Le quatrième avec l’ex-Empire du Milieu. Entre l’AJ Auxerre et son puissant partenaire asiatique, la « nuit de Chine » tourne à la romance câline. Logique, cet  accord supplémentaire se veut très prometteur au niveau de la formation…

AUXERRE : Et de quatre pour l’AJ Auxerre ! Le club de football bourguignon tisse patiemment sa toile relationnelle à l’international avec ses homologues chinois à grand renfort de conventions de partenariat.

La dernière en date, paraphée à distance grâce à la magie de la visioconférence il y a quelques jours entre ses dirigeants, entérine le rapprochement de la structure icaunaise avec le HUAZHENG Football Club.

Implantée dans la mégapole de Shanghai, cette formation accueille près de deux cents adeptes de la discipline sportive la plus populaire au monde dans un panel d’équipes allant des U 7 aux U 22.

Rayonnant dans la capitale économique du pays et de ses agglomérations limitrophes, ce club chinois offre l’heureuse opportunité à l’AJA d’amplifier sa reconnaissance dans ce secteur géographique.

Depuis 2018, le club présidé par Francis GRAILLE a noué des liens privilégiés avec les structures sportives chinoises sous l’impulsion de son actionnaire majoritaire, James ZHOU.

Il y a créé localement ses deux premières académies de football. Celle de BENGBU, située dans l’un des districts de Shanghai, ville aux 26 millions d’habitants. Puis, ce fut au tour de JINSHAN, d’accueillir un complexe de formation similaire. En mai 2019, le club auxerrois se rapprochait de la Fédération de football de Shanghai afin de porter les bases constructives d’une relation durable.

 

 

 

De quoi est fait cet accord entre les deux partenaires ?

 

Si le club de l’Yonne accentue sa dimension internationale et son rayonnement bien au-delà de son territoire avec cette nouvelle aventure, c’est surtout au niveau de la formation que ce rapprochement stratégique s’avère intéressant.

Club très expérimenté au niveau de la formation des jeunes pousses, l’AJ Auxerre possède une réelle expérience en matière de pédagogie et sa méthode spécifique qu’il entend exporter vers la Chine.

Non seulement, il est question de détecter de nouveaux talents sur le terrain mais aussi d’apporter son savoir-faire aux éducateurs chinois. Sur place, à quelques milliers de kilomètres de l’Yonne, l’Auxerrois David VANDENBOSSCHE réalise un travail de qualité apprécié par toutes les parties.

 

 

 

L’objectif est d’aborder de manière professionnelle les aspects techniques avec les joueurs mais aussi leurs éducateurs.

« Les installations de ce club sont dignes d’une formation professionnelle européenne, précise l’éducateur, avec neuf terrains en herbe et autant en pelouse synthétique. L’objectif à terme sera de repérer de quatre à cinq bons éléments pouvant par la suite intégrer le centre de formation à Auxerre… ».

Entre le football chinois et l’AJ Auxerre, l’histoire d’amour devrait perdurer encore longtemps.

 

Thierry BRET

 

 


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La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Fort de ce postulat juridique, l’attaché parlementaire de la députée Michèle CROUZET, spécialiste en droit privé, a choisi de déposer plainte auprès du procureur de la République de Sens  mercredi 03 février. Cible identifiée par cette action en justice : deux élus du Grand-Sénonais et conseillers départementaux, auteurs de commentaires « diffamatoires » à son égard sur les réseaux sociaux. Du rififi en perspective dans le landerneau politique local ?  

SENS : C’est par l’entremise de Me Magali DUBREUCQ-TRUDDAIU, avocate au barreau de Sens que le bras droit de la députée MoDem de la troisième circonscription de l’Yonne a fait appel à la justice cette semaine pour pointer d’un doigt réparateur les nuisances diffamantes qui peuvent circuler d’ordinaire sur les réseaux sociaux.

Juriste de son état, Steve CAMPAGNE ne tolère plus les propos acerbes à la limite de la décence que véhicule la toile depuis plusieurs jours à son encontre. Des invectives qui émanent de la sphère politique locale et que l’intéressé considère comme « calomnieuses et diffamatoires ». Ces écrits qui fleurissent sur les comptes Facebook sont pour lui, « indignes des responsables politiques qui en sont les auteurs ».

Partant du simple postulat que la toile n’est pas une zone de non-droit, le jeune homme à la tête bien pleine ne veut pas se laisser intimider et insulter par des messages publiés par écran interposé.

« C’est là tout le problème avec les réseaux sociaux, explique-t-il dans un entretien accordé à la presse où il présente les dessous de l’affaire, on n’a pas pris la mesure de ce que sont ces outils de communication, de leur pouvoir et ce qui peut se dire ou s’écrire réellement… ».

Arguant que le droit s’applique partout y compris sur les canaux offerts par le numérique et que l’immunité zéro n’existe pas, l’attaché parlementaire de Michèle CROUZET a décidé de se lancer dans la bataille, tel un chevalier blanc qui souhaiterait pourfendre les aficionados de cette pratique somme toute usuelle par les temps qui courent, pour porter l’affaire devant la justice.

« Je le fais aussi au nom de toutes ces personnes qui souffrent en silence des méfaits de ce cyber harcèlement et des menaces anonymes qui sont diffusées régulièrement sur le multimédia, concède-t-il en présence d’un énorme Dalloz qui trône en majesté son bureau.

 

Accepter le principe de la liberté d’expression et de la transparence…

 

Quant aux faits, ils remontent au 22 janvier dernier. Désireux d’éclaircir quelques points interrogatifs qui l’interpellent, Steve CAMPAGNE sollicite le conseiller départemental et maire de Saint-Denis-les-Sens Alexandre BOUCHIER pour que ce dernier lui fournisse des explications détaillées sur son bilan et aborde le cumul de ses rémunérations en qualité d’élu.

Pour l’attaché parlementaire icaunais : il ne s’agissait là que d’une simple question d’ordre politique s’inscrivant dans la pure transparence citoyenne.

« C’est un devoir aujourd’hui de connaître les rémunérations de nos élus, précise Steve CAMPAGNE, cela s’inscrit dans la droite ligne de la démocratie. Si les élus ne s’appliquent pas à eux-mêmes les règles élémentaires de l’expression et de la transparence, on peut alors s’interroger sur les principes même de cette liberté d’expression dans ce pays ! ».

 

 

La réponse de l’édile de la commune périphérique de Sens ne tardera pas à être connue mais par le biais de la page Facebook des Républicains. Où Alexandre BOUCHIER compare la demande de l’attaché parlementaire à des « méthodes de mafieux ».

Un terme proprement indigeste et insultant pour Steve CAMPAGNE qui qualifie dans la foulée ces propos de « diffamatoires » ! Se promettant de ne pas en rester là en les faisant constater par un huissier !

« Je m’attendais à une toute autre réponse de la part de cet élu, ajoute Steve CAMPAGNE, mais pas ce genre d’insultes. Certes, la politique n’est pas un débat aseptisé. Mais, il faut savoir accepter le principe de la discussion. On a donc le droit de faire bouger les lignes en posant les bonnes questions. Y compris celles qui dérangent. Et de répondre aux interrogations lorsque celles-ci sont posées : cela s’appelle le courage politique… ».

 

Un combat mené au nom de l’exemplarité et du droit…

 

Affecté par ce qualificatif aux références siciliennes qui remet en cause sa probité personnelle et professionnelle, le plus proche collaborateur de Michèle CROUZET décide alors de contre-attaquer. En ayant recours à la justice.

D’autant qu’une seconde salve, émise sur le même canal d’expression numérique par la conseillère départementale Clarisse QUENTIN en soutien à son homologue du Sénonais, apportera un second souffle sur des braises déjà ardentes.

« Les mots possèdent un sens, souligne l’attaché parlementaire, et j’entends bien remettre cette notion à l’ordre du jour du débat public. On ne peut pas tout dire au nom de la liberté d’expression. Traiter ma méthode de « mafieux » fait allusion à un réseau criminel organisé. Oui, agir dans la sphère politique constitue bien une appartenance à un réseau. Mais, il manque alors le critère de référence à la criminalité : on n’a donc pas le droit de comparer mon intervention à celle de Cosa Nostra ! ».

Dès lors, Steve CAMPAGNE ne laissera plus le moindre interstice qui faciliterait la circulation de propos diffamatoires ou mensongers autour de lui. Y compris sur les réseaux sociaux.

La poursuite juridique se systématisera à l’avenir. Devenant un glaive acéré pour couper les fils de certaine forme de communication usitée par ses détracteurs. Un combat que le garçon souhaite mener au nom de l’exemplarité et du droit.

 

Thierry BRET

 


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Enfin une bonne nouvelle qui concerne l’univers des loisirs, de la culture et du tourisme en cette période de vache maigre ! Le site de Côte d’Or faisant référence à la fameuse bataille qui devait opposer en l’an 52 les forces de Vercingétorix aux puissantes armées de Jules CESAR pourrait accueillir d’ici peu des visiteurs. Une conférence de presse dévoilera d’ici quelques jours les grandes nouveautés 2021…

ALISE SAINTE-REINE (Côte d’Or) : Le début de la nouvelle saison touristique et culturelle est enfin programmé dans l’un des sites les plus attractifs de notre contrée, le MUSEO Parc d’Alésia.

Malgré le contexte sanitaire qui nous prive depuis des mois de toutes initiatives intellectuelles et ludiques sur les lieux réservés à cet effet, l’information a été officialisée en milieu de semaine par le service presse de l’institution : la réouverture de ce parc pourrait être actée en date du 15 février.

Articulé autour de trois sites, à savoir le Centre d’interprétation qui explique le contexte, le déroulement et les conséquences de la fameuse bataille entre Gaulois et Romains, les vestiges de la ville gallo-romaine d’Alésia et la célèbre statue du chef gaulois, Vercingétorix, érigée par Napoléon III, le MUSEO Parc ne cesse de voir sa fréquentation de visiteurs particuliers, en groupes et scolaires, augmenter chaque année.

 

 

 

Une conférence de presse, déclinée par outil numérique, offrira la possibilité au directeur du site Michel ROUGER et à son équipe de présenter la programmation 2021, l’agenda des différentes manifestations ainsi que les grandes nouveautés dont une démonstration de l’escape game conçue par l’agence OHRIZON.

Ce sera également l'occasion de faire un point sur la nouvelle scénographie, en présence des experts qui travaillent sur le projet : la cellule Alésia du Conseil départemental de la Côte-d'Or qui le pilote et l'Agence Clémence FARRELL.

 

Thierry BRET

 


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