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Le personnage était truculent. Entier, humaniste et généreux. Déjeuner en qualité de journaliste à la table du maître nécessitait de prendre son temps et de chambouler son agenda de l’après-midi. Même si l’hôte qui vous accueillait avec sa faconde habituelle dans cet antre de la gastronomie que représentait « L’Espérance » (triple étoilé au Michelin) promettait de faire vite. Au détour de quelques plats de sa composition, si simples à ses yeux mais savamment cuisinés. Hommage à ce génie créatif des fourneaux…

SAINT-PERE-SOUS-VEZELAY : Déjeuner à la table de cet autodidacte de la gastronomie française en sa compagnie et de son épouse Françoise supposait impérieusement de ne pas avoir à consulter sa montre pendue à son bras !

D’une part, l’homme, perfectionniste dans l’âme, était d’une rigueur ponctuelle rare et ne supportait pas le moindre retard occasionné lors de ces rendez-vous épicuriens, même s’il fût justifié de quelconques impondérables survenant sur la route.

D’autre part, disserter avec lui de l’avenir de sa grande maison, de politique, de la France, de la vinification de ses vignes ou de sa profonde amitié avec Serge GAINSBOURG qu’il considérait comme son « frère » supposait nécessairement avoir du temps devant soi.

Et aujourd’hui, à l’annonce officielle de son départ définitif sous d’autres cieux plus cléments qui n’assombriront plus les dernières années de sa vie, perturbée par la liquidation judiciaire de sa maison et la maladie, ces instants de bonheur partagés autour de l’une de ses savoureuses spécialités n’en sont que plus réjouissants. Appétissants, aussi, tant pour l’estomac que pour l’esprit.

 

 

Du rêve et de la magie au fond de l’assiette…

 

Subtil, tout en finesse dans ses propos lorsqu’il réécrivait l’histoire, la sienne et celle des autres, Marc MENEAU se dégustait comme l’une de ses succulentes recettes. Sans modération et avec beaucoup de gourmandise. Passionné et passionnant, il vous embarquait après le troisième ou quatrième plat vers des réflexions pertinentes où le temps ne possédait plus d’emprise sur le repas. Lui qui avait côtoyé les plus grands (François MITTERRAND, Helmut KOHL, Mstislav ROSTROPOVICTCH…). Lui qui savait d’où il venait. Lui qui a apporté une nouvelle coloration chatoyante à la gastronomie française. Voire universelle.

Triplement étoilé par la fameuse institution Michelin, cet Avallonnais avait su redonner ses lettres de noblesse à l’artisanat et aux métiers de bouche. Conférant à cette cuisine dont il avait appris les fondements dans les livres une dimension exceptionnelle. Il suffisait de se régaler de ces célébrissimes « huîtres en gelée d’eau » ou de goûter le « cromesquis de foie gras » pour se sentir pousser des ailes !

Inventif, débordant d’imaginaire pour concocter des mets dont il était le seul  à posséder les secrets, esthète des arts de vivre, cet auguste personnage avait su créer à « L’Espérance » une ambiance particulière, faite de douceur et d’onirisme qui réchauffait les cœurs. Utilisant à bon escient les plantes et les légumes issues de son jardin pour en agrémenter ses plats.

 

 

Un chef d’entreprise auréolé par de nombreuses distinctions…

 

Ses titres de gloire sont multiples. Meilleur cuisinier français de l’année 1983, auréolé par le Michelin, nous l’avons dit, et le Gault et Millau avec la mirifique note de 19 sur 20, Marc MENEAU avait été promu chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, avant de recevoir une autre distinction du même acabit : le titre de chevalier de l’Ordre national du Mérite. Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur en 1998.

Le 13 octobre 2014, Françoise, son épouse, eut l’honneur de se voir remettre les insignes de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur des mains de Paulette LAUBIE, présidente du Conseil européen des Femmes et Entreprises.

Avec son fils, Pierre, Marc MENEAU essaiera en vain de sauver ce vaisseau amiral que fut en son temps « L’Espérance », confronté à un endettement exponentiel et à un avenir de plus en plus incertain.

La perte de ses étoiles lui asséna un sérieux coup. De même que la liquidation judiciaire qui condamna de manière définitive sa société en 2015.

A 77 ans, le grand chef a donc éteint pour la dernière fois ses fourneaux. Parti trop tôt vers cette voie Lactée des grandes toques culinaires qui accueille désormais Joël ROBUCHON, Paul BOCUSE ou Pierre TROISGROIS. Le paradis des cordons bleus pour l’éternité…

Thierry BRET

 

 

 


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Tristesse et désolation se sont abattues sur les épaules déjà endolories des professionnels de la restauration de l’Yonne. Ils ne comprennent plus vraiment le sens pratico-pratique des décisions gouvernementales avec ces fermetures répétitives qui nuisent à leurs chiffres d’affaires et à la pérennité de leurs entreprises. Combien de ces artisans passeront le cap de cette fatidique année 2020 ? Nul ne le sait à ce jour…

AUXERRE : Il est au bord des larmes, le président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH). Sa voix tremble. Son regard se trouble derrière ses lunettes légèrement embuées. Mais, sa détermination demeure intacte pour continuer le combat. Surtout lorsqu’il évoque le contexte ubuesque et absurde dans lequel sa corporation est tombée. De Charybde en Scylla !

Tout le monde à Auxerre connaît pourtant la bonhommie et la joie de vivre habituelle de ce chef d’entreprise, un garçon qui exprime à cette heure sa colère froide devant la foule, rassemblée sur le parvis de la préfecture de l’Yonne.

Chaleureux, enthousiaste, plaisant : Eric MOUTARD n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même. Mal à l’aise devant ce public d’artisans tout aussi malheureux que lui et d’une tristesse incommensurable. A faire pleurer dans les chaumières…

 

 

 

Affecté au plus profond de son corps et de son âme, le président de l’UMIH 89 l’avoue humblement avec ses mots qu’il peine à prononcer : il a failli mourir. Victime de cette saloperie virale qu’il a contractée et qui aujourd’hui le consume jusque au cœur de son entreprise. Sa raison de vivre professionnelle : sa brasserie, place des Cordeliers, qui présente désormais portes closes. Depuis de trop longues semaines à ses yeux, des jours et des jours de fermeture qui ressemblent à une éternité. Une petite « mort » en vérité…

 

 

Du travail et la réouverture des restaurants, un point c’est tout !

 

Alors quand Olivier TRICON, le président de la CPME de l’Yonne, présent à ses côtés, lui transmet tel un relayeur le temps de parole qui lui incombe, Eric MOUTARD se lâche. Sans fioritures et sans rond de jambes : il n’en peut plus de souffrir en silence depuis des mois.

Lui, les aides de l’Etat, il s’en moque éperdument. Ce qu’il veut en guise de revendications est beaucoup simple à comprendre : du travail ! L’ouverture de son établissement « Le Biarritz » sine die et non pas aux calendes grecques comme le prévoit le calendrier gouvernemental à partir du 20 janvier si les conditions sanitaires le permettent pour qu’enfin il puisse renaître de ses cendres, tel le Phénix qu’il est d’ordinaire.

 

 

Du travail pour vivre et redonner espoir à toute une population qui est à bout. Voilà ce que réclame haut et fort le porte-parole de l’UMIH derrière sa banderole. A ce jour, 40 % de son chiffre d’affaires se sont déjà envolés dans les limbes des pertes inéluctables. Triste à pleurer, avons-nous dit…et ce n’est pas fini.

Thierry BRET

 


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Les cibles soutenues correspondent aux personnes les plus fragiles de notre société. Des mires hétéroclites parmi lesquelles s’ajoutent les générations futures. Celles qui doivent retourner à l’école. Celles qui sont en quête d’un emploi. Celles aussi qui ont opté pour un retour à la vie active par le prisme de l’insertion. Celles, enfin qui se reconnaissent dans les valeurs vertueuses de l’économie circulaire. EDF, c’est sûr, ne s’est pas trompé d’objectif dans son engagement éco-citoyen altruiste…

DIJON (Côte d’Or) : Le montant total de l’intervention s’élève à 72 000 euros pour la région Bourgogne Franche-Comté. Une somme rondelette que se répartissent une douzaine de projets issus du milieu associatif.

Obtenue grâce au Fonds d’urgence et de solidarité COVID-19 géré par la Fondation EDF, cette manne financière n’a rien de providentielle. Elle favorisera, en substance, des opérations solidaires en faveur du retour à l’école, vers l’emploi, dans l’insertion et la promotion de l’économie circulaire.

Bref, c’est une aide précieuse qui arrive à point nommé pour faire face aux effets de la crise sanitaire et sociale qui affecte durablement notre territoire. Le premier producteur d’électricité de France ne pouvait rester inactif devant ce contexte si particulier qui aura, d’une certaine manière, anéanti bon nombre de velléités de la vie associative et économique cette année.

Lancé le 10 juillet dernier, le Fonds de solidarité pour pallier les fragilités et encourager la relance de l’activité en France, y compris à l’international, aura un semestre plus tard déjà répondu aux attentes initiales.

 

Près de 60 000 bénéficiaires peuvent dire merci à la fondation !

 

A l’heure du bilan, certes encore liminaire en ce mois de décembre, ce sont 89 projets d’associations évoluant dans l’Hexagone mais aussi ailleurs dans le monde (Inde, Kenya, Mozambique, Pérou…) qui bénéficie du million d’euros dont est doté ce fonds. Une démarche soutenue par le mécénat territorial et international.

Aujourd’hui, ce sont près de 60 000 bénéficiaires qui ont pu reprendre le chemin de l’école, effectuer leur retour à la vie active ou développer des projets favorables à une société durable et solidaire.

Ainsi, dans notre région, le groupe EDF, par le biais de sa fondation, a décidé de s’investir aux côtés des clubs Convergences. En offrant tout bonnement un soutien scolaire à des jeunes en difficulté.

Mais, le retour à l’emploi représente un autre item où le distributeur d’énergie a su faire montre de sagacité. L’accès à une forme durable d’autonomie, l’insertion sociale et le soutien à la qualification intègrent les priorités.

Prenons l’exemple de l’association Genèses. Le groupe EDF a décidé d’y jouer un rôle bienveillant en favorisant l’insertion sociale et professionnelle de jeunes gens, considérés comme vulnérables, par le développement du travail au sein d’une micro-ferme.

 

Un soutien inconditionnel à l’économie circulaire…

 

Chez Humanity, cette intégration se rapporte aux personnes issues de l’immigration, exilées et réfugiées en France, en leur redonnant le goût de vivre grâce à des stages en immersion dans un centre agro-écologique.

Enfin, le dernier exemple concerne l’association « Les Invités au festin ». Où la Fondation EDF n’a pas ergoté pour contribuer avec son obole à l’insertion professionnelle de personnes psychologiquement fragilisées afin que ces dernières se sentent plus épanouies dans la société.

L’encouragement de nouveaux modèles économiques, et en particulier l’économie circulaire, interpelle les représentants de la Fondation EDF. Favoriser la production locale, créer de l’emploi de proximité  et soutenir toutes sortes d’initiatives judicieuses en ce sens se sont manifestés par une aide destinée à TRIVIAL COMPOST à Besançon.

La structure achemine à vélo électrique les bios déchets des restaurateurs vers de petits sites de compostage locaux. Une idée insolite et lumineuse qui aura séduit les responsables du groupe EDF !

Thierry BRET

 


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Auxerre et Sens ne sont plus les seules des agglomérations d’importance de l’Yonne à devoir adopter le port du masque rendu obligatoire dans leurs cœurs de ville. Un nouvel arrêté préfectoral en date du 04 décembre s’applique désormais à d’autres localités : Avallon, Joigny, Migennes, Saint-Florentin et Tonnerre. Preuve manifeste que l’épidémie connaît une surprenante recrudescence à quelques semaines de Noël…Inquiétant.

AUXERRE : Compte tenu des résultats négatifs observés à l’heure actuelle autour de la propagation de la COVID-19, le préfet de l’Yonne n’avait d’autres alternatives que de réagir. Vite et avec pragmatisme.

Un nouvel arrêté est entré en vigueur ce vendredi 04 décembre. Le texte préfectoral oblige désormais celles et ceux qui se déplacent dans les limites de l’acceptable eu égard aux conditions imposées par le confinement dans les cœurs de ville de se munir obligatoirement d’un masque.

Une mesure contraignante pour la qualité d’une saine respiration mais ô combien nécessaire dans le but de se protéger et de préserver les autres que les Auxerrois et les Sénonais connaissent bien.

Les habitants des deux agglomérations de l’Yonne pratiquent cet exercice de sauvegarde sécuritaire depuis plusieurs semaines dans la plupart des rues qui composent leur centre-ville.

Dorénavant, cinq autres localités devront s’y conformer. Il s’agit d’Avallon, de Joigny, de Migennes, de Saint-Florentin et de Tonnerre. Des villes qui enregistrent des hausses dans le nombre de cas de contamination.      

Se référant aux derniers avis de l’Agence régionale de Santé (ARS), Henri PREVOST rappelle que le port du masque concerne toutes personnes âgées de onze ans et plus susceptibles de déambuler, avec des motifs circonstanciés et autorisation de sortie, dans les rues de ces villes.

Vécu pour beaucoup comme une contrainte, le port du masque n’en demeure pas moins l’élément névralgique majeur de ces gestes barrières qui empêchent le coronavirus de circuler librement autour de nous.

Leur acceptation et leur respect relèvent de la prise de conscience et de la responsabilité de chacun. Au nom de la citoyenneté et de l’esprit d’altruisme envers autrui.

 


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Pour le Jura, le manque à gagner s’élèvera à plus de dix millions d’euros. Dont 30 % se réalisent aux vacances de Noël. La fermeture des 139 remontées mécaniques qui font la joie d’ordinaire de plus de 632 000 skieurs sonne le glas pour la filière cette saison. La Franche-Comté, à l’instar d’autres territoires de montagne, n’avait pas besoin de cela : solidaire, la Région le fait savoir !

DIJON (Côte d’Or) : La nouvelle est proprement catastrophique tant au plan humain qu’économique. La fermeture des remontées mécaniques dans nos massifs montagneux prive les adeptes de ski alpin de leurs plaisirs de détente et d’évasion.

Et ce jusqu’à nouvel ordre, c’est-à-dire le 20 janvier 2021.

Date à laquelle sera réévaluée par le gouvernement la possibilité ou non en cas de persistance du coronavirus de pratiquer sa discipline hivernale préférée : le ski de descente.

Pour l’heure, deux des départements de Bourgogne Franche-Comté sont directement impacté par ces décisions. Ils tentent tant bien que mal de panser leurs plaies : le Jura et le Doubs.

Le Jura dispose de nombreuses pistes sur ses versants. Le territoire voit ainsi l’activité de cinq cents personnes se réduire à peau de chagrin. Tandis que plusieurs milliers de familles qui vivent indirectement ou directement de cette activité de loisirs par le biais de la location de matériels, l’hébergement, les commerces de proximité s’inquiètent de l’avenir. De quoi sera faite réellement cette saison de sports d’hiver ? De vache maigre, assurément.

 

 

L’ouverture des pistes de ski nordique ne fera pas avaler la pilule pour autant…

 

Plusieurs conseils départementaux de montagne ainsi que les cinq régions de l’Hexagone concernées par ces fermetures administratives (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Sud, Occitanie et Grand-Est) se sont regroupées pour engager une procédure en référé devant le Conseil d’Etat.

Un message qui se veut solidaire à l’adresse des professionnels de la filière mais aussi de protestation à la gouvernance.

S’associant à cette initiative, la Bourgogne Franche-Comté, par l’intermédiaire de sa présidente Marie-Guite DUFAY, a fait part de son total soutien aux territoires du Doubs et du Jura. Ainsi qu’à l’ensemble des professionnels de la filière.

La présidente de l’exécutif régional a qualifié cette décision (la fermeture des remontées mécaniques) comme une réelle « injustice alors que les pistes helvètes voisines sont ouvertes au public » !

Et de rappeler « qu’un équilibre entre le respect des normes sanitaires et le souci de l’activité économique des zones de montagne devait être préservé ».

Seul motif de satisfaction pour l’élue originaire de Franche-Comté, l’autorisation préfectorale donnée aux exploitants des stations de sports d’hiver de damer et tracer les pistes de ski nordique afin d’y accueillir les adeptes de cette discipline à partir du 15 décembre.

Un lot de consolation, certes, qui ne fera pas avaler la pilule au goût amer pour ces milliers de personnes frappées de plein fouet au portefeuille par ces fermetures...

 

 


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