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Lui, il endosse le rôle de métronome de la jeune entité, s’activant autour de la production, la conception et la pose des supports. Elle, c’est le joker côté chiffres, surveillant les curseurs comptables et la sérénité financière de l’entreprise. Associés depuis deux ans, Aurélie BOUCHARD et Alexandre CHABIN ont donné naissance à CREA PROJECT. Une SAS de communication visuelle où intervient un troisième élément, l’apporteur d’affaires Pascal DEMARTIN. Un exégète de la filière…

AUXERRE : Un trio de choc désireux de se faire une place au soleil dans l’univers très concurrentiel de la communication visuelle ? C’est l’un des objectifs avoués du pôle décisionnel de CREA PROJECT, nouvelle structure entrepreneuriale. Apparue en juillet 2018, elle se fonde dans le paysage icaunais, en n’hésitant pas à rayonner plus largement vers le territoire régional et les départements limitrophes.

Alors que le marché de l’événementiel subit de plein fouet la crise sanitaire qui perdure, celui de la communication visuelle via une multitude de supports hétéroclites (panneaux, enseignes lumineuses, marquage de véhicules…) subsiste encore.

Permettant une continuité plus ou moins progressive en termes de chiffre d’affaires pour ses acteurs. Même si la baisse d’activité avoisine les 30 % depuis que le coronavirus impacte durement les milieux économiques.

C’est aussi la preuve que les entreprises et les collectivités éprouvent toujours le besoin, et c’est tant mieux, de véhiculer leurs messages, même les plus liminaires, vers leurs cibles.

Vingt-quatre mois après avoir été portée sur les fonts baptismaux de la création, l’entreprise CREA PROJECT présente un bilan plutôt positif qui qualifie ses activités. Son PDG, Alexandre CHABIN, se satisfait de cette période de croissance vécue après le lancement de sa SAS dans le grand bain du business.

 

 

 

 

Des options stratégiques qui confèrent une touche de modernité…

 

Le carnet de commandes se garnit. La visibilité en matière de prospective est bien réelle : du pain béni pour l’ancien poseur en menuiserie de la société GENIES. Au terme de quinze années de collaboration, il a choisi de vivre une nouvelle étape de sa jeune carrière. En embrassant la responsabilité de dirigeant d’entreprise.

Lorgnant du côté de la Seine-et-Marne, tout en privilégiant les opportunités existantes sur le territoire régional, l’entité envisage de recruter les services d’un poseur d’ici la fin de l’année.

Mais, ce sont ses options stratégiques qui confèrent une réelle touche de modernité et de différenciation avec la concurrence. D’une part, CREA PROJECT est accueillie chez l’un de ses partenaires majeurs, la société RE-PACKED, concepteur de supports publicitaires et de PLV. Une manière pratico-pratique de mutualiser les intérêts communs.

D’autre part, la SAS a recours au service d’un apporteur d’affaires, Pascal DEMARTIN. Un spécialiste de ce secteur d’activité.

Son rôle l’amène à travailler au développement des relations publiques, initier des rendez-vous constructifs, faire connaître la structure dans le sérail professionnel départemental.

Résultat : CREA PROJECT décroche davantage de marchés. Notamment auprès des collectivités où à l’instar de la commune de Bassou, lui a été confiée la réalisation d’abris bus…  

 

Thierry BRET

 

 


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L’initiative est vertueuse. Symbolisant l’ancrage territorial d’un établissement à l’écoute des acteurs de l’économie. Somme toute, en plein marasme quant à leurs perspectives d’avenir. La crise sanitaire est passée par là. Avec son lot de désillusions et d’amertume profonde qui restent collés au palais des entrepreneurs n’ayant plus qu’un seul objectif face à eux : survivre. Un outil spécifique visant à les accompagner leur rendra-t-il le moral ? C’est sans doute là, la véritable force de la « BOX PGE » créée à leur intention

DIJON (Côte d’Or) : Tout est question dans la phase applicative de ce concept de confiance et d’immédiateté. Confiance parce que les chefs d’entreprise ayant souscrit un prêt garanti par l’Etat (PGE) ne peuvent occulter de leur esprit le fait qu’ils devront rembourser ce subside qui les aura aidés à surmonter du mieux possible le cruel manque de trésorerie. Immédiateté parce que les procédures de remboursement doivent s’anticiper en amont avant de s’engouffrer dans ce processus inéluctable.

Or, depuis le début de ce dispositif voulu par le gouvernement, les bénéficiaires du prêt garanti par l’Etat (PGE) savent qu’ils ne pourront pas se soustraire à la seconde phase de son application. C’est-à-dire son remboursement. Une réelle épée de Damoclès, couperet acéré au-dessus de la tête des entrepreneurs, dont il faudra bien tôt ou tard résoudre la problématique.

Pour bon nombre de ces entités productives, cela ne devrait occasionner aucune difficulté notoire. Le schéma est connu de tous : dès le mois de mars, les premiers PGE seront remboursables avec différentes options envisageables. Soit l’entreprise restitue ce qu’il doit à l’Etat en soldant le dossier de manière définitive et en une seule opération. Soit, un étalement échelonné dans le temps représente une autre opportunité. Sachant que cet échéancier peut courir au maximum sur une période de cinq années.

 

Une boîte à outils digitale pour mieux sortir de la crise…

 

Faisant montre de mansuétude face à un contexte sanitaire qui perdure, le Premier ministre Jean CASTEX par la voix de son ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, a choisi de différer de douze mois supplémentaires ce remboursement de prêt, histoire de lâcher un peu de lest dans la sphère de l’entreprenariat. Une bouffée d’oxygène, certes mais qui ne doit pas toutefois faire oublier les difficultés que connaîtront certaines structures à pouvoir s’exécuter.  

C’est à partir de là que la proposition novatrice de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain justifie toute sa raison d’être. Ce sont les sociétés qui éprouveront nécessairement de sérieux embarras financiers qui sont à l’origine du concept. Son appellation se veut sobre et explicite dès sa première lecture : « BOX PGE » !

De quoi s’agit-il, exactement, au plan pratico-pratique ? C’est une boîte à outils digitale utilisée par les conseillers de l’établissement mutualiste régional, l’un des acteurs clé du soutien à l’économie des territoires.

Astucieux et réactif, ce dispositif technologique propose en instantanéité de poser un diagnostic précis sur l’entreprise à étudier. Un audit précieux qui répond à trois objectifs fondamentaux : l’anticipation, l’état des lieux réel de la structure et surtout une approche globale en matière de solutions.

 

Un concept qui va se déployer dans l’Hexagone…

 

Dans le moindre détail, tout y est analysé avec minutie. Les conséquences de la crise sanitaire sur les activités de la société, les répercussions relationnelles avec les clients et les fournisseurs, la capacité de s’autofinancer pour faire face aux aléas conjoncturels.

Bref : une étude de cas approfondie qui en bout de course donnera suffisamment d’éléments instructifs à l’un des trois cents conseillers mobilisés par la banque pour choisir la bonne option en matière de remboursement du prêt garanti par l’Etat.

Quant à la dette de l’entreprise, son approche est mieux maîtrisée grâce à la finesse analytique proposée par cet outil. Dès lors, l’entrepreneur possède une vision plus en adéquation avec la réalité ce qui ne peut immanquablement que le rassurer sur le devenir de son affaire.

Dévoilée il y a quelques jours par son directeur général Bruno DUCHESNE à la presse, cette boîte aux multiples facettes analytiques représente un pur produit technologique de conception régionale.

Son déploiement auprès des autres caisses que compte l’établissement à travers l’Hexagone n’est qu’une question de semaines tant cette approche individualisée de sortie de crise, permettant de sauver des PME de l’irréparable économique, est probante quant à ses préconisations.

 

Thierry BRET

 


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Le programme de la visite du ministre délégué en charge des Comptes Publics se veut éclectique et copieux ce jeudi. Ignorant la capitale de l’Yonne, Olivier DUSSOPT focalisera son intérêt  sur la direction départementale des finances publiques installée à Joigny. Avant de rejoindre la périphérie de Sens où il découvrira l’écrin qui accueille l’une des belles pépites industrielles de notre territoire, la SAS BOUDIN…

AUXERRE : La dernière visite du ministre délégué en charge des Comptes Publics Olivier DUSSOPT dans l’Yonne date de janvier 2019. Reçu à l’époque par le préfet Patrice LATRON, le représentant du gouvernement devait participer à plusieurs réunions de travail lui permettant de prendre le pouls de la fonction publique. Avant de proposer une discussion à bâton rompu avec des figures de la sphère économique et institutionnelle du cru.

Certains de ces visages, à l’instar du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, seront encore de la sollicitation ce jeudi 04 février à Joigny. Invité à prendre part à une table ronde où les acteurs des organes consulaires et quelques chefs d’entreprises feront connaître leur point de vue sur la relance économique. En toute discrétion et sans la présence des médias.

 

 

Interrogé en amont, Alain PEREZ fera part de ses réflexions personnelles sur le plan de relance économique engagé par le gouvernement pour faire face à la crise sanitaire.

Auparavant, le ministre visitera le Centre des finances publiques de Joigny où sera présentée la relocalisation d’un service de la Direction générale des Finances publiques (DGFIP). Il y sera accueilli par le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny Nicolas SORET.

 

 

 

 

BOUDIN l’un des bénéficiaires des crédits relance…

 

Une touche industrielle clôturera ce périple au rythme soutenu avec la découverte d’une PME qui a  bénéficié de crédits relance dans le cadre du plan industrie du futur, la SAS BOUDIN à Maillot.

La structure pilotée par Dominique VIE a été l’une des entreprises parmi les 55 projets retenus suite à l’appel à projet lancé par BPI France à profiter de la manne étatique, soit un montant total d’aides évalué à plus de 45 millions d’euros.

La PME sénonaise figure aujourd’hui parmi les références dans la mise au point, la réparation et la maintenance de moules d’injection plastique et de moules de thermoformage. 

 

Thierry BRET

 


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Le problème est devenu récurrent. Mettant à mal la sécurité physique des têtes blondes qui fréquentent l’école primaire Saint-Louis-Notre-Dame. Des actes d’incivisme répétitifs interpellent les parents d’élèves. Du moins, ceux qui ne transgressent pas les règles au Code de la Route ! Chaque jour, des automobilistes peu scrupuleux se réservent le droit de stationner de manière anarchique sur l’emplacement réservé aux bus scolaires à proximité de l’établissement. Obligeant les élèves à se mouvoir sur la chaussée !

VILLENEUVE-SUR-YONNE: Pas facile de descendre et de monter à bord d’un bus scolaire lorsque l’on est un jeune utilisateur des transports en commun qui suit sa scolarité à l’école Saint-Louis-Notre-Dame de Villeneuve-sur-Yonne. Chaque jour s’apparente à une péripétie particulière où il faut se prémunir des dangers de la route à tout instant.

Immobilisés au beau milieu de la chaussée, les bus déversent le flux de leurs jeunes occupants à la hussarde et de manière très rapide. Faisant craindre le pire aux chauffeurs qui en ont la responsabilité. Car, les dangers de la route comme chacun le sait sont bel et bien réels dans ce périmètre où bon nombre de véhicules circule d’ordinaire.

Pourtant, il existe une aire de stationnement matérialisée par des panneaux routiers. Toutefois, le marquage au sol de cet emplacement s’est quelque peu volatilisé. Du fait de l’érosion imputable au temps. Ce qui laisse désormais le champ libre aux parents indélicats et peu respectueux de l’espace de se poser là en toute impunité. Créant ainsi une situation dangereuse pour d’autres enfants que les leurs !

L’agent municipal en charge des passages piétons a certes bien tenté de faire cesser ces comportements inciviques journaliers mais en vain. Il n’est pas la police municipale et ses pouvoirs de persuasion sont limités.

Les chauffeurs de bus, quant à eux, s’inquiètent de la situation. Ils en ont fait part en haut lieu et réclament davantage de sécurité vis-à-vis de leurs jeunes passagers.

 

 

De leurs côtés, deux élus de l’opposition, les conseillers municipaux Rassemblement National Audrey PEREZ et Cyril ANDRE désapprouvent ces actes d’incivisme permanents. Un communiqué de presse signé de leurs plumes explique l’objet de leur protestation.  

Ils sollicitent une présence régulière de la police municipale aux heures d’entrées et de sorties de l’établissement scolaire. Pour mettre un terme à cet incessant ballet automobile qui n’a pas lieu d’être à cet endroit. Ils demandent également le rafraîchissement de la matérialisation au sol de cet emplacement réservé au seul accueil des bus scolaires.

Soit un petit coup de peinture salvateur sur l’asphalte qui engendrerait le respect des règles de bonne conduite citoyenne pour tous afin d’éviter l’irréparable ?

 

Thierry BRET

 


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Construire de nouvelles perspectives au profit de la filière agricole. L’intention est louable sur le papier. D’autant que le secteur fait face à une crise sans précédent, subissant les aléas répétitifs d’une météo capricieuse et la plongée abyssale des cours sur les marchés mondiaux. Le Tonnerrois, par le prisme de son organe communautaire, a choisi d’être le pionnier en croyant à ce rebond. En portant aux côtés de la chambre consulaire départementale un projet novateur, baptisé sobrement « 360 ° Tonnerrois »…

ANCY-LE-FRANC : Une référence géométrique pour identifier un nouveau projet au bénéfice de la filière agricole ? Pourquoi pas, en effet, il fallait y penser !

Synonyme d’une vision ambitieuse et surtout élargie d’une prospective aguerrie favorable à la pérennité du secteur, le concept qui a vu le jour en décembre 2020 dans les esprits fertiles des responsables de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne possède dans les grandes lignes de sa phase applicative tous les atouts pour séduire.

Non seulement, il se veut original par sa méthodologie et ses axes de réflexion. Mais, en outre, il entre de plain-pied dans la ligne de mire de l’appel à projets émanant de la Région à cet égard (le plan de relance de l’agriculture).

Impulser des projets territoriaux qui soient profitables aux agriculteurs supposait de s’adosser à un partenaire du cru. En dans ce domaine, la Communauté de communes du Tonnerrois n’est jamais avare en expérimentations en tout genre pour sortir du moule par le bon côté de la lorgnette. Il suffit de se remémorer les initiatives prises dans un récent passé par l’EPCI, ne serait-ce que dans le domaine de l’optimisation du numérique. Une réussite, à faire pâmer d’autres collectivités nettement plus frileuses sur le sujet !

Quoi qu’il en soit, la CC du Tonnerrois ne pouvait rester insensible aux récurrentes problématiques vécues par la filière agricole. D’une part, cette bande géographique orientale de notre territoire se situe précisément en zone intermédiaire. Réputée complexe pour optimiser et rentabiliser le travail des exploitations. D’autre part, de nombreuses préoccupations et attentes sociales se font fait jour à travers le département.

Alors, in fine, ce mariage entre le milieu agricole, incarné par le président de la chambre Arnaud DELESTRE, et l’organe institutionnel, piloté par la Conseillère départementale Anne JERUSALEM, est devenu légitime. Un hymen qui a été officialisé face à la presse en fin de la semaine dernière.

 

  

Trouver ensemble des pistes et des projets territoriaux…

 

Intelligence collective, démarche inclusive, co-construite, à base de concertation et de retours d’expériences : tous les ingrédients de la communication participative sont réunis derrière ce concept à la vision panoramique.

Son but est noble : permettre aux professionnels de participer et échanger avec leurs interlocuteurs institutionnels sur l’avenir de leur territoire. Si les agriculteurs constituent le socle initial de ces futures rencontres (une soixantaine d’entretiens individualisés sont d’ores et déjà planifiés parmi les pistes d’actions à venir), d’autres corporatismes seront associés à la démarche.

Ce sera le cas des opérateurs économiques. Mais, aussi des élus. Sans omettre les citoyens, eux-mêmes qui se situent au bout de la chaîne consumériste des produits agricoles, qu’ils soient transformés ou pas.

Articulé en quatre phases distinctes mais complémentaires, le concept « 360 ° Tonnerrois » s’étalera durant douze mois où de manière commune seront édifiés plusieurs projets au service de l’agriculture et du territoire.

Quant aux thématiques pouvant potentiellement être abordées durant cette période de collectes d’idées, elles devraient englober différents items chers à la filière agricole : l’eau, l’alimentation, l’énergie, l’entretien des paysages, la production, le foncier et la gestion de l’espace.

Cet audit réalisé au plus près du terrain a également trouvé écho en Saône-et-Loire sous l’impulsion de la région Bourgogne Franche-Comté.

Vu de notre pré carré, s’il n’est pas encore prévu de le décliner vers d’autres zones géographiques de l’Yonne, il pourrait toutefois faire des émules dans le département si les résultats escomptés sont bel et bien là.

Pour l’heure, les réunions régulières pour le pilotage de ce projet, assuré par les équipes de la Communauté de communes du Tonnerrois et de la Chambre départementale d’Agriculture vont se mettre en place pour en optimiser son avancement.

 

Thierry BRET

 


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