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La dotation a été finalement augmentée. Cela est imputable à la rançon du succès pour la Fondation du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté qui n’avait pas prévu un tel engouement de la part des réponses faites à cet appel à projets. Ce sont donc 85 000 euros qui vont être ainsi injectés afin de soutenir le plus grand nombre de dossiers visant le milieu associatif. Parmi les seize lauréats retenus pour cette première édition : DOMANYS, seul représentant de l’Yonne, qui a été retenu pour son service gratuit destiné à l’apprentissage…

 

DIJON (Côte d’Or) : On connaît le nom des lauréats du premier appel à projets de la Fondation du groupe EDF Bourgogne Franche-Comté à destination des associations. La liste vient d’être communiquée par le service de presse de l’institution.

Lancée sur la contrée en avril dernier, l’initiative a engendré un tel succès au niveau des réponses obtenues que les responsables de ladite fondation ont décidé de rehausser le niveau de l’enveloppe financière initiale la portant à une dotation finale de 85 000 euros. Histoire de soutenir un plus grand nombre de dossiers !

Cette opération de soutien aux initiatives, à laquelle devait prendre part le Comité « mécénat territorial » de la Fondation groupe EDF – celui-ci réunit les représentants d’EDF SA, d’EDF Renouvelables, de DALKIA et d’ENEDIS – se mettait en place en avril afin d’encourager les associations qui agissent dans les domaines de l’environnement, de l’inclusion et de l’éducation.

 

 

L’ADIE de Bourgogne Franche-Comté figure parmi les lauréats pour l’inclusion…

 

Sur les cinquante-trois réponses faites à cet appel à projets innovant, seize ont reçu les faveurs des membres du comité, soit huit dans le domaine de l’éducation, cinq dans le domaine de l’environnement et trois pour la catégorie de l’inclusion.

Ce dernier point, précisément, a été encouragé par la Fondation groupe EDF pour ses projets se rapportant à la lutte contre la pauvreté ayant un impact direct sur les bénéficiaires : insertion, réinsertion sociale ou professionnelle des personnes fragiles. On retiendra pour mémoire le nom des trois structures associatives lauréates dans cette catégorie : le Racing Besançon (projet d’école de la vie à destination des plus jeunes), La Cloche à Dijon avec son programme orienté vers les sans domicile fixe et l’ADIE de Bourgogne Franche-Comté.

Cette dernière entité développe la pratique du micro-crédit comme chacun le sait et soutient l’essor de l’entreprenariat au féminin dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville et les zones rurales.

 

 

Du côté de l’environnement, cinq projets ont attiré l’attention des membres du comité de la fondation. Ceux de la saline royale d’Arc-et-Senans dans le Doubs pour son école du jardin planétaire, le groupe TETRAS Jura qui a créé une mallette pédagogique « sylvotrophée », Nature Jura Environnement avec la restauration et la création de mares facilitant la biodiversité dans la combe de l’Ain, Unis-Cités qui déploie le service civique pour la transition écologique sur le territoire régional et la LPO Bourgogne Franche-Comté qui porte un projet éducatif autour de l’environnement au lycée agricole de Quetigny en Côte d’Or.  

Enfin, le volet de l’éducation – il reste un facteur essentiel de développement humain, de croissance économique et un moyen de lutte contre toutes les formes d’exclusion – favorise l’égalité des chances et la citoyenneté : c’est celui qui aura vu le plus grand nombre de projets récompensés in fine.

 

 

Le programme pédagogique de DOMANYS dans l’Yonne a suscité de l’intérêt…

 

Huit d’entre eux recevront le coup de pouce bénéfique de la Fondation du groupe EDF BFC. Notamment le dossier présenté par le bailleur social de l’Yonne, DOMANYS, pour la mise en place d’un service gratuit d’apprentissage via une plateforme collaborative baptisée « SCHOOL MOUV » à destination des classes de CP à la Terminale tant en zones urbaines prioritaires que dans les zones rurales.

Pour être tout à fait complet, citons les autres lauréats de cette catégorie : « Créé ton Avenir » (Nièvre et Haute-Saône), avec la mise en place de six parcours pilotes d’aide à l’orientation dans ces deux bassins d’éducation ; l’association « Coup de Pouce » qui a déployé douze clubs afin de prévenir le décrochage scolaire en Côte d’Or, dans le Doubs et la Haute-Saône ; « PIMMS Médiation Bourgogne du Sud » pour son accompagnement en Saône-et-Loire des jeunes en situation d’exclusion et des femmes isolées (solutions d’hébergement, de transport, de médiation sociale) ; l’orchestre « Dijon Bourgogne » qui propose des ateliers de musique pour les jeunes des quartiers populaires de la ville ; « 100 000 Entrepreneurs » qui offre un programme de sensibilisation aux jeunes autour du monde professionnel de demain et de l’entrepreneuriat ; le « Centre Interculturel Conseil Formation Médiation » qui accueille de jeunes migrants en Saône-et-Loire tout en développant leur autonomie et leur sensibilisation à la citoyenneté et le Musée de plein air des Maisons Comtoises qui agit dans le Doubs au service des élèves et étudiants désireux d’en savoir davantage sur les atouts écologiques de la construction bois via l’édification de quatre abris pour animaux.

Rappelons, enfin, que le mécénat territorial porté par la Fondation du groupe EDF existe depuis le début de l’année 2020 et que le projet court sur une période de trois ans jusqu’en 2023. Au vu de ses objectifs et de son succès, il se pourrait fort bien que ce vertueux principe favorable au développement de projets régionaux soit renouvelé…

 

Thierry BRET

 


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La table où il accueille le public au terme du dernier spectacle de ces « Misters Class de l’Humour » présente l’un des ouvrages de l’acteur et humoriste. Un opus d’une centaine de pages, publié en 2017, où sont couchées ses « pensées ». Ses meilleurs jeux de mots y côtoient sa propre vision du monde. Avec talent et émotion. Selon lui, « le dictionnaire est une balançoire dans le jardin de l’imaginaire… ». Un imaginaire que l’on sait fertile et débordant d’énergie…

 

CHATEL-CENSOIR : Sur scène, micro à la main, aux côtés du premier élu de la localité Olivier MAGUET, discutant avec le public lors de la réception amicale ou prenant la pose le temps d’une séance photo impromptue après la signature d’une dédicace du recueil dont il assure la promotion, SMAIN se démène comme un beau diable dans la salle des fêtes.

Il virevolte comme un courant d’air, félicitant au passage son « poulain » l’excellent comédien qui incarne le personnage totalement décalé et hors sol de l’aristocrate fauché (Amaury de GONZAGUE) – il vient de livrer une prestation humoristique de très belle facture arrachant les rires d’une salle comble conquise par l’artiste -, et invitant les gens à le rencontrer au terme de ce rendez-vous dominical qui clôture la seconde édition de ces « Misters Class de l’Humour », portés par l’association TRIODARTS.

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est devenu une belle histoire d’un amour passionnel.

On se souvient de sa double représentation d’avant COVID donnée chez les troubadours de la poésie de Puisaye, Andrée et Gérard-André, qui l’avaient accueilli dans leur antre de La Closerie à Etais-la-Sauvin. On se remémore tout le travail effectué par une Nadia FENNIRI, en cheffe d’orchestre talentueuse à la baguette de l’association culturelle TRIODARTS qui a nourri ce futur projet collaboratif avec le comédien et humoriste et ce public de néophytes, désireux de s’essayer lui aussi à la pantomime et au rire, devenant le temps d’un stage fructueux en atelier – les Misters Class – beaucoup plus que de simples humoristes en herbe.

 

 

Entre l’Yonne et l’humoriste, une belle histoire d’amour…

 

Durant trois jours de stage et quatre ateliers à suivre avec leurs professeurs, ces férus de rire et de calembours potaches se sont perfectionnés à leur manière sur scène, afin de mieux resplendir dans la lumière. Ce fut le cas lors de la restitution le samedi soir.

Quant à SMAIN, parrain de la judicieuse initiative, il s’est dit ravi de cette opportunité de retrouver le public. « On a passé trois jours merveilleux avec tous ces jeunes, confia-t-il aux spectateurs, il n’y a pas qu’à Paris qu’il y a du talent, il y en a aussi en zone rurale… ».

Puis, il eut un mot agréable pour TRIODARTS, source originelle de ce concept artistique novateur et terriblement efficace.

« J’espère que le concept va se perpétuer dans les années à venir, devait-il souligner, avec pourquoi pas l’organisation d’un premier festival d’humour accueilli ici à Châtel-Censoir ? ».

Avant de conclure sa prise de parole par des souvenirs personnels le renvoyant à sa tendre jeunesse lorsqu’il fréquentait en 1966 le centre de loisirs d’Arcy-sur-Cure, près du lac Sauvin où il donna ses premiers sketches !

Entre l’Yonne et SMAIN, c’est bien de l’amour, avons-nous dit, le vrai !

 

Thierry BRET

 

 


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Grandiose ! Désopilant ! Brillantissime ! Assister à une conférence du pourtant très sérieux économiste et ultra diplômé Philippe DESSERTINE équivaut à prendre part à un spectacle dont on aimerait qu’il ne se termine jamais. Un de ces one-man-show où l’humour est distillé par des bons mots et des exemples forts en cocasserie – mais tellement vrais et pertinents - à la manière d’un métronome. Ou comment démystifier le sabir très hermétique de l’économie et de ses incidences en le vulgarisant à l’extrême, le sourire en plus. CERFRANCE a gratifié ses suiveurs d’un tel rendez-vous, vendredi soir à Auxerre, où l’inflation tenait le tout premier rôle…en faisant rire et sourire ! Un comble…

 

AUXERRE : Adeptes de « L’Economie pour les Nuls », remisez cet ouvrage de vulgarisation pour néophytes au fond d’un tiroir et assistez coûte que coûte à l’une des prestations scéniques – mais ô combien sérieuse sur la trame – de l’un des maîtres de la discipline, j’ai nommé Philippe DESSERTINE !

Habitué de la tenue de conférences sur Auxerre – c’est quand même la seconde intervention qu’il nous propose en l’espace de quelques mois dans la capitale de l’Yonne mais on ne s’en lasse pas ! -, cet agrégé en sciences de gestion, professeur à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, vice-président du cercle Turgot et membre du Haut Conseil des Finances publiques (entre autres !) possède l’art et la manière de rendre les choses fort complexes beaucoup plus simples à la compréhension dès qu’il est sur une scène, un micro à la main.

Les collaborateurs, partenaires et clients du groupe spécialisé en expertise comptable, CERFRANCE, ont eu tout le loisir de le vivre pleinement en seconde partie de l’assemblée générale annuelle, vendredi au parc des expositions d’Auxerre, où le très médiatique intervenant (Canal +, BFM Business, LCI, France Télévisions…) devait prendre la parole autour d’une causerie sur le « monde d’après ». Des propos fort attendus par l’auditoire où l’inflation tint la vedette quasiment du début jusqu’à la fin. Entre pessimisme et optimisme !

Se tenant bien droit sur le bord de la scène – une manière physique de mieux l’occuper sans doute- l’orateur déposa avant même de démarrer son téléphone portable à ses pieds, le positionnant sur l’option chronomètre. Pas de notes ni de slides, évidemment ! Mais, un discours suffisamment bien rôdé dans sa tête pour capter l’intérêt de ces centaines de personnes qui devaient boire les paroles de l’intervenant comme du petit lait.

 

 

« Vous êtes en train de perdre de l’argent avec vos liquidités ! »…

 

Le public ne tarda pas à rire à gorge déployée. Dès l’introduction de Philippe DESSERTINE qui constata que l’assistance semblait bien jeune pour qu’elle puisse réellement comprendre ce que signifiait en vérité le terme « inflation » ! « L’inflation, vous en entendez parler mais vous ne savez pas ce que c’est ! ».

Le ton était donné, il ne changera pas d’un iota durant cet exposé délicieux aux oreilles des aficionados de l’économie.

Faisant un parallèle chiffres à l’appui avec la fièvre inflationniste des années 70, le conférencier souligna que l’inflation actuelle était bien supérieure à ce que les personnes de l’époque avaient dû subir dans leur quotidien. « Nous n’avons jamais connu ça sauf entre l’entre-deux guerres ! ».

D’autant que de nombreuses entreprises doivent faire face actuellement à une inflation pouvant tutoyer les sommets, à 500, voire 600 % d’inflation dans certains secteurs d’activité. 

« Le cash est dangereux en période d’inflation, poursuivit Philippe DESSERTINE, c’est-à-dire que si vous possédez des liquidités – en regardant avec insistance le public – vous êtes en train de perdre de l’argent ! ». Un froid parmi l’assistance, notamment les particuliers visés par les différents exemples étayés par l’orateur !

 

 

« Avec une inflation évaluée à 6,5 %, vous perdez de l’argent sur votre cash, insista-t-il.

Evoquant le budget 2023 de la France – il a été voté par les parlementaires sur la base d’une inflation à 4,7 % -, il se situe déjà en deçà du chiffre officiel de l’inflation observée en ce dernier trimestre.

« On peut s’estimer heureux, plaisanta le professeur universitaire, la plupart des pays d’Europe sont plus près des 9 % que nous ! ».

Un autre chapitre interpella le public. Celui concernant les assurances vie.

« Vous savez, il paraîtrait que des Français en possèdent ? Mais, je suis rassuré ce n’est pas le cas avec vous, dans la salle, vous qui êtes des chefs d’entreprise pertinents et avisés ! Avec un rendement de 2,5 % lorsque l’inflation est à zéro. Mais, là, maintenant, vous avez des placements à taux négatifs qui sont proposés à moins 3,5 % ! Vous perdez de l’argent !».

 

 

Les Français n’ont pas eu à subir les répercussions de 15 % des coûts de l’énergie…

 

S’en suivit le pouvoir d’achat des Français. « Nos concitoyens savent très bien de quoi on parle : lorsqu’ils vont dans un supermarché, ils s’aperçoivent qu’ils ne peuvent plus acheter ce dont ils ont envie. Les achats de pommes de terre ont nettement augmenté depuis septembre dans les grandes surfaces. Ce n’est pas bon du tout car les consommateurs n’achètent plus de légumes ni de viande… Vous savez, l’économie ce n’est pas compliqué, c’est observer que ce peuvent acheter les gens avec leur paie !».

Et, prophétique, de rajouter : « les Français n’ont pas encore eu les répercussions de la hausse inflationniste de 15 % sur les énergies à partir de janvier/février… ».

Vu de Bercy, on s’inquiète, ajoute Philippe DESSERTINE, avec le froid qui arrive et les chaudières qui vont devoir se rallumer pour chauffer les logements. D’où une surconsommation électrique.

« Le gouvernement essaie d’avoir des arrangements européens en regardant comment se partager du gaz que l’on a pas ou de l’électricité que l’on ne produit pas ! ».

Au terme de ce tableau peu idyllique de la situation brossée par l’économiste, le message se veut on ne peut clair et limpide : « il va falloir changer le mode de fonctionnement des entreprises, des exploitations agricoles, des PME, des collectivités : il va falloir changer de logiciel…».  

Une gestion différente à l’image de l’Argentine ou de la Turquie, des états hyper exposés à l’inflation car trop dépendants du dollar ? Que nenni ! Philippe DESSERTINE citera l’exemple de la Pologne qui paie tous ses fournisseurs immédiatement, en réduisant son volume de cash et les durées de paiement qui favorisent l’inflation.      

En France, Bercy suggère de retarder les délais de paiement. « Ils sont juste fous, ils exposent tout le monde à l’inflation, eux compris ! Nous sommes en présence de problèmes majeurs devant nous parce que nous n’avons pas les bons réflexes. En Pologne, on fait des devis à partir de quantité. On gère cela au plus près avec les nouvelles conditions de fonctionnement. Quand il y a de l’inflation, tout le monde perd, il n’y a pas de gagnant du tout… ».

A propos de la guerre en Ukraine, son arrêt ne signifierait pas la fin de l’inflation.

« Si vous avez pensé cela, c’est que vous êtes très jeunes ! L’inflation est liée à des problèmes de pénuries. Quant à verser des primes, il ne faut surtout pas les distribuer car cela devient coutumier mais ne règle pas le problème. L’inflation, c’est la monnaie qui se déprécie, ce n’est pas imputable à la hausse des prix… ».

Un vrai cours d’économie en version dynamique où les énoncés du problème gagnent en lisibilité pour que chacun comprenne que le modèle économique doit impérativement changer, à brève échéance, compte tenu en sus du réchauffement climatique qui occasionne déjà pas mal de dégâts à l’échelle de la planète…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Reconduit au Bureau national du RN à l’issue du XVIIIème Congrès, le député de l’Yonne Julien ODOUL a effectué une véritable « remontada » au sein de la hiérarchie du parti souverainiste. Occupant désormais une place de choix dans le « Top Cinq » du Conseil national ! Plus près encore du nouveau président, Jordan BARDELLA, qui à 27 ans, efface le nom d’un LE PEN - une première depuis 1972 - comme responsable de la première formation d’opposition en France…

 

PARIS : Au cœur du noyau stratégique du Rassemblement National, le Conseil national qui préside à la destinée du parti « bleu marine » s’apparente à un ersatz de « parlement ».

Officiellement, il y accueille des membres de droit – un trio de base composé de Jordan BARDELLA, nouveau président élu ce week-end avec près de 85 % des suffrages exprimés par les militants (84,84 %), de Louis ALIOT – son challenger battu – et de Marine LE PEN, qui lorgne déjà avec gourmandise sur une éventuelle candidature à la Présidentielle 2027 -, cent membres élus lors de ce XVIIIème Congrès hexagonal, et vingt membres qui sont cooptés par le président de l’instance suprême, soit des observatrices et des observateurs occupant un précieux strapontin, prêts à rejoindre le club très hermétique des Cent décideurs influents de cette formation politique.

Il y a quatre ans de cela, l’Icaunais Julien ODOUL, président du groupe RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, élu municipal de Sens, et depuis le printemps dernier député de la troisième circonscription de l’Yonne, se positionnait à la cent-vingtième place de ce classement. C’est-à-dire en bon dernier dans ce sérail où chacune des positions compte, on n’en doute pas !

Or, à l’issue de ce dix-huitième Congrès national, qui aura donc vu la passation de pouvoirs entérinée de manière officielle entre Marine LE PEN et le même pas trentenaire, Jordan BARDELLA – le nouveau président du RN n’est âgé que de 27 ans ! -, le député de l’Yonne Julien ODOUL a réalisé une véritable « remontada » à faire envier tous les joueurs du Paris-Saint-Germain après une déroute mémorable face à un grand club européen !

 

 

De la cent-vingtième à la cinquième place en l’espace de quatre ans…

 

De la cent-vingtième place occupée en 2018 dans cet organigramme décisionnel, il se situe désormais dans le « Top 5 » (à la cinquième place précisément) après s’être préalablement classé au 17ème rang des acteurs clés du parti souverainiste à l’issue du précédent congrès, accueilli dans le fief de Louis ALIOT, à Perpignan en 2021.

Une irrésistible progression pour l’élu de l’Yonne dont la voix était déjà très médiatisé depuis plusieurs mois parmi les coteries journalistiques parisiennes et qui se retrouve presque dans le dernier carré des personnes les plus influentes du Rassemblement National, aux côtés de Sébastien CHENU, David RACHLINE, Steeve BRIOIS, Edwige DIAZ ou encore Laurent JACOBELLI.

De l’avis des observateurs, c’est son « inlassable travail de terrain » qui a propulsé Julien ODOUL sur le devant de la scène, récompensé par le vote des adhérents en sa faveur, juste dans le sillage du nouveau chef file du RN.

Un Julien ODOUL qui, par ailleurs, a été reconduit par Jordan BARDELLA au sein du Bureau national du parti.

Première déclaration de l’intéressé : « il reste un peu plus de quatre ans pour transformer le Rassemblement National en une grande force populaire armée pour remporter l’élection présidentielle afin de rendre notre pays à son peuple… ».

Il va sans dire que les opposants du parti souverainiste – et ils se sont fait entendre en nombre cette semaine à l’Assemblée Nationale et à ses abords ! – possèdent une toute autre vision de l’avenir politique du pays et ne laisseront pas faire !

2027 est déjà dans la ligne de mire du RN, c’est une évidence…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Leur collaboration a été qualifiée de fructueuse, impliquée, voire hors du commun au plan professionnel. Le binôme formé depuis seize ans par Eric COQUILLE, président, et Laurent BEURIENNE, directeur général, à la tête de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté et CERFRANCE Yonne a donc vécu ! Un nouveau virage s’amorce avec le départ du second nommé qui s’installera à Paris dès janvier afin de prendre les rênes du Conseil national de la gouvernance associative de ce réseau d’expertise comptable…

 

AUXERRE : L’émotion était palpable lors de la prise de parole de Laurent BEURIENNE vendredi soir. Une intervention qui se révéla être l’un des instants clés de cette assemblée générale annuelle.

Forcément, on ne quitte pas impunément une entité professionnelle et ses acteurs avec lesquels vous avez collaboré durant dix-huit ans sans qu’il n’y ait une petite boule d’émotivité coincée au fond de la gorge !

« J’ai deux à trois choses à vous dire, s’excusa presque timidement le directeur général de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté, en s’avançant au pupitre de l’espace « mille » à AUXERREXPO qui accueillait ce rendez-vous statutaire.

Parmi celles-ci, la signification de son départ, d’ici la fin de l’année, et surtout les nouvelles perspectives professionnelles qui s’annoncent à lui, et ce dès janvier, avec la direction générale de la fédération nationale des CERFRANCE à assumer depuis la capitale. C’est-à-dire le Conseil national de cette gouvernance associative qui fait des merveilles dans l’univers parfois hermétique, vu de l’extérieur, de la corporation des experts comptables en France.

Présent depuis 2004 dans l’Yonne, Laurent BEURIENNE possédait déjà une vie antérieure au sein de CERFRANCE, après son passage en Eure-et-Loir. Mais, c’est ici, sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne, qu’il déploiera tout son savoir-faire et son sens du relationnel auprès des entreprises agricoles, TPE, PME faisant confiance à ce cabinet, fort aujourd’hui de ses 430 collaborateurs.

En dirigeant la destinée de ce réseau qui englobe 57 entités régionales et départementale en France, Laurent BEURIENNE donne ainsi un sacré coup de booster à sa carrière, déjà bien remplie et qui ne va pas cesser de l’être, visiblement, dans les mois à venir…

 

Thierry BRET

 


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