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Le doute n’est plus permis. La corrélation entre les territoires et la transition énergétique, en vue de l’amélioration et de l’application de celle-ci, est établie dans les faits. Les territoires, autonomes, dont ceux de l’Yonne, sont devenus au fil des ans de véritables pilotes en la matière, proposant moult préconisations durables pour y parvenir afin d’accélérer cet inexorable processus qui tend à préserver la planète et ses habitants. Tel sera le constat, agrémenté de questionnements, posé par les 11èmes Assises de l’Energie, déclinées par le SDEY, ce jeudi 19 octobre…

 

MONETEAU : Quels sont les principes fondamentaux de ces évènementiels que l’on nomme des « assises » ? Mettre à plat, devant un auditoire de spécialistes et de néophytes, de véritables problématiques sociétales dont il faut absolument résoudre les effets ! En l’occurrence, lors de ces rendez-vous automnaux annuels que nous gratifie avec moult intervenants le Syndicat départemental des Energies de l’Yonne (SDEY), le volet de la transition énergétique. Un sacro-saint problème de société dont le commun des mortels a connaissance depuis maintenant plus d’une décennie.

D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas sur la sémantique exacte, résolument choisie par les responsables du fameux syndicat de l’Yonne.

Par « assises », il entend affirmer sa voix et ses orientations avec déterminisme. En effet, au sens littéral du terme, des « assises » désignent une réunion importante, fondatrice, destinée à asseoir des bases, des règles, des statuts, des directions stratégiques. Rien à voir donc avec une simple assemblée générale, un congrès ou encore un colloque !

 

Les territoires doivent être les pilotes de la transition énergétique

 

La transition énergétique mérite-t-elle donc la tenue d’assises, précisément à partir de ce postulat grammatical ? Mille fois oui ! Tant le sujet est complexe, nécessaire, vital et indispensable à l’épanouissement de l’homme, via ses collectivités qui en porteront les actes dans un futur immédiat. Et sur ce registre-là, le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne fait bien les choses depuis désormais onze ans. Proposant ce rendez-vous, ouvert aux élus de toutes les collectivités territoriales, des pistes de réflexion, des débats de fonds, des rencontres directes avec des esthètes en la matière, des experts, des pointures aux contours hexagonaux et internationaux. Bref, un grand marché intellectuel où chacun des visiteurs viendrait y puiser ce dont il a besoin.

Alors, ce thème édition 2023 n’a pas été choisi par hasard. A l’heure où le pouvoir des collectivités territoriales est reconnu dans les hautes sphères étatiques et au moment où les Français recherchent de plus en plus de proximité décisionnelle. Oui, les  territoires doivent être les pilotes – et même les commandants de bord de leurs propres aéronefs ! – pour mener à bien ce vertueux chantier qui n’a qu’un seul et unique objectif en bout de piste (les avions !), sauvegarder la planète en diminuant les effets impactant le réchauffement climatique.

« Pilotes de la transition énergétique », les territoires le sont. Certains – une dizaine d’entre eux - recevront le label « Terre d’Innovation », valorisant leurs actions novatrices lors de cet évènement.

D’ailleurs, le président du SDEY, Jean-Noël LOURY, résume en une phrase l’importance fondamentale d’un tel rendez-vous : « Que ce soit dans les petites communes, ou encore les agglomérations, chaque responsable se pose aujourd’hui de nombreuses interrogations sur la mutation de notre système de production, distribution et consommation d’énergie… ».

Des questions qui appellent nécessairement des réponses avec les intervenants devant intervenir jeudi en matinée autour des enjeux de cette transition énergétique, les énergies renouvelables pour produire de l’électricité, le bois énergie (une véritable clé pour se chauffer autrement), la production de biogaz pour être injecté dans le réseau de GRDF, l’accélération de la transition énergétique…

Autant de plateaux conférences qui accueilleront leur lot de spécialistes chevronnés autour de solutions concrètes adoptables par les collectivités.

 

 

Des invités vedettes pour inciter à la réflexion…

 

En préambule de ce rendez-vous, signalons la présence de Laurence VANIN. Essayiste, philosophe, l’invitée du jour est surtout connue et reconnue en sa qualité de directrice de la chaire « Smart City, philosophie et éthique » développée par l’institut méditerranéen du risque de l’environnement et du développement durable de l’Université Côte d’Azur. Elle livrera avec sagacité et pertinence ses réflexions éclairées sur sa vision globale de la situation où elle ne manquera pas d’aborder le climat et ses caprices.

La présence de Thomas FRAIOLI, directeur régional d’ENEDIS, devrait être également un autre temps fort de ces échanges livrés tous azimuts : ce dernier expliquera les quatre scénarii adoptés par ENEDIS pour sortir des énergies fossiles.

Enfin, il est chez lui en sa qualité de sénateur de l’Yonne, l’ancien ministre Jean-Baptiste LEMOYNE parlera du rôle de l’Etat dans l’accélération de la transition énergétique dans les territoires ruraux.

Un copieux programme en vérité que celui-là pour le bienfait de notre planète et les humains qui vivent dessus…

 

 

En savoir plus :

Les Assises de l’Energie par le SDEY

Les Territoires, pilotes de la transition énergétique

Jeudi 19 octobre 2023 à partir de 09 heures

Skénét’eau à Monéteau

Uniquement pour les représentants des collectivités.

 

Le programme :

« LES TERRITOIRES, PILOTES
DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE »

PROGRAMME

9h00 OUVERTURE DES DÉBATS
• Jean-Noël LOURY, Président du SDEY
• Laurence VANIN, Expert Smart City : Philosophie, Ethique et Sécurité

LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE CONCRÈTEMENT SUR LES TERRITOIRES : INTRODUCTION AUX ENJEUX

  • Thomas FRAIOLI, Directeur régional Enedis : Comment sortir des énergies fossiles, les 4 scénarios ENEDIS
    • Emmanuel ROMIEU, Directeur de l’AEC (Association pour l’expertise des concessions) : Comment les décideurs publics peuvent planifier la transition
    • Jean LESPINE, Vice-président du SDEY : Les enjeux pour les territoires du
    département

LES ENR POUR PRODUIRE DE L’ÉLECTRICITÉ

  • Charles-Antoine GAUTIER, Directeur adjoint pour l’énergie – développement des réseaux d’énergie, EnR-MDE, écomobilité à la FNCCR
  • Stéphane RAIZIN, Directeur Général des Services SyME 05 Territoire d’Energie : FlexGrid
  • Richard ZEIGER, Vice-président du SDEY en charge de la transition énergétique : Autoconsommation
  • Aurélie ROSSIGNOL, responsable du service « Optimisation énergétique » du SDEY

SE CHAUFFER AUTREMENT : LE BOIS ÉNERGIE

  • Nicolas VOLTZ, Vice-président du groupement régional FEDENE
    • Gilles NOEL, SIEEEN Syndicat d’Énergies de la Nièvre, pilote réseau de chaleur, Maire de VARZY, Président des communes rurales de la Nièvre, porteur de projet chaudière bois à VARZY

PRODUCTION DE BIOGAZ LOCAL POUR UN USAGE LOCAL

  • Frédéric MARTIN, Directeur Général Adjoint National GRDF
    • Dominique GOFFART, Président de la SAS Terres Energie, porteur de projet
    méthanisation à Pont sur Vanne
    • Irène EULRIET, Directrice SEM Yonne Énergie
  • Jean-Luc KLEIN, Délégué au SDEY

12h00 : CONCLUSION : ACCÉLÉRATION DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE ET ACCEPTABILITÉ DES PROJETS

  • Jean-Baptiste LEMOYNE, Sénateur de l’Yonne : Quel soutien de l’État, comment peut-il être un appui et non un frein ?

12h30 : RENCONTRES ET ÉCHANGES AUTOUR DU BUFFET

14h30 : REMISE DES LABELS TERRE D’INNOVATION 

A l’issue des assises, 10 communes de l’Yonne recevront le label « Terre d’innovation » qui récompense leurs efforts en matière d’aménagement innovant de leur territoire.
2 communes recevront le prix du Jury.

 

Thierry BRET

 

 


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L’obscurantisme règne en maître sur le globe. Toujours et encore. Il rôde tout autour de nous. Tapi dans l’ombre, pernicieux. Pour mieux s’abattre sur nos têtes, là quand on s’y attend le moins et que cela fait le plus de mal. Comme à Arras, dans ce lycée Gambetta, pourtant réputé si tranquille. L’effroi, dans toute sa splendeur. La sidération, aussi, car l’impensable se manifeste à nous, à la lumière du jour. Par une trop chaude journée gavée de cet insolent soleil, ne rappelant nullement la nécessaire saison des pluies et la chute des feuilles, préparant les arbres à l’hiver…

Un fait divers tragique, survenant presque jour pour jour, trois ans après un autre triste anniversaire. Celui de la disparition du pauvre Samuel PATY, professeur d’histoire et de géographie qui eut pour son plus grand malheur avoir cru bon évoquer lors d’un cours assuré à l’une de ses classes le rôle des caricatures d’un journal satirique et ses effets dans la société. On connaît la suite. Morbide et inimaginable…glaçante, aussi.

 

Le lourd tribut payé par l’Education nationale…

 

« Plus jamais ça », avait-on lu alors dans la presse et dit dans les cénacles de la politique. Des propos repris en chœur par toute l’intelligentsia bien-pensante de notre Hexagone. De gauche comme de droite. Du centre, évidemment. Mais aussi des extrêmes. L’unité nationale absolue, comme les cinq doigts de la main, autour d’une catastrophe que l’on croyait impossible à vivre dans le pays des libertés et de Jean-Jacques ROUSSEAU !

Etre assassiné pour avoir enseigné. Transmis des valeurs. Fait réfléchir les consciences et surtout apporter de la lumière dans toute cette opacité macabre qui auréole notre existence avec son lot de guerres, de conflits, de crimes, de meurtres, d’épouvante. Quel horrible tableau que celui-là !

Une fois encore, le monde de l’Education nationale paie un lourd tribut à la défense de ces valeurs. Celles qui nous sont chères et qui ont pour appellation la liberté d’expression, l’enseignement, la pédagogie, le civisme, l’apprentissage, la compréhension. L’ouverture sur le monde, aussi. S’instruire n’est-elle pas la plus belle des vertus pour ne pas mourir totalement idiot ?!

 

 

 

Apprendre et penser : les dangers des autocraties

 

Depuis que nous sommes au monde, on n’a cessé de nous le marteler : nous sommes là pour apprendre afin de mieux transmettre. C’est en comprenant les choses, voire en les pratiquants que l’on peut s’évertuer de les changer, de les transformer vers le meilleur, si possible. Or, pourquoi ces enseignants et ces personnels administratifs qui gravitent autour de l’Education nationale sont-ils désormais dans le viseur de ces êtres dénués de discernement intellectuel ? C’est simple : apprendre fait peur ! Cela correspond au savoir qui est perpétué ainsi de génération en génération, un savoir ouvert vers l’universalisme, le modernisme, les technologies, les mathématiques, les sciences, la philosophie, les langues étrangères, la culture…

Pourquoi les jeunes filles et jeunes femmes afghanes sont-elles privées d’école par les talibans ? Parce qu’elles représentent un insidieux danger qui pourrait mettre à mal toute la rhétorique d’un autre âge qui vient enfumer le paysage politique local !

Pourquoi au pays des mollahs – l’Iran –, les femmes sont-elles renvoyées dans les arrières bans existentiels ? Et ne peuvent de facto briller au soleil même si elles peuvent suivre une scolarité ? Parce que leur savoir et leurs diplômes sont des périls pour ces sociétés où le patriarcat règne en dictat absolu ! Les autocraties éprouvent une sainte horreur de l’intelligence collective : comment alors régner dans la facilité si le peuple est en capacité de réflexion ? Quel dilemme, non !

 

 

Le retour de l’obscurantisme, de l’ombre à la lumière

 

Evoquant lors de son allocution officielle le nouveau drame vécu au Proche-Orient, jeudi soir dans les journaux de vingt heures télévisés, le Président de la République Emmanuel MACRON avait souligné avec vigueur que ce conflit séculaire opposant Israéliens aux Palestiniens ne devait aucunement s’exporter vers l’Europe, et surtout en France. La réponse à ses craintes ne s’est donc pas fait attendre. Puisque le lendemain, un attentat devait être perpétré de la plus sinistre des façons dans ce lycée d’Arras, condamnant un professeur de lettres, Dominique BERNARD, à une mort atroce, égorgé par arme blanche, près de la cour de récréation de son établissement.

On apprenait presque dans le même temps qu’une deuxième tentative d’assassinat avait été avortée à la dernière minute dans les Yvelines, près de Mantes-la-Jolie, là aussi selon un mode opératoire quasi à l’identique avec un individu sortant d’une salle de prière, un couteau à la main et se rendant aux abords d’un lycée…pour mieux tuer des innocents !

Le retour de l’obscurantisme ne cesse de s’amplifier en ces périodes au contexte international très agité, si tant est qu’il ait vraiment disparu. Plus que jamais, la vigilance s’impose autour des écoles, devenues les cibles privilégiées des terroristes qui ne supportent plus que l’on n’y apprenne et que l’on n’y pense…il vaut mieux en effet rester des moutons de Panurge que l’on manipule et que l’on tue !

 

Thierry BRET

 


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S’il y a bien un terme dont il a une sainte horreur et qui lui fait hérisser le poil dans son usage pratico-pratique au quotidien, c’est bien celui de la communication ! Le président de l’Agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre préfère utiliser le mot « information » pour expliquer les avancées des différents dossiers qui se rapportent à la mise en œuvre de l’ambitieux « Projet de Territoire », décliné sur la décennie à venir. Des informations savamment relayées par ses soins, via une lettre officielle qui a été distribuée dans les boîtes aux lettres de l’Auxerrois, couplée à une série de rencontres publiques dans les quartiers de la ville phare de l’Yonne…

 

AUXERRE : Ne lui parlez jamais de « communication » lorsqu’il évoque sa stratégie, car il pourrait voir rouge ou presque, Crescent MARAULT ! Non, lui, ce qu’il aime, ce sont les points d’étape, les focus et autres photographies prises à un instant « t » pour mieux « informer » sur la mise en œuvre de sa politique, applicable sur l’Auxerrois. Toujours dans le cadre de son « Projet de Territoire », la feuille de route initiale qui avait fait l’objet d’un abondant pavé informatif dès le début de son mandat.

Alors, trois années après sa prise de fonction et son installation dans le fauteuil du premier des élus de la capitale de l’Yonne, il n’y a donc rien d’étonnant à ce que le maire-président s’exprime en s’adressant à la population, tant de manière scripturale via une « Lettre aux Auxerrois » de quatre pages en version grand format reçue il y a quelques semaines dans les boîtes postales des habitants, ou de manière orale lors d’un exercice public, décliné en neuf actes dans la ville, les « Rendez-vous avec Crescent ». Un nom de code qui supposerait presque une part d’intimité relationnelle dans ces échanges avec l’interlocuteur !

 

S’il ne se passe rien, alors on ne dit rien !

 

« Expliquer ce que nous sommes en train de faire et non pas nous projeter sur ce que l’on pourrait faire d’ici deux à trois ans » permet de comprendre cette envie d’informer tous azimuts d’un Crescent MARAULT jusque-là disert sur sa politique. D’une part, il est (grand) temps de tirer les premiers enseignements des projets initiés  par son équipe après trois ans de gouvernance. D’autre part, il est judicieux pour l’élu de l’Yonne, de reprendre la main sur ce volet, coupant ainsi l’herbe à toutes les supputations et autres rumeurs, et de dire ainsi « comment se font réellement les choses de manière concrète sur le terrain ».

Un peu comme si Sherlock HOLMES nous gratifiait de sa célèbre formule, « Elémentaire mon cher WATSON ! », sous la plume de Sir Conan DOYLE.

Méthodique et réfléchi, Crescent MARAULT l’est visiblement jusqu’au bout de ses relations publiques ! « Vous savez, s’il ne se passe rien et que l’on a rien à dire, eh, bien on ne dit rien ! ».

Ce n’est donc pas plus compliqué que cela pour comprendre comment fonctionne l’édile auxerrois dans sa stratégie de « communication/information » !

 

 

 

Chacun des administrés doit avoir accès à une information claire et précise

 

Quant au temps politique, il ne joue jamais en faveur des gens trop pressés et avides de tout savoir, avant les autres – tiens, tiens, on dirait qu’il vise les journalistes ! - : « il faut respecter tout un processus qui nous est imposé autour de la mise en place d’un projet dans une collectivité, avec la construction du projet, sa faisabilité, sa validation, la recherche de son budget, sa validation, sa construction, soit une longue période comprise entre deux et quatre ans… ».

Naturellement, plus le projet est complexe, voire kafkaïen à sa réalisation, plus les délais impartis pour le voir se réaliser et enclencher un début d’information seront longs. De la pure logique donc dans la tête de l’ancien maire de Saint-Georges que « tous les élus ayant exercé le pouvoir savent par essence… ».

D’ailleurs, renchérit Monsieur le maire, « c’est souvent à partir de là qu’il y a une incompréhension totale de la part des citoyens qui ne sont pas au fait de ces modalités de fonctionnement et qui supposent que leur municipalité n’agit pas en conséquence sur les projets puisque rien ne se passe ouvertement ni par voie de presse ni par communication inutile ! ».

D’où l’idée, enfin, d’informer en cette période automnale les Auxerrois sur l’avancée des nombreux dossiers en fonction des étapes intermédiaires.

Au fil des quatre pages de cette lettre, pur produit du service de la communication de l’Agglo, qui devrait en appeler d’autres, si l’on suit le raisonnement du maire de la capitale de l’Yonne, la plupart des items évoqués dans le « Projet de Territoire » sont ainsi abordés en toute transparence grâce à des encadrés explicatifs, agrémentés d’une iconographie abondante et de chiffres à l’appui.

« Le but de ce document est simple, souligne Crescent MARAULT, c’est que chacun des administrés puisse avoir accès à une information claire, précise sur les nombreuses actions entreprises par l’équipe en charge de la gouvernance municipale (et/ou) communautaire… ».

 

Après l’écrit, l’oral pour partager la passion pour Auxerre

 

Du devenir de l’abbaye Saint-Germain au développement de la transition mobilité via l’essor du vélo ou du covoiturage, de l’innovation favorisant la transition écologique au changement des 2 300 points lumineux de la ville, sans omettre le renouvellement de l’offre commerciale sur trois ans ou la réhabilitation des logements qualificatifs permettant de revitaliser le cœur de ville : rien ne manque dans cet inventaire non exhaustif qui éclaire sur la nouvelle attractivité que souhaite impulser la gouvernance actuelle. Parmi les autres grands items abordés : l’enseignement supérieur, la réindustralisation, l’eau ou l’hydrogène, évidemment.

« Tout cela répond à un double objectif, insiste Crescent MARAULT : préserver la qualité de vie de l’Auxerrois et attirer sur ce territoire de nouvelles entreprises et de nouveaux habitants… ».

Le bilan de ce mi-mandat étant couché noir sur blanc sur le papier (un couché brillant du plus bel effet pour les puristes !), il était logique dans cette continuité informative de le commenter ensuite en public, en allant au-devant des habitants des quartiers auxerrois.

A cet égard, neuf rencontres sont ainsi programmées d’ici la mi-novembre pour l’élu d’Auxerre qui entend partager sa « passion » de la gestion de la ville auprès de ses administrés.

Une passion qui l’amène à évoquer les changements visant à améliorer au quotidien la vie des quartiers. Mais, aussi sans langue de bois – ce n’est pas le style du personnage ! – ceux qui peuvent occasionner des doutes et interrogations parmi les esprits chafouins : à l’instar de la suppression de la collecte des déchets en porte-à-porte qui suscite depuis sa validation communautaire à cinq voix près, moult remous parmi l’opposition (c’est son rôle) et des habitants amers qui n’adhèrent pas du tout à ce projet contraignant.

Bref, un exercice d’information sans filet mais pas sans courage que Crescent MARAULT aborde seul ou aux côtés de ses élus municipaux, avec pugnacité et volonté de pédagogie afin de convaincre les plus réfractaires à l’adoption de son « Projet de territoire ». Dans un souci de partage d’idées et d’échanges constructifs selon les règles initiales de la démocratie…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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