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Un communiqué de presse émanant de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Bourgogne Franche-Comté en appelle aux responsabilités de chacun. Le document invite les auteurs des arrêtés municipaux à se ressaisir au plus vite. Respecter le confinement représente un enjeu prioritaire alors que la vague de malades déferle sur les centres hospitaliers de notre territoire…

DIJON (Côte d’Or) : L’Agence Régionale de Santé (ARS) ne comprend pas l’attitude polémique de plusieurs maires de notre contrée qui ont manifesté leur soutien aux commerces non-essentiels, aujourd’hui fermés par décision du décret gouvernemental daté du 29 octobre.

L’organisme sanitaire s’est donc fendu d’un communiqué de presse succinct mais très évocateur sur la situation afin de dénoncer toutes les mesures qui visent à fragiliser le respect du confinement.

Et par effet gigogne d’augmenter l’ampleur de cette nouvelle déferlante qui s’abat sur les services de réanimation des hôpitaux de Bourgogne Franche-Comté, déjà saturés.

Le document rappelle que « ce sont des milliers de vie qui sont désormais en jeu dans cette course effrénée contre le coronavirus ».

L’ARS déplore que « le débat public ne se soit presque exclusivement focalisé que sur les polémiques consternantes à la faveur de quelques arrêtés municipaux aussi clientélistes qu’illégaux, au risque de perdre de vue l’enjeu vital que constitue la réussite du confinement ».

Et le communiqué de presse de poursuivre en précisant que « si de nombreux établissements recevant du public étaient aujourd’hui fermés, cela n’était ni dans une logique de sanction à l’égard des commerces non-essentiels, ni de stigmatisation de leurs activités, mais bien dans l’objectif de réduire drastiquement toutes les occasions de contacts propices aux contaminations… ».

Une manière de remettre les points sur les « i » de la part de l’organisme régional. Des arguments suffisants pour calmer la colère des commerçants concernés et des élus mobilisés ?

 


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L’achat d’automobiles s’inscrivant dans la droite ligne de la transition énergétique et de la mobilité électrique progresse de très belle manière dans notre pays. Depuis le 01er janvier 2020, ce sont plus de 116 000 véhicules qui ont ainsi été immatriculés. Soit un solde positif de 80 000 de mieux par rapport à l’année dernière à la même période…

DIJON (Côte d’Or) : S’il y a bien un domaine où la crise ne vient pas ternir le tableau des réalisations commerciales, c’est bien celui des véhicules électriques et hybrides !

Qu’on se le dise, mais ces purs produits de la mobilité newlook et durable ont le vent en poupe. Comme le confirment les récentes statistiques dévoilées par le baromètre de l’AVERE France, l’association nationale pour le développement de la mobilité électrique.

Depuis le début de l’année, il s’est écoulé 116 588 unités sur le marché français. Soit une progression exponentielle intéressante puisque frisant avec les 80 000 véhicules de mieux que la saison dernière à pareille époque. En septembre, les véhicules électriques et hybrides affichent une hausse de…206 % !

 

 

De quoi satisfaire la déléguée générale de l’AVERE France, Cécile GOUBET, intervenante lors de la récente Journée de la Mobilité électrique à Dijon, le « E Day ».

« Avec plus de 18 500 immatriculations en septembre, les véhicules électriques et hybrides donnent le ton et montrent à celles et ceux qui en doutaient encore qu’ils n’ont plus la vocation de jouer les seconds rôles…. ».

Rien que sur le mois dernier, c’est une part de marché de 9 % qui a été octroyée par ce segment de plus en plus dynamique du secteur automobile.

Une hausse impressionnante que les seules aides à l’achat ne peuvent expliquer….

 


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La préfecture de l’Yonne n’aura pas tardé à réagir à la décision de l’édile de Migennes d’autoriser l’ouverture des commerces non-alimentaires sur sa commune. « Un maire ne peut pas prescrire par arrêté municipal des règles contraires à un texte de portée générale pris par le gouvernement… ». Moyennant quoi, François BOUCHER se voit dans l’obligation de retirer au plus vite son arrêté sous peine d’illégalité…

AUXERRE : L’affaire fait aujourd’hui tache d’huile bien au-delà des simples frontières régionales. Provoquant l’intérêt des médias nationaux qui relatent ce vent de fronde impulsé par certains élus contre le décret gouvernemental applicable sur l’ensemble du territoire en matière d’ouverture des commerces. Des élus, en grande majorité issus du rang des Républicains à l’instar du maire de Migennes, François BOUCHER.

Or dans le cas présent, la réaction de la préfecture de l’Yonne ne s’est pas fait attendre dès réception de l’arrêté municipal en date du 29 octobre paraphé par le conseiller départemental.

Profitant d’une intervention téléphonique avec la presse, ce vendredi en fin d’après-midi, le préfet Henri PREVOST a procédé à une mise au point s’avérant très catégorique et sans aucune ambiguïté. Le représentant de l’Etat invite l’élu de Migennes à faire machine arrière en retirant de manière immédiate son texte officiel diffusé via la page Facebook de la ville.

En outre, le préfet de poursuivre que « les commerces non-alimentaires demeurant ouverts malgré l’application du décret gouvernemental se placeraient ainsi dans l’illégalité ». Le haut-fonctionnaire a par ailleurs ajouté que « les commerçants étaient dans l’obligation d’appliquer les mesures nationales ».

 

 

Une situation complexe qui ne laisse pas indifférent le préfet…

 

Sollicités lors d’opérations de contrôle sur le terrain, les forces de l’ordre ne manqueraient pas de verbaliser les commerçants réfractaires à la décision nationale. Celle-ci ne pouvant être remise en cause par un arrêté pris par un maire. Il en coûterait alors 135 euros aux professionnels lors d’une première contravention. Beaucoup plus, en cas de récidive.

Le préfet de l’Yonne s’appuie sur le texte officiel du gouvernement pour légitimer sa position : « Le décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de COVID-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire a posé les règles applicables sur l’ensemble du territoire en matière d’ouverture des commerces en définissant la liste des activités autorisées à accueillir du public ».

Toutefois, le représentant de l’Etat n’est pas indifférent à la situation complexe vécue par les commerçants. Il a rappelé que « le décret du 29 octobre a également précisé que peuvent être maintenues les activités de livraisons et de retrait des commandes ». Sont concernés par cette démarche la plupart des commerces mais aussi les restaurants tels que l’a défini l’article 40.

 


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On connaissait le commerce équitable. L’édile Les Républicains de Migennes invente, quant à lui, le concept de « l’équité du traitement commercial » ! Publié dans la soirée sur la page Facebook de la localité icaunaise, l’arrêté municipal autorisant l’ouverture des commerces non-alimentaires, signé de la main de François BOUCHER, pointe les disparités existantes entre la grande distribution et les boutiques de proximité qui ne sont pas traitées à la même enseigne en cette période de confinement…

MIGENNES : C’est un sacré pavé dans la mare que vient de jeter le maire de Migennes dans le microcosme économico-institutionnel de l’Yonne. Malgré la période de confinement, il a autorisé l’ouverture des commerces non-alimentaires de sa commune.

Evoquant le principe de l’égalité de traitement entre tous les commerces, François BOUCHER ne s’est pas fait prier pour parapher un arrêté qui offre l’opportunité auxdits commerces, qui ne sont pas autorisés par le gouvernement à ouvrir jusqu’au 01er décembre, de poursuivre tout bonnement leurs activités. Comme si de rien n’était, en somme ! Et cela en marge du décret officiel publié jeudi soir par l’exécutif !

A sa lecture, le document est sans équivoque sur les intentions de l’élu qui montre du doigt ce que beaucoup d’observateurs nationaux ne cessent de constater depuis la connaissance du décret via des médias interposés : la concurrence exacerbée entre les circuits de la grande distribution qui demeurent opérationnels durant cette période de sinistrose économique et les commerces de proximité, bannis du système en devenant hors-jeu.

Les arguments avancés par le maire de Migennes ont le mérite d’être clairs et interrogatifs sur la pertinence des choses.  Dans cet arrêté qu’il a transmis au représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, mais aussi à la directrice générale des services de la mairie de Migennes et au responsable de la police municipale, François BOUCHER considère que « les attendus de ce décret gouvernemental créent une pratique commerciale déloyale contraire aux décisions annoncées par le président de la République ».

 

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Ne pas appliquer un décret défavorable envers les petits commerces

 

En second lieu, la non-fermeture des grandes surfaces entraîne une rupture d’égalité de traitement entre les supermarchés, les hypermarchés et les petits commerces non-alimentaires. De surcroît, les rayons non-alimentaires et non-essentiels (quelle est réellement la définition exacte d’un commerce non-essentiel par ailleurs ?!) n’étant pas fermés dans la GMS, cela pénalise les boutiques indépendantes qui ne peuvent que souffrir comptablement de cette situation.

En résumé, le maire de Migennes ne veut pas que s’applique sous cette forme cette règle défavorable envers les petits commerçants du centre-ville. Des entrepreneurs qui sont déjà en souffrance économique depuis pas mal de temps.

Quant à la durée de cet arrêté, elle n’est pas précisée en fonction d’une date. Plutôt selon la phase évolutive de la situation, c’est-à-dire « jusqu’à ce que l’égalité de traitement soit rétablie ».

 

 

Jouant les « chevaliers blancs », François BOUCHER se place toutefois en position très délicate avec la publication de cet arrêté qui ne correspond pas à la légalité étatique.

Une protestation véhémente qui pourrait le conduire à mener un véritable bras de fer avec la préfecture. Voire à disputer une toute autre bataille, cette fois, devant le tribunal administratif.

Quant aux commerçants qui seraient irrespectueux du décret gouvernemental, ils s’exposeraient alors à une contravention de 135 euros qui pourraient ensuite augmenter de manière exponentielle en cas de persistance.

Dans tous les cas, la décision rebelle de François BOUCHER a déjà eu le mérite de faire beaucoup de bruit dans le landerneau : d’autres élus lui ont donné leur soutien. Une nouvelle fronde contestataire en perspective ?

Thierry BRET

 


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L’Hôtel de Ville de la sous-préfecture de l’Yonne présente une nouvelle fois un signe de deuil et de recueillement sur sa façade quinze jours après le tragique assassinat ayant couté la vie du professeur d’histoire/géographie de Conflans-Sainte-Honorine Samuel PATY.

SENS: Dès l’annonce du triple meurtre de la basilique Notre-Dame, perpétré jeudi en début de matinée au centre de Nice, l’édile de Sens et présidente de la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais Marie-Louise FORT a pris la décision de placer les drapeaux tricolores ornementant l’hôtel de ville en berne.

Un geste symbolique et solidaire montrant son soutien ainsi que celui du conseil municipal et des citoyens sénonais aux habitants de la grande métropole de la Côte d’Azur, une nouvelle fois touchée en plein cœur avec l’accomplissement de cet acte odieux.

Dans un bref communiqué, Marie-Louise FORT fait part de ses émotions en rappelant que « notre sol est à nouveau frappé par une horreur indicible ». L’élue de l’Yonne salue la mémoire de ces « deux femmes et un homme qui ont perdu la vie, victimes de la barbarie et de la lâcheté, attaqués à l’intérieur de cette basilique ».  

Un lieu de paix, d’ordinaire dédié au recueillement…et du souvenir.

 

 


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