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Une soirée d’exception ? Oui, à plus d’un titre que celle qui fut proposée, mercredi, dans l’antre de l’excellence de l’apprentissage et de la formation qu’est le CIFA de l’Yonne. Un défi gastronomique, le troisième du genre accueilli en ces lieux, très attendu par les adeptes des arts de vivre, qui livrera son verdict, tard dans la soirée. Sur les trois candidats en lice, deux étaient originaires de notre territoire, l’un en provenance du Nord. C’est ce dernier, Michaël WICKAERT qui a remporté le challenge. Avec l’art et la manière en sus…

 

AUXERRE : Marier la coquille Saint-Jacques à l’escargot de Bourgogne, réunis dans une parfaite hyménée servie en entrée froide ou chaude en guise de préambule de ce défi culinaire insolite, attendait les trois candidats de cet « IRON COOK » 2022 !

Un exercice très subtil où la créativité et l’imaginaire furent mis à rude épreuve chez les concurrents pour titiller la corde sensible des membres d’un jury, composé de grandes références de la gastronomie hexagonale dont Christian TETEDOIE, président des Maîtres Cuisiniers de France, parrain de ce rendez-vous, et de personnalités du terroir, adeptes des principes vertueux d’Epicure.

Et à ce jeu-là, l’une des réalisations culinaires soumises à la sagacité curieuse des goûteurs qui tira la couverture à soi ne fut autre que cet onctueux velouté, mélangeant les deux ingrédients de base – ils étaient imposés dans le programme – et au charmant décorum esthétique jusque dans l’assiette.

 

 

Un velouté paradisiaque à déguster en préambule du concours…

 

Deux brins de ciboulette posés çà et là afin d’apporter un extra de végétation, la noix de Saint-Jacques placé avec délicatesse au cœur du récipient, de généreux morceaux de gastéropodes nappés de cet excellent breuvage, présenté sous la forme de velouté et l’affaire était entendue.

Un mets d’une rare élégance visuelle et gustative qui avait de quoi réhabiliter les plus réfractaires opposants de la soupe et du potage avec cette noble recette à tester en binôme pendant quelques minutes.      

Si l’on avait osé, on en aurait presque demandé une seconde assiette tellement l’intelligence de ce plat imprima les papilles de nos palais, encore ébahis par l’effet de surprise !

Même les chefs Pierre MIECAZE et Christian MILLET – pourtant de solides habitués de ce genre d’épreuves culinaires qui les font voyager aux quatre coins du globe – eurent un commentaire fort approprié : « ce plat, c’est du niveau étoilé Michelin ! ».

On doit cette savoureuse réalisation au seul et unique candidat extra-Yonne qui concourait à ce défi, prévu initialement à quatre chefs comme le rappelait en la découvrant la plaquette de présentation mais finalement réduit à trois après la défection en dernière minute de l’un des prétendants pour raison personnelle.

 

 

Un « chtimi » qui coiffe sur le poteau les deux candidats de l’Yonne…

 

Cela n’aura nullement altéré la qualité de ce challenge culinaire un peu fou, celui de servir pour ses protagonistes engagés dans la course trente-six clients installés confortablement – comme en situation réelle – dans le restaurant d’application du centre d’apprentissage, le « COM des Chefs ».

Michaël WICKAERT. Un patronyme à retenir car il possède l’étoffe des plus grands. Lauréat du concours de la Toque d’Or internationale en 2015, obtenue à Chamalières – la commune chère au regretté VGE, fine bouche au joli coup de fourchette au demeurant -, le Nordiste a choisi le chemin de l’enseignement pour y exprimer ses talents de maître queue depuis une vingtaine d’année, dans un établissement localisé dans l’imprononçable localité de TERDEGHEM !

 

 

 

Cela ressemble presque au terroir d’Alsace, et pourtant c’est bien un « chtimi » qui est venu coiffer en provenance du Nord et sur le fil les deux prétendants icaunais, Jérôme JOUBERT – on connaît bien le garçon, et la qualité de sa cuisine élaborée au « Rive Gauche » à Joigny – et Laurent POULET, directeur technique de production aux « Plaisirs des Mets », l’une des unités appartenant aux FESTINS de Bourgogne, structure dirigée par le couple Evelyne et Didier CHAPUIS, les incontournables de la réception-traiteur dans le landerneau.

 

 

Une affaire de famille avec la fille Marion dans le rôle du commis…

 

Il ne sera pas aisé pour les candidats de dégoter du pigeon de Bourgogne pour réaliser la recette du plat de résistance, devant le revaloriser à juste titre. Accompagné de sa double garniture, l’une à base de ris de veau, l’autre composée de substances végétales, c’est un suprême de pigeon exquis qui fut servi aux trente-six dégustateurs d’un soir de la part du professeur de cuisine nordiste.

Un régal en bouche, à faire crépiter les smartphones des membres du jury qui gardèrent en souvenir les illustrations de ce mets à la succulence aboutie. Après le deuxième « round », les experts de la gastronomie savaient déjà dans leur for intérieur lequel de ces trois candidats obtiendraient in fine le titre…

Le dessert, concocté selon une harmonie délicieuse autour de la poire et du cassis – un fruit bien de chez nous, d’ailleurs ! – ne fit que confirmer les dires des spécialistes. Les cinq mille euros et les honneurs allaient tomber dans l’escarcelle du plus créatif et aventureux des candidats, même si la concurrence et le décompte des points  étaient beaucoup plus serrés entre ces trois professionnels ayant tous ou presque glaner des prix de-ci, de-là au cours de leur existence.

L’un des représentants du CIFA eut cette formule : « le choix était dur entre ces trois artistes de la gastronomie, mais il fallait un gagnant : c’est finalement Michaël WICKAERT qui a remporté la troisième édition de ce grand défi ! ».

Un lauréat, venu en famille puisqu’accompagné de sa fille, Marion – la jeune femme approfondit ses connaissances en pâtisserie et chocolaterie chez Alain DUCASSE, excusez du peu ! – qui lui aura été d’un grand service durant l’épreuve de six heures en s’octroyant le rôle de commis ! Bref, de quoi nourrir des souvenirs éternellement !

 

  

Et si Marcel FONTBONNE était candidat en 2024 ?!

 

Du côté du CIFA et de son président, Michel TONNELLIER, ce fut une soirée idéale servant à la promotion de l’excellence de cet établissement à la renommée nationale dorénavant. Un avis partagé par le directeur et créateur de ce concept unique en Bourgogne – et sans doute dans l’Hexagone pour un centre de formation -, Marcel FONTBONNE qui ne put sans doute intérieurement pas ralentir son rythme cardiaque lors de la remise des récompenses – il est pourtant grand sportif de l’endurance et du triathlon – à la seule pensée d’avoir vécu là son ultime IRON COOK, car l’âge de la retraite le rattrapant malheureusement.

Qui sait, lui qui est un fin amateur de cuisine – il a même obtenu pour le plaisir son CAP dans le propre établissement qu’il dirige ! – fera peut-être parti de la liste des prochains candidats à l’édition de l’IRON COOK 2024 ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Entre la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté et le milieu régional du basket, c’est une vieille histoire d’amour. Entamée il y a longtemps dès l’accession parmi l’élite de deux des clubs emblématiques de ce sport vif et nerveux qui a acquis ses lettres de noblesse dans l’Hexagone : la JDA Dijon et l’Elan Chalon. Logique, donc, que l’établissement bancaire, autrefois identifié par un écureuil – l’agilité de l’animal ne rappellerait-elle pas les bonds effectués sous les paniers par les joueurs ?! – soutienne toutes les initiatives, servant à promouvoir la discipline…

 

AUXERRE : Il n’y a pas que les professionnels tutoyant les étoiles sur les parquets de l’élite nationale, voire européenne, qui sont encouragés par la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté !

Les amateurs de cette discipline, en l’occurrence les jeunes pousses, fraîchement émoulues sur les traces d’un Tony PARKER, c’est-à-dire celles évoluant en équipes U 20 et U 11, bénéficient eux-aussi de la générosité partenariale de leurs sponsors.

Cette semaine, au gymnase des « Boussicats », au très curieux revêtement sur le sol qui n’autorise pas la moindre chute des joueurs sous peine d’y laisser le cuir de la peau, s’est déroulé un évènement on ne peut plus classique pour les structures bancaires qui agissent en bienfaiteurs : une remise de jeux de maillots.

Il y en avait de différentes tailles, évidemment, puisque les « minots » de la section basket du Stade Auxerrois (U 11) comme leurs camarades, plus âgés, et jeunes adultes des U 20, ont reçu leurs cadeaux de Noël, bien avant l’heure, lors d’une petite réception fort sympathique à laquelle participait l’une des sérieuses chances de médailles de l’équipe de France de canoë-kayak aux prochains Jeux de Paris, la sociétaire de l’OCKA, Eugénie DORANGE, double vice-championne du monde junior en 2016, catégorie C1 sur 200 mètres et en distance marathon.

 

La présence de la double vice-championne mondiale, l’Auxerroise Eugénie DORANGE…

 

Aux côtés du président du club sportif Samuel BOISSET, les responsables icaunais de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté remettaient officiellement les parures jaune et bleu, floquées du logo de l’établissement bancaire, aux membres de l’équipe U 20, qui devaient dans la foulée prendre la pose afin d’immortaliser l’évènement. On notait la présence de Christophe DUQUESNOY, directeur du secteur Auxerre de la banque  ainsi que celle de Benoît ROUX, directeur du développement commercial.

Soutien inconditionnel des disciplines collectives se pratiquant en salle (le basket-ball, le handball…), le groupe de l’Yonne de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté avait équipé la saison dernière les joueurs de l’US Toucy.

Quant à Eugénie DORANGE – la jeune fille est encouragée elle aussi par la banque mutualiste - , en dilettante de l’actualité sportive à l’heure actuelle avec cette fin de saison, elle attend avec impatience de retrouver les plans d’eau dès le printemps prochain où elle disputera les premières épreuves de la saison très importante à ses yeux, un an avant les qualifications pour tenter de décrocher la timbale lui permettant de participer la saison suivante à la grande fête universelle de l’olympisme à Paris 2024.

 

Thierry BRET

 

 


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Ils sont nombreux à s’interroger sur l’orthodoxie d’un 49.3 autoritaire ou sur l’opportunité d’une dissolution de l’Assemblée Nationale. Que les « addicts » de la constitutionalité et que les accros de la démocratie se rassurent : le 49.3 est parfaitement légal et gravée sur le marbre de notre constitution. Ne pas oublier, que ladite Constitution a été acceptée lors d’un référendum par plus de 79 % des français ! Quelle est la procédure ?

 

TRIBUNE : L'article 49.3 de la Constitution donne la possibilité au Premier ministre, après délibération du Conseil des ministres, d’engager la responsabilité du gouvernement sur le vote : d’un projet de loi de finances, d’un projet de loi de financement de la Sécurité sociale et d’un autre projet ou une proposition de loi en débat à l’Assemblée Nationale.

Si le Premier Ministre décide d’y recourir, sa décision entraîne la suspension immédiate de la discussion du projet de loi. Le texte est considéré comme adopté, sans être soumis au vote, sauf si une motion de censure est déposée dans les 24 heures qui suivent. La motion de censure doit être votée selon des conditions très précises : seuls sont recensés les votes favorables à la motion de censure qui ne peut être adoptée qu’à la majorité des membres composant l’Assemblée.

 

Michel ROCARD, champion du « 49.3 » toutes catégories !

 

Si la motion de censure est adoptée, le texte est rejeté et le gouvernement est renversé. Depuis la réforme constitutionnelle du 23 juillet 2008, hors projets de loi de finances ou de financement de la Sécurité sociale, l’article 49.3 ne peut être utilisé que sur un seul texte au cours d’une même session parlementaire. Avant cette révision de la Constitution, le gouvernement pouvait y avoir recours aussi souvent qu’il le voulait et sur n’importe quel texte.

Depuis 1958, le principe du « 49.3 » a été utilisé 89 fois ! Le record est détenu par Michel ROCARD, alors Premier ministre de François MITTERRAND qui l’aura employé 28 fois !

Après l’utilisation du 49.3, la responsabilité du gouvernement est engagée. En cas de rejet d’un vote de confiance, la « motion de censure », impose la démission du gouvernement. Pour l’instant, les forces de l’opposition ne semblent pas vouloir s’unir pour renverser l’équipe d’Elisabeth BORNE.

On peut penser que le Général de GAULLE, souhaitant éviter les écueils de la IVème République, avec ses gouvernements successifs, qui pour certains ont duré quinze jours, avait prévu des portes qui permettent à l’Etat d’avancer. Le problème qui se pose, c’est l’instrumentalisation de cet article de la Constitution qui a permis à notre Première ministre de supprimer certains amendements votés au Parlement et de globaliser les budgets avec la réforme des retraites.

S’il paraît important pour l’Etat d’avancer et de ne pas bloquer les institutions faute de budgets, il est cependant frustrant, pour ne pas dire honteux, d’éviter un débat démocratique sur la réforme des retraites.

En son temps, Pierre MENDES-FRANCE s’était opposé au Général de GAULLE et au projet de Constitution. Il arguait du fait que de GAULLE ne lui posait pas de problème, mais que la suite, avec les successeurs, présentait des risques évidents. Il redoutait les contournements des fondements de notre démocratie.  Un visionnaire…

 

L’épineux problème posé par la Constitution…

 

Elle ne semble plus adaptée aux réalités du monde d’aujourd’hui et a tout de même fait l’objet de vingt-quatre révisions constitutionnelles ! La plus importante mais la plus déstabilisante fut de passer du septennat au quinquennat, sous la présidence de Jacques CHIRAC ! La Constitution permettait au pouvoir de se construire sur sept ans et non sur cinq. Résultat, nous sommes dans une campagne électorale quasi permanente. De plus, lors des septennats, avec des élections législatives qui se déroulaient durant la période présidentielle, la pression démocratique jouait un rôle salutaire ! Aujourd’hui, avec la concomitance des élections présidentielles et législatives, aucune remise en question des axes politiques n’est possible.

 

 

Va-t-on vers une dissolution de l’Assemblée Nationale ?

 

L’article 12 de la Constitution permet au Président de dissoudre l’Assemblée. Depuis 1958, cinq dissolutions ont été prononcées. La dernière en date fut néfaste pour Jacques CHIRAC. Même si le bruit de la dissolution bruisse à l’Elysée, même s’il est certain que notre Président y songe, il n’est pas sûr que les augures soient bons.

Pendant que nos chers députés s’assoupissent en cœur sur les bancs, à chaque 49.3, le drapeau de la dissolution est brandi ! Une stratégie de communication, pour faire peur dans les rangs de la présidence, et bien orchestrée par un Stéphane SEJOURNE qui assure que « le protocole de la dissolution et son rétro planning sont prêts ».

Il ajoute que La République en Marche, devenue entre-temps « Renaissance », est le plus riche parti politique de France, avec plus de 40 millions de biens immobiliers et un crédit illimité auprès des banques ! Dans le même temps, Olivier VERAN temporise et en rajoute à la confusion ambiante : « nous ne sommes pas dans les conditions d’une dissolution ».

La dissolution est d’autant moins probable dans l’immédiat car la conjoncture électorale semble mauvaise pour le « mari de Brigitte » : la NUPES est en chute libre et surtout Marine Le PEN serait la grande gagnante de nouvelles élections législatives. Hélas, nous sommes encore et toujours dans des stratégies de communication bien plus que sur une réflexion sur l’avenir des Français et de la France !

Quand les anciens amis du Président s’en mêlent (ou s’emmêlent) : « le 49.3 est une brutalité, un déni de démocratie ». Merci Monsieur HOLLANDE !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Trois boucles, quarante kilomètres de spéciales, de l’adrénaline à revendre et du suspense à gogo : le scénario de la seconde édition de cette multi-course automobile, concoctée par l’ASA Yonne, est loin d’être écrit tant les prétendants à la lutte suprême essaieront vaille que vaille de détrôner de leur piédestal les lauréats de la première épreuve…

 

SENS : Des catégories de courses différentes, des pilotes chevronnés, certains un peu plus néophyte que les autres, six spéciales de très belle facture, un parcours qui emprunte les chemins et routes de la première édition – on ne change pas une formule qui gagne, précise l’adage ! -, tous les ingrédients sont donc réunis ce week-end pour que la seconde édition du Rallye automobile du Grand Sénonais rencontre le succès. Avec peut-être, à la clé, des conditions météorologiques incertaines – les prévisionnistes annoncent de la pluie parfois soutenue les après-midi de samedi et de dimanche - qui pourraient brouiller les pistes !

Côté organisation, tout semble être en revanche orienté au beau fixe avec près de 110 véhicules engagés et sa noria de pilotes dans une épreuve encore jeune sur le papier mais qui prend ses marques progressivement dans le paysage de la compétition automobile régionale.

Un dispositif exceptionnel sera mis en place pour assurer le bon déroulement de ce rendez-vous qui n’est pas seulement destiné aux férus de la discipline. Tous les services institutionnels du territoire (SDIS, gendarmerie, police, préfecture…), sont ainsi mobilisés pour faire de cet évènement très attractif auprès du public une totale réussite.

 

 

 

Des animations au village dont celles du KIWANIS de Sens…

 

Rappelons que plusieurs collectivités se sont impliquées à la réalisation et à l’accueil de ce projet abouti dont Sens, Cornant, Egriselles-le-Bocage, Chaumot et Piffonds.

Le public disposera de quatre zones spéciales bien identifiées, garantissant sécurité et confort, pour suivre en toute tranquillité les exploits des sportifs.

Les moins aventureux auront toujours la faculté de suivre l’épreuve en direct depuis leur portable en téléchargeant une application ou sur l’écran géant placé au cœur de Sens, Place Jean-Jaurès.

Signalons que sur cette même place, et parmi les diverses animations proposées au village, celles du club service, le KIWANIS de Sens qui profitera de cette opportunité évènementielle afin de réaliser l’une de ses œuvres sociales à mettre en exergue, en présence du lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Gérard BOLLE, régional de l’étape puisque membre du club sénonais. Quand l’utile rejoint l’agréable, en somme…

 

Thierry BRET

 

 


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Au-delà de son originalité, le visuel de l’affiche officielle, annonciatrice de l’évènement, est très évocateur. Plantée dans le terreau local, la petite graine pousse gaillardement et s’élève resplendissante sous une cloche de verre, identifiée à une ampoule. Le fruit d’une réflexion, en effet. Celle qui titille les esprits des organisateurs de ces « Rencontres icaunaises en synergie » où l’intelligence collective – une réalité dans l’Yonne ? – sera bel et bien présente au rendez-vous…

 

AUXERRE : Il faut faire fi de la sinistrose et de la morosité ambiante qui contaminent progressivement l’ensemble des strates sociétales de ce pays. En se tournant vers les initiatives locales, de celles dont on ne parle jamais ou si peu dans les médias, véritables sources de jouvence et grand bol d’air frais dont nos concitoyens ont grandement besoin pour respirer l’air à plein poumon ! Surtout au plan entrepreneurial !

Un peu comme cette jeune pousse qui bénéficie d’un excellent socle pour prendre racine – le terreau qui devient le terroir, le nôtre peut-être ? – et de cette lumière (l’ampoule protectrice) qui en favorise la croissance avant qu’elle ne bourgeonne avec davantage d’amplitude…

Celles et ceux qui ont imaginé l’affiche de ces premières « Rencontres L’Yonne en Synergie » ont eu le nez fin, en étant très inspirés graphiquement. Car, finalement, tout est ici résumé de manière très symbolique dans ce visuel. Le terroir de l’Yonne avec la terre, le végétal qui s’élève vers le ciel en incarnant toutes ces initiatives entrepreneuriales, associatives ou collectives dont il faut découvrir la moindre des nervures, la lumière, enfin, qui est faite autour de ces différents concepts ayant plus que le mérite d’exister parce que originaux, insolites, différents, remarquables, novateurs…

 

Six thématiques au centre des interrogations…

 

A la manœuvre, il y a la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux. Une structure associative devenue référente sur le bassin de l’Auxerrois – et même à l’échelle départementale – qui agit en faveur de la dynamique territoriale. Se voulant être un fédérateur concret d’idées, de prises de  décision applicables, d’incubateur à l’attractivité, le terme devenu modal dans bien des cénacles.     

De quoi s’agit-il précisément avec ces « Rencontres », premières du nom ? D’un prétexte bienveillant et légitime pour se poser de véritables questions sociétales dont celle-ci : « comment des initiatives locales, s’appuyant sur une dynamique citoyenne d’acteurs en synergie peuvent accompagner l’adaptation du territoire face aux enjeux climatiques, économiques et sociaux ? ».

Pour éclairer les lanternes et apporter des réponses précises, des représentants d’associations, de collectivités, de chambres consulaires, d’entreprises se succèderont sur l’estrade de l’amphithéâtre de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne à Auxerre à grand renfort de témoignages vibrants et vivants, forgés sur leurs propres expériences et vécus professionnels.

 

 

Six thématiques auront retenu l’intérêt des organisateurs de ce rendez-vous automnal, à savoir les membres de la Commission économique de ladite association porteuse de l’évènementiel. Une Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux qui a pris un virage à 190° il y a plusieurs années sur son mode opératoire en y intégrant la dimension économique profitable à tous. Que l’on soit investisseurs, entrepreneurs, acteurs, étudiants…Le cœur de cible de ce copieux menu à déguster sans modération tout l’après-midi de ce jeudi 01er décembre.

Santé et bien-vivre en société, environnement avec l’analyse des écosystèmes économiques et collaboratifs, agriculture – l’Yonne est un territoire agricole et viticole d’importance qui doit faire face aux enjeux du climat -, innovation et technologie via les filières de pointe, tourisme durable et culture, mobilité et transport à l’heure où l’Yonne bascule vers l’avenir grâce à la ressource hydrogène seront autant d’items abordés par une douzaine d’intervenants issus du cru.

 

Deux spécialistes de renommée hexagonale pour éclairer les débats…

 

On notera la présence de deux conférenciers ayant pour mission d’éclairer les débats et de réaliser la synthèse de ces échanges : Jacques BREGEON, docteur d’Etat ès Sciences et fondateur d’AR NEVEZ – ce spécialiste des compétences collectives et territoriales évoquera le développement durable et l’action intergénérationnelle à promouvoir – et Charlotte DU PAYRAT, consultante, formatrice et experte de l’intelligence collective en entreprise, à la tête de la structure VECDAS Conseil.

Plusieurs élus du territoire assisteront également à ces travaux, ouverts au grand public. Un colloque qui ne s’adresse pas uniquement aux habitants de l’Auxerrois. La perception de l’intelligence collective, déclinée à l’échelle d’un territoire, nous concerne tous, c’est une évidence !

 

En savoir plus :

 

Les « Rencontres L’Yonne en Synergie »

Organisées par la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux,

Le jeudi 01er décembre 2022 de 13h30 à 19 heures.

Amphithéâtre de la Fédération Française du Bâtiment à Auxerre

32 Rue de l’Ocrerie

Inscriptions à 10 euros, gratuit pour les étudiants.

Tel : 03.86.51.75.97.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Programme sur : https://jumelages-francophonie.com/

Thierry BRET

 


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