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Aux alentours de midi, plus de mille cent vingt-cinq personnes avaient déjà été comptabilisées par les services de la Ville, place de l’Arquebuse, sur le marché couvert. Soit le double de chalands par rapport au vendredi précédent. Pas de doute : et comme ont pu le constater de visu le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, le maire Guy FEREZ et le premier adjoint Guy PARIS, les activités commerçantes reprennent petit à petit du poil de la bête. A la grande satisfaction des professionnels et surtout d’une clientèle avide de refaire ses courses…

AUXERRE: Visite officielle pour les autorités de la Ville ce vendredi matin avec un rayonnant soleil comme témoin ! Soucieux d’observer si les mesures de protections sanitaires étaient rigoureusement appliquées et respectées par les personnes qui fréquentaient le site, les élus d’Auxerre et le représentant de l’Etat se sont rendus place de l’Arquebuse pour y humer l’air ambiant, munis de leurs masques protecteurs.

C’est d’un pas décidé que l’édile d’Auxerre Guy FEREZ, le premier adjoint Guy PARIS et le préfet de l’Yonne Henri PREVOST pénètrent à l’intérieur du marché couvert après s’être entretenus un bref instant avec les vigiles qui assuraient la sécurité à l’entrée de ce lieu marchand.

 

 

Un échange constructif qui permit de recueillir les premières tendances chiffrées quant à la fréquentation des consommateurs sur le coup des douze heures. Plus de 1 125 personnes étaient déjà répertoriées sur le petit calepin que l’agent municipal noircissait au fur et à mesure que les gens entraient dans l’espace couvert.

Une immersion agréable et appétissante au plus près des produits frais, des fruits et des légumes disposés sur les nombreux étals qu’une fois revêtu de l’incontournable masque obligatoire dans un espace public. Un point de distribution de gel hydro-alcoolique attendait également les visiteurs.

 

 

Améliorer le sens de circulation sous l’esplanade de la place de l’Arquebuse…

 

Durant quarante-cinq minutes, les trois personnalités icaunaises allèrent au contact des commerçants ainsi que de leur clientèle afin de les saluer et de les rassurer au vu de ce contexte conjoncturel si particulier.

Certes, quelques points techniques seront encore à améliorer de l’avis de Guy PARIS dans un avenir proche. Pour permettre à la circulation sous l’esplanade de la place de l’Arquebuse qu’elle soit rendue encore plus sûre. Notamment avec l’adoption d’un sens de la circulation repérable grâce à un fléchage au sol à l’appui : cela éviterait que la clientèle ne se croise trop souvent.

 

 

Pour le reste, des barrières métalliques disposées devant les stands des commerces non sédentaires assurent la distanciation physique entre le producteur de fruits et de légumes et le futur acquéreur de ces produits.

Le mot de la fin revint à Guy FEREZ qui au terme de ce parcours se dit « ravi de voir le marché du vendredi aussi fréquenté par les Auxerrois et dans de bonnes dispositions sanitaires… ».

Un sentiment partagé par le préfet qui avait débuté la matinée par la visite d’un établissement scolaire…

 

 

 


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Le délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de la Nièvre et de l’Yonne Claude VAUCOULOUX a choisi nos colonnes pour y publier un long plaidoyer favorable à l’apprentissage. Et aux résultantes qui en découlent en matière d’emplois grâce aux embauches de ces jeunes apprenants. Des embauches ô combien importantes et nécessaires malgré le délicat contexte économique que nous traversons avec la crise sanitaire…

TRIBUNE : « Alors oui, la période que nous traversons est vraiment très compliquée. Alors oui, la somme des problèmes immédiats qu’il nous faut régler est immense. Alors oui, les préoccupations du très court terme l’emportent nécessairement sur des sujets qui peuvent paraître plus secondaires.

Alors oui, lorsque la question du niveau de la masse salariale se pose pour les mois qui viennent, la réponse qui s’impose naturellement ne se trouve pas forcément dans la recherche de jeunes alternants. Et pourtant ! Souvenons-nous du temps pas si éloigné d’ailleurs (c’était il y a seulement quelques mois, même s’il est vrai qu’après les huit semaines de confinement que nous venons de traverser, la notion du temps est devenue plus floue), où nous étions tous désespérément à la recherche de compétences. Voire même parfois, et en désespoir de cause, tout simplement prêts à embaucher la personne qui aurait bien voulu venir travailler chez nous !

Nous nous serions occupés du reste, n’est-ce pas ! Cette situation nous la connaîtrons de nouveau dans un avenir que je nous souhaite le plus proche possible. Cela voulant dire au passage, que nous aurons alors retrouvé notre niveau d’activité nominal et que cette crise sera enfin derrière nous…

 

Intégrer des jeunes gens motivés et diplômés dans les entreprises !

 

Les oracles autoproclamés nous prédisent aujourd’hui que plus rien ne sera comme avant et que tout doit être réinventé. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? L’avenir nous le dira ! Mais, permettez-moi de nuancer le « plus rien », parce que sur un point au moins, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, je suis prêt à parier qu’au premier jour d’un retour significatif des commandes, nous nous retrouverons alors de nouveau face à la même problématique des compétences. Sans doute probablement de façon amplifiée, par les effets du « papy-boom » qui lui, n’aura pas connu la crise !

Pour la prochaine rentrée, c’est-à-dire dès maintenant, le Pôle Formation UIMM 58/89, comme tous les CFA industriels, peut vous présenter des jeunes gens, motivés et prêts à s’engager pour se former à nos métiers, pour des niveaux d’étude allant du CAP au BAC+5.

Alors bien sûr, je sais que vous allez me répondre qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas le moment et que vous verrez ça plus tard… Enfin peut-être… Rassurez-vous, je ne vous demande pas de signer le contrat à la fin de la lecture de cette tribune. Mais, ce que je vous demande absolument, c’est de ne pas vous interdire d’y réfléchir, parce que plusieurs planètes vont s’aligner en ce sens et qu’à défaut qu’elles ne le soient toutes, certaines fenêtres de tir vont néanmoins s’ouvrir suffisamment en grand pour saisir de belles opportunités.

 

 

L’Etat est attendu au niveau de sa mobilisation en faveur des apprentis

 

La dynamique initiée depuis plusieurs années autour de l’apprentissage, notamment industriel, ne peut pas s’arrêter comme ça, d’un coup d’un seul. Il est donc plus qu’évident que tous les acteurs qui gravitent autour de ce sujet vont devoir se mobiliser pour la conforter, voire même l’amplifier. En prenant des initiatives courageuses et déterminées, afin que ne retombe pas, tel un soufflé sorti du four, le début du regain d’intérêt mesuré au fil des quelques dernières rentrées.

Au premier rang de ces acteurs, doit figurer bien sûr l’Etat. Puisque d’abord, ayant fait main basse sur les destinées de la formation professionnelle et de l’apprentissage depuis la promulgation en septembre 2018 de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » dite « avenir », il lui appartient de montrer qu’il est véritablement le leader qu’il a souhaité devenir.

Comment ensuite, imaginer un seul instant qu’il pourrait abandonner l’une des orientations majeures qu’il avait portée et mise en œuvre dès le début du quinquennat. Ce qui constituait une sorte de totem pour l’exécutif.

La Région Bourgogne Franche-Comté, quant à elle, a toujours fait preuve d’une grande sensibilité vis-à-vis de la formation, en particulier pour l’apprentissage. Et bien que dépossédée depuis deux ans d’une prérogative à laquelle elle était très attachée, il y a fort à parier qu’elle saura ici saisir l’occasion de se remettre le pied à l’étrier. Après ce qu’elle considère sans doute encore aujourd’hui comme un camouflet dont elle n’a certainement pas fini la digestion...

 

 

« Pas de contrat, plus d’apprenti… » : cela deviendrait le pire des échecs…

 

Et puis il y a bien entendu les Opérateurs de Compétences (OPCO) qui, à peine mis en place dans le cadre de la loi « Avenir » vont avoir à cœur de montrer qu’ils sont des passages obligés dans un dispositif qui pourtant, à certains égards, peut aujourd’hui laisser à penser aux observateurs avisés, qu’ils constituent plus un alibi paritaire qu’un véritable facteur clé de succès.

Bref, tout cela pour dire que beaucoup sera entrepris pour sauver le soldat apprentissage. Cela passera avant tout par l’instauration de mesures d’ampleur, visant d’une part à la réduction du coût d’un apprenti pour l’entreprise et d’autre part, par une souplesse permettant d’accueillir les jeunes dans les CFA. Dès la rentrée prochaine, quand bien même ils n’auraient pas tout de suite une entreprise d’accueil avec laquelle signer leur contrat.

C’est ici qu’intervient le rôle des employeurs. Car, à l’instar de la formule « pas de bras, pas de chocolat », passé le temps raisonnable de la dispense d’avoir signé le contrat d’apprentissage, nous aurons droit au « pas de contrat, plus d’apprenti ». Ce qui serait alors un terrible constat d’échec !

Echec, tout d’abord, vis-à-vis de notre jeunesse et des parents d’élèves que nous avons eus tant de mal à convaincre de choisir une autre voie que celle d’une formation classique. Mais assurément en second lieu, échec pour les entreprises qui courront le risque de voir ainsi mises à mal des années d’efforts. Echec, enfin, pour l’apprentissage d’une manière générale, dont les détracteurs auront beau jeu de soutenir la thèse d’un dispositif mineur ne valant la peine d’être sauvé.

Alors NON ! Nous savons bien, au contraire, que l’apprentissage constitue et constituera plus que jamais une voie d’excellence pour accéder à la compétence, au diplôme et enfin à l’emploi. Ces emplois qualifiés que nous avons à pourvoir dans nos entreprises, aujourd’hui, demain et après-demain. Nous ne pouvons donc pas laisser s’écrouler ce que nous avons eu tant de mal à construire.

Aussi, chefs d’entreprises industrielles, ne vous interdisez surtout pas de miser sur la jeunesse ! Elle est assurément « LE » pari gagnant pour l’entreprise. Et l’UIMM est à vos côtés pour vous aider à rafler la mise !

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de la Nièvre et de l’Yonne

 


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A peine rouvert depuis le 12 mai après l’interminable période de confinement et voilà que la triste nouvelle s’est déjà répandue très vite par le biais des réseaux sociaux. Le spécialiste des articles de sports d’extérieur a décidé de fermer les portes de sa vitrine commerciale dans peu de temps. Un arrêt qui semble définitif. Il a fait l’objet d’une longue explication de texte dans un communiqué…

AUXERRE : « The end » pour l’enseigne RABASKA ! Elle avait pourtant coutume de faire régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux grâce à ses opérations évènementielles. Des actions que ses deux gérants, Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT, animaient de main de maître !      

La boutique attirait les aficionados des sports extérieurs dits OUTDOOR (running, trail, randonnée, etc.). Elle ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir malgré sa réouverture ce mardi 12 mai après une longue période de léthargie imputable à l’épidémie de coronavirus.

Sur leur page Facebook, les deux co-gérants de la structure apparue à Auxerre en 2018 expliquent longuement cette décision mûrie et réfléchie : elle n’est pas la résultante directe de l’infection virale qui sévit à l’heure actuelle sur la planète.

Interrogé sur cet état de fait, Vincent DUPUIS n’a pu que confirmer cette information de très mauvais augure pour une enseigne qui avait réussi à la force du poignet et avec une cote de sympathie grandissante sur les réseaux sociaux de se faire un véritable nom de référence.

« Nous avons subi de plein fouet le mouvement des Gilets jaunes. Puis, celui inhérent aux réformes de la retraite. Maintenant, ce sont les affres du coronavirus qui nous ont obligés à demeurer porte close durant deux mois, constate un brin désabusé Vincent DUPUIS, notre trésorerie n’a pas tenu… ».

Au final, les pertes de la société s’élèvent à 20 000 euros. Malgré un chiffre d’affaires annuel de 250 000 euros. Il en aurait fallu davantage pour sortir l’entité de l’ornière dans laquelle elle se trouvait.

Malgré l’organisation d’évènements de qualité (les championnats de France de bûcheronnage concoctés à Auxerre, la multiplication d’animations sur le parvis du magasin), rien n’y fera. L’ombre du Tribunal de commerce se profilait davantage à l’horizon.

 

 

Une chute qui a débuté au démarrage de la société…

 

Mais, comme l’explique avec souci de transparence Vincent DUPUIS, la véritable cause de cet échec se situe au début de l’aventure des deux professionnels. Ils ouvrirent de manière prématurée leur magasin afin de répondre aux exigences et aux besoins de l’organisateur du CRAZY RACE FESTIVAL. Un évènement de sinistre mémoire dans le landerneau où les deux entrepreneurs s’étaient engagés en qualité de partenaires dans une opération prévue du 07 au 09 septembre 2018. Celle-ci, ayant avorté avant terme, n’eut jamais lieu.

RABASKA, à l’instar d’autres partenaires de renom sur la place auxerroise, consacra une enveloppe budgétaire conséquente à ce projet qui fut rayé du calendrier dix jours avant son échéance et ce, à la surprise générale. Faute d’un quota important du nombre de réservations garantissant la faisabilité de l’animation.

Pourtant, l’enseigne réussit par la suite à devenir l’une des vitrines les plus en vogue au plan national sur son segment d’activité. Multipliant les soirées à thèmes, les conférences, les phases de test d’équipement, et les échanges avec la communauté d’amis sous formes de soirées apéritives.

Mais, le manque de visibilité aura eu raison des appétences volontaristes de l’entreprise. Et surtout plombera sa croissance commerciale.

« A la fin de l’année 2019, précise Vincent DUPUIS, tout fut mis en œuvre pour quitter le secteur où nous étions pour emménager dans la zone des Clairions. Malheureusement, le local que nous avions repéré n’a pas pu nous revenir… ».

De Charybde en Scylla, la scoumoune s’est abattue sur le sympathique duo qui voyait ses pertes s’envoler au fil des mois malgré un fonctionnement correct de la boutique.

Désormais, en attendant la fermeture définitive d’une vitrine qui manquera cruellement au milieu sportif local, une procédure opératoire a été mise en place pour assurer sa fréquentation pendant cette sortie progressive du confinement.

Avant que ne survienne l’inexorable couperet…

 

 

 


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Faire le choix d’une mobilité agile et respectueuse de la distanciation sociale intègre les priorités stratégiques de la plus ancienne marque de deux-roues motorisés au monde encore en activité. Face à la crise sanitaire qui demeure persistante dans l’Hexagone, la solution de mobilité idéale est incontestablement le deux roues pour assurer ses déplacements. Des solutions de financement existent afin d’en faciliter leurs acquisitions. Dont le dernier-né électrique conçu par le fabricant, le Peugeot e-Ludix…

PARIS : Le postulat est simple : pour optimiser au maximum sa sécurité lors de ses déplacements, il est nécessaire d’utiliser un mode de locomotion qui soit adapté au contexte environnemental de l’instant.

C’est-à-dire permettre la distanciation sociale. Et peut-être s’abstenir d’emprunter les transports collectifs qui ne sont pas encore à 100 % de leur capacité du fait de l’absence de leur personnel, et trop perméable à la promiscuité entre les voyageurs.

L’une des solutions qui devrait prendre de l’ampleur d’ici les prochaines semaines, notamment dans les zones urbaines, sera l’usage des deux-roues motorisés en guise de transport individuel. C’est déjà le cas à Paris. Mais, cela le deviendra également dans les villes de province.

Alors que le gouvernement préconise la marche à pied et l’usage du vélo pour se rendre sur son lieu de travail, il apparaît comme une évidence que le scooter possède de très beaux lendemains devant lui.

D’autant que 60 % de nos concitoyens effectuent journellement des trajets pour se rendre dans leur entreprise distante de moins de cinq kilomètres de leur domicile.

Bref, autant d’arguments positifs qui ont su faire tilt chez l’un des concepteurs de ces petits engins aux caractéristiques très impressionnantes : Peugeot Motocycles.

Rappelons que les modèles de scooter 50cc sont aisément accessibles via une formation BSR pour les pilotes âgés de moins de dix-huit ans. Leur conduite ne nécessite pas de permis spécifique. Quant à la gamme supérieure, les 125cc, ils requièrent pour leur maniement une formation de sept heures avec les permis auto, ou ceux des catégories A1, A2 et A4.

L’un des fleurons à l’estampille du constructeur national, le scooter 3 roues développant 400cc, le fameux « Métropolis », se pilote avec le permis auto. Notons qu’il offre des conditions de stabilité optimale y compris pour les béotiens en la matière.

 

 

L’électrique est tête de liste des nouvelles préconisations…

 

Reste l’électrique. Et dans ce domaine, Peugeot Motocycles dispose également des atouts pour satisfaire les demandes consuméristes de ses prospects. La version « e-Ludix » vient à peine d’incorporer la gamme que déjà elle intègre le dispositif mis en place par le gouvernement qui alloue une prime de 400 euros pour aider à son acquisition.

Un coup de pouce qui est compatible avec les aides des régions et des communes éligibles au dispositif qui facilite l’équipement en véhicule électrique.

En outre, le fabricant proposera une offre de leasing à 99 euros par mois dès que l’objet de toutes les convoitises arrivera en concession dans les semaines à venir. Ces offres concerneront aussi bien la clientèle de particuliers que les professionnels soucieux de franchir le pas.  


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C’est un appel au bon sens et à la démocratisation d’un mode de transport simple, bon marché et écologique que vient de réaliser la liste de rassemblement écologiste, sociale et citoyenne conduite par Florence LOURY et Denis ROYCOURT à l’attention du président-maire Guy FEREZ. Profitant de la sortie de crise progressive après le confinement, les deux leaders du mouvement pro-environnemental demandent à l’édile d’Auxerre d’adopter en urgence un plan favorable à l’essor du cycle…

AUXERRE: Et si les grands gagnants de l’après crise sanitaire au niveau de la mobilité se nommaient les deux-roues ? Pas ceux, vrombissant et pétaradant avec de gros cylindres motorisés qui affolent le plus souvent les compteurs, mais bel et bien ce bon vieux vélo qui pourrait reprendre ses lettres de noblesse comme au temps jadis.

C’est en tout cas la piste préconisée par la liste écologiste conduite par Florence LOURY et Denis ROYCOURT (« Auxerre Ecologie La Ville envie ! ») qui se rappelle à notre bon souvenir (et surtout à ceux de l’édile de la capitale de l’Yonne Guy FEREZ) en lui adressant une lettre ouverte.

Envoyée le 12 mai, cette missive des plus officielles invite l’élu président de la Communauté de l’agglomération de l’Auxerrois à être réactif et à profiter des aides de l’Etat, et en substance celles mises en place par la Région, pour accroître la promotion de la bicyclette dans le cadre d’un plan « vélo ».

Arguments majeurs abordés par les deux cosignataires de cet écrit : « la politique du tout voiture a montré ses limites tant pour le climat (gaz à effet de serre) que pour la santé (oxydes d’azote, particules fines nocives qui se logent dans les poumons), sans omettre les nuisances sonores liées à la prolifération du trafic automobile… ».

A leur crédit, les écologistes ont proposé depuis plusieurs années des solutions allant dans ce sens. Grâce à des parkings relais, des navettes électriques, la gratuité des transports en commun, l’incitation au co-voiturage. Voire le nouveau plan de circulation de la ville ou ceux déclinés en entreprise.

 

Un plan d’urgence pour réhabiliter le cycle en ville…

 

Pour Florence LOURY et Denis ROYCOURT, « le vélo est très adapté pour se déplacer en ville ». Alors que le ministère de la Transition écologique et solidaire vient de budgéter une enveloppe de vingt millions d’euros affectée à la pratique de la « petite reine » dans l’Hexagone, le tandem d’Auxerre Ecologie s’engouffre dans cette voie « verte » à 100 %.

Ce plan ministériel prévoit en effet des aides aux collectivités locales dans l’aménagement de pistes cyclables et la création de parkings dédiés. En outre, un forfait d’une valeur de cinquante euros est destiné aux particuliers qui assureraient ainsi la remise à neuf de leur bicyclette auprès d’un réparateur agréé.

Bref une double opportunité dont la Ville d’Auxerre et la Communauté d’agglomération doivent bénéficier selon les auteurs de ce courrier.

Comment s’articulerait alors ce fameux plan « vélo » préconisé par les deux figures du mouvement écologiste local ?

Très simple, en vérité ! Considérant que tout déplacement de moins de cinq kilomètres peut s’effectuer de manière raisonnable à bicyclette, Florence LOURY et Denis ROYCOURT optent pour la création de pistes cyclables sécurisées, des stationnements provisoires, l’augmentation de l’offre de vélos à assistance électrique en location, le prêt des cycles pour les personnes les plus démunies, des pistes cyclables à concevoir entre Auxerre et les autres communes du bassin de l’Auxerrois ou encore l’adoption d’un forfait « mobilités durables » réservé aux employés de la CC et de la Ville.

Tout cela serait abondamment relayé par une campagne publicitaire de grande envergure afin de populariser l’usage du cycle dans notre environnement.

Les aides financières ne seraient pas omises de ce copieux programme. Notamment celles attribuées par la Ville et l’agglomération pour tout achat d’un vélo à assistance électrique. Des appareils plus onéreux que la normale…

Quant à la Maison du Vélo, elle interviendrait en qualité de partenaire pour répondre à l’offre de subvention du ministère de la Transition écologique et de la solidarité lors de la remise en état de son engin.

 

 

Des pistes de réflexion que devrait étudier l’édile d’Auxerre…

 

On le voit : ce plan visant à démocratiser un peu plus le cycle dans ses usages du quotidien tel qu’il a été imaginé par Auxerre Ecologie est plutôt bien huilé. On sait aujourd’hui que bon nombre d’élus de l’Hexagone vont privilégier ce moyen de locomotion bon marché et non polluant dans la gestion de l’après-crise.

En adressant cette lettre ouverte au principal intéressé, le maire-président Guy FEREZ, les chefs de file d’Auxerre Ecologie veulent faire bouger les lignes favorablement pour la vulgarisation de la bicyclette.

Un moyen de mobilité aux multiples avantages dont pourrait bénéficier le plus grand nombre des administrés du bassin de l’Auxerrois. Une piste de réflexion que ne manquera pas d’analyser et étudier l’édile d’Auxerre…

 


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